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Enfin du positif dans cette actualité glauque et sinistre à souhait ! Vendredi soir, vingtième jour de ce mois de mars, correspondait normalement à la tenue du sacro-saint rendez-vous festif proposé depuis deux saisons par la Jeune Chambre Economique d’Auxerre,  « Le 20 du mois ». Faute de retrouvailles physiques, c’est sous la forme d’un « apéro-visioconférence », concocté à l’échelle régionale, que les membres de l’association et leurs sympathisants se sont retrouvés…

AUXERRE: Préserver la vie sociale. Facile à dire, plus complexe à mettre en adéquation avec la réalité si particulière de notre quotidien depuis une semaine. Pourtant, l’initiative de la Jeune Chambre Economique est à saluer pour sa pertinence. Elle a démontré que malgré le confinement, il était encore possible d’entretenir des liens de proximité avec autrui. Via le miracle des nouvelles technologies !

Voire même de réduire les barrières territoriales qui existent d’ordinaire entre les membres des différentes villes. C’est donc à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté que s’est tenue vendredi soir le premier apéro-visioconférence, jamais réalisé à ce jour.

A défaut de se retrouver en agréable compagnie dans un lieu de vie qui change à chaque fois, les adhérents de la JCE de la région ont continué de valoriser les produits du terroir devant les écrans de leur ordinateur.

Respectueux de leur adage, « incubateur de leaders citoyens », les bénévoles de la JCE démontrent ainsi que l’on peut continuer à vivre, à agir et à être innovant malgré le confinement actuel.

Parallèlement, les différents groupes de travail poursuivent leurs activités. Uniquement à l’aide de la technologie numérique, il va de soi. L’objectif étant de faire avancer les différents projets portés par les bénévoles.

 

Un copieux programme se précise à l’horizon…

 

Ainsi, la convention régionale qui devait se dérouler mi-avril à Besançon est maintenue. Mais, pas de manière physique. La JCE se prépare à son organisation via des plateformes numériques en visioconférences qui ne sont pas incompatibles aux échanges et à la formation des membres.

Ceux-ci profitent du temps libre laissé par le confinement pour fourbir les armes du retour en grâce sur le devant de la scène. Plusieurs actions sont à l’étude à l’heure actuelle. Certaines pourraient même se concrétiser durant cette période de repos forcé.

Quant à la reprise des activités, elle se prépare avec sérieux parmi les adhérents. Si le 20 avril prochain (à condition que le confinement s’assouplisse et le permette réellement) est déjà à biffer sur les agendas, avec « Tous les vingt du mois » ; d’autres rendez-vous se précisent à plus ou moins longue échéance dans la capitale de l’Yonne.

On notera par exemple la seconde édition de « Sun Quais » qui aura lieu le week-end des 04 et 05 juillet au Parc Roscoff avec des olympiades par équipe autour de thématiques sur le handicap et le développement durable.

S’en suivra l’organisation du « World Clean Up Day », la fameuse journée internationale réservée au nettoyage de la planète. Il s’agira de la troisième édition. Elle sera proposée le 19 septembre.

A cette occasion, la mise en place de l’animation « Ramène ton sac », qui vise à réduire les déchets en encourageant les consommateurs à faire leurs courses avec leurs propres sacs, sera officialisée.

Dans le même laps de temps, la réflexion de mise en place d’une signalétique piétonne dans le centre-ville d’Auxerre se poursuivra afin de favoriser les déplacements pédestres.

 


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Dans une ambiance étrange et quasi surréaliste puisque seuls trois députés par groupe étaient autorisés à siéger physiquement au Palais Bourbon, les travaux de l’Assemblée nationale se sont déroulés en cette matinée du jeudi 18 mars. L’occasion nous a été donnée de faire le point sur les mesures économiques d’urgence adoptées par les parlementaires avec le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui a voté par procuration du fait de son absence de l’hémicycle…

 

PARIS: Comment s’est tenue cette séance de travail ?

 

Nous nous sommes organisés pour travailler en nous coordonnant, par téléphone, par courriel, de la manière la plus efficacement possible. Les votes peuvent aussi s’effectuer par procuration. Ce qui a été le cas aujourd'hui...

