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Le délégué de Bourgogne Franche-Comté de la vénérable institution de défense nationale du patrimoine ne tarit pas d’éloges sur les valeurs architecturales du château de MAULNES. Unique au monde du fait de sa configuration insolite, sa rénovation a été sélectionnée dans le cadre de la Mission Stéphane BERN dont l’objectif est d’inventorier et de sauvegarder des éléments de patrimoine en péril implantés aux quatre coins de l’Hexagone… 

AUXERRE : Chaque année, la Fondation du Patrimoine sauve plus de deux mille monuments historiques et culturels en apportant un précieux soutien à leur réhabilitation. Qu’il s’agisse d’édifices religieux, de théâtres, de moulins, de musées, l’organisme reconnu d’intérêt public porte des projets de rénovation en apportant les garanties nécessaires en termes de sécurité et une transparence financière saluée par la Cour des Comptes.

Que le délégué régional de Bourgogne Franche-Comté soit présent lors de la signature de la convention favorable à la restauration de l’emblématique construction datant de la Renaissance n’avait en soi rien d’incongru. Guy BEDEL devait expliquer les motivations premières de l’organisme qu’il représente aux médias présents à cette occasion.

« Sur le terrain, un solide réseau d’experts, composé de bénévoles et salariés accompagne les projets et œuvre au quotidien à la préservation de notre patrimoine et de nos paysages… ».

 

 

En marge de la signature de la convention de partenariat formalisée avec le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, Guy BEDEL rappela que la Fondation du Patrimoine concourrait au développement de l’économie locale et à la transmission des savoir-faire en étant présent le plus possible aux côtés de ces ambitieux projets.

« Le château de MAULNES se situe au-delà d’une simple architecture, devait-il ajouter, c’est aussi l’illustration parfaite d’un symbole de tolérance perpétré par l’homme au service de l’intelligence… ».

L’édifice en forme de pentagone offrit l’opportunité au représentant de la structure associative de pouvoir s’épancher quelque peu sur les caractéristiques du chiffre 5 (symbole des amoureux) et le nombre d’or, cette divine proportion dont les bâtisseurs d’œuvres monumentales de l’Antiquité s’inspirèrent à bon escient.

A la tête d’une équipe régionale composée de trente-deux bénévoles et trois salariés, Guy BEDEL évoqua aussi la rigueur financière de cette fondation entièrement tournée vers le territoire et ses habitants.

 


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Ouvert depuis le 19 décembre, l’espace de jeux de la zone industrielle des Vauguillettes a enregistré une fréquentation massive de jeunes visiteurs, accompagnés de leurs parents, au lendemain de Noël. Un succès qui démontre ainsi toute la pertinence du nouveau concept, porté par Romi TAILLANDIER….

SENS : Difficile de se faire une place sans jouer des coudes pour pénétrer à l’intérieur de ce nouveau « temple » qui est dédié à l’amusement et aux loisirs ! Le nouveau parc de jeux du Sénonais, encore en rodage sur le papier, ne l’est absolument pas au niveau de son affluence. Et ce, au lendemain de Noël.

Ca crie, ça bouge, ça gesticule, ça courre et ça exprime une joie incommensurable au gré des diverses aires propices à la pratique d’une activité ludique.

Plaine de jeux (toboggans, pont de singe, piscine à balles, tyrolienne…), ateliers escalade, à tester en individuel ou en équipe afin de relever l’un des treize challenges proposés ou secteur trampolines où se déclinent à satiété des parcours Ninja et autres réjouissances inspirées de jeux interactifs : le complexe au décor enluminé à la cause de Noël possède de quoi occuper toute une fratrie sur l’ensemble de la journée.

Sur près de 2 500 mètres carrés de surface, FUN SPACE devrait très vite s’imposer comme l’endroit idéal du nord de l’Yonne pour y vivre de belles aventures en famille, ou entre amis, au moment de la période des vacances. Mais, pas seulement.

Conçu sur le site de l’ancien parc YOUMBAO qui avait cessé ses activités en juin 2018 après sept années d’exploitation, le complexe joue la carte de la modularité des cibles.

Comme le stipule l’accroche publicitaire de ses dépliants remis à l’accueil : les multiples activités peuvent se pratiquer de 7 à 77 ans. Une formule qui identifiait, souvenons-en, le degré de lecture des fidèles aficionados du créatif dessinateur belge HERGE, père du reporter « Tintin » !

