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S’il reçoit les autorisations officielles, le projet pourrait voir le jour avant la fin de l’année 2021. Peut-être au tout début de 2022. Il serait en tout cas unique dans l’Auxerrois. Un centre d’élevage de cervidés qui permettrait à la jeune Juliette MOREAU et à son compagnon de vivre une très belle aventure entrepreneuriale. Celle-ci se situant aux confins de l’univers animalier et de la pédagogie. Avec un modèle économique à la clé, de surcroît…

CHEVANNES : Existera-t-il un jour une ferme d’élevage de cervidés dans l’Auxerrois ? Tout porte à le croire, en effet, si l’on en juge l’avancée du projet initié par Juliette MOREAU, future cheffe d’entreprise icaunaise.

Avec son compagnon, cette dernière qui œuvre déjà au quotidien auprès de son père Hervé, gérant de la société des « Cerfs de Bourgogne » et exploitant de la Ferme Saint-Loup à Brienon-sur-Armançon, espère voir aboutir dans les prochains mois ce sympathique concept. Celui-ci allie le retour à la nature, l’élevage d’animaux dans un biotope 100 % naturel et la mise en exergue d’activités commerciales espérées lucratives.

Non seulement, la jeune femme a pour projet de reprendre l’exploitation de cervidés paternelle qui a reçu la visite cette semaine du préfet de l’Yonne Henri PREVOST et du président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE. Mais, en outre, elle entend bien développer cet élevage à proximité d’Auxerre.

La municipalité de Chevannes aurait donné son accord de principe pour que l’installation de la future activité agricole se fasse sur une zone naturelle, composée de bois et de prairies. Une surface de près de cinquante hectares, indispensables à l’épanouissement de ces animaux.

 

 

Une production d’objets décoratifs et l’accueil de scolaires dans une ferme pédagogique…

 

Profitant de cet espace de verdure, les cerfs pourraient s’y nourrir sans aucune difficulté. L’idée d’accueillir des scolaires est déjà à l’étude dans le cadre d’une ferme pédagogique avec les services de l’Education nationale. En outre, le couple exploitant produirait des articles connexes issus de ce cheptel, dont le nombre d’animaux n’a pas encore été spécifié.

Ils seraient à vocation décorative en utilisant la matière première que peuvent être les peaux, les cornes ou le cuir.

Côté budget, les premières estimations chiffrées se rapportent à la construction d’un laboratoire qui nécessiterait une enveloppe de cent mille euros. Les frais de clôture délimitant ce vaste enclos avoisineraient un budget de 60 000 euros.

A ce jour, Juliette MOREAU est dans l’expectative. Elle attend avec impatience des réponses à ses demandes d’obtention de certificats et autorisations d’usage pour placer son projet sur une véritable rampe de lancement…

 

 

 


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Le personnage était truculent. Entier, humaniste et généreux. Déjeuner en qualité de journaliste à la table du maître nécessitait de prendre son temps et de chambouler son agenda de l’après-midi. Même si l’hôte qui vous accueillait avec sa faconde habituelle dans cet antre de la gastronomie que représentait « L’Espérance » (triple étoilé au Michelin) promettait de faire vite. Au détour de quelques plats de sa composition, si simples à ses yeux mais savamment cuisinés. Hommage à ce génie créatif des fourneaux…

SAINT-PERE-SOUS-VEZELAY : Déjeuner à la table de cet autodidacte de la gastronomie française en sa compagnie et de son épouse Françoise supposait impérieusement de ne pas avoir à consulter sa montre pendue à son bras !

D’une part, l’homme, perfectionniste dans l’âme, était d’une rigueur ponctuelle rare et ne supportait pas le moindre retard occasionné lors de ces rendez-vous épicuriens, même s’il fût justifié de quelconques impondérables survenant sur la route.

D’autre part, disserter avec lui de l’avenir de sa grande maison, de politique, de la France, de la vinification de ses vignes ou de sa profonde amitié avec Serge GAINSBOURG qu’il considérait comme son « frère » supposait nécessairement avoir du temps devant soi.

Et aujourd’hui, à l’annonce officielle de son départ définitif sous d’autres cieux plus cléments qui n’assombriront plus les dernières années de sa vie, perturbée par la liquidation judiciaire de sa maison et la maladie, ces instants de bonheur partagés autour de l’une de ses savoureuses spécialités n’en sont que plus réjouissants. Appétissants, aussi, tant pour l’estomac que pour l’esprit.

 

 

Du rêve et de la magie au fond de l’assiette…

 

Subtil, tout en finesse dans ses propos lorsqu’il réécrivait l’histoire, la sienne et celle des autres, Marc MENEAU se dégustait comme l’une de ses succulentes recettes. Sans modération et avec beaucoup de gourmandise. Passionné et passionnant, il vous embarquait après le troisième ou quatrième plat vers des réflexions pertinentes où le temps ne possédait plus d’emprise sur le repas. Lui qui avait côtoyé les plus grands (François MITTERRAND, Helmut KOHL, Mstislav ROSTROPOVICTCH…). Lui qui savait d’où il venait. Lui qui a apporté une nouvelle coloration chatoyante à la gastronomie française. Voire universelle.