 

Allez-vous opter en faveur des mesures de soutien économique proposées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances rectificatives ?

 

Je ne peux que les approuver. Le choc sanitaire du coronavirus est aussi un choc économique qui implique des prévisions de croissance négative : avec une récession d’au moins – 1 % du Produit Intérieur Brut en 2020 contre une croissance de + 1,3 % prévue initialement.

Cela va entraîner de fait une augmentation du déficit public (- 3,9 % du PIB en 2020 contre – 2,2 %) et une perte de recettes fiscales d’au moins 10 milliards d’euros.

Tous les secteurs économiques, toutes les entreprises, toutes les activités sont touchées. Certains plus durement encore en raison de leur nature, à l’exemple du tourisme, de l’évènementiel. D’autres, du fait de la concentration de leur chiffre d’affaires sur la période correspondant au confinement (activité saisonnière, horticulture) vont perdre beaucoup.

 

Justement, ce contexte impose de créer de nouvelles aides en urgence pour éviter les faillites en cascade et des pertes de revenus extrêmement préjudiciables pour de nombreuses entreprises et de nombreux salariés. Quelles seront-elles ?

 

Le gouvernement a proposé un plan de 45 milliards d’euros pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie. 35 milliards d’euros correspondent à des mesures de soutien à la trésorerie des entreprises (report de 8,5 milliards d’euros de charges dues au 15 mars et de 13 milliards d’euros pour les charges dues au 05 avril).

Deux milliards d’euros seront consacrés à la prise en charge des arrêts maladie, à l’achat de masques et à la rémunération des personnels soignants. En outre, un fonds de solidarité d’un milliard d’euros sera dédié aux petites entreprises. Enfin, 5,5 milliards d’euros seront réservés à l’indemnisation du chômage partiel, dans la limite de 4,5 SMIC.

S’y ajoute la mise en place d’une garantie exceptionnelle et inédite de l’Etat, dans la limite de trois cents milliards d’euros pour tous les nouveaux prêts octroyés par des établissements de crédits entre le 01er mars et le 31 décembre 2020 à des entreprises immatriculées en France. Cette garantie des emprunts sera gérée par BPI France.

Ce dispositif doit nous permettre de maintenir ouvert le canal du crédit aux entreprises pour les accompagner dans la gestion du choc qu’elles subissent, et les maintenir dans des conditions suffisamment bonnes pour qu’elles puissent rebondir une fois le choc passé sans licencier ou réduire leurs activités.

 

Vous avez signé les amendements préparés par votre collègue, Eric WOERTH, président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale. A quoi se rapportent-ils ?

 

Ils concernent les points suivants : l’ouverture de ce nouveau Fonds de solidarité pour les entreprises à toutes celles qui ont perdu, en mars 2020, au moins 50 % de leur chiffre d’affaires ; à la mise en place d’un crédit d’impôt de type « PTZ coronavirus », en complément de la garantie bancaire pour alléger au maximum les charges d’intérêts qui pèsent sur les entreprises ; à créer un nouveau régime exceptionnel inspiré du régime des catastrophes naturelles mais pour les catastrophes sanitaires du type de celle que nous connaissons actuellement, ce qui entraînerait la création d’un fonds exceptionnel dédié, financé par une imposition et des dotations de l’Etat (ce fonds permettrait d’assurer une indemnisation en complément du jeu de la garantie assurantielle des pertes d’exploitation ; de créer un crédit d’impôt au profit des bailleurs de locaux professionnels, sur qui va peser la charge financière du report du paiement des loyers prévus dans le cadre de l’habilitation prévue par le projet de loi d’urgence pour faire face à l’épidémie de COVID 19 et en dernier lieu, envisager l’extension du dispositif d’activité partielle aux personnels contractuels de la fonction publique territoriale.

 

Par quels biais, les entreprises de l’Yonne peuvent-elles se faire connaître pour bénéficier de ces aides ?

Sachant que la mise en œuvre de ces mesures doit intervenir sur le terrain le plus rapidement possible, les entreprises de notre département qui désirent être accompagnées dans leurs démarches peuvent se rapprocher de la DIRECCTE, soit par courriel (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et par téléphone, au 03.86.76.29.38.