 

 

 

Attirer les entreprises et les voisins de l’Yonne…

 

Ici, point de bulles et de bandes dessinées (peut-être un peu d’effervescence dans les boissons rafraichissantes dont raffolent les enfants servies au resto/bar), mais de l’imaginaire à revendre pour ces jeunes gens qui cherchent à passer du bon temps. Même les bébés ont droit à leur espace évolutif, très apprécié de leurs mamans.

Dirigée par Romi TAILLANDIER, qui faute de ce succès populaire, n’aura guère eu le temps de nous expliquer dans les moindres détails les objectifs et perspectives de son entreprise en matière de développement (ce sera chose faite début janvier, c’est promis, une fois que le calme imposé par la reprise des activités scolaires sera revenu !).

Qu’importe : dans l’instant « t », la dirigeante d’entreprise a veillé à ce que tout se passe bien, dans le respect de l’éthique et de la sécurité, surtout par grande affluence comme ce fut précisément le cas ce 26 décembre.  

Le premier parc de loisirs indoor de l’Yonne devrait faire converger également des visiteurs des départements limitrophes, ceux du Loiret, de la Seine-et-Marne et de l’Aube.

Romi TAILLANDIER désire en parallèle son centre de loisirs novateur au monde de l’économie, en y accueillant des séminaires d’entreprise, voire des activités ludiques initiées par les comités ad hoc.

Un projet ambitieux que l’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens suivent avec beaucoup d’intérêt en matière d’attractivité…

 

Un article réalisé en partenariat avec l’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens…

 

 

 

 


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L’évènement se déroulera le 06 février en fin d’après-midi à la Maison de l’Entreprise à Auxerre. Une centaine de représentants de l’univers entrepreneurial et institutionnel y sont attendus. Leur présence servira de prétexte à la découverte d’une filière économique en expansion. Porté par la structure associative, « défiSON », ce rendez-vous se déclinera sous la forme d’un plateau conférence, assorti de multiples ateliers démonstratifs…

AUXERRE : Qualifiée de rencontre primordiale afin de mieux se familiariser avec les diverses composantes technologiques et industrielles proposées par la filière sonore, l’animation jouera à la fois la carte de la convivialité, de la surprise et de la pédagogie.

Un cocktail insolite qui fera de ce rendez-vous officiel, le premier de l’année 2020 pour ses instigateurs : les membres du réseau associatif « défiSON ». Il pourrait faire converger dans l’une des salles de réunion de la Maison de l’Entreprise, prévue à cet effet, une centaine de participants.

Qu’il s’agisse de prime abord d’adhérents de la structure mais aussi d’invités issus du sérail économique régional, cible idoine pour accueillir ces informations.

L’objectif de cette rencontre où se mêleront échanges, transmission de savoir et tests grandeur nature, sera de promouvoir les opportunités offertes par la filière sonore applicable à notre environnement. En priorité, celui de la sphère professionnelle via ses innombrables déclinaisons.

Pour l’heure, les moindres détails du programme définitif de cette soirée s’esquissent avec le charismatique porte-étendard de « défiSON », Serge GARCIA, à la baguette de chef d’orchestre.   

Ce dernier procèdera à un bilan d’étape sur l’évolution du concept et de ses projets au terme de l’exercice 2019. Un point d’actualité qui s’avère nécessaire pour mieux appréhender le devenir du collectif via, notamment, la constitution d’un pôle de référence, outil indispensable à l’essor de l’entité d’envergure hexagonale.

 

 

 

Présence de start-ups aux ambitieuses perspectives…

 

Plusieurs focus complèteront le tableau. Avec en guise de dénominateur commun : l’attractivité économique pouvant s’exercer sur un territoire. Ainsi, les organisateurs ont décidé d’étayer ce vaste panorama didactique autour de la filière sonore en conviant ce jour-là quelques belles pépites, devenues des références en la matière.

Ce devrait être le cas, en principe puisque les tractations sur sa présence sont toujours d’actualité à l’heure où se rédigent ses lignes, de la venue de Jean-François BAU, ingénieur du son et conférencier.

Spécialiste de l’écoute spatialisée, cet ingénieux créatif pourrait expliquer les dessous de l’une de ses géniales inventions favorisant une écoute auditive à 360 ° à l’aide d’un appareillage acoustique approprié. Proprement bluffant pour celles et ceux qui l’ont déjà testé !

Autre présence à ne point négliger : celle de William DULOT, jeune ingénieur de 23 ans qui exerce ses compétences à la Cité Nicéphore Niepce à Chalon-sur-Saône et qui défend un ambitieux programme (THEREMIX) véhiculé par une start-up déjà présente lors de l’opération « Sens Numérique » concoctée à l’automne 2019 avec le concours de l’Agglomération du Grand-Sénonais et de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Le garçon développe une application de réalité virtuelle destinée à la création et la performance musicale.

 

 

Quant à l’autre start-up régionale à suivre de près lors de ce futur rendez-vous, la bisontine « METABSORBER », elle serait aussi de la partie.

Ses deux concepteurs, ingénieurs en mécanique, Aliyasin EL AYOUCH et Youssef TEJDA, créent du mobilier acoustique, à partir de composantes diverses comme le bois, le métal ou les polymères, qui absorbe les  sons.

Aujourd’hui accueillis par l’Institut FEMTO-ST dont les travaux sont soutenus par le CNRS, les deux entrepreneurs réalisent des solutions anti-bruit afin de les développer sur les marchés de la mobilité, du bâtiment et du mobilier.

Un vrai potentiel empli d’opportunités pour ces jeunes gens qui ont pris conscience que la pollution sonore représentait chaque année en France un coût social évalué à 57 milliards d’euros !

Précisons que la start-up a reçu également le précieux soutien de BGE au moment de sa constitution.

 

 

 


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On l’oublie un peu, parfois, mais le CIFA de l’Yonne, centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage, propose des cursus mécaniques à celles et ceux de ses pensionnaires qui seraient tentés par la belle aventure des métiers de l’automobile. Or, au titre de symbole, l’établissement vient de se doter d’un nouvel emblème à la gloire de cette filière : un vieux tacot datant de 1930, entièrement rénové, une splendide ROSENGART…

AUXERRE : D’une belle teinte verte olive métallisée, l’automobile trône au centre du « Clic Store », l’espace virtuel ultra moderne du CIFA de l’Yonne. Quel étrange paradoxe que celui-ci où se côtoient dans la même exiguïté spatiale la technologie futuriste de la virtualisation de l’enseignement et le fleuron de la mécanique d’avant-guerre !

Un curieux mélange qui ne devrait être seulement que temporaire ; puisque la vocation première de ce véhicule sera d’être exposé d’ici peu en bonne posture sur l’espace verdoyant, prévu à cet effet. C’est-à-dire dans la grande cour intérieure de l’établissement là où le flux d’apprenants et d’enseignants se croise tout au long de la journée.

Y sont déjà disposés l’œuvre en fin alliage métallique qui évoque l’une des pièces maîtresses du sculpteur Alberto GIACOMETTI « L’Homme qui marche », chère à Marcel FONTBONNE, directeur du site pédagogique, et un flamboyant bovin d’un rouge écarlate qui rappelle par la suggestion de sa découpe en pointillé qu’une spécialisation bouchère existe au niveau de l’orientation.

 

 

 

D’ici le printemps, et après quelques substantiels aménagements, la ROSENGART trouvera alors sa place dans son petit carré de verdure. Visible de tous !

En provenance des Hautes-Alpes et transportée par poids lourd, même si le véhicule peut se mouvoir tout naturellement à vitesse certes très réduite, cette pièce de collection illustrera la scénographique visuelle autour des différentes filières enseignées en ces murs que la direction du CIFA souhaite mettre désormais en évidence.

 

 

Créer un point de fixation visuel à l’intérieur du CIFA…

 

D’autres contenus additifs devraient se rajouter au cours des prochains mois dans cet espace géographique qui ne peut que faire converger les regards des visiteurs.

Trois options d’enseignement sont ainsi déclinées au CIFA de l’Yonne, autour de l’automobile : l’apprentissage de la mécanique, la peinture et la carrosserie. L’idée d’installer un tacot de la Belle Epoque en miroir utile à la filière auto devrait séduire les partenaires du centre de formation : à commencer par le GFA, le Groupement français de l’automobile.

Pourvue d’un moteur quatre cylindres, la « Belle », une LR2, a été refaite à neuf par un collectionneur chevronné qui a choisi une sellerie en alcantara mais recouvert les surfaces internes des portières avec un tissu de la plus belle facture. Précisons que le bas de caisse et la calandre accueillent un noble matériau naturel : le bois.

Produite entre 1928 et 1955, ce concept français eut ses gloires et fit la renommée de son créateur, Lucien ROSENGART. Son slogan publicitaire était le suivant : « la grande marque des petites voitures ».

 

 


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Prétendre au label Villes et Villages Fleuris n’est pas une affaire à prendre à la légère pour les collectivités. Si son obtention traduit la volonté intrinsèque des communes lauréates à vouloir respecter l’environnement dans le souci d’améliorer la qualité de vie de leurs résidents, les retombées de la manne touristique ne sont pas négligeables. Celles et ceux qui se déplacent à travers l’Hexagone ne sont pas insensibles à ce symbole de qualité supplémentaire. Pas étonnant que 94 localités icaunaises aient eu envie de participer à ce concours cette année…

VERMENTON : Le palmarès départemental des Villes et Villages Fleuris a été dévoilé il y a déjà quelques semaines lors d’une cérémonie conviviale organisée dans l’une des salles de réception de l’Abbaye de REIGNY. Un site exceptionnel, hanté par la mémoire des moines qui y vécurent aux siècles précédents. Il a offert ce cadre idyllique et fonctionnel si appréciable au bon déroulement de ce raout populaire, toujours très suivi.

Au-delà des résultats (une liste abondante de récipiendaires qui salue l’opiniâtreté et la créativité de celles et ceux qui concourent à ce label), ce fleurissement, qu’il s’agisse de celui exercé par la collectivité ou celui des particuliers, voire des scolaires, suscite toujours autant d’enthousiasme de la part de ses fervents supporters.

Soixante ans après qu’il ait été porté sur les fonts baptismaux, ce concours élevé au rang national passionne les amoureux de la nature et de la pratique horticole. Et c’est tant mieux !

Nonobstant l’embellissement d’une localité, il y a désormais un réel attrait à concourir chaque année dans cette épreuve de savoir-faire à la pratique végétale et de bon sens afin d’y obtenir le précieux sésame.

Embellir le territoire de l’Yonne, c’est lui donner l’opportunité, au détour de l’amélioration d’un cadre de vie, d’accroître son attractivité touristique auprès des voyageurs venus en visite sur celui-ci.

 

 

Il y a 60 ans, l’Yonne ne présenta que trois dossiers !

 

Pour cette édition 2019, ce schéma tactique était nécessairement dans toutes les pensées. Quatre-vingts quatorze communes de l’Yonne avaient déposé un dossier de candidature. Elles eurent droit à la visite du jury officiel devant statuer durant la période estivale. Précisons que quatre nouvelles localités se lançaient pour la première fois dans ce challenge. En parallèle, plus de deux cents particuliers avaient également instruit des dossiers qui furent présentés aux membres du jury.

Un cru de bonne facture comme l’avait précisé la présidente de l’agence de développement touristique et relais territorial des offices du tourisme et des syndicats d’initiative, Yonne Tourisme Anne JERUSALEM. On est loin en effet du temps ancestral où notre département ne recensait la présence que de trois participants !

La vice-présidente du Conseil départemental en charge du tourisme salua l’importance de cet évènement.

« Une soirée de remise de prix est l’occasion de souligner l’implication et la mobilisation des municipalités et des Icaunais, au fil de toutes ces années, pour embellir notre territoire. Je tiens également à mettre à l’honneur les très belles réalisations des enfants et leurs professeurs, c’est-à-dire de cette douzaine d’écoles et de centres de loisirs qui ont concouru pour le prix des Jardins des écoles de l’Yonne… ».

Une distinction honorifique qui, pour la sixième année consécutive devait être décernée conjointement par l’association Romarin et l’agence de développement touristique de l’Yonne.

Un prix qui revêt de la plus grande importance pour les instigateurs de cet événement puisqu’il contribue à sensibiliser les plus jeunes à la préservation et l’amélioration de notre cadre de vie.

 

 


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