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Codirigeante de BGAT, société de géomètres experts intervenant sur les territoires de l’Yonne et de la Seine et Marne, Valérie BARTIAL a été distinguée par ses pairs lors de l’assemblée nationale de Femmes Chefs d’Entreprises. L’entrepreneure de l’Yonne s’est vue remettre le Prix des FCE 2018 pour son engagement en qualité de dirigeante d’entreprise sur sa zone de prédilection et au sein de ce réseau de chefs d’entreprises au féminin…

SENS : Présente depuis une cinquantaine d’années au sein de la fédération nationale, la délégation des Femmes Chefs d’Entreprises de l’Yonne regroupe à ce jour une trentaine d’adhérentes réparties aux quatre coins du département nord-bourguignon.

Se retrouvant à raison d’un jeudi par mois autour d’un conférencier ou d’une thématique de travail spécifique, les membres de FCE proviennent des secteurs de l’artisanat, du commerce, de professions libérales mais aussi industrielles. Elles représentent une force non négligeable de 160 emplois et occupent bénévolement une douzaine de mandats économiques ou institutionnels parmi les rouages territoriaux.

Localisées à 85 % sur le Sénonais, les Femmes Chefs d’Entreprises de l’Yonne ont pour vocation d’essaimer. Elles ont ainsi la volonté d’accueillir régulièrement des chefs d’entreprises de Joigny et de l’Auxerrois, où elles organisent quelques rencontres informelles au cours de la saison. Les objectifs de leurs rencontres sont simples : pouvoir partager de l’information et s’entraider sur les sujets d’actualité liés à l’entreprise et aux milieux économiques en règle générale.

Une palette professionnelle très éclectique pour la lauréate nationale…

Dernièrement, l’une d’entre elles, Valérie BARTIAL a reçu les honneurs des instances nationales. Le Prix de la FCE 2018 est revenu à la codirigeante de la société BGAT, une entité de géomètres experts disposant de trois unités d’intervention dans l’Yonne (Sens, Joigny et Migennes) et en Seine et Marne à Montereau Fault Yonne.

Titulaire d’un Master en urbanisme de la faculté de Strasbourg en aménagement local et urbain, la codirigeante de BGAT (Bureau de géomètre, d’arpentage et de topographie) avec Stéphane BARTIAL, est également expert de justice près la Cour d’Appel de Paris, syndic de copropriété et diagnostiqueur immobilier.

C’est l’engagement que cette entrepreneuse a su impulser sur le territoire et au sein de son réseau qui lui ont valu d’être plébiscité officiellement au plan national. Une belle récompense pour l’une des représentantes dynamiques du mouvement FCE sur le département de l’Yonne. L’une des 48 délégations départementales qui anime avec persuasion et efficience ce réseau né en 1945…


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Comprenant des modèles haut de gamme (Grand Sport, Sports TOURER et Country TOURER), la gamme INSIGNIA sera la première à bénéficier des atouts novateurs de la technologie multimédia validés par l’ingénierie du constructeur d’outre-Rhin. Navi Pro sera de série sur l’ensemble de cette gamme sauf pour le modèle Edition. Désigner de manière élégante et ultramoderne au niveau de leur fonctionnalité, ces auxiliaires multimédia de dernière génération devraient conforter le positionnement du constructeur allemand en matière de connectivité et de divertissement embarqué. Le déploiement se poursuivra sur d’autres modèles tout au long de cette année et courant 2019.

PARIS : Une navigation embarquée optimale qui propose des services connectés de belle facture. Voilà la stratégie déclinée par le constructeur allemand lorsque ce dernier travaille sur l’avenir de l’offre de services multimédia à bord de ses véhicules.

Intuitifs et évolués, ces nouveaux systèmes qui équipent progressivement la gamme des modèles INSIGNIA apporteront de précieuses indications aux conducteurs.

Des informations personnalisées au conducteur…

Des renseignements sur la fluidité du trafic. Mais, également bon nombre de mises à jour se rapportant aux prix des carburants, aux changements de signalisation. En phase avec la récente actualité inhérente à l’adoption de la limitation de vitesse à 80 km/h !

Concrètement, ce dispositif intelligent sera personnalisé selon les profils du conducteur. Jusqu’à cinq personnes différentes propres à conduire le véhicule  peuvent être ainsi définies. Ce système astucieux mettra l’accent sur les pôles d’intérêt de plusieurs automobilistes en charge du véhicule.

Les paramétrages iront des réglages de la climatisation à ceux du système audio en tenant compte des desiderata de chacun. Les destinations favorites, les playlists mais aussi d’autres points d’intérêt peuvent être enregistrés dans un profil personnalisé. Une facilité pour que le conducteur se concentre uniquement sur l’art du pilotage.

