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Le 14 février, nous fêterons la Saint-Valentin ! Journée poétique, romantique, pleine de mots doux, de petits cadeaux et de fleurs. L’histoire des origines est contestable. Voire contestée. Pour certains, ses prémices datent de la Rome antique. Pour d’autres, la fête des amoureux est attestée en Grande-Bretagne au XIVème siècle ! A cette époque, on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour-là pour s’apparier ! Si on ne recense pas moins de huit Valentins devenus saints, avec différentes protections associées (guérisons de maladies, vaches, oignons, apiculture…), l’Eglise se concentre sur un prêtre mort le 14 février 270, fervent défenseur du mariage, qui deviendra le saint patron des amoureux.

TRIBUNE : Le XXème siècle consacrera la fête laïque avec son cortège de Cupidons en pendentif, de dîners aux chandelles, de champagne et de cadeaux. Il semble important d’ajouter que l’amour ne s’achète pas : il se célèbre, tout simplement !

« Je t’aime » : c’est universel et se décline dans toutes les langues. « Je t’aime » de A comme Albanais « Unë Të Dua » à Z comme Zoulou « Ngiyakuthanda »…Petit tour du monde des amoureux en fête !

Au Japon, la fête est propulsée entre 1936 et 1960 par les fabricants de chocolats. C’est ainsi que la coutume veut que lors de cette journée particulière, on s’offre des confiseries à base de cette onctueuse matière. Ce sont les femmes qui offrent des chocolats aux hommes. D’abord par obligation sociale (collègues de travail), le «giri-choco », puis les chocolats sont réservés à l’homme qui compte le plus. On appelle cela le «honmei-choco ». Notons aussi le « tomo-choco » destiné aux amis et enfin, le « jibun-choco », ceux que l’on s’offre à soi-même.

Un mois plus tard, le 14 mars, les hommes doivent acheter un cadeau à celles qui ont offert les fameux chocolats ! Ce jour est appelé le « white day », généralement, ces cadeaux doivent être de couleur blanche. Alors kanpai avec ou sans saké ! Et « Kimi o ai shitern », traduisez par « je t’aime ».

Au Danemark, dans le pays de Karen BLIXEN, l’homme écrit une lettre d’amour à la femme qu’il aime. Il doit signer avec autant de points qu’il y a de lettres dans le nom de l’auteur ! Ensuite, la femme doit deviner le nom du galant. Si elle réussit, elle recevra un œuf de Pâques !

On a aussi coutume d’offrir des bouquets de perce-neige. En danois, « je t’aime » a quelques résonances de la langue de GOETHE : « Jeg elsker dig ».

Du côté de l’Ecosse, la première personne de sexe opposé, ou pas, que vous croisez dans la rue le jour de la Saint-Valentin, devient immédiatement votre Valentine ou votre Valentin !

Certes, cela reste symbolique car doit se limiter à un grand sourire…Et entre deux verres de whisky, on se déclare : « tha goal aga ort ».

 

 

Des messages d’amour sur des mandarines jetées à l’eau à Singapour…

 

En Afrique du Sud, ce jour-là, les femmes doivent épingler le nom de leur amoureux sur leur manche…et dire « ek hit jou lief ».

Quant au Mexique, on y célèbre l’amour mais aussi l’amitié. On marque ses sentiments à chaque personne pour qui on éprouve un ressenti amoureux. Je t’aime au Mexique, c’est comme chez CERVANTES « te quiero »…On dit « te quiero » avant de partir à la conquête des moulins à vent

A Taïwan, on fête deux fois la Saint-Valentin : une fois le 14 février et une deuxième fois, le 7 juillet. Si un homme offre 108 roses à une femme lors de l’un de ces deux jours, c’est qu’il la demande en mariage. Sans la censure de la reine Victoria, on ose dire ici : « I love you ».

