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L’ouvrage, une fois sortie de terre fin 2022, accueillera plusieurs praticiens dans la commune. Des généralistes (il en manque à foison dans le département) ainsi que deux dentistes disposant de quatre pièces distinctes afin de pouvoir exercer. D’un coût estimatif d’un million d’euros TTC, la future maison de santé ne devrait pas manquer de patientèle…

 

CHEVANNES : Ils attendaient cela depuis si longtemps les habitants de la localité périphérique d’Auxerre ! Enfin, leurs vœux ne seront plus pieux et vont se muer en réalité palpable et opérationnelle d’ici quelques mois. Encore un peu de patience, certes, avant le jour « J », celui de l’inauguration de cet édifice érigé selon les codes de l’éco conception, synonyme de soins prodigués quasiment à domicile : à deux encablures de chez eux !

La maison de santé dont la genèse matricielle fut évoquée lors de la précédente mandature municipale, va donc enfin voir le jour. La preuve tangible est d’ailleurs très courtisée sur le futur théâtre des opérations, non loin du parking latéral de la salle des fêtes. Un simple panneau qui signale l’attribution du permis de construire !

N’a-t-on pas vu récemment sur les réseaux sociaux le député de la circonscription Guillaume LARRIVE poser pour l’éternité à côté de ce support annonciateur du futur chantier ?

 

 

390 mètres carrés de bâti divisé en deux modules opérationnels…

 

Déjà présent avec le parlementaire sur ce document iconographique, le maire de la commune, Dominique CHAMBENOIT, a réitéré ce geste, ce mercredi après-midi. En compagnie de la première adjointe, Anna CONTANT et de deux autres élus, Fabrice BOURGEOIS, adjoint en charge des finances et Thierry LEDROIT, adjoint qui s’occupe des dossiers relatifs aux travaux et à l’aménagement.

C’est là, à cet endroit précis, où pousse l’herbe verte d’une pelouse bien entretenue que s’élèvera dans quelques mois le complexe sanitaire devant accueillir médecins généralistes et dentistes. Juste à côté d’un parking d’une capacité de quarante places s’avérant très fonctionnelles.

Le premier coup de pioche est attendu avant le terme de l’année. Si tout se passe bien ! Au plus tard, ce sera courant janvier. La livraison de ce bâtiment construit en option BBC serait quant à elle envisagée à la fin de 2022. Cette construction de près de 390 mètres carrés sera composée de deux modules importants : l’un permettant de recevoir les cabinets de soins dentaires, l’autre destiné à la patientèle des généralistes.

 

 

Un projet d’un million d’euros avec l’aide des partenaires institutionnels…

 

A la baguette de chef d’orchestre pour assurer la maîtrise d’ouvrage : Benoît BAZEROLLES. Le digne successeur du regretté Jean-Pierre BOSQUET, fondateur du cabinet d’architectes ATRIA.

Le coût du projet ne devrait pas excéder le million d’euros TTC. Des aides de l’Etat, de la Région et du Département permettront de supporter financièrement le budget.

« On a repris ce qui avait été proposé par l’équipe précédente, précise Dominique CHAMBENOIT en toute transparence, sans que rien de bien concret n’ait été véritablement acté à l’époque… ».

Pourtant, il existe un point d’achoppement fondamental malgré la continuité de ce concept : son emplacement. La maison de santé sera située presqu’au cœur du bourg, juste à côté de la salle des fêtes et non loin de l’univers commercial où trône une officine pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas avant.  

 

Thierry BRET

 

 

 


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Forcément, leur réinsertion sociale, ils y pensent. Tous les jours ou presque lorsqu’ils se retrouvent face à eux-mêmes durant leur détention. Avec sans doute une question cruciale qui leur taraude l’esprit : quel job sera-t-il possible d’exercer à la sortie de prison ? Toujours précurseur dans ses démarches sociétales, le MEDEF se positionne comme le partenaire idoine du SPIP, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation. Il œuvre à remettre les prévenus sur le droit chemin. Celui du travail et de la réussite sociale…

 

AUXERRE : Méthodiquement, le jeune garçon s’applique à exécuter les gestes que lui a inculqués sa formatrice. Une jeune femme dynamique, patiente, prenant le temps de parler et d’expliquer les principes élémentaires de la soudure.

Certes, l’exercice réalisé devant une petite unité de détenus attentifs ne reproduit que partiellement ce qu’est dans la réalité un poste de soudure.

Pourtant, on sent que quelque chose anime intérieurement le jeune homme, satisfait de se retrouver là, en pareilles circonstances. L’initiation du jour, une découverte aux métiers de l’industrie qui éclosent en très grande quantité derrière les murs de la maison d’arrêt auxerroise, semble le passionné. Un Graal initiatique pour mieux se réinsérer dans la vie active une fois la peine effectuée ?

 

 

Un partenariat constructif qui ne pouvait que matcher…

 

C’est tout l’objectif de ce partenariat insolite mais nécessaire fruit d’une rencontre surprenante née d’une simple discussion occasionnée lors des RIDY 2019 ! Ces fameuses rencontres régionales de l’industrie, porteuses de tant d’espérance et d’échanges prolifiques !

A l’occasion de cet évènementiel, Florence POULAIN, l’un des piliers opérationnels de la Maison de l’Entreprise et spécialiste de la communication eut le bonheur de croiser sur sa route (rien n’est dû au hasard !) Julien LUQUIN. Le référent du travail et de la réinsertion par l’emploi dans le milieu pénitentiaire régional, le SPIP.

Un « coup de foudre » professionnel qui engendrera nettement plus qu’un anodin échange de carte de visite à balancer dans la corbeille une fois revenu au bureau, comme il est souvent d’usage !

Dans le cas présent, rien de tout cela à observer ! De fil en aiguille, les deux interlocuteurs vont prendre le temps de construire une feuille de route cohérente et réciproque, devant les amener à collaborer en parfaite osmose sur un projet commun.

Certes, l’administration pénitentiaire (un milieu très hermétique aux yeux de l’univers entrepreneurial à de rares exceptions) garde les détenus durant leur peine. Mais, autre facette à mettre en lumière, elle prépare aussi à leur réinsertion sociale avec si possible une formation professionnelle en substance.

Alors, vu sous cet angle, entre le MEDEF/UIMM de l’Yonne et l’univers carcéral, cela ne pouvait que matcher !

 

 

Une initiative qui tombe à pic autour de la soudure…

 

Comment dans l’absolu ? Rien de très compliqué dans les faits ni inadaptable à la réalité du contexte : en favorisant tout bonnement la promotion des métiers de l’industrie où les besoins en matière de recrutement sont incommensurables aujourd’hui ! Cibles à privilégier : la maison d’arrêt d’Auxerre et le centre pénitentiaire de Joux-la-Ville.

Invité récemment par le MEDEF lors d’un colloque sur la RSE où il a pu s’exprimer devant un parterre de chefs d’entreprise et de décideurs économiques, Julien LUQUIN a pu expliciter dans le moindre détail les actions existantes aujourd’hui en France et dans notre contrée afin de faciliter ces réinsertions de détenus. Un témoignage qui avait passionné les participants.

A la maison d’arrêt d’Auxerre, où 156 personnes sont à l’heure actuelle en détention, 30 % d’entre elles ont exprimé leur réel désir de découvrir les ateliers initiés par la Maison de l’Entreprise. Vingt-quatre exercent déjà un travail en interne, affectés aux tâches quotidiennes du service général de l’établissement, aux cuisines, au service d’entretien.

 

 

Or, l’objectif affiché aujourd’hui par la direction de la maison pénitentiaire est de mobiliser davantage ces détenus vers l’emploi pour atteindre un quota de 50 %.

L’initiative du MEDEF tombe donc à pic ! Muni d’un simulateur électronique, les formateurs de la Maison de l’Entreprise décortiquent ainsi les rudiments de ce métier en totale tension que représente la soudure.

En amont, une cinquantaine de candidats détenus se sont portés volontaires pour suivre l’exercice. Seules les vingt personnes les plus motivées y ont eu accès en suivant en petit comité les échanges pédagogiques. Selon aussi leurs appétences et leur profil.

Frédéric DA ROCHA et Léa LEGRAND se sont donc prêtés au jeu sans l’once d’une difficulté en leur qualité de formateurs inventifs. Avec des « élèves » très dociles et in fine intéressés !

Pilote, l’initiative portée par le MEDEF de l’Yonne interpelle déjà en haut lieu auprès de la sphère nationale du puissant syndicat patronal. Cette action devrait trouver de la redondance dès 2022, soit à Joux-la-Ville ou de nouveau à la maison d’arrêt d’Auxerre avec sans doute d’autres programmes liés à des métiers en quête de compétences.