Quant aux évolutions de ce processus numérique, elles se rapporteront sur la recherche personnalisée d’un itinéraire, prenant en compte le type de conduite habituel.

Une marque qui a déjà obtenu de nombreux prix en la matière…

Le « Connected Car Award » avait plébiscité par le passé le constructeur allemand. OPEL a apporté de sérieuses évolutions sur le secteur du multimédia embarqué. Le mouvement devrait encore s’accélérer à court terme. La marque de Rüsselsheim prépare de nouvelles étapes à ce renforcement de la connectivité à bord de ses futurs modèles. Une nouvelle génération de systèmes multimédia arrivera dans le cours de l’année sur le vaisseau amiral de la flotte (INSIGNIA).

Pour simplifier encore leur utilisation, les appareils Multimedia et Multimedia Navi Pro disposent d’une nouvelle interface homme-machine privilégiant l’aspect intuitif, en offrant un accès direct aux principales fonctions (par exemple audio, téléphone, navigation) directement depuis la page d’accueil. Les commandes, semblables à celles d’une tablette intégrant par exemple le geste de balayage, se montrent ergonomiques et simples d’utilisation. Le conducteur peut également piloter le système d'infodivertissement à partir des commandes au volant. Le Multimedia Navi Pro peut en outre fonctionner avec une commande vocale intégrée.

Avec l’appareil connecté à Internet (ce qui nécessite d’avoir un smartphone couplé), la fonction Traffic Live regroupe les informations de circulation provenant de multiples sources. La circulation et la météo sont mises à jour en temps quasi réel et intégrées dans le calcul d’itinéraire. Cela permet d’avoir des alertes plus précises ainsi qu’une navigation plus pertinente. En outre, la fonction Live Traffic montre quelles parties de l’itinéraire sont affectées par des retards et quel genre d’incident peut en être la cause.


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Malgré la période caniculaire et les exploits des footballeurs de l’équipe de France en Russie qui sont dans tous les esprits, les protégés de Pablo CORREA retrouvent progressivement le chemin des pelouses avec sérénité et enthousiasme. La nouvelle saison approche à grands pas. Et le moral se situe sur le curseur du beau fixe pour les dirigeants, qui ont renouvelé  leur confiance envers le coach et leurs joueurs avant que ne débutent les nouvelles joutes passionnantes du championnat de France de Ligue 2…

AUXERRE : Alors que les Français commencent à égrener le compte à rebours les amenant petit à petit vers la période tant espérée des vacances estivales, la reprise des entraînements parmi les pensionnaires de la Ligue 2 du championnat de France s’inscrit dans la réalité.

Depuis une quinzaine de jours, les sportifs de l’AJA ont retrouvé les pelouses de l’Abbé Deschamps. Des séances agréables et instructives qui sont toujours pilotées par le coach franco-uruguayen Pablo CORREA.

« Si certains membres de notre effectif ont été sollicités pour partir vers un autre projet de club, le meilleur des recrutements, c’est aussi de conserver nos joueurs… ».

Se prêtant au jeu de la conférence de presse, aux côtés du président Francis GRAILLE et de Cédric DAURY, le directeur sportif, le coach, arrivé dans l’Yonne à l’intersaison hivernale, repart avec de réelles ambitions pour l’exercice 2018/2019.

« Cette année, lâche-t-il, nous allons donner davantage de nous-même et revoir notre attitude défensive qui aura encore plus d’ambition… ».

Jouer le haut de tableau…

Très heureux de reprendre les rênes de l’équipe première, le coach nourrit de bons espoirs sur son groupe qui enregistrera l’arrivée de trois à cinq nouvelles pierres dans son jardin. « La présence d’un nouveau praticien qui supervisera le centre de formation et les aspects médicaux du groupe sera un indéniable atout… ».

Côté recrutement, quelques noms sont d’ores et déjà annoncés, de joueurs en provenance de Nancy ou de Bourg. Il reste cependant des postes très précis à cibler. Mais, une chose s’avère certaine : le début de cette nouvelle saison ne ressemblera pas à celle vécue antérieurement.

« Il n’y aura pas autant de changement parmi l’effectif, concède le coach rappelant que quatorze joueurs avaient été concernés par ces évolutions. On a prévu de resserrer le groupe et de réduire un peu la voilure. L’objectif étant d’améliorer certains postes, notamment défensifs… ».

Plus ambitieuse que la saison dernière, la formation proposée par Pablo CORREA  veut jouer le haut de tableau dans le futur classement. Peut-on raisonnablement envisager un accessit pour la division supérieure, pour autant ?

« Tout ce que je peux dire, c’est que nous allons nous doter de tous les moyens pour être parmi les premières places du classement… ».

Un message partagé par le président Francis GRAILLE et Cédric DAURY qui se sentent très motivés par l’écriture de ce scénario qui pourrait nous être proposé dès ce mois d’août.