A Rio de Janeiro comme dans l’ensemble du Brésil, « Dia dos mamorados » est le jour des amoureux qui est fêté le 12 juin. On fait la fête avec la personne aimée. Il faut aoûter une fête des célibataires, veille de la Saint-Antoine, protecteur des amoureux, qui doit permettre aux femmes seules de trouver un époux… Les fados d’Amalia RODRIGUEZ sont remplis de « Te amo »… Si proche de « Io amo » du roi de la fête, Roméo…

En Lituanie, on colle des autocollants sur le visage et les vêtements de ses collègues, amis et amoureux ! On peut aussi écrire : « Tave mylin » !

Plus loin de nous, à Singapour, les femmes célibataires écrivent des mots d’amour sur des mandarines avant de les lancer sur un cours d’eau, dans l’espoir de trouver un mari ! On peut dire, je t’aime dans la langue tamoule : « Nan unnai necikkirin », mais en anglais on sera compris !

Dans le pays des rennes, en Finlande, cette journée correspond au championnat du « port de la femme ». Epreuve qui consiste à porter la femme lors d’une course d’obstacles entre couples. Le gagnant reçoit le poids de la femme en bière ! Il déclare sa flamme en disant : «  Mina nakastan sinna » !

Aux Philippines, de nombreux couples se rejoignent : c’est le jour de « Lova paloouza ». Dans la baie de Manille et à minuit, tous les couples s’embrassent en gardant les lèvres jointes pendant plusieurs secondes ! C’est aussi l’occasion, dans le cadre d’un mariage de masse, de s’unir gratuitement et de se dire « Mahal kita ».

 

 

En Arabie saoudite, la fête est proscrite par l’Etat…

 

La Chine ne fait pas abstraction de cette célébration. La fête y est célébrée le 14 février mais surtout le 7 juillet du calendrier lunaire, le jour du « double 7 », la grande fête des amoureux. Dans les deux cas, on se dit des « Wo ai ni ».

En Russie, c’est la journée des familles, de l’amour et de la fidélité. Pour les familles orthodoxes, les couples affichant une longévité de vingt-cinq ans ou plus, reçoivent une médaille. C’est nettement moins coûteux que nos noces d’argent…Les plus romantiques lisent des extraits de « poèmes à Lara » et murmurent des « ya lioubliou ticbia ». Na zdorovie ! Tchin tchin si vous préférez !

Les Etats-Unis dépensent plus de 19 milliards de dollars en cadeaux en tout genre ; les Autrichiens défilent dans les rues. Chez nos amis britanniques, on est aussi adepte du dîner aux chandelles tandis qu’au Portugal, les femmes offrent des alcools et du vin contre des chocolats.

En Irak et en Egypte, les vitrines arborent des décorations rouges et invitent les amoureux à s’offrir des cadeaux. Depuis 2008, en Arabie Saoudite, cette fête est interdite. Mais, tout se passe sous le manteau, plutôt sous la burka. En Italie, les chocolats sont enveloppés dans des messages d’amour.

Souvent, dans les anciennes colonies d’Afrique, la Saint-Valentin est fêtée comme une pièce rapportée aux traditions locales.

On voit donc qu’il n’y a pas de frontière pour fêter l’amour universel. Le 14 février enflamme la planète de mille feux de joie et de douceur.

Les scientifiques nous confient que l’immunité est renforcée par le positif, les bonnes nouvelles, l’amitié, l’affection et l’amour. Alors, abusons de l’amour, le meilleur antidote pour juguler nos épidémies, en évitant les doses homéopathiques et sans modération !

Quelle que soit la façon de célébrer la Saint-Valentin, seule, la chaleur humaine, des notes d’amour empreintes d’originalité et pourquoi pas de folie, font oublier durant quelques instants la morosité ambiante !

 

France C.

 


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La connexion accrue entre les réseaux d’affaires et d’influence est une vertu salvatrice dont il est nécessaire de cultiver les principes par les temps qui courent. En cela, les membres du nouveau club d’entrepreneurs qui officie dans l’Auxerrois depuis juin 2020 l’ont parfaitement assimilé. En accueillant lors de sa dernière réunion en présentiel le président du CJD de l’Yonne (Centre des Jeunes Dirigeants) Marc BESANCENEZ, CARBAO élargit sa vision stratégique en matière de relations publiques et d’opportunités de business…

AUXERRE : Une quinzaine de chefs d’entreprises issus d’un panel éclectique de la sphère professionnelle composent l’ossature névralgique de ce nouveau club d’affaires et de recommandation par le bouche à oreille. Une terminologie basique qui a donné naissance par un simple acronyme au sigle « CARBAO » !