 

Thierry BRET

 


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Crise sanitaire oblige, c’est la première fois depuis la fusion au 01er janvier 2020 des départements ayant donné naissance à CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté qu’une assemblée de territoire se déroulait dans l’Yonne en présentiel. L’occasion pour son président Eric COQUILLE et son directeur général Laurent BEURIENNE de présenter les enjeux auxquels devra répondre l’association de gestion et de comptabilité…

AUXERRE: Comme l’a rappelé en préambule Franck NEZET, directeur délégué départemental, CERFRANCE BFC compte plus de 4 500 structures adhérentes, 220 collaborateurs et pas moins de huit agences réparties sur le territoire de l’Yonne. Cet acteur référent du monde agricole et viticole a au fil des années élargi le champ de ses compétences en direction des TPE et PME, commerçants, artisans et professions libérales.

 

 

Le cadeau de Noël du Premier ministre pour les équipes de CERFRANCE !

 

Avec parmi ses axes stratégiques, la volonté marquée de renforcer toujours un peu plus sa proximité avec les adhérents, qu’elle soit de nature géographique ou par une parfaite maîtrise de la relation numérique. Un accompagnement au plus près du territoire également, avec l’agrément obtenu cette année de l’ADEME sur le diagnostic carbone.

C’est un pari payant pour CERFRANCE BFC, au vu des résultats du dernier exercice, avec un chiffre d’affaires de plus de 24 millions d’euros, pour un résultat net de 548 K€. Un bénéfice a rappelé le président COQUILLE, qui permettra de financer le recrutement de nouvelles compétences et d’investir dans les technologies et les outils nécessaires pour répondre aux grands enjeux de demain.

Pour l’heure, l’actualité passe aussi par la décision gouvernementale d’octroyer à tout salarié gagnant moins de 2 000 euros nets par mois, une indemnité inflation de cent euros. Ce qui ne sera pas sans générer un travail supplémentaire pour l’établissement qui gère les bulletins de salaires de nombreuses structures, comme l’a souligné ironiquement Franck NEZET : « le Premier ministre nous a réservé une petite nouveauté pour la fin de l’année, histoire de passer des fêtes de Noël sympathiques ! ».

 

 

Vers la généralisation de la facture électronique pour toutes les entreprises…

 

A partir de 2024, la facture électronique s’imposera à tous les échanges « B to B » des entreprises du secteur privé. Un document numérique qui prendra le pas sur tout le reste et ne doit en aucun cas être assimilé à une simple facture numérisée. Les AGC (Association de gestion et de comptabilité) et cabinets comptables s’y préparent déjà, a expliqué Laurent BEURIENNE, revenant sur les différentes étapes établies par le législateur.

Un calendrier de déploiement en rapport avec la taille des entreprises, afin de leur permettre de s’approprier le sujet et deux dates essentielles à retenir : toutes les entreprises quel que soit leur envergure devront au 01er juillet 2024, être en capacité de réceptionner des factures numériques et concernant les TPE/PME, c’est au 01er janvier 2026, que toutes devront être en capacité d’émettre ce type de factures au moyen de la plateforme de leur choix.

CERFRANCE BFC, a rappelé son directeur général, sera bien sûr apte de proposer à ces dates précises une solution fonctionnelle à ses clients via un outil privé et sécurisé, insistant sur le fait que « l’administration aura ainsi tous les moyens pour pré-remplir la déclaration TVA, qu’elle soit mensuelle, trimestrielle ou annuelle, avec l’objectif clairement affiché d’en faire automatiquement le recouvrement en totale autonomie ».

Avec à la clé, l’idée d’en accélérer le rythme et développer ainsi les recettes fiscales.

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Tout le monde veut écrire, c’est sans doute une bonne chose. Mais, nous sommes de moins en moins nombreux à lire des livres. Les librairies diminuent à cause des tablettes. La concurrence des ventes par correspondance s’est accélérée avec la pandémie. L’e-book progresse : en 2019, le livre numérique intéressait 5 % des Français avec 2,3 millions d’exemplaires vendus contre 29 millions de livres papier. Les maisons d’édition souffrent : librairies temporairement fermées, séances de dédicaces en berne et pas d’aide particulière de l’Etat…

 

TRIBUNE : Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir raconter notre histoire (conséquences d’une société narcissique ?). Pour ceux qui souhaitent faire appel à un « porte-plume », donc utiliser une main d’œuvre extérieure, il faut compter sur un budget de 