Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Profitant d’une visite il y a quelques années d’un sanctuaire de la faune animale à Prétoria, le chef d’entreprise de Sens, co-gérant de la société de communication « NET.COM », a eu l’immense privilège de rencontrer Kevin RICHARDSON, le plus grand spécialiste au monde de l’étude comportementale des lions. Depuis, Thomas ne cesse de se rendre régulièrement en Afrique du Sud afin de défendre la cause du roi des animaux, élevé dans des parcs spécifiques avant d’être livré en pâture lors de safaris où le félin est impitoyablement abattu par des chasseurs nord-américains et asiatiques qui n’hésitent pas à débourser près de 60 000 dollars pour obtenir un trophée. Un ouvrage, paru en février 2017, « Tsavo le résilient » aux Editions du Net, tiré de la plume incisive de l’entrepreneur sénonais, témoigne de cette triste réalité…que chacun doit découvrir avant qu’il ne soit trop tard…

SENS : Disponible depuis l’hiver dernier sur toutes les plateformes numériques ainsi que chez les libraires de l’Yonne, « Tsavo le résilient » se présente sous la forme d’un gros pavé, très agréable à la lecture. Derechef, sa couverture surprend le curieux avide de connaissances. Une magnifique tête de lion au regard profond orne celle-ci et sensibilise le futur acquéreur à poursuivre sa quête. Elle sera exhaussée : son contenu ne peut laisser indifférent. Il nous fait prendre conscience que notre monde ne tourne plus vraiment bien rond en ce début de XXIème siècle et que la cupidité et l’argent maîtrisent les idéaux des sociétés dites modernes et bien pensantes. Au détriment de la nature, de l’environnement, du climat, de la cause animalière…et en bout de chaîne de l’humain lui-même…

Une première œuvre qui induit beaucoup de réflexions…

Et s’il n’est guère facile aujourd’hui de pouvoir se faire éditer, le comité de sélection de cet ouvrage, les Editions du Net, n’a pas tergiversé une seule minute en acceptant de publier la première œuvre de ce chef d’entreprise, inféodé à l’essor de la communication digitale et de haute technologie.   

Sensible à la cause écologique et animale, le comité éditeur a eu raison de soutenir l’initiative de l’entrepreneur Sénonais, âgé de 41 ans qui a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la sauvegarde du roi de la savane. Parfois d’une grande brutalité mais avec tellement de réalisme, l’auteur nous entraîne à travers les lignes de cet opus remarquable dans un monde à faire froid dans le dos sur les intentions réelles de l’homme envers les animaux.

L’histoire se résume ainsi : depuis des millénaires, l’homme se répand sur toute la surface de la Terre, de manière incontrôlée et sans un regard pour les autres formes de vie qu’il massacre, le sourire aux lèvres. Aujourd’hui, la planète identifie ce comportement comme celui d’un parasite qui colonise et détruit son hôte, et face à sa mort prochaine elle décide d’éradiquer ce fléau. L’antidote s’appelle « Tsavo ». C’est un lion aux proportions démesurées et aux capacités tout à fait singulières. A ses côtés, un immense groupe d’êtres humains que la vie et les hommes eux-mêmes ont broyé de leur violence sans limite : les résilients. Tapis dans l’ombre de nos civilisations depuis une éternité, ils sont en attente de l’appel de « Tsavo » : prêts au sacrifice de cette incontrôlable humanité pour sauver la planète et toutes les autres espèces.

Pour la première fois depuis son apparition, l’humain devra s’adapter à une vie sans violence ou mourir. Pour la première fois, il n’aura plus le choix et devra respecter cette Terre qui lui a donné la vie. Ou disparaître, des griffes et des crocs de « Tsavo » et de son armée. C’est la résilience même de l’humanité qui sera sondée…

Ce cheminement initiatique est en fait le prélude à un second volume plus criant de vérité encore que Thomas DA ROVARE a déjà partiellement écrit. « CANNED HUNTING », traduisible par la locution suivante « Chasse en boîte » paraîtra d’ici quelques semaines.

Le sanctuaire de Kevin RICHARSON a valeur de refuge animalier…

« Récemment, le film « Blood Lions » a dénoncé la pratique de la chasse en boîte, précise Thomas DA ROVARE, aux côtés de « L’homme qui murmurait à l’oreille des lions », Kevin RICHARDSON, je me suis personnellement très investi dans cette lutte contre ce fléau. L’idée me concernant n’est plus d’en parler autour de moi mais de m’engager véritablement sur le terrain en étant davantage dans l’action pour faire quelque chose. S’investir différemment, c’est aussi créer cette pierre à ajouter à l’édifice à travers l’écriture... ».