Officiellement porté sur les fonts baptismaux à l’été 2020, mais après une longue période de gestation mûrie depuis 2018, ce réseau flambant neuf qui opère sur le territoire de l’Yonne fait petit à petit son bonhomme de chemin dans le sérail des décideurs économiques.

Ici, les valeurs intrinsèques de ce club ont pour raison d’être l’échange, l’éthique et le business. Car, il ne faut pas se voiler la face : les entrepreneurs qui investissent de leur précieux temps et un peu de leurs deniers personnels dans une cotisation annuelle de mille euros veulent faire fructifier intelligemment leur implication.

Constitué de dirigeantes (une minorité à l’heure actuelle) et de dirigeants qui cherchent à développer un réseau de qualité afin de booster leurs affaires, CARBAO propose des réunions bimensuelles en présentiel (il est bien l’un des rares à le réaliser aujourd’hui sur l’Auxerrois dans les conditions requises du moment, à savoir avec le respect des gestes barrières et de la distanciation physique), accueilli dans les salons de l’hôtel Ibis Style.

Un credo résume son action : gagner du temps avec de vraies mises en relation physiques au sein du club afin d’optimiser la performance des activités !

 

 

 

De nouvelles créations de club prévues en 2021 dans la région…

 

Deux figures de l’entrepreneuriat icaunais s’érigent en porte-étendard de ce club : Stéphane ROBERT, promoteur de la structure à l’échelle de notre contrée Bourgogne Franche-Comté et Eric CHEVALLIER, président de l’antenne auxerroise. Ils appliquent avec la même méthodologie la philosophie du tandem, Walter BELLON et Sébastien REY, co-fondateurs de ce réseau apparu en 2013 et qui ne cesse depuis de faire des émules aux quatre coins de l’Hexagone.

Dans l’Yonne, CARBAO s’est également positionné à Sens avec aux manettes directionnelles Pascal CARLO, un chef d’entreprise qui évolue dans le secteur de l’évènementiel.

CARBAO devrait s’enrichir d’une vingtaine de nouveaux clubs cette année. Nevers, Chalon-sur-Saône, Dijon, Troyes, Orléans sont d’ores et déjà fonctionnels ou en phase de l’être.

 

 

 

En janvier, le club auxerrois a accueilli un invité de référence lors de sa session matinale en la personne de Marc BESANCENEZ, directeur général du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre. Mais, l’invité du jour possédait également une autre casquette fort intéressante pour alimenter les débats : celle de président du CJD de l’Yonne, le Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprises.

On l’aura compris aisément, les ponts entre les deux réseaux peuvent ainsi se relier avec aisance dans la perspective, pourquoi pas, de futurs projets en commun.

Une rencontre entre les étudiants, peut-être avec ceux du BTS, du premier groupe scolaire privé de l’Yonne et les membres de CARBAO ne semble pas être exclue dans un proche avenir. Histoire de partager un retour d’expériences de ce que vit un acteur économique aujourd’hui.

Parmi les autres missions portées par ce jeune club, le soutien à la jeune entrepreneuse Julie ESCAFIT qui vient de lancer sa société de couture à Sens, « De Fil en Couleur ». Un parrainage fort utile pour mettre en orbite la jeune femme.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Sous l’autorité préfectorale, une nouvelle action ciblera ce jeudi 11 février les véhicules utilitaires circulant au nord de l’Yonne. Objectif : vérifier le respect de la loi d’orientation des mobilités datant du 24 décembre 2019 tout en préservant la sécurité routière. Il est vrai que le nombre de personnes tuées dans des accidents où sont impliqués ces moyens de locomotion sont en hausse de 14,8 % par rapport à 2018. Il est donc temps d’y remédier…

AUXERRE : Ils se collent aux véhicules qui les précèdent en laissant parfois peu d’espace tout en roulant très vite. Ils prennent aussi des risques inconsidérés en dépassant sans crier gare le moindre obstacle qui les dérange sur des portions de route improbables et en se moquant éperdument de la ligne continue.

