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Faire de la Bourgogne Franche-Comté, la première région de France à se positionner comme un leader mondial dans la conception industrielle du livre papier conçu sur mesure grâce à l’apport de la robotique représente l’objectif numéro un de la société coopérative de production nivernaise. Mais pour se faire, une levée de fonds de 2 millions d’euros est indispensable à l’essor de ce concept peu ordinaire. Si l’Elysée, via sa cellule « néo-médias », suit avec intérêt l’évolution de ce dossier, c’est surtout la Région qui entend prendre la main à propos de sa méthodologie économique et de ses financements. Marie-Guite DUFAY s’y est engagée lors de sa récente découverte du site…

CLAMECY (Nièvre) : Bluffée la présidente de la Région qui a pourtant l’habitude de s’immerger au cœur des processus industriels lors de ses visites à travers les huit territoires dont elle a la gestion ? Visiblement, oui. Elle le confirme en aparté : « c’est incroyable, je n’ai jamais vu cela ! Quel projet ! ».

Toutefois, rien à voir avec de la science-fiction. Ni de la pure utopie métaphysique !

Mais, il est vrai que la petite délégation institutionnelle qui a eu l’opportunité de découvrir les arcanes de cette société d’impression est restée admirative à l’issue de cette plongée de plus de deux heures dans le monde futuriste de l’édition de demain.

Produire de manière instantanée depuis une librairie, chez un buraliste, voire dans des écoles ou des universités, des livres sur support papier à la demande d’un lecteur ou client à l’aide d’un robot numérisé qui travaille comme un bras humain articulé possède quelque chose d’irréel en soi.

Certes, ce fameux spécimen, le robot baptisé astucieusement « Gutenberg One » (référence au célèbre père de l’imprimerie, cela ne s’invente pas !) n’était pas physiquement présent lors de cette visite à caractère officiel.

Ce jour-là, le précieux objet de toutes les convoitises, y compris celles des Américains et sans aucun doute des Chinois, bénéficiait d’une ultime appréciation technique chez son fabricant originel, la société alsacienne R&D TECHNOLOGIE à Saverne.

Mais, une chose est sûre : le robot qui devrait révolutionner le monde de l’édition et par excroissance celui du livre sera bel et bien visible le 27 septembre prochain lors d’un salon à Nevers. En attendant, le projet piloté par le directeur général de LABALLERY, Hubert PEDURAND, a pu être détaillé en long, en large et en travers afin qu’il soit perceptible pour chacun des interlocuteurs présents, avides d’en savoir davantage sur cette idée de génie. Pouvant à terme si elle était menée jusqu’au bout changer la face de la Nièvre mais aussi par effet gigogne de la Bourgogne Franche-Comté au niveau de l’emploi et de l’industrialisation.

 

La guerre est déclarée face à AMAZON…

 

Sur un segment de l’activité en pleine déconfiture depuis des lustres, l’initiative est porteuse de réelles espérances. 1 654 sociétés d’impression ont fermé leurs portes en l’espace d’une décennie en France, générant une perte d’emplois équivalente à 35 % ! Or, avec la solution technologique préconisée par Hubert PEDURAND, qui a d’ailleurs déposé le brevet mondial à l’INPI, il serait possible à brève échéance de pouvoir construire une quinzaine de ces fameux robots pouvant concevoir une vingtaine de livres à l’heure. Et de lutter plus efficacement contre l’hégémonisme de la méga plateforme AMAZON.

Le directeur général n’a pas manqué de le mentionner durant sa présentation : « Aucune imprimerie au monde ne peut rivaliser avec un tel processus. Mais, il faut le rendre accessible à tous au plus vite possible car la course est déclenchée avec les Américains et les Chinois… ».