Triplement étoilé par la fameuse institution Michelin, cet Avallonnais avait su redonner ses lettres de noblesse à l’artisanat et aux métiers de bouche. Conférant à cette cuisine dont il avait appris les fondements dans les livres une dimension exceptionnelle. Il suffisait de se régaler de ces célébrissimes « huîtres en gelée d’eau » ou de goûter le « cromesquis de foie gras » pour se sentir pousser des ailes !

Inventif, débordant d’imaginaire pour concocter des mets dont il était le seul  à posséder les secrets, esthète des arts de vivre, cet auguste personnage avait su créer à « L’Espérance » une ambiance particulière, faite de douceur et d’onirisme qui réchauffait les cœurs. Utilisant à bon escient les plantes et les légumes issues de son jardin pour en agrémenter ses plats.

 

 

Un chef d’entreprise auréolé par de nombreuses distinctions…

 

Ses titres de gloire sont multiples. Meilleur cuisinier français de l’année 1983, auréolé par le Michelin, nous l’avons dit, et le Gault et Millau avec la mirifique note de 19 sur 20, Marc MENEAU avait été promu chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, avant de recevoir une autre distinction du même acabit : le titre de chevalier de l’Ordre national du Mérite. Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur en 1998.

Le 13 octobre 2014, Françoise, son épouse, eut l’honneur de se voir remettre les insignes de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur des mains de Paulette LAUBIE, présidente du Conseil européen des Femmes et Entreprises.

Avec son fils, Pierre, Marc MENEAU essaiera en vain de sauver ce vaisseau amiral que fut en son temps « L’Espérance », confronté à un endettement exponentiel et à un avenir de plus en plus incertain.

La perte de ses étoiles lui asséna un sérieux coup. De même que la liquidation judiciaire qui condamna de manière définitive sa société en 2015.

A 77 ans, le grand chef a donc éteint pour la dernière fois ses fourneaux. Parti trop tôt vers cette voie Lactée des grandes toques culinaires qui accueille désormais Joël ROBUCHON, Paul BOCUSE ou Pierre TROISGROIS. Le paradis des cordons bleus pour l’éternité…

Thierry BRET

 

 

 


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Marion peut remercier le « Petit Futé » ! C’est sa collaboration, déjà lointaine, avec le célèbre guide aux mille-et-une astuces touristiques qui lui a donné envie de passer de l’autre côté de la barrière. D’abord, dans l’hôtellerie comme réceptionniste. Puis dans le saint des saints de la promotion de la filière : une agence de développement ayant pour nom Yonne Tourisme. A 26 ans, la jeune femme vit intensément sa passion en charge des relations presse…

AUXERRE : De l’Yonne, elle ne connaissait strictement rien. Ou si peu. Peut-être les vieux clichés usuels qui circulent toujours sans prendre une ride autour de l’AJA, de Guy ROUX et du chablis. Bref, des images surannées aux antipodes de ses aspirations personnelles.

Surtout quand on est originaire de Toulouse, patrie de l’inénarrable Claude NOUGARO et du succulent cassoulet !

Toutefois, l’idée d’en apprendre davantage sur les particularismes et typicités de son nouveau département de prédilection la taraude depuis qu’elle a pris ses fonctions. Celles de responsable des relations presse, entre autres, au sein de l’agence Yonne Tourisme. Un poste ô combien névralgique dans l’organigramme de cette structure qui multiplie les opérations auprès des médias de la presse nationale, régionale et spécialisée. Sans omettre les relais d’opinion à l’international.

L’enjeu est de taille. Marion VERNHES le sait très bien en son for intérieur. Car, elle succède à une tour d’ivoire qui aura tenu la fonction avec sérieux et professionnalisme durant dix-sept ans : Stéphanie WAHL. Aujourd’hui, cette dernière a entamé un parcours formatif lui permettant de se reconvertir vers une toute autre carrière plus artisanale et dans ses appétences autour de la céramique.

Avant de quitter sa fonction, celle qui fut la passerelle obligée pour obtenir la moindre information sur les nouveautés touristiques de l’Yonne aura pris le temps de préparer sa dauphine. Dans les règles de l’art de la transmission de savoir-faire, lui inculquant au passage les trucs et spécificités propres à ce poste d’importance.

Munie d’un bachelor de tourisme dans sa besace, la jeune Marion s’est immergée par le passé au cœur de cette filière. Travaillant dix-huit mois en qualité de réceptionniste dans un établissement hôtelier cinq étoiles place du Capitole au cœur de la ville rose.

 

 

Préparer les outils permettant de lancer la saison 2021…

 

Curieuse, avide de découvertes et de nouvelles expériences, la jeune femme n’hésite pas à postuler à une offre d’emploi. Celle qui mentionne le recrutement immédiat d’une chargée des relations presse dans l’Yonne. Un territoire septentrional, loin, très loin, de la métropole toulousaine, berceau de l’aéronautique.