 

Existe-t-il d’autres mesures ?

Parallèlement, le Sénat examine aujourd’hui l’autre texte de loi d’urgence qui concerne notamment les questions d’organisation des collectivités territoriales. Il sera examiné vendredi à l’Assemblée…

 

 


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FNTP, FFB, CAPEB…à l’unisson, les acteurs nationaux de la filière artisanale alertent le gouvernement après la déclaration de guerre du président Emmanuel MACRON à la propagation du COVID 19. Les organismes professionnels s’inquiètent de la tournure des évènements, notamment depuis la période de restriction appliquée en France. Ils demandent un arrêt temporaire de tous les chantiers pour s’organiser. En priorité, au niveau des protections et équipements…

AUXERRE : C’est un cri du cœur qui vient d’être lancé par trois grandes structures représentatives du secteur bâtiment et des travaux publics en France. Une alerte qui fait l’objet de plusieurs communiqués de presse, émanant de leurs instances régionales et départementales en Bourgogne Franche-Comté.

A l’unisson, la FNPT (Fédération nationale des travaux publics), la CAPEB (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et la FFB (Fédération française du bâtiment) se mobilisent en réaction des propos tenus par le chef de l’Etat, Emmanuel MACRON, dans sa déclaration de guerre. Un combat sans merci à livrer contre ce coronavirus si meurtrier et contagieux.

Oui, mais voilà, les professionnels du BTP demandent instamment au gouvernement de suspendre tout de go et de manière temporaire les chantiers, à l’exception des interventions urgentes, au moins pour une dizaine de jours. Le temps que la filière s’organise et s’équipe face à ce fléau.

 

 

La santé des personnes demeure une priorité absolue…

 

Pourquoi une telle sensibilisation de la part des professionnels ? Parce que la santé et la sécurité des personnes demeurent une priorité absolue pour les entreprises. En substance : le cruel manque de masques de protection et de mesures de protection qui ne sont pas toujours assurées pour les salariés, face à des donneurs d’ordre…

Bref, le secteur du BTP est confronté à une profonde désorganisation sur les chantiers (certains sont arrêtés, d’autres non) et à une profonde incompréhension mêlée d’une inquiétude légitime à la fois des chefs d’entreprise et de leurs collaborateurs.

Précisons, pour mémoire, que ce segment ô combien capital de l’économie emploie plus de deux millions de personnes en France. Les trois fédérations rappellent qu’il est de leur responsabilité collective de limiter au maximum les risques de propagation du coronavirus et de trouver des solutions avec le gouvernement pour protéger la santé de ses salariés et assurer la poursuite de l’activité dans des conditions optimales.

Ce qui est loin d’être le cas, manifestement, depuis plusieurs jours dans l’Hexagone…

 

 

 

 


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La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, a confirmé la participation immédiate de la collectivité à hauteur de dix millions d’euros à renouveler si nécessaire en cas de prolongation de la crise sanitaire à un fonds de solidarité. La décision fait suite à la visio-conférence que la responsable de l’exécutif régional a eu ce mardi 17 mars avec les autres présidents de région, rassemblés à l’invitation du Premier ministre Edouard PHILIPPE…

DIJON : L’engagement sera soumis au vote des élus. Selon des modalités qui restent encore à définir eu égard à l’évolution du contexte sanitaire.

Mais, une chose est d’ores et déjà sûre : l’institution régionale apportera bel et bien sa pierre à l’édifice constitutif de ce fonds de solidarité national pour soutenir les TPE et les entreprises individuelles en proie à de sérieuses difficultés.

Dès la fin de ce mois de mars, un versement de mille cinq cents euros sera adressé à plus de vingt mille entrepreneurs du territoire qui sont fragilisés par la baisse de leur activité, imputable à la propagation du coronavirus sur l’Hexagone.

Pilotées par les directions départementales des finances publiques, ces subsides concerneront les entreprises qui réalisent moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires et qui emploient moins de dix collaborateurs.

 

 

 

 

Une condition, toutefois, pour y prétendre : seront éligibles uniquement les sociétés qui ont vu leur activité stoppée ou leur chiffre d’affaires réduit de 70 % sur la période de ce mois de mars, par rapport à mars 2019.