 

 

Pragmatiquement, et en cas d’une levée de fonds immédiate pour financer le déroule du programme, la Bourgogne Franche-Comté pourrait se voir dotée de quinze robots. Cela dans un premier temps. 222 autres engins seraient ensuite dispatchés sur l’ensemble de l’Hexagone pour équiper libraires et buralistes. Ceux qui sont installés dans les agglomérations bénéficiant du programme de développement Cœur de Ville. Bref, les distributeurs de la filière.

Car, c’est sur ce maillage précis de la distribution de proximité que souhaitent s’appuyer les dirigeants de la structure pour étayer leur projet.

« Dans l’absolu, n’importe qui pourrait passer dans une librairie pour y faire éditer un livre personnel –on va peut-être découvrir de nouveaux talents littéraires et pourquoi pas la relève de Saint-Exupéry ! – ou se faire publier un livre dont les stocks seraient épuisés… ».

 

 

Solliciter des subventions ou requérir au leasing pour convaincre les libraires…

 

Côté estimation financière, cent mille euros seraient alors nécessaires au libraire pour se doter de la prodigieuse technologie. Le leasing, voire d’autres moyens qui prendraient la forme de subventions aideraient à se munir de l’incontournable appareil.

In fine, la France pourrait devenir avec l’essor de ce procédé révolutionnaire la première puissance mondiale à pratiquer l’auto édition. Mieux, vu sous un prisme local, la Bourgogne Franche-Comté officierait en qualité d’antichambre de la révolution numérique autour du livre papier ! Proposant une solide alternative industrielle originale qui posséderait un modèle économique bien à lui.

L’Etat s’est dit intéressé à soutenir l’initiative et à l’aider à se développer. Aujourd’hui, une enveloppe budgétaire globale de 4,2 M d’euros est vitale pour que le procédé puisse voir le jour de façon pérenne. Notamment, les deux premiers millions d’euros en vue de l’installation sur le site de LABALLERY de ces quinze robots à la mission de vérité.

Cinq années de recherche et développement ont servi à concevoir le bras articulé « Gutenberg One ». Celui-ci imprime la couverture et le corpus de l’ouvrage. L’appendice a été éduqué aux gestes des techniciens d’un atelier d’impression. Puis, l’assemblage de l’ensemble ne peut être réalisé sans l’objet même de la dépose du brevet : c’est-à-dire la phase d’encollage de tous les éléments. Créant ainsi la première imprimante 3D munie de colle au monde !

« Il nous aura fallu cinq ans pour arriver à ce résultat, concède Hubert PEDURAND, quand on sait que dix minutes suffisent pour fabriquer un livre de 400 pages grâce à ce système ! ».

 

 

Le Canada et les Antilles se disent prêts à acheter le matériel

 

A terme, l’efficience de ce marché pourrait s’appuyer sur près de cent mille robots en activité. Parmi les projets, créer une manufacture dans la Nièvre (à Clamecy par exemple) ce qui satisferait l’élue locale, Claudine BOISORIEUX, sur le volet de la plus-value apportée à l’emploi n’est pas exclu.

Soutenu par BPI Bourgogne, aidé par la Région, le concept technologique « Gutenberg One » sera-t-il le procédé révolutionnaire qui marquera de son empreinte le monde de l’édition du XXIème siècle ?  

L’avenir devrait le préciser d’ici peu. Marie-Guite DUFAY réunira tous les acteurs du développement industriel en octobre prochain à Dijon pour analyser les potentialités de financements et d’aides existantes.

Une chose s’avère déjà très probante : l’international se  passionne par cette curieuse trouvaille. Le Canada se dit très intéressé pour acheter ces futurs robots. Quant aux deux territoires des Antilles, la Guadeloupe et la Martinique en tête, ils sont dans les starting-blocks pour acquérir une centaine de robots dès l’automne 2020. Soit un équivalent de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires qui s’amoncelleraient dans la besace de LABALLERY. Sachant que 65 % des investisseurs convaincus par la pertinence du concept sont des insulaires…

 

 


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L’un des élus de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Pascal MINET, l’a confirmé publiquement : les résultats enregistrés à l’export par l’économie icaunaise vers le continent asiatique progressent davantage cette année…

SENS : Déjà, ce mouvement haussier avait été constaté au terme de l’exercice antérieur. En particulier durant le quatrième trimestre 2018. L’augmentation des échanges commerciaux vers l’ensemble des destinations internationales s’était appréciée à hauteur de 14 %.

Mais, depuis, les exportations, et tout spécifiquement vers l’Asie, ne cessent de croître, provoquant le satisfecit de l’élu de la chambre consulaire, Pascal MINET.

L’expédition de produits icaunais vers les pays du Sud-Est asiatique équivaut à 32 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés. La moitié de ces échanges sont par ailleurs imputables à l’agriculture, notamment les orges de brasserie produites par la coopérative YCAUNAE.

Elles permettent de concevoir le malt, matière indispensable à la fabrication du breuvage national dans la plupart des pays de la région, la bière.

La sylviculture dont les essences en bois sont très recherchées en Extrême-Orient représente aussi une valeur sûre à l’international pour notre territoire. Le développement de la nouvelle ligne conteneurisée, entre la zone portuaire de GRON et le port de la capitale économique du Vietnam, Ho Chi Minh, inaugurée par LOGI YONNE  et sa filiale asiatique, LOGI VIETFRANCE, ce jeudi 12 septembre, devrait à très court terme booster ces chiffres vers les sommets au vu des perspectives conjoncturelles.

Jusque-là déficitaires vers l’Asie, les velléités à l’international de l’économie icaunaise pourrait inverser très vite la tendance.

 


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Deux membres Icaunais de la formation centriste de l’Union des démocrates et des indépendants (UDI) viennent de recevoir leur précieux sésame qui leur permettra de se propulser dans le jeu électoral des municipales 2020 : l’Auxerrois Sébastien DOLOZILEK et le Sénonais Amine HIRIDJEE.

PARIS : L’information est tombée en fin de journée mardi soir. Elle émanait du Comité national d’investiture du parti centriste de l’UDI, dirigé par le député de la cinquième circonscription de Seine-Saint-Denis, Jean-Christophe LAGARDE.

Deux chefs de file ont été officiellement désignés pour porter haut les couleurs de la formation centriste dans deux des villes les plus importantes de notre territoire, Auxerre et Sens.

Dans la capitale de l’Yonne, l’UDI a choisi comme porte-étendard Sébastien DOLOZILEK. Une figure connue dans le microcosme auxerrois. L’UDI apporte son soutien au candidat déjà déclaré depuis plusieurs mois, le maire de Saint-Georges-sur-Baulche, Crescent MARAULT.

Rappelons que ce dernier a été également adoubé par le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, actuellement en campagne pour l’élection de la présidence des Républicains, dont le verdict sera connu courant octobre.

 

 

« Personne ne peut se prévaloir d’avoir été choisi en haut lieu si ce n’est les deux candidats… »

 

Quant à la ville la plus septentrionale du département, elle verra en Amine HARADJEE le représentant officiel du parti des démocrates et des indépendants.

Ce dernier devra sans doute se rapprocher de l’édile actuel, la Républicaine Marie-Louise FORT, pour en connaître davantage sur son destin politique immédiat. A ce jour, la présidente de la Communauté du Grand-Sénonais n’a pas encore entériné sa décision…

Seules les villes d’Auxerre et de Sens ont bénéficié de ces investitures nationales. Dans les autres localités de l’Yonne, c’est au Comité départemental des investitures qu’il incombera de choisir les candidats idoines pour représenter l’UDI dans ce scrutin.

Quant au porte-parole du mouvement centriste dans l’Yonne, Kevin LEGENDRE-BONIFACE, il a par ailleurs précisé « qu’hormis les deux candidats désignés par les instances nationales, personne ne pouvait se prévaloir d’avoir été choisi par le parti démocrate et indépendant… ». Comprenne qui pourra !

 

 

 

 

 

 


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Exit le terme « santé » ! Place à un patronyme raccourci étalé sur deux mots. Ce qui confère punch et dynamisme à l’ensemble. Les cellules grises des spécialistes de l’agence de communication helvète ayant travaillé sur ce dossier ont tourné à plein régime durant plusieurs semaines. Mais, le résultat est là ! Objectif : présenter une communication plus en phase avec la volonté de modernisme, d’innovation et de rajeunissement que souhaite désormais propager à travers le réseau national, le dirigeant fondateur de l’entité, Régis NAULIN…

NITRY : Un coloris dans l’air du temps. Un nom de société qui ne s’étend plus dorénavant sur trop de longueur parfois fortuite. De plus, la plupart des usagers de l’enseigne, clients comme fournisseurs, utilisaient déjà l’acronyme, CVS, pour faire référence à la structure. Cap Vital Santé devient en termes d’image, Cap Vital. Tout simplement…

Un léger raccourci, certes presque anodin, mais qui a son importance au demeurant stratégique. Petit à petit, l’ensemble de ce réseau national, l’un des leaders de la distribution de matériel médical et orthopédique, devra se mettre en harmonie. Se conformant ainsi aux nouvelles règles du jeu qui avaient été présentées avant l’été lors de la convention nationale accueillie sur le territoire icaunais.

Cap Vital s’impose une salvatrice cure de jouvence dans ses moyens d’identification. Réussie ! Le logo gagne en modernité. Le choix des couleurs harmonieuses évoque l’univers de la santé dans lequel évolue cette entreprise dont la centrale d’achat névralgique est opérationnelle dans l’Yonne depuis plus de vingt ans.

 

 

Une collaboration avec une agence suisse qui va se poursuivre…

 

Le réseau de revente de produits de santé a fait appel aux services d’une agence de communication localisée en Suisse, à Genève, une structure ayant fait ses preuves auprès des plus grands (DEVRED, GEDIMAT…). Celle-ci devrait accompagner l’entreprise française durant plusieurs années.

« Il s’agissait de « cap vitaliser » notre communication, explique Régis NAULIN, dirigeant de l’entreprise aux plus de deux cents vitrines commerciales réparties sur l’Hexagone, il nous fallait du rythme, de la dynamique dans notre logotype et l’image que nous véhiculons autour de nous… ».

D’autres additifs de communication devraient être revus également. Le catalogue, fort d’une quarantaine de pages, illustrant le savoir-faire de l’enseigne distributrice auprès des professionnels et des particuliers, constitue une étape incontournable de l’homogénéisation de la communication.

Il en sera de même pour le plan média, à construire, ainsi que le site Internet, dont la nouvelle configuration devrait voir le jour avant la fin de l’année.

 


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Ergonomique, confortable, moderne grâce à des équipements technologiques de dernier cri, la première pépinière d’entreprises de l’Yonne, pourvue du label « Peps’ in » la qualifiant « à haut niveau de service », est désormais 100 % opérationnelle. Occupant le rez-de-chaussée et le premier étage du Sémaphore, bâtiment devenu le point névralgique de l’économie tonnerroise, ce lieu d’accueil des entreprises en devenir est situé à deux pas de la gare ferroviaire. Un atout pour son rayonnement. Cofinancés par l’Etat, la Région et la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne (CCLTB), ses travaux d’aménagement auront coûté près de 500 000 euros…

TONNERRE : La Bourgogne Franche-Comté ne recensait jusque-là que sept pépinières d’entreprises bénéficiant des caractéristiques qualitatives optimales au niveau de ses prestations et services. Depuis hier, lundi 09 septembre, il est judicieux de pratiquer une addition en y ajoutant celle de Tonnerre.