Ils : ce sont les conducteurs des véhicules utilitaires qui jouent les Fangio à toute allure à la recherche du temps perdu. Car, le plus souvent, ce sont des véhicules professionnels !

En 2020, du fait des confinements répétitifs, la mortalité routière a diminué de 19,6 % par rapport à l’année antérieure au niveau de l’Hexagone. Toutefois, la mortalité des usagers des véhicules utilitaires a progressé de 7 %.

En outre, 67 % des personnes tuées dans des accidents impliquant des utilitaires se situaient en dehors desdits véhicules. Parmi ces personnes vulnérables, citons les piétons, les cyclistes, les utilisateurs de deux roues motorisés et 37 % d’automobilistes.

Dans ce contexte peu reluisant, la préfecture de l’Yonne (l’un des départements de l’Hexagone à forte proportion en termes d’accidents) a décidé de renforcer ses contrôles envers les conducteurs de cette typologie de véhicules.

Une action très ciblée se déroulera dès ce jeudi 11 février en seconde moitié d’après-midi dans le Gâtinais. Il s’agira avant toute chose de vérifier les règles élémentaires de la sécurité routière. Mais, pas que !

Le transport routier de marchandises fait l’objet d’une réglementation européenne harmonisée visant à assurer la sécurité des usagers de la route. Une concurrence saine et équilibrée doit être respectée au sein de l’Union afin de garantir le droit des conducteurs routiers.

 

 

 

 

L’utilitaire est devenu très concurrentiel par sa liberté de circulation et parce qu’il échappe à la réglementation sociale européenne (temps de conduite, temps de repos), à l’obligation du tachygraphe, et pour les véhicules étrangers aux obligations d’inscription à un registre national des transporteurs.

Or, la concurrence de ces derniers non établis sur le territoire français s’est fortement développée depuis quelques années face aux entreprises françaises de transport léger mais également face aux entreprises du transport des poids lourds.

Il est fréquent de voir circuler sur nos routes, y compris les départementales, des utilitaires flanqués de plaques minéralogiques originaires de Pologne, de Roumanie, des pays Baltes, d’Ukraine.

 

 

Cependant, la protection sociale des conducteurs de véhicules n’excédant pas le poids maximum autorisé de 3,5 tonnes a été renforcée par la loi d’orientation des mobilités du 24 décembre 2019. Le décret punit en effet d’une amende de cinquième classe un employeur qui ferait prendre à son salarié un repos à bord d’un véhicule léger ou dans un hébergement n’offrant pas des conditions de sécurité de confort et d’hygiène respectueuses de sa santé.

C’est aussi à cela que vont servir ces contrôles inopinés qui ne manqueront pas de se dupliquer tout au long de l’année dans d’autres secteurs géographiques de notre territoire.

En filigrane, il s’agira aussi de cibler d’éventuels trafics illicites comme le transport de stupéfiants, de marchandises issues de recel, de vol et de contrefaçon…

 

Thierry BRET

 


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Plus que jamais, la biodiversité est menacée. Chaque année, ce sont des milliers d’espèces qui disparaissent ainsi de la surface du globe. Comme en Australie lors des terribles incendies qui ont ravagé le centre du pays. La principale cause de ce désastre est imputable à l’homme. Ce nuisible qui ne respecte ni l’environnement ni les espèces animales et végétales qui y vivent. Mais, que serait donc l’homme sans la biodiversité ? Une question qui trouvera des réponses lors de la conférence-débat proposée par le Cercle Condorcet de Sens et la Ligue de l'Enseignement 89…

SENS : L’homme sera-t-il bientôt seul au monde face à son destin ? Au train où vont les choses dans la destruction massive des espèces animales et végétales qui ne cesse de s’amplifier, on peut penser que cette situation qui n’a rien de kafkaïenne se produira un jour ou l’autre.  

Biologiste, naturaliste, spécialiste de la protection des grands primates en Afrique et en Asie, Emmanuelle GRUNDMANN – elle est également journaliste-reporter – étayera de ses réponses éclairées toutes nos interrogations sur ce préoccupant sujet de société.

La présidente de l’association AWELY, structure qui cherche à réduire les conflits existentiels entre les hommes et les animaux partout sur la planète, sera l’exceptionnelle invitée du Cercle Condorcet de Sens, ce jeudi 11 février.

Un rendez-vous proposé de manière virtuelle sur ZOOM à suivre dès 18h30 pour mieux appréhender les grands enjeux de demain.

Auteure d’un ouvrage intitulé « Demain, seuls au monde ? » (Edition Calmann-Lévy), Emmanuelle GRUNDMANN, exégète de l’univers animalier, rappellera des évidences avant de nous faire comprendre la véritable valeur de la biodiversité.

Quid de la pollinisation des fleurs sans la présence bénéfique des abeilles ? Comment se nourrir de protéines animales indispensables à notre survie sans les poissons et autres crustacées ? Pourrons-nous soigner les maladies sans les thérapies médicamenteuses issues de plantes tropicales et du savoir botanique des peuples forestiers ? Comment recycler les monceaux de déchets que nous rejetons autour de nous sans les micro-organismes ?

Dans le contexte sanitaire du moment, ces questions méritent d’être enfin posées. Afin d’inverser la tendance et de placer la nature et ses espèces sur ce vrai piédestal qu’elles n’auraient jamais dû quitter…

 

 

 

En savoir plus :

 

Conférence débat organisé gratuitement par le Cercle Condorcet de Sens

Inscription obligatoire sur Zoom :

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

   

Thierry BRET

 


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Sur le fond, la situation n’aurait pas déplu à KAFKA. Ne pas pouvoir remplacer un homme par une femme pour reprendre le poste de premier adjoint au sein d’un conseil municipal en cas de vacance de celui-ci semble irrationnel dans son application. Mais, sur la forme, le doute n’est plus permis à la lecture de l’article 29 de la loi N°2019-1461 applicable au 27 décembre 2019. Ce texte du Code général des Collectivités territoriales pourrait engendrer des conséquences inattendues au sein de la municipalité auxerroise…

AUXERRE : Les lignes extraites du Code général des Collectivités territoriales à lire ci-dessous revêtent désormais de la plus haute importance pour tenter de résoudre une équation pour le moins ubuesque dans le landerneau politique auxerrois !

Celle qui se pose après la démission du premier adjoint de la Ville d’Auxerre Gilles PEYLET, qui à la surprise générale avait rendu son tablier le 25 novembre dernier.

« Quand il y a lieu, en cas de vacance, de désigner un ou plusieurs adjoints ; ceux-ci sont choisis parmi les conseillers de même sexe que ceux auxquels ils sont appelés à succéder…. ».

La référence est la suivante : il s’agit de l’article 29 de la loi N° 2019-1461 promulguée le 27 décembre 2019 et relative à l’engagement dans la vie locale et à la proximité de l’action publique qui modifie l’article L. 2122-7-1 du Code général des collectivités territoriales.

Certes, il existe bien un antécédent de ce type. Précisément, dans la commune de Basse-Terre en Guadeloupe, où la première adjointe démissionnaire, Maryvonne RICHARD, avait été remplacée après un vote du conseil par Roland GENDREY, le huitième adjoint municipal.

Or, le préfet de ce département d’Outre-Mer devait faire part de son refus sous la forme d’un rescrit préfectoral pour invalider ce vote. Et surtout ne pas donner suite à la demande de l’édile André ATALLAH de substituer la première adjointe femme par un premier adjoint homme. Conformément au texte de loi, précédemment cité.