Tous les ans, à raison d’un séjour automnal en Afrique du Sud, Thomas se ressource au gré de ses visites dans le sanctuaire tenu par son ami Kevin RICHARDSON. Trente-sept lions y coulent des jours heureux. Originaires des parcs spéciaux destinés à la chasse, ils ont été accueillis par l’équipe du comportementaliste sud-africain, leur sauvant la vie par ce geste généreux. Aux côtés de 47 hyènes et de quatre léopards voués à une mort certaine : celle donnée par les chasseurs de fauves.

« Ce parc n’est naturellement pas ouvert au public, confie Thomas, mais attention, il ne recueille pas de lions d’ordinaire ; sauf deux spécimens qui ont été remis par un cirque espagnol (dont un animal handicapé et rendu aveugle à cause des flashes des appareils photographiques) parce que condamnés à l’euthanasie il y a trois ans… ».

Une vingtaine de personnes exercent leur talent professionnel dans ce sanctuaire animalier. Une centaine de personnes, membres de l’association CATCH, suivent de très près l’évolution des espèces animales qui y vivent.

« L’objectif de ce sanctuaire est d’assurer des actes permanents de prévention et d’avoir une approche éducative auprès des scolaires et surtout des adultes, explique Thomas DA ROVARE, la sensibilisation est le plus important. C’est expliquer que l’animal issu de la faune sauvage doit le rester. Et que les objets en ivoire sont à rejeter et non pas lieu d’être commercialisés… ».

Le massacre inutile et par plaisir de la faune sauvage en Afrique…

Dans les enclos des parcs spécifiques où les lions sont enfermés, les animaux subissent les effets pernicieux d’une drogue qui leur est administrée. Elle annihile leur volonté de se mouvoir. Relâchés ensuite dans un cadre naturel, très étroitement surveillés par les organisateurs de safaris, les animaux sont alors massacrés en règle. Une poudre fabriquée à partir du corps de l’animal s’expédie en Chine à prix d’or, engendrant plusieurs centaines de millions de dollars pour les industries qui travaillent à cette basse besogne.

« Kevin RICHARDSON dénonce ce massacre perpétré depuis des années contre les lions alors que la population mondiale diminue chaque année. 80 % de l’espèce a été détruite. Dans vingt ans, il n’y aura plus aucun lion vivant dans la nature… ».

Dès lors, avec son ouvrage, l’entrepreneur de l’Yonne souhaite que la société réagisse face à cette extinction programmée. Tout comme celle qui concerne les girafes, les éléphants ou les hippopotames.

« La plupart des dirigeants de la planète se voilent la face dès que l’on évoque ce dossier brûlant, ajoute l’écrivain entrepreneur, comment la première nation du monde, les Etats-Unis, peut être contre l’amélioration écologique et défendre les valeurs intrinsèques de cette chasse destructrice sur le continent africain ? Il existe près de 200 fermes d’élevage de lions en Afrique du Sud qui fonctionnent en parfaite légalité car ce sont des établissements privés, tenus par les blancs de l’Afrique du Sud. Huit mille félins y sont enfermés, prêts à être abattus. L'objectif est clair : proposer aux chasseurs (souvent étrangers) des lions et des lionnes sur catalogue, au nom d’un « sport » qui consiste en fait à abattre un animal drogué, enfermé dans un enclos minuscule sans la moindre chance de survie. Les tarifs varient en fonction du sexe, de l’âge et de quelques autres critères, mais la vie d’un félin s’achète de 7 000 dollars (la lionne) à 40 000 dollars (le mâle de huit ans). Il est à noter que de telles industries existent aussi pour les éléphants, les girafes et les rhinocéros. Près de 1000 lions sont abattus chaque année lors de ces chasses. Sous couvert de développement économique et de création d’emplois, ils bénéficient des soutiens en haut lieu, voire ceux de la communauté internationale… ».

D’ailleurs, la tête de Kevin RICHARDSON est mise à prix depuis plusieurs années. Il vit reclus dans son sanctuaire et le fréquenter n’est pas sans risque.

Quelques pays, à l’instar du Zimbabwe et du Kenya, agissent en faveur de CATCH et d’autres associations de la protection animale. L’ancienne Rhodésie à interdit temporairement la chasse aux lions durant…trois jours ! Tandis que le Kenya devait brûler l’ensemble de son stock d’ivoire.