Ce fonds de solidarité, évoqué par le président de la République Emmanuel MACRON lors de son intervention audiovisuelle le 16 mars, doit permettre de préserver le tissu économique dans les régions. Composé en Bourgogne Franche-Comté à 80 % de toutes petites entreprises (TPE).

Au niveau national, ce fonds de solidarité sera doté d’un milliard d’euros. Il concerne aussi les microentreprises et les entrepreneurs indépendants.

 

 

      


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Etrange conférence de presse que celle-ci. Hormis l’ambiance presque ouatée qui règne dans le bâtiment préfectoral, chacun des acteurs, peu nombreux en ce jour de confinement du pays, veille à respecter la distance idéale de sécurisation. En prenant moult précautions dans l’une des salles de la préfecture de l’Yonne. Pourtant, le directeur de cabinet du préfet Tristan RIQUELME apporte de précieuses indications sur le degré de virulence de la pathologie sur notre territoire. Avec seulement treize cas déclarés à ce jour et aucun décès à déplorer, l’Yonne se situe à un très faible niveau de propagation. Les nouvelles mesures de restriction inhérentes à la mobilité arrivent donc à point nommé pour endiguer le fléau…

AUXERRE: Le sous-préfet Tristan RIQUELME a promis d’effectuer de manière régulière des points presse pour faire toute la lumière sur la circulation du coronavirus dans l’Yonne.

Apportant ainsi davantage d’eau au moulin informatif comme le souhaitait la presse départementale. Celle-ci est désappointée de ne pas avoir plus de précisions statistiques locales de la part de l’Agence régionale de santé (ARS).

Certes, l’organisme de surveillance sanitaire envoie chaque jour un communiqué de presse qui permet de suivre le parcours évolutif de la maladie sur notre contrée. Un état des lieux qui tombe en fin d’après-midi. Sans pour autant que ne soient trop affinés les chiffres de notre département.

Aussi, dans cette volonté de transparence et de communication qui est sienne, la préfecture de l’Yonne a décidé de compléter ces informations régionales.

Première observation, alors que le virus progresse de manière exponentielle dans le Grand-Est, l’ouest et le nord de la Bourgogne Franche-Comté sont encore très préservés et finalement peu affectés par le virus.

A l’identique de la Nièvre, l’Yonne enregistre une courbe de progression très faible de la pathologie, comparativement à ses voisins de l’Est. Seulement treize cas y ont été dénombrés. Sachant que la majorité des personnes contaminées demeurent à domicile. Au plan géographique, ces malades se répartissent équitablement entre Auxerre et Sens.

Interrogé sur sa perception personnelle de cet épineux dossier, Tristan RIQUELME constate que le nombre de nouveaux cas augmente pourtant tous les jours.

« Toutefois, ajoute-t-il, nous sommes au bon moment pour que le coronavirus ne se répande plus sur notre territoire. Si les mesures de confinement mises en place depuis douze heures ce mardi sont respectées, on pourra alors maîtriser la propagation du virus, voire enrayer le phénomène… ».

 

La dimension rurale de l’Yonne devient un atout…

 

Pourquoi le département de l’Yonne ne connaît-il pas autant de cas de contaminations que les autres territoires de la région, à l’instar de la Côte d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs ?

Tristan RIQUELME dispose de solides arguments qui prennent leurs origines sur la typologie même de notre zone géographique, à forte vocation rurale, pour étayer sa réponse.

« Peu de rassemblements d’envergure nationale sont accueillis dans l’Yonne, explique le directeur de cabinet du préfet Henri PREVOST, en outre, nous sommes traversés par une autoroute du nord au sud mais nous ne possédons pas, en revanche, de nœuds de communication très importants… ».

D’ailleurs, pour s’en convaincre, ce sont bel et bien les centres urbains du nord de l’Yonne qui sont aujourd’hui les plus concernés par l’expansion de ce virus. Logique : ils sont plus proches de la région francilienne, foyer virulent de la pandémie.

En résumé, la ruralité de notre département est devenue un atout indéniable contre la diffusion de l’envahisseur microscopique.

 


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