Plusieurs matches amicaux ont d’ores et déjà été inscrits au programme de cette phase préparatoire, agrémentée de six semaines de travail physique intense. Chambly, Béziers, Le Havre et les voisins de Troyes (ex-Ligue 1) seront des partenaires idéaux en terme de rencontres amicales servant à jeter les fondamentaux de la nouvelle équipe.   

Un nouveau départ, une nouvelle conscience…

L’entraînement comprendra aussi des exercices de conservation du ballon, du travail d’endurance avec une mise au vert physique, nécessaire à la cohésion du groupe. Les aspects tactiques y seront aussi abordés.

A propos du groupe, Francis GRAILLE a confirmé que l’actionnaire chinois, James ZHOU, « laissait toute la latitude aux dirigeants de se constituer un effectif susceptible de prétendre aux récompenses cette saison ».

Sans qu’il n’y ait la place, pour autant, au recrutement de quelques noms ronflants et retentissants, juste pour se faire plaisir…

Le président fit également un état des lieux succinct sur le déroulé des travaux d’aménagement actuels. Ils concernent principalement la rénovation d’un terrain d’entraînement.

Faire table rase du passé en s’inscrivant dans un nouveau départ : c’est un peu le leitmotiv des trois acteurs essentiels du club. Une structure dans laquelle les anciens joueurs et les nouvelles recrues adhèrent au projet. Ils ne sont pas les seuls : la DNCG (Direction nationale du contrôle de gestion) a également rendu un avis favorable en validant le dossier financier présenté par les dirigeants. Confirmant au passage la bonne gestion de l’association sportive auxerroise…


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Quelques mois seulement après le lancement de son application collaborative en 2012, la start-up des frères HERVE, Christophe et Philippe, séduisait déjà plus d’un millier d’utilisateurs en France. Pour la plupart des consultants, dirigeants et responsables de projets. L’outil connaît même une dimension à l’international très attrayante, y compris aux Etats-Unis. Localisée en Bretagne, mais aussi en Bourgogne Franche-Comté et en Ile de France, ADVANSEEZ a noué des liens depuis deux ans avec la société coopérative de production de Sens, CHEVILLON Imprimeur, en apportant sa méthode conceptuelle d’aide à la prise de décision…

SENS : Seuls 44 % des utilisateurs au sein de l’entreprise trouvent les fichiers internes qu’ils recherchent. Quant aux managers, ils passent environ deux heures quotidiennes à collecter de l’information dont ils n’ont pas besoin à 50 %. Convaincus que les dirigeants, managers et consultants pourraient passer davantage de temps avec leurs équipes et leurs clients s’ils disposaient d’un outil simple, les frères Christophe et Philippe HERVE ont imaginé en 2012 une application collaborative simple, pratique et intuitive de planification stratégique et de gestion de projets en mode plan d’action. Quelques mois plus tard, ADVANSEEZ voyait le jour…

Application collaborative de management par les objectifs, le système préconisé par cette start-up permet à des dirigeants et leurs équipes de co-construire leurs objectifs. Avant de partager le pilotage de leurs plans d'actions.

Ils peuvent ainsi définir ensemble leurs priorités sur les sujets stratégiques de l'entreprise et les piloter. Grâce à ce procédé, le dirigeant s'appuie sur l'intelligence collective tout en la mettant en valeur. Il agit ainsi sur le niveau d'engagement de son équipe par l'implication de ses membres, dans une démarche de management collaboratif.

Un logiciel qui accompagne toutes les étapes décisionnelles…

Dans l’absolu, ce logiciel est accessible depuis un navigateur Internet. Proposé en français et en anglais, il ne requiert pas de besoin de téléchargement ou d’installation sur un ordinateur. Il ne nécessite, en outre, aucun paramétrage. Son utilisation est simple et intuitive. Il s'adresse aux entreprises quel que soit leur taille et leurs activités.

Le concept se décline autour de deux modules complémentaires et indépendants. D’une part, structurer et partager les décisions grâce à la méthodologie éprouvée SWOT et d’autre part de construire, partager et piloter les plans d’actions.

« Qu’il s’agisse de construire l’analyse stratégique d’un business-plan, de déployer une stratégie digitale commerciale ou marketing, voire de concevoir la réponse à un appel d’offre, mais aussi de lancer des études d’opportunités, des cas de prospective et de concertation en interne, ADVANSEEZ s’adapte à toutes les situations pour gagner en efficacité dans la réalisation des projets, explique Philippe HERVE, l’un des fondateurs de la société éponyme avec son frère, Christophe, président-directeur-général de l’entité. Les utilisateurs se montrent unanimes dans leurs commentaires. Le temps consacré au pilotage diminue de 20 % quant au phénomène de la réunionite, il se divise par deux !