Thomas DA ROVARE a pris des contacts avec la représentante française de CATCH à Paris pour intercéder en faveur de Kevin RICHARDSON et de sa lutte contre les tueurs de lions. Il aimerait aussi se rapprocher du ministre de l’Environnement Nicolas HULOT afin de le sensibiliser à la connaissance de ce problème qui concerne l’extinction de ces espèces sauvages dont la Terre ne peut se passer.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Chez les professionnels du commerce non sédentaire, qui exercent leur métier sur les marchés, la nouvelle année débute déjà avec son lot d’interrogations. Sans qu’il n’y ait de réelles réponses à apporter. La crise économique ne frappe pas que les indépendants des centres-villes. La baisse du pouvoir d’achat des consommateurs, phénomène qui va encore s’accélérer ce mois-ci avec l’augmentation des prélèvements de la CSG, additionnée à la stratégie inflationniste du gouvernement sur les sources d’énergie (gaz, fioul, Diesel, essence…), n’aura pas épargné ce secteur d’activité, pourtant très populaire aux yeux des Français. Présidente de la puissante Fédération des syndicats de commerçants des marchés de France, Monique RUBIN s’est confiée à Presse Evasion lors d’une interview accordée à l’aune de 2018. Coup de projecteur sur une filière qui dispose d’un vrai capital de sympathie auprès du grand public et pourtant est en proie aux doutes…

PARIS : « La période hivernale n’arrange rien à la complexité de la situation que nous vivons. Pour les professionnels des marchés, cette période de l’année se résume à des moments de souffrance qui se répercutent sur le chiffre d’affaires de ces entreprises... ».

Tributaires des aléas climatiques (ils sont légion depuis quelques années avec les effets bien visibles du réchauffement de la planète), les commerçants non sédentaires qui développent leurs activités sur les marchés de l’Hexagone éprouvent de plus en plus de difficultés à honorer dignement leur métier. Et à survivre. Un constat chargé d’amertume pour Monique RUBIN, la présidente du syndicat national qui défend les intérêts de près de vingt mille adhérents. Ceux-ci se répartissent au sein de cent cinquante syndicats distincts inféodés au puissant organisme fédéral.

" La grande distribution assassine les petits commerces de proximité..." 

« Vous bénéficiez toujours de cette cote de popularité auprès des consommateurs français. Ils retrouvent sur les marchés les charmes du commerce d’antan, la traçabilité et l’origine des produits, la noblesse de l’acte d’achat assorti du sens relationnel avec le commerçant. Pourtant, votre secteur souffre d’année en année. Pourquoi ?

La problématique actuelle provient de ces mastodontes que sont les enseignes de la grande distribution. Ces structures assassinent les petits commerces qu’ils soient sédentaires ou non. Nous observons une situation parallèle avec les commerçants de proximité qui ne peuvent guère exister aujourd’hui face à ces poids lourds. Nous sommes confrontés à d’étranges paradoxes à l’heure actuelle dans les centres-villes. Où les magasins, même ceux qui profitent du soutien d’une franchise, ferment. Or, on ne parle que de redynamisation de ces zones indispensables à l’attractivité économique d’une agglomération. Il existe un non-sens que je ne comprends pas puisque certaines municipalités autorisent l’ouverture avec beaucoup de bienveillance de ces nouvelles grandes surfaces en périphérie des villes en leur ajoutant des mètres carrés supplémentaires. Conséquence : de nombreuses villes françaises ne disposent plus aujourd’hui de zones de chalandise attrayante faute de combattants ! Dans certains endroits, les architectes ont même créé des vitrines factices en trompe-l’œil pour remplacer les commerces qui ont été placés en liquidation judiciaire ; c’est une hérésie totale !

Quels arguments apportez-vous pour endiguer ce phénomène qui visiblement ne cesse de croître à l’échelle nationale ?

Nous demandons un moratoire précis sur l’impact économique de ces mètres carrés supplémentaires accordés généreusement aux acteurs de la grande distribution. Il est temps de freiner ce mouvement expansionniste qui ne se justifie pas en France.

Si l’on compare ce que les commerçants de proximité et non-sédentaires français vivent par rapport à leurs homologues qui exercent en Allemagne, que peut-on en déduire ?

Le comparatif est très clair : 62 % du chiffre d’affaires annuel de l’activité commerce en France est assuré par la grande distribution. Les commerces de centre-ville ne génèrent que 25 % de ce résultat. Le reliquat revenant aux commerces de quartier et aux marchés. Or, nous ne rencontrons pas les mêmes prérogatives Outre-Rhin. Là-bas, les trois entités se partagent les parts de marchés de manière équitable : en trois tiers. Les commerces de proximité occupent toujours une place prépondérante dans l’univers commercial de la consommation. Ce qui est aussi favorable à l’emploi…

La recrudescence des supérettes à l’estampille des enseignes de la GMS en centre-ville n’est pas non plus du meilleur goût pour votre fédération…

Non ! C’est une manière complémentaire d’accroître les zones de chalandise de ces structures qui s’installent au cœur des villes. En plus des périphéries avec des hyper ou des supermarchés. La supérette n’occupe que trois cents mètres carrés de surface mais occasionne aussi des ravages énormes parmi les artisans et commerçants traditionnels. Désormais, trouver une boucherie, une boulangerie, voire une épicerie en centre-ville, relève de la gageure…Dans le cas de ces autorisations accordées à ces enseignes, je n’aurai qu’une question : que font nos politiques pour enrayer cela ?

Un travail étroit de concertation avec de multiples partenaires et les élus...

Cependant, et au vu de ce que vous représentez à l’échelon national, vous travaillez en concertation avec les élus ?

Le syndicat est présent au sein de très nombreuses instances institutionnelles et économiques afin d’y faire entendre sa voix. Notre positionnement est simple : nous sommes l’une des préconisations majeures à la redynamisation du centre-ville et de son attractivité économique. Revenons à l’exemple des marchés : une ville qui n’en accueille pas aujourd’hui est une cité qui se meurt. Une ville où un élu n’agit pas en faveur de la création ou de la dynamisation commerciale par le biais d’un marché est un maire qui n’agit pas. Or, parmi nos partenaires institutionnels, il nous faut des locomotives ! De par son passé historique, le marché est représentatif également d’un patrimoine culturel. C’est de notre devoir de ne pas laisser les choses aller à vau l’eau…

Les partenaires des milieux consulaires sont-ils de bon relais de cette impulsion nécessaire liée autour des marchés ?

Oui : nous travaillons avec les représentants des chambres consulaires, en particulier avec ceux de la Chambre de Commerce et d’Industrie, qui optimise toutes initiatives prises en faveur de l’essor du commerce de proximité. Un marché représente un vecteur économique important sur un territoire. Il ne faut jamais le négliger…

Avec qui traitez-vous aujourd’hui au niveau gouvernemental ?

C’est une source d’inquiétude supplémentaire pour nous. Jusqu’au mois de mai 2017, le syndicat pouvait se référer au secrétaire national du commerce, membre du gouvernement. Or, depuis la mise en place de la nouvelle gouvernance survenue après les élections présidentielles, nous n’avons plus d’interlocuteur direct puisque la fonction a été supprimée sine die. Bref, c’est un peu le flou absolu au moment où je vous parle…

De multiples enjeux et perspectives en 2018...

Entre mobilisation et vigilance, on l’aura compris : vous êtes soucieux de faire entendre vos revendications…

C’est exact. Auprès de chacun de nos interlocuteurs : les chambres consulaires, l’association des maires de France, la Confédération des petites et moyennes entreprises, la Confédération des petites entreprises de France, etc. Nos revendications locales se traitent en direct auprès des élus. C’est logique : la gestion des marchés se faisant dans le cadre du domaine public. L’organisation d’un marché suppose des liens ténus avec les professionnels par exemple au niveau du droit de place. Mais, je vous rassure : 70 % de nos relations entretenues avec les édiles sont excellentes. Je n’en dirai pas autant pour les 30 % restants où nous sommes obligés d’intercéder auprès du tribunal administratif pour nous faire entendre…

Par contre, en 2018, votre corporation sera plus que jamais confrontée à la récurrence des ventes au déballage, l’un des soucis essentiels de votre cœur de métier…

La loi a été totalement galvaudée à propos de ce sujet qui nous préoccupe beaucoup. La prolifération des vide-greniers est constante depuis plusieurs saisons : il en existe aujourd’hui plus de 50 000 à l’année. Sachant qu’un particulier ne peut exercer plus de deux ventes à l’année. Mais, ce qui est prévu par le législateur n’est absolument pas respecté ; au détriment des professionnels du commerce non-sédentaire…En outre, beaucoup de ces particuliers profitent de ces manifestations pour vendre de la nourriture, des vêtements de seconde main, ce qui est totalement interdit ! Nous ferons pression cette année sur le gouvernement pour le texte de loi soit modifié afin d’éviter l’existence de zones de non-droit commercial en France.

Dernière source d’inquiétude : la disparition du régime social au 01er janvier 2018 et l’absence d’informations précises…

En fait, je crains une souffrance supplémentaire que vivrons une fois de plus nos professionnels avec la disparition de ce régime. Nous craignions une dichotomie entre la mise en conformité informatique du nouveau régime et l’ancien ; bref des préoccupations dont nous n’avions pas besoin en état. Mais, le syndicat ne se fait guère d’illusions et même si certains croient encore à des lendemains qui chantent, les commerçants non-sédentaires et de marchés sont prêts pour aller au charbon dans les semaines à venir…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Afin de garantir la pérennité du système de protection sociale, la bataille contre les comportements abusifs et frauduleux intègre les priorités essentielles de la CPAM de l’Yonne, engagée dans des actions préventives aux côtés de différents partenaires qui travaillent ensemble au sein du CODAF. Détection rapide des malveillances, plus ou moins volontaristes, concertation efficace entre les organismes sociaux et mise en place d’actions judiciaires répréhensibles au pénal constituent le panel de poids de ces possibilités qui s’offrent désormais aux responsables de la Sécurité sociale dans leur combat annuel contre les fraudeurs. Quant au montant du préjudice subi et évité pour 2017 : il s’élève à 931 450 euros au lieu de 657 000 euros lors de l’exercice antérieur, soit une recrudescence très nette de 29 % au niveau des montants engagés...