La seule solution qui était acceptable pour le représentant de l’Etat se résumait à faire monter d’un cran toute la liste d’adjoints. Ce qui eut pour conséquence directe de permettre à Bernard GUILLAUME, initialement placé en seconde position, de prendre du galon en endossant la vêture de premier adjoint in fine !

 

Des points d’achoppement pour deux élues de l’opposition…

 

« Ceci nous a bel et bien été confirmés par voie téléphonique puisque nous avons pu nous entretenir avec la proche collaboratrice du maire de Basse-Terre lundi 08 février aux alentours de vingt heures (heure de Paris) expliquent les deux conseillères municipales d’opposition, Maud NAVARRE et Farah ZIANI. 

Lors du conseil municipal du jeudi 04 février, les deux élues de l’opposition ont interpellé le maire d’Auxerre Crescent MARAULT. Motif de leurs interventions : connaître la position de ce dernier au sujet du remplacement de Gilles PEYLET.

Le poste de premier adjoint demeurant toujours vacant depuis la fin novembre.

Même si le choix du successeur n’a pas encore été officialisé, un nom revenait en boucle depuis quelques jours dans le sérail.

Celui de la huitième adjointe en charge du développement touristique, du rayonnement de la Ville et des relations internationales, Carole CRESSON GIRAUD.

 

 

Un nom qui n’est pas le fait du hasard pour tenir ce poste éminemment stratégique puisqu’il aurait été désigné après une décision émanant de la majorité. 

Mais, ce choix est d’ores et déjà contesté par le tandem féminin qui portait l’une des deux listes écologiques des « Printemps pour Auxerre » lors de la dernière campagne électorale. Sur la base de ce fameux article 29, empêchant un homme d’être remplacé par une femme en cas de vacance d’un poste !

Autre point d’achoppement qui suscite des critiques de la part de l’opposition : le délai pour procéder à l’élection du nouvel élu après la vacance du premier adjoint démissionnaire.

Eu égard à ce fameux Code général des Collectivités territoriales (décidément très épluché à l’heure actuelle !), il est obligatoirement de quinze jours. Or, le remplacement de l’élu démissionnaire ne s’est pas effectué dans cet intervalle.  

Le maire d’Auxerre avait choisi une toute autre option en réduisant l’exécutif municipal, amputé d’un membre, en le passant de onze à dix adjoints. Une orientation qui avait été entérinée par un vote en date du 17 décembre lors de l’ultime conseil municipal de 2020.

 

 

 

Le poste de premier adjoint aurait dû revenir à Céline BAHR…

 

Or, si les choses s’étaient déroulées selon le respect stricto sensu de cette procédure, cela aurait dû entraîner automatiquement la désignation de l’adjoint placé en seconde position au sein du conseil municipal, à savoir Céline BAHR.

Bref, partant de ces différents postulats, Maud NAVARRE et Farah ZIANI semblent formelles dans leurs analyses : Carole CRESSON GIRAUD ne peut plus prétendre se substituer à Gilles PEYLET en ces circonstances.   

A moins qu’un autre scénario ne s’esquisse pour débloquer la situation. Celui de choisir la chef d’entreprise auxerroise en qualité de première adjointe en procédant à une nouvelle élection générale des adjoints. Un scrutin qui entraînerait de facto la fin de leurs mandats actuels sans qu’il soit nécessaire pour autant d’obtenir leurs démissions.

Complexité subtile qui pimente un peu plus ce scénario s’il était retenu : le conseil municipal devrait procéder au remplacement du premier adjoint démissionnaire en convoquant un conseil municipal pour un vote organisé à bulletin secret dans les quinze jours suivant l’acceptation de la démission par le préfet.

« Si ce scénario était celui choisi, précisent les deux élues de l’opposition, nous aurons alors à étudier avec intérêt cette nouvelle liste d’adjoints : le nombre exact, les personnes présentes et leur rang dans la liste… ».

Précisons que la situation d’urgence sanitaire n’empêche nullement la tenue d’un conseil municipal en présentiel. Une affaire qui devrait trouver son dénouement dans les prochains jours ?

 

Thierry BRET

 


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