On connaît la suite : Marion VERNHES débute sa nouvelle carrière le 24 août à Auxerre, dans la touffeur d’une atmosphère caniculaire. Au moins, elle n’est pas dépaysée avec les températures de l’Occitanie !

Passionnée de guitare et d’ukulélé (cela ne s’invente pas !), cette férue de photographie a eu un coup de cœur pour l’Avallonnais et la vallée du Cousin. Désireuse d’en savoir plus sur le produit vedette de notre territoire, elle va suivre une formation œnologique avec le concours du BIVB, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne. Une corde de plus à son arc qui va transformer ce bagage intellectuel en une harpe nettement plus harmonieuse, on l’imagine.

Malgré le contexte actuel, Marion ne chôme pas. Travaillant avec pugnacité sur un dossier de presse spécial loisirs qui devrait assurer la promotion de notre territoire lors du « DEP Tour 2021 », programmé à Paris les 18 et 19 janvier, si tout va bien. Un évènementiel réunissant la fine fleur des médias et professionnels interpellés par la future saison qui s’esquisse. L’Yonne aura bien besoin de la fougue et du savoir-faire de la jeune femme pour figurer en pôle-position parmi les carnets d’adresse des journalistes en quête de nouvelles découvertes..

 

Thierry BRET

 


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La ville de Sens continue de se mobiliser en faveur des personnes âgées. La distribution des colis de Noël qui est programmée jusqu’au 24 décembre complète une année d’accompagnement et d’assistance riche en cette période de crise sanitaire si spécifique...

SENS: Dans la salle où était organisée la manifestation trônaient de nombreux colis de Noël, prêts à être livrés par les élus et les bénévoles. C’était l’occasion d’apporter un peu de plaisir aux personnes âgées au terme d’une année tumultueuse, source d’angoisse et de solitude.

Comment la ville de Sens prend-elle soin de ses aînés même s’il est difficile de rassurer concrètement celles et ceux qui sont isolés suite aux mesures sanitaires imposées pendant le confinement ?

Ce n’est pas si aisé, il est vrai. Globalement, la distanciation et le virtuel, comme la relaxation par téléphone, ont clairement leurs limites en termes d’accompagnement et de réconfort.

 

Lutter contre l’isolement, vecteur de tristesse et d’angoisse…

 

Le fait est, que « cette période est très mal supportée par les personnes les plus âgées à cause de cet isolement... rappela Marie-Louise FORT, maire de Sens et présidente du Grand-Sénonais, présente à cette animation. Certaines personnes ont même pleuré lorsque la ville s’est vue dans l’obligation de condamner les clubs accueillant d’ordinaire les personnes âgées.

Isolées, face à une information anxiogène diffusée en boucle à la télévision sur l’épidémie, les personnes âgées sont en proie à l’angoisse et à la solitude. Un sentiment qui se sera parfois prolongé lors des périodes de déconfinements en raison d’une peur accrue de leurs proches de les contaminer en les côtoyant.

Le maire de Sens avait instauré dès le mois de mars le dispositif de bienveillance citoyenne. Un système qui permettait de recenser les personnes âgées et les personnes isolées fortement fragilisées par la situation de confinement. 

Depuis, le dispositif perdure et de nouvelles actions bien rôdées ont été mises en place telles que l’opération « Faites des pompons » ou encore « Papot’âge ».

 

 

Une mobilisation sans précédent pour la distribution des colis

 

Cette année, les retraités sont privés de repas de Noël. Aussi, la ville a décidé de leur faire profiter du traditionnel colis de fin d’année, normalement réservé aux plus de 70 ans. Tous ceux qui en ont fait la demande recevront donc un panier gourmand composé de produits du terroir.

Beaucoup de personnes ont proposé leur aide pour leur livraison : des élus, en nombre plus élevé que les années précédentes, des bénévoles, les jeunes du Service Prévention, des enfants citoyens du centre de loisirs et du périscolaires ainsi que des partenaires comme l’AMAPA, spécialiste du service à domicile.

Ces « Pères Noël » éphémères mais solidaires ont pour mission de remettre 845 colis, dont 600 pour les personnes seules et 245 pour les couples.

 

Une livraison effectuée en toute sécurité

 

La ville exclue une expédition des colis par La Poste afin de maintenir un contact avec les personnes âgées. Cette opération est rendue possible grâce à l’application des gestes barrières.

Mais la municipalité voit aussi ces mesures comme la garantie d’une sécurité physique des bénéficiaires, un contact moindre en prévention d’éventuels rôdeurs ou arnaqueurs qui essaieraient de s’introduire chez l’habitant.

Ces « Pères Noël » seront donc munis d’un badge spécifique. Il les rendra reconnaissables. Ces bénévoles n’entreront absolument pas dans les logements. La livraison sera donc faite à l’extérieur ou sur le palier de l’habitation. Il n’y aura alors plus qu’à se régaler !  

 

Floriane BOIVIN

 

 


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Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…

AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.

Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.

Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.

Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !

Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.

L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.

 

 

De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…

 

A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat  déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.

Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.

Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !

Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.

D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…

Thierry BRET

 


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