« Ce qui est plus important à retenir au niveau des statistiques, ajoute Philippe HERVE, c’est le taux de succès observé au niveau de la faisabilité des plans d’actions qui est en progression de 30 % ! Sachant aussi que le nombre de mails baisse d’autant… ».

ADVANSEEZ possèdent de très belles structures dans sa besace de clientèle. Des sociétés telles que le Crédit agricole de Bretagne, la SNCF, les laboratoires KLORANE ou encore Saint-Gobain se sont ajoutées aux utilisateurs de ce logiciel, proprement révolutionnaire.

Un système de management éprouvé dans le Sénonais…

Depuis 2016, ADVANSEEZ travaille sur le territoire de l’Yonne avec l'imprimerie CHEVILLON. Le dirigeant de la société coopérative de production, Damien FOULON, utilise le module d'analyse stratégique pour écrire sa stratégie et la partager avec ses collaborateurs. Les objectifs étant définis, le responsable de la PME de Sens a mis en œuvre un plan d'actions. Il le pilote depuis son ordinateur portable. En outre, le système ADVANSEEZ est aujourd’hui référencé « DATADOCKE ». C’est-à-dire qu’il est reconnu par les organismes de financement de la formation professionnelle. Les concepteurs de ce logiciel ont fait inscrire le parcours certifiant (le management collaboratif par les objectifs) à l'inventaire de la CNCP, la Commission nationale des certifications professionnelles. Il est même possible d'essayer gratuitement l'application depuis le site www.advanseez.com...


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Promis à un très bel avenir parmi les sphères huppées des milieux bancaires et de la finance, ce personnage atypique, ex-membre d’un Lions Club, a connu une existence des plus hasardeuses, vivant de terribles déboires personnels et professionnels. Des épreuves lourdes à supporter au-dessus de la tête d’un seul homme, peut-être tombées du ciel pour faire croître sa foi et optimiser ainsi sa rencontre avec Dieu. Généreux et altruiste, Jean-Paul ALLOU se définit également comme un homme de partage. Après son précédent ouvrage, « Tous les banquiers ne finissent pas en prison, moi c’était dans la rue », où il narre ses errances de néo-précaire livré à la rue, il a décidé de témoigner sur à un tout autre parcours du combattant qu’il a vécu : la perte d’un être cher, ravagé par la maladie. Son dernier opus se nomme « Cancer, de l’espoir à l’espérance… ». Il est publié dans la collection TOTUS aux éditions du JUBILE…Interview.

AUXERRE : « Nouvel opus avec la sortie de ce livre, « Cancer de l’espoir à l’espérance » qui nous éloigne du monde de la banque et de ces vicissitudes, puisque c’était le thème du précédent ouvrage. Pourquoi avoir choisi ce thème très intime cette fois-ci ?

Durant l'accompagnement de mon épouse, dans un service d'oncologie, j'ai tenu un journal ; une sorte de chronique d'une mort annoncée. Après la sortie   de « Tous les banquiers ne finissent pas  en prison... », je me suis dit que je devais poursuivre mon témoignage. Les aventures en elles-mêmes sont banales et arrivent, hélas, à beaucoup de monde. C'est ce qu'on fait des drames de la vie qui me semble le plus important. Le thème de l'accompagnement et de la mort doit sortir de l'intime pour être partagé : le témoignage peut parfois déculpabiliser mes contemporains de la peur de la mort, du sentiment de soulagement de la perte de celui ou celle qui souffre, de vouloir vivre dans la dignité d'une souffrance offerte et en refusant l'euthanasie…

« Je n’ai plus voulu me battre et j’ai sombré… »

Votre chemin de vie est à la fois bosselé mais aussi riche en expériences diverses vécues au gré d’un cheminement intellectuel profond. Comment analysez-vous votre existence à plus de 60 ans ?

« A 60 ans, on devient jeune. Le problème c'est que c'est trop tard ! » disait Picasso. C'est vrai, le cheminement intellectuel et spirituel enracine mon existence et  me  permet de plus en plus de poursuivre ma route avec paix et sérénité. La richesse de ma vie demeure dans mon cœur : c'est tous ceux que j'ai rencontré et qui m'ont tant apporté, les femmes et les hommes de bonne volonté comme mes ennemis. La vraie richesse est dans les rencontres. Je crois que les êtres et les événements sont comme on les voit...

Comment un spécialiste de la finance et des milieux bancaires peut-il être amené un jour à vivre dans la rue ?

A force de prêter à 10 % j'ai fini par prêter à rire ! Un jour, tout simplement j'ai décidé de baisser les bras. Face à l'adversité et au divorce que je ne souhaitais pas, je n'ai plus voulu me battre. Je ne devais cette situation qu'à moi et je n'en voulais à personne. Ma vie s'écroulait une nouvelle fois…

Que retenez-vous de cette descente aux enfers ? Y avez-vous puisé une force intérieure au fond de vous-même ?

Ma foi et ma culture contribuent à mon sauvetage. Ma foi, car elle me permet de maintenir un contact avec Dieu dans la prière et ma culture car elle m'autorise à  mettre les mots sur ma détresse. Je comprends progressivement ce qui se passe en moi et dans ma vie. Et puis, je me suis dit : quel est le sentiment le plus beau et le plus fort ? L'amour bien sûr ! L'amour peut-t-il faire souffrir ? Non, évidemment, c'est l’ego qui a mal ! Alors ? J'ai travaillé sur moi, appris à lâcher prise et à apprivoiser ma colère. Il m'a tout de même fallu deux ans dans la cellule d'un monastère pour prolonger ma résilience !

Une starisation éphémère grâce au relais des médias…

Le précédent livre, « Tous les banquiers ne finissent pas en prison, moi c’était dans la rue » vous a propulsé sous les projecteurs médiatiques. De quelle manière aborde-t-on ce passage de la pénombre au retour en grâce vers la lumière ?

Tout d'abord un immense merci à Delphine MARTIN, journaliste à France Bleu Auxerre. C'est son interview qui me sauve de la rue ! Un remake de « Boudu sauvé des ondes »… Je me suis préparé à ces courts instants où on peut croire que l'on est une vedette ! Cette période de médiatisation fut riche en émotions et en contacts avec des journalistes et des animateurs télé (je peux faire la différence). Après la rue, les spots, les maquilleuses, je me disais : reste toi-même, apprends à goûter l'instant présent. Cette longue suite d'instants très éphémères ! Après les émissions, mise à part les demandes en mariage, j'ai reçu de nombreux témoignages d'amitié, des demandes d'aides, des questions sur des problèmes financiers, des personnes en détresse qui demandaient une aide morale…

Sociologiquement, pourquoi lorsque l’on atteint la soixantaine le monde professionnel vous tourne le dos ?

J’ai pris la décision momentanément de tourner le dos au monde professionnel. Un court instant mais suffisamment pour que le monde du travail me considère. Je cite : trop expérimenté, trop diplômé, surqualifié, et cerise sur le gâteau, pas d'expérience dans le secteur. Là est le véritable mal. Après mon passage sur France Info, un fou génial me tend la main et me propose le poste de directeur de son bowling à Nancy. L'entretien d'embauche est exemplaire à plus d'un titre : quinze minutes pour la visite, dix pour la nature du travail (animation d'un lieu de loisirs, management d'une équipe de 35 salariés) et pour conclure (je cite le boss), « M'sieur ALLOU, en lisant votre CV, je suis impressionné par votre expérience et vos diplômes. Je me dis, ce gars-là est largement capable de gérer mon affaire, mais je n'en sais rien et vous non plus, alors vous commencez quand ? ». Avec un « pro » du recrutement, je n'avais aucune chance : aucune expérience dans le secteur du loisir alors que ce qui est demandé est conforme à mon expérience de manager et de gestionnaire. C'est juste la mise à l'épreuve que demandent les anciens qui veulent travailler ! De plus, c'était sans risque pour le recruteur !

Lors de votre période sous les ors de la société, vous étiez président d’un club service, un Lions. Avez-vous profité de la solidarité, voire de cette fraternité qui émane au sein de ces structures durant les moments délicats de votre vie ?

J'appartenais à deux associations connues pour leurs capacités d'entraide et de fraternité. C'est moi qui est fermé la porte à tout contact. Durant la médiatisation, beaucoup me l'on reproché à juste titre ! C'est ceux que je n'attendais pas, qui, croisant ma route, m'ont tendus une main généreuse. Je pense à des membres d'un autre club service les « KIWANIS », notamment à Auxerre et Nancy ! Ceux qui pouvaient faire quelque chose l'ont refusé : certains membres de ma famille, le curé du coin… Encore une fois, ni colère ni rancœur, je leur pardonne.

Votre parcours de vie est-il impacté par la malchance ou le mauvais sort qui s’acharne au-dessus de votre tête ou est-ce finalement un chemin initiatique qui vous a permis de grandir ?

J'aime assez l'idée du « chemin initiatique ». Chance, malchance qui peut le dire ? Il faut lire ou relire les « contes des Mille et une nuits ». Le fait d'avoir pu survivre à quelques épreuves majeures dans la vie d'un homme, je peux dire que j'ai eu la chance pour certains et la grâce pour d'autres, de vivre tout cela. On génère notre malheur par nos attachements : les personnes, les idées et biens matériels. Leur perte devient le combat entre soi et soi. Je l'ai mené mais avec l'aide de Dieu.

« Que ceux qui s’insurgent sur la crise migratoire commencent à prendre un malheureux chez eux…"

Que faites-vous lorsque vous croisez un malheureux dans la rue ?

Le plus souvent, je m'assois près de lui et je lui parle en le tutoyant amicalement. Je ne leur dit rien de mon passé : je veux que mes frères de galère me reconnaissent pour tel… Même quand on n'a pas d'argent, on peut toujours faire quelque chose : écouter, mettre en contact, parfois secouer la personne. Un jour, en plein hiver, je croise ainsi une jeune femme faisant la manche. On se parle, je prends son écriteau et commente : qu'est-ce qu'on en a à faire que tu prennes la monnaie et les tickets resto ! Tu ne prends pas la carte bleue ? Et elle de répondre du tac au tac : si mais uniquement avec le code. C'est ça qu'il faut que tu écrives ! C'est ainsi qu'elle fit sourire les passants en augmentant grandement le volume de ses collectes. J'ai pu également constater que les ingrédients qui mènent à la rue sont toujours les mêmes et ce, quel que soit l'âge, la condition sociale ou le niveau de culture. Ils ont pour origine : la rupture affective, la perte du travail, les portes des amis qui se ferment. Puis, on tourne le dos à tout le monde et on arrive sur le trottoir !

La crise migratoire fait régulièrement la une de l’actualité. A ce titre, l’Europe connaît une crise sans précédent sur ce sujet. Quelle attitude avoir vis-à-vis des migrants ? Comment solutionner ces flux qui désolidarisent l’opinion publique et accroissent les poussées de nationalisme ?

Cette situation provoque de la division en France et en Europe. Sans vouloir jouer les Cassandre, nous n'avons encore rien vu en matière de migrations. Je pense surtout aux migrations climatiques dans le monde, y compris en Europe ! Je suis certain que les catastrophes naturelles seront à l'origine des bouleversements sociologiques et de la faillite du système bancaire et financier de la planète… Les migrants sont des pauvres venus d'ailleurs et méritent une attention particulière, emprunte d'humanisme ou de charité dans le sens chrétien. Loin des « si j'étais au gouvernement, je ferais ceci ou cela… ». L'action individuelle reste la plus efficace. Il est plus simple de vouloir changer les autres que de se changer soi-même ! A l'échelon individuel, on peut tous agir en aidant la «veuve et l'orphelin» sans se demander «s'ils sont dignes et de bonnes meurs » ! Quant à ceux qui s'insurgent en clamant qu'il faut accueillir tout le monde, qu'ils commencent par prendre chez eux au moins une personne, le Vatican en premier…L'abbé Pierre disait : « chaque fois qu'il y a eu une guerre, on a trouvé la monnaie pour produire des armes, alors considérons que nous sommes en guerre contre la pauvreté et la détresse ! ».

Ce nouveau livre apporte un angle nouveau sur votre personnalité : cette résilience qui vous permet de tenir. Comment peut-on survivre au départ d’un être aimé ?

Sans la foi je n'y serais pas arrivé tout seul. Le contexte m'a permis de réagir vite. Mes enfants encore jeunes, mon métier et surtout les volets d'animateur de stages et de maître de conférences m'ont permis de ne pas me regarder le nombril. J'ai dû apprendre à « faire mon deuil » et à sortir de la culpabilité et de la victimisation. Le titre du livre porte des éléments de réponse : l'espoir, pour la part d'humanité que ce terme contient, on veut y croire. On y croit avec l'être aimé, puis face à l'inéluctable, l'Espérance est à prendre dans le sens chrétien : la résurrection. « Je crois en la résurrection de la chair », c'est le credo de Nicée que récitent tous les chrétiens à la messe.  Je prends le verbe « croire » dans sa double acception : je crois, j'affirme, je crois, je doute…« Il faut que la vie nous arrache le cœur, si non ce n'est pas la vie » dit Christian ROBIN.

Un triste fait divers, concernant une jeune femme qui n’a pas été prise au sérieux par une opératrice médicale au CHU de Strasbourg, a conduit à sa perte. Le monde médical est-il trop enfermé dans sa bulle et manque d’humanité selon vous ?

Les médecins que j'ai côtoyés en oncologie étaient concentrés sur la maladie et non sur le malade. La hiérarchie laisse le soin au personnel soignant de s'occuper de la famille. Les centres de soins palliatifs avec des précurseurs  comme Kubler ROSS, le Docteur ABIVEN ou Marie de HENZEL ont fait découvrir que la maladie est l'affaire de tous : le malade en premier, la famille et tout l'entourage, les médecins et tout le personnel soignant. Je crois que les restrictions budgétaires dans les hôpitaux comme ailleurs, contribuent grandement à la déshumanisation de toute l'économie de services, publiques et privés.

« Tomber est permis, se relever est ordonné… »

Perdre son épouse est une immense catastrophe comme pour chaque être cher qui s’en va. Ce livre représente-t-il un exutoire qu’il fallait écrire ?

Au départ, c'est un journal que j'écris et on peut parler d'exutoire. Le désir de témoigner, c'est autre chose. Pouvoir dire comment je suis sorti des catastrophes de ma vie et la volonté de transmettre quelques « outils » s'imposait naturellement. Je suis doublement prudent : prudent dans la transmission car si j'en crois « l'Ecclésiaste », il est vain de vouloir transmettre quoique ce soit. Tout passe dans le vent sauf l'amour, et prudent par rapport à « l'écriture thérapie ». La thérapie doit contribuer à guérir. Or, si mon système de pensée, donc d'écriture, est négatif,  je risque de m’entraîner tout seul vers le bas et la déprime. Il faut des clefs qu'on ne possède pas naturellement. 

Dans la préface de l’ouvrage, vous citez un proverbe russe : « tomber est permis, se relever est ordonné… ». Qu’est-ce que cela vous inspire réellement ?

« Tomber » c'est humain et naturel, se relever est un combat. Je le relie au discours des béatitudes du Christ. Socrate soulignait en son temps le paradoxe suivant : si la recherche du bonheur est commune à tout homme,  les moyens pour y parvenir n'ont rien de naturel. Il présente le bonheur comme un combat spirituel. Le Christ, dans son discours, propose le bonheur dans les conditions les pires de l'existence, c'est toute l'itération des « bienheureux les pauvres », bienheureux les affligés »…La quintessence du paradoxe esquissée par Socrate. Mais attention, pour y arriver, il faut l'aide de Dieu… Finalement, la quête du bonheur, c'est sans doute du bonheur...

Vous vous êtes demandé un jour pourquoi vous avez vécu l’ensemble de ces drames successifs (chômage, misère, deuil…). Et puis, il y a cette révélation divine : la force de Dieu. Expliquez-nous ?

J'ai fait quelques années de théologie et je suis tombé en admiration pour le récit de Job (« Le Livre de Job » dans l'ancien Testament). Ici encore, il n'y avait pas de hasard. Je crois qu'il existe une certaine pédagogie de Dieu pour nous faire comprendre ce que l'on doit comprendre. Pour que je perde le plus important, c'est à dire l'idée que j'avais de Dieu, que je ne cherche plus à l'instrumentaliser, la belle idée que j'avais de moi, les idées plus génériques sur la foi, la religion, la politique… il fallait que je perde d'abord tout ce que je croyais être l'essentiel : l'être cher, les souvenirs, les biens matériels...Au cours de mes deux années chez les moines, j'ai pu dire comme Job : « Dieu donne, Dieu reprend, loué soit Dieu » et surtout : « avant je ne te connaissais que par ouïe dire, maintenant je sais que je t'ai vu »… 

Qu’elle est la place du Créateur dans votre existence aujourd’hui, vous qui fréquentez abondamment les monastères ?

Je poursuis ma quête du bonheur, avec Dieu : je prie tout simplement. Le fruit de la prière, c'est la foi. Je le répète sans cesse à tous ceux qui veulent croire : priez ! Même et surtout si c'est pour dire qu'on n'est pas d'accord, qu'on est révolté contre la situation, contre Lui… Au sein de l’Église, après avoir été formé à faire du catéchisme, préparer les couples au mariage, au baptême, à l'animation liturgique, à la célébration des funérailles, je n'avais jamais été enfant de chœur. Je comble ce manque et je suis « servant de messe » à l'abbaye du Thoronet ! Le prêtre qui me forme est très patient  avec son « Gaston Lagaffe » de thuriféraire : enfumage de la sacristie, pas de fumée, trop d'encens… Pas assez ou trop de vin dans le calice, pas assez d’hosties, oubli de l'eau dans la burette, serviettes non appropriées, erreur dans les textes du jour ou dans ceux de la liturgie eucharistique… Bref, si cela ressemble à un chemin de croix, je contribue largement à la sanctification de mon curé !

Pourtant, Dieu possède aussi ses faces sombres : cela ne vous gêne pas ?

Je ne vois pas à quoi vous pensez. La vie du Christ n'est que lumière, c'est la seule religion monothéiste qui donne la première place à la femme : Marie la mère du Christ et même Marie-Madeleine priment sur les apôtres. Ce que les hommes font de tout cela, c'est autre chose ! Je suis très « réac » face aux dogmes de l’Église. Dieu, dès la création a fait de moi un homme libre. Alors je prends des libertés avec cette liberté offerte ! Maintenant, si vous faites allusion à l'Inquisition, aux croisades, aux procès d'animaux et leur cortège d'instructions, de jugements et d'exécutions des pauvres bêtes (En 1789, les révolutionnaires avaient tout de même guillotiné un perroquet qui criait « vive le roi ») : vous commettez un crime de lèse culture. On n'a pas le droit de juger l'histoire à l'aulne de ce que l'on sait aujourd'hui, en omettant volontairement d'occulter le contexte de chaque histoire. J'ai lu la Bible et les quelques 350 pages des évangiles canoniques. Je me suis risqué aux 70 volumes de la « Somme » de Saint-Thomas d'Aquin et lorsque j'ai découvert que les commentaires de ladite « Somme » représentaient plus de vingt mille titres, je suis revenu aux quelques centaines de pages des Évangiles. 615 commandements constituent des prescriptions pour le quotidien des Juifs pratiquants, des centaines de Sourates doivent être rigoureusement suivies par les Musulmans ; pour les chrétiens c'est simple, la volonté de Dieu signifiée se résume à Dix commandements (ceux de Moïse) auxquels le Christ en rajoute un : « Aimez-vous les uns les autres » et pour le reste ?  Débrouillez-vous. Vu sous cet angle, la liberté peut être difficile à vivre...

« J’ai plusieurs projets en préparation dont une histoire mondiale de la banque… »

Dans la préface qu’il vous accordée, Monseigneur Dominique REY évoque « l’humanisme exclusif qui peut se révéler être un humanisme inhumain ». Qu’en pensez-vous ?

J'ai croisé la route de Monseigneur REY grâce au journaliste Olivier DELACROIX. Il avait réalisé un reportage sur mon histoire dans la rue (« Dans les yeux d'Olivier » sur France 2). J'en profite pour dire qu'un reportage sur ma vie aujourd'hui sera diffusé en septembre prochain (toujours dans les « Yeux d'Olivier »). Dominique REY évoque « l'humanisme inhumain » dans le cadre d'une citation du Père Henri de Lubac. De Lubac fut un grand théologien Jésuite (devenu cardinal après avoir été mis à l'index par Rome). Il combat, dans son œuvre majeur « Le drame de l'humanisme athée », Nietzsche, Feuerbach et Marx. L'humanisme pour l'humanisme, au nom d'une idée humaine, d'un dogme ou d'un rite pour le rite peut devenir inhumain s'il n'y a pas d'amour. Ce qui est mis en avant par Monseigneur REY,  c'est juste l'amour du prochain…

Publié aux Editions du Jubilé, ce livre entraînera-t-il de votre part un cycle de témoignages à distiller auprès des publics en souffrance mais aussi vers les biens portants ?

Oui, je travaille sur des cycles de conférences destinés à des publics en souffrance et en recherche mais aussi pour tous les insatisfaits de la vie. Des rencontres pour partager et apprendre des autres. Je travaille également sur des conférences-débats organisées avec des mutuelles de santé en associant des médecins, des personnels soignants, des associations, sur des thèmes comme : l'euthanasie, l'accompagnement des mourants, faut-il tout dire au malade, à la famille ? ...

Le prochain livre témoignage est entre les mains du comité de lecture d'une maison d'édition  (Les Editions du Jubilé), il traitera de mon expérience vécue durant deux années chez les moines !

Sur quel registre travaillez-vous aujourd’hui parmi vos projets ?

Le mois prochain sortira mon sixième recueil de poésies « Salauds d'pauvres ». Il s'agit de poèmes que j'ai écrits quand j'étais dans la rue. En cours d'achèvement de l'illustration, un livre co-écrit avec Françoise COLAS, « Animalement vôtre ». C’est un recueil humoristique de proverbes et citations à caractère animalier. Un ouvrage qui me tient particulièrement à cœur sera consacré à une histoire de la banque et cela représente plus d'un an de travail ! De 3500 avant J.C. (création de la première banque) à nos jours, cela mérite une attention particulière. Enfin, je profite de cet entretien pour lancer par votre intermédiaire, une bouteille à la mer : ce livre que je souhaite écrire nécessite une rencontre avec la responsable de l'UNESCO, Audrey AZOULAY. Cela fait plus de vingt ans que je souhaite rencontrer un responsable de l'Unesco...Si l'un de vos lecteurs peut intercéder en ce sens...

Selon vous, peut-on avoir été dans une existence et être de nouveau ?

Ce que l'on a été est mort. Pour ce que l'on deviendra, je ne suis pas devin… Alors, oui on est un homme nouveau chaque fois que l'on se remet en question,  dans ses idées ou ses jugements, son mode de vie et ses habitudes. Le chrétien est un homme nouveau chaque fois qu'il reçoit le sacrement de réconciliation (la confession), après un temps « d'adoration du Saint-Sacrement », après l'écoute de l’Évangile ou après l'eucharistie lors de la messe. C'est juste vivre l'instant présent. Être un homme nouveau, instant après instant…

Enfin, je suis tenté par cet ultime conseil donné par Voltaire : « Si vous vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le c'est qu'il y a de l'argent à prendre ! ».


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