Car, le fameux label, « Peps’ in », qui lui est dorénavant attribué, se mérite et ne se distribue pas à tour de bras sur le territoire. Pour prétendre à ce précieux sésame à l’estampille de la Région, tout doit être mis en œuvre dans la configuration des lieux pour favoriser l’accueil et le travail des entrepreneurs. Qu’ils soient nomades ou sédentaires, ils profitent tous de critères frisant l’excellence.

Expliquer ce label d’animation et d’accompagnement des porteurs de projets dans leur quotidien correspond plus à un sacerdoce éthique qu’à une simple résultante bassement matérielle.

Dès la première visite de ce site, flambant neuf – les travaux ont eu une durée maximale d’un semestre et viennent à peine de s’achever -, on sent que l’entrepreneur est roi en ce royaume des affaires et du business !

Faisant fi des tabous coutumiers autour de l’entrepreneuriat, ici on ne se cache pas pour l’affirmer : la pépinière de Tonnerre ne répond qu’à un seul et unique objectif, apporter de la croissance et du développement à ses utilisateurs occupants.

Les cinq cents mètres carrés de surface (salle de réunion, espace détente, bureaux administratifs dont celui de la responsable, Hélène COUASSE, bureaux partagés, espace de co-working, salle de jeu avec la présence symbolique d’un baby-foot…) respirent le dynamisme et l’envie de progresser.

 

 

Le must au niveau des équipements et de la technologie…

 

Doté d’une vingtaine d’ordinateurs portables, muni de toutes les techniques nécessaires à l’épanouissement des professionnels, le site peut accueillir en permanence une trentaine de sociétés. Certaines opteront pour le choix des bureaux partagés (coût de la location mensuelle : 110 euros). D’autres intègreront ces murs en qualité de sédentaires pur jus ; leur contribution budgétaire tutoiera les trois cents euros par mois. Mais, celles de ces jeunes start-up qui posséderaient des velléités à démarrer au plus tôt leurs activités pourront se rabattre sur l’espace de travail ouvert, dit de co-working.

Là, pour une modeste participation de cent euros par mois (ce qui ne devrait pas trop grever les budgets de ces jeunes pousses prometteuses), se présentera la possibilité de disposer de cet endroit de manière illimitée. L’open-space facilitera les contacts entre travailleurs nomades et travailleurs indépendants.

Si la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne est propriétaire du site, c’est au Centre de développement du Tonnerrois (CDT) qui incombe d’en assurer la promotion et la gestion. Rappelons que cet organe n’est autre qu’une émanation physique de la Chambre de commerce et d’industrie et de la Chambre de métiers et de l’artisanat sur la zone orientale de l’Yonne.

Cette dualité parfaite a d’ailleurs fait l’objet d’une convention de partenariat entre les deux parties, un accord ratifié par Anne JERUSALEM, présidente de la CCLTB, son vice-président en charge des affaires économiques, Régis LHOMME et Alain LAPLAUD, président du CDT.

 

 

Un rayonnement étendu aux zones limitrophes du Tonnerrois…

 

Du fait de sa position stratégique et de son emplacement privilégié à proximité de la gare SNCF, la nouvelle pépinière labellisée rayonnera bien au-delà du Tonnerrois pour se faire connaître et reconnaître.

Les entreprises de l’Aube, de la Côte d’Or, du reste de l’Yonne mais également de Paris – Tonnerre est implantée à moins de deux heures de la capitale de l’Hexagone – seront fléchées par les équipes du CDT.

L’inauguration officielle, lundi en fin d’après-midi (voir article correspondant), aura permis à la présidente de la CCLTB, Anne JERUSALEM, de dévoiler les enjeux et orientations de ce concept novateur. Purent s’exprimer à sa suite, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN ou la nouvelle sous-préfète du secteur, Cécile RACKETTE. Avec le même enthousiasme et en parfaite osmose sur les sens prioritaires donnés à ce nouvel établissement au service de l’essor économique du Tonnerrois…

 

 

 

 


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