AUXERRE : Evoluant parmi une typologie de quatre publics différents les uns des autres (les assurés sociaux, les employeurs, les professionnels de santé et les établissements de soins), la Caisse primaire d’assurance maladie est plus que jamais vigilante contre les comportements excessifs, voire abusifs qui portent atteinte régulièrement au système de protection sociale français.

« Stop aux fraudes » est le slogan très incitatif et sans appel qui barre de manière significative les grandes affiches de la campagne de communication qui a fleuri ces dernières semaines dans les halls d’accueil de l’organisme social à la vue évidente du public.

Un véritable travail d’enquêtes et d’investigation…

Employant la force de la méthode dissuasive, la CPAM qui peut faire l’objet de réquisitions dans le cadre d’enquêtes de la part des autorités compétentes souhaite mettre en garde ses quatre publics sur l’existence de ces dérives inacceptables qui représentent chaque année un véritable détournement de fonds des caisses de l’organisme de protection sociale solidaire.

Pour y faire face, celui-ci s’appuie sur le professionnalisme d’un service dédié qui prend en charge tous les signalements, c’est-à-dire les manquements au respect de ces règles éthiques qui induisent des suspicions de fraude. Un agent supplémentaire a même été affecté en 2017 dans ce service spécifique dont l’aspect opérationnel est tangible depuis le 01er juin 2006.

Cette cellule de cinq personnes traite les signalements de suspicion de fraudes, les fautes ou les abus commis, mais dans un cadre juridique strict défini par les textes réglementaires issus du Code de la Sécurité sociale, entre autres. Provenant de sources internes ou externes, ces signalements résultent le plus souvent de courriers, de témoignages, d’études, de contrôles, de requêtes. Parfois, ils émanent de choses rapportées spontanément. Comme par exemple à l’occasion d’actes fictifs qui auraient été établis par un professionnel de santé.

« Recherches et investigations constituent le lot quotidien de cette activité, précise Etiennette BERROUET, sous-directrice de la CPAM de l’Yonne, mais attention, il n’y a pas fraude à chaque fois ! Néanmoins, à partir d’une suspicion avérée, nous menons systématiquement une enquête avec l’ensemble des services de la CPAM en lien avec les grands thèmes nationaux comme les arrêts de travail… ».

Différentes formulations de fraudes…

Intentionnelles ou pas, actes pouvant engendrer une volonté manifeste de nuire à l’organisme : la reconnaissance d’une fraude en tant que telle suppose des capacités d’investiguer de manière plus approfondies de la part de l’équipe en poste.

En 2016, une entreprise de taxi s’est vu notifier un indu de 46 234 euros pour exercer son activité sans carte professionnelle valide. Dans le même laps de temps, une infirmière s’est vu demander plus de 69 000 euros par la CPAM en raison de la non-application de la nomenclature des actes et du non-respect des textes conventionnels. Enfin, un médecin a reçu, quant à lui, une notification de plus de 145 000 euros suite à un non-respect répété de la réglementation. Cette année, d’autres praticiens ont même fait l’objet de dépôts de plainte auprès des deux parquets de l’Yonne : les procédures se poursuivent à l’heure actuelle…

« Aujourd’hui, renchérit Etiennette BERROUET, les dépenses de santé annuelles représentent un milliard d’euros pour notre département, uniquement pour le régime général. Au 30 novembre, la CPAM de l’Yonne justifie un montant de préjudice global (subi et évité) au niveau des fraudes de l’ordre de 931 450 euros. Certes, nous sommes loin des deux cents millions d’euros observés sur le plan national, mais cela reste néanmoins modeste par rapport à l’ensemble des dépenses de santé qui se rapprochent des 167 milliards d’euros pour le régime général… ».

Des chiffres qui se décomposent ainsi si l’on y regarde de plus près à 779 695 euros de préjudice subi et 151 755 euros de préjudice évité. Cette répartition vise prioritairement les établissements de soins à 66 %, les transporteurs (12 %), les assurés (13 %) et les infirmiers (5%).

Des sanctions considérables comme l’interdiction d’exercer et des peines de six mois de prison ferme…

Quant au volume de dossiers frauduleux, il conserve une relative stabilité malgré une légère tendance haussière : 91 dossiers en 2015, 96 traités en 2016 et 98 établis au 30 novembre 2017.

« Depuis 2006, la CPAM de l’Yonne n’a perdu aucun procès au pénal. Nous avons réalisé plus de 61 plaintes ou signalements auprès du procureur de la république depuis cette date…confirme Pascale QUICLET, responsable du service Animation Santé ».

Des pénalités qui font l’objet d’une décision validée par une commission paritaire de la caisse qui comprend cinq représentants de la filière professionnelle concernée ou des assurés. Grâce à l’amélioration des moyens de détection, la Caisse primaire d’assurance maladie et son service spécial d’agents assermentés ont permis des sanctions importantes comme cinq années d’interdiction d’exercice en libéral pour un professionnel de santé, voire six mois de prison ferme pour un assuré social. L’organisme social applique une politique impitoyable en ce sens puisqu’il est nécessaire de ramener le déficit des dépenses de santé dans des proportions honorables à échéance réduite.

Le message est donc clair : la fraude n’a pas sa place dans le système et les fraudeurs ne peuvent demeurer impunis…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le déploiement du très haut débit par fibre optique à Sens a fait l’objet d’une conférence de presse passionnante, en présence de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale d’Orange en Bourgogne. Si une première phase de travaux, permettant cette optimisation du très haut débit FTTH est en cours, le terme de ce chantier, prévoyant une couverture totale de la ville, sera effectif à l’horizon 2020. Entre-temps, une seconde campagne de travaux aura eu lieu dans de nouveaux quartiers de la cité la plus septentrionale de l’Yonne au cours de l’année 2018…

SENS : Qu’on se le dise ! La fibre optique est une réalité tangible à Sens ! Lors d’une récente conférence de presse, programmée dans les salons de l’hôtel de ville, la déléguée régionale d’Orange en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM et la présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et maire de la Ville de Sens, Marie-Louise FORT se sont félicitées de l’avancée technique de ce déploiement de la fibre optique. Il devrait s’achever à l’horizon de 2020, terme définitif de ces travaux d’installation.

Un déploiement décliné selon différentes étapes et trois lots…

A ce jour, plus de 1 100 logements sont raccordables à la fibre optique : ce sont plus de 17 700 foyers concernés. Certaines entreprises peuvent également bénéficier de ce confort optimal de débits et d’usages innovants. A Sens, ce déploiement se conceptualise sous la forme de trois lots. Le premier englobe près de 5 100 logements dont 30 % sont implantés en ville. Géographiquement, cela se rapporte aux quartiers de Sainte-Béate, de la clinique Paul Picquet, des Champs-Plaisants, du secteur de l’hôpital et des Charmilles ainsi que les rues Saint-Pierre-le-Vif et le haut de la rue Alsace-Lorraine. Une quinzaine d’armoires techniques (chacune d’entre elles pouvant desservir environ 360 logements) ont été installées.

Le deuxième lot est sectorisé vers le sud et le sud-ouest de la ville avec une couverture de 5 600 logements. Dès le premier semestre, la tranche initiale de la pose des armoires nécessaires au raccordement sera opérationnelle. La validation de ce processus  est en cours avec les équipes de la municipalité.

Quant au lot numéro trois, toujours à l’étude pour sa finalisation, il s’appliquera au centre-ville et à la  partie orientale de l’agglomération. Soit in fine, un total de 7 000 logements. Il est le plus délicat à mettre en place car le dossier se gère en concertation directe avec les architectes des Bâtiments de France du fait de l’important patrimoine historique existant.

Proposé à un rythme progressif, ce déploiement comporte plusieurs étapes obligatoires : les études en coordination avec les équipes techniques municipales, l’installation desdites armoires de rue donnant la possibilité à l’ensemble des opérateurs de venir proposer leurs services et le tirage de la fibre dans les fourreaux de génie civil déjà en place.

Dernier point fondamental à la réussite de l’exercice : les habitants de ces différents quartiers doivent communiquer dès que possible auprès de leur syndic et de leur bailleur immobilier s’ils désirent être raccordés à ce nouveau réseau. Le raccordement de leur immeuble doit ensuite être soumis à un vote lors d’une assemblée générale. Puis, l’opérateur désigné pourra installer les points de branchement en face de chaque logement tandis que le client sélectionnera le fournisseur d’accès Internet de son choix, ce dernier effectuant le raccordement final à son domicile.

Côté communication, et surtout transparence, ORANGE innove en devenant le premier opérateur à mettre en ligne sur le site, « reseaux.orange.fr », une cartographie détaillée de la couverture de ce déploiement à la fibre optique qui soit compatible avec les ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Histoire de connaître toutes les étapes de ce projet en temps réel !

Un réseau 100 % fibre, synonyme de performance jusqu’au logement et en entreprise…

Dans l’Yonne, ce sont une vingtaine de communes qui sont concernées par ce vaste chantier. Il représente 54 000 logements à couvrir, soit 27 % des habitations du département. Quatre agglomérations (Auxerre, Saint-Georges-sur-Baulche, Monéteau et Sens) sont engagées dans ce programme novateur où près de dix mille logements sont éligibles à la fibre optique.

Rappelons qu’ORANGE a démarré ce déploiement en Bourgogne Franche-Comté dans 55 localités dont 34 pour la seule région Bourgogne et compte déjà plus de 182 000 logements éligibles. Au plan national, ORANGE poursuit son investissement de trois milliards d’euros sur la démultiplication de la fibre optique. Dès 2018, l’ambition de l’opérateur est de raccorder 12 millions de logements et de dépasser la barre des vingt millions deux ans plus tard. Au 01er juin, ORANGE comptait 1,690 million de clients fibre dans l’Hexagone.

Grâce à cette technologie, les utilisateurs profiteront à l’avenir de différents usages en simultané accessibles sur tous les écrans du foyer comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son Haute Définition ou la caméra 360 °…mais cela engendrera aussi l’explosion au plan économique de la télémédecine et du télétravail.

Un seul regret que la périphérie de Sens ne soit pas impactée…

Commentant la phase évolutive de cette stratégie, Marie-Louise FORT a déploré que seule la Ville de Sens soit directement concernée par ce déploiement de la fibre optique alors que les autres communes du Grand Sénonais ne s’inscrivaient pas encore dans ce schéma opérationnel.

« C’est dommageable car le nord de l’Yonne est en perpétuel développement à la fois démographique et économique. Il est regrettable que nous ne soyons pas en capacité au niveau politique d’honorer et d’accélérer le mouvement. Parler de la ruralité du territoire, c’est aussi mettre en avant le télétravail. La fibre optique représente un vecteur technologique majeur pour y parvenir… ».

Constatant aussi que les éléments techniques étaient là à notre disposition, l’élue du Sénonais rappelait que « des fonds devraient être engagés par la collectivité et la force gouvernementale pour atteindre ces objectifs prioritaires à terme…».

« Je me réjouis, devait-elle ajouter, que le premier lot implique beaucoup de foyers de la ville et notamment les ensembles de soins que sont la clinique Paul Picquet et le Centre hospitalier. La libre optique équivaut à une chance inéluctable pour le développement de la télémédecine et l’amélioration de la santé sur nos territoires…».

Evoquant, enfin, la convention de partenariat conclue avec l’opérateur ORANGE, Marie-Louise FORT précisa que « toutes les armoires de rue facilitant le raccordement aux offres de services des spécialistes du très haut débit seront posées d’ici 2020 ; la totalité des logements raccordables au plus tard en 2022…».

Quant au déploiement qui est devenu le fer de lance d’ORANGE, entreprise qui réalise aujourd’hui 40,9 milliards de chiffre d’affaires dont 16 % sont consacrés aux investissements indispensables à l’optimisation de la fibre optique et à la valorisation des licences 4 G (1,2 milliard d’euros), il place le professionnel de télécommunications dans un leadership confortable.

Présent dans une trentaine de pays, ORANGE emploie 158 000 collaborateurs dont 93 000 en France. Son nouveau plan stratégique « Essentiels 2020 », dévoilé en mars 2015, positionne le groupe parmi les valeurs sûres des marchés boursiers mondiaux, à la fois sur « Euronext » à Paris et sur le New-York Stock Exchange…  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le centre de réparation et entretien automobile de Joigny diversifie ses activités commerciales, à la suite d’une acquisition indispensable à son développement : une machine performante destinée à nettoyer les filtres à particules. Cette orientation stratégique de la SARL représente une valeur ajoutée indéniable pour Luc VEYRAND, expert en motorisation, qui a rejoint l’entreprise parentale depuis quelques années. Conçu par l’industriel italien « TECHNIFAP », et distribué à travers l’hexagone par « SPORT SYSTEM » depuis Albi, l’appareil a nécessité 50 000 euros d’investissement. Médaillé d’or au salon « Equip’Auto » de Paris, et opérationnel depuis le mois d’août, l’ensemble offre à ASJ la possibilité d’engranger de nombreux rendez-vous lucratifs…   

JOIGNY : Plus de 5 000 euros de chiffre d’affaires supplémentaires obtenus chaque mois depuis le mois d’août : l’installation de ce nettoyeur ergonomique de filtres à particules engendre de prometteuses retombées financières pour la société familiale dirigée par Ludovic VEYRAND. Son fils, Luc, ne tarit pas d’éloges sur cette machine à la fonctionnalité éprouvée depuis plusieurs mois qui permet de redonner une seconde jeunesse à une pièce mécanique maîtresse de l’automobile qui nécessite un entretien de manière régulière.

Un cycle de nettoyage automatique et d’une rare efficacité

« Quand cette pièce se bouche à cause de l’accumulation des impuretés, explique le jeune homme, féru de moteurs en tout genre (il a travaillé plusieurs mois dans le milieu sportif du rallye automobile au service d’un team national ayant ses bureaux sur le célèbre circuit de Nogaro), le propriétaire du véhicule est dans l’obligation de la remplacer avec la seule alternative d’en acquérir une neuve. Ceci suppose des coûts onéreux qui peuvent aller au-delà des mille euros de budget selon la politique tarifaire de certains constructeurs… ».

Même si divers nettoyants ont été testés pour préserver la pièce existante auparavant, peu de résultats semblaient convenables jusqu’à présent sur ce marché de l’entretien automobile. C’est ici que le fabricant transalpin, TECHNI FAP, entre en jeu. L’ingénierie de l’industriel italien échafaude alors une machine que l’on peut qualifier de révolutionnaire. Distinguée sur la plupart des salons professionnels européens, elle adopte une solution de nettoyage pragmatique et surtout efficiente.

Fixé à l’intérieur de l’appareil, le filtre à particules reçoit un fort volume d’air qui additionné à une puissante pression de l’eau décolle la suie et les saletés contenues dans chacune des alvéoles de la pièce. Le schéma se répète à maintes reprises avant l’opération de séchage, redonnant une virginité fonctionnelle au filtre. La durée de cette symbiose air/eau n’excède pas une soixantaine de minutes d’une intervention, entièrement automatisée. Une fois lavée et séchée, la pièce mécanique équipe de nouveau le véhicule. Que ce soit une automobile traditionnelle mais aussi un engin agricole ou un poids lourd puisque AUTO SERVICE JOVINIEN peut assurer l’entretien de ces véhicules motorisés.

L’exclusivité dans l’emploi de cette machine dans l’Yonne

Selon la typologie de la pièce, le consommateur déboursera entre 300 à 400 euros hors taxes pour réaliser l’opération. C’est-à-dire une prestation deux fois moindre que l’achat d’un nouveau filtre !

« Ce concept ingénieux se situe dans une logique de développement durable, précise Luc VEYRAND, les boues souillées que nous récupérons à l’issue du lavage se recyclent. Les produits utilisés sont propres et l’opérateur travaille sans précaution particulière sur une machine qui est hermétique de manière intégrale…».

A la suite d’un séjour à Albi en février 2016, Luc VEYRAND découvre l’originalité de ce concept novateur. « Le fabricant italien venait d’en achever la construction et les premiers appareils se commercialisaient sur le territoire… ».

Convaincu par la pertinence de cet auxiliaire numérique à l’entretien des filtres à particules, Luc se rapproche de SPORT SYSTEM. L’entité assure la vente à travers le pays.

« ASJ a conclu un contrat d’engagement avec cette dernière société. Ce qui nous a permis d’avoir l’exclusivité de ce produit sur le département de l’Yonne… ».

Installé début août, il n’a pas d’équivalent en Bourgogne Franche-Comté même si le maillage souhaité par le distributeur albigeois s’étend aujourd’hui vers le Pas-de-Calais, la Drôme, l’Aisne ou les Landes.

Création d’un poste de mécanicien supplémentaire…

Avec un chiffre d’affaires annuel qui oscille entre 800 000 et le million d’euros, AUTO SERVICE JOVINIEN connaîtra sans aucun doute une année 2018 intéressante à la suite de cet investissement. Un nouveau poste de mécanicien avec un profil bac pro répondra aux impératifs professionnels imputables à cette recrudescence d’activité observée depuis quelques mois.

Ce centre d’entretien automobile, né il y a treize ans et spécialiste sur le segment des 4X4, a su aussi au fil du temps se diversifier en assurant le contrôle et la réparation de flottes professionnelles (collectivités, taxis) tout en accordant une large place à la clientèle de particuliers. Via la vente de véhicules neufs et d’occasion qui lui conforte un positionnement privilégié sur cette zone de chalandise à forte potentialité.

En 2015, Ludovic VEYRAND rachète le point de vente d’un agent Renault basé à SENAN, et s’ouvre ainsi le marché fructueux du dépannage assuré sur l’autoroute A6 par cette entité distincte, devenue « SENAN Automobiles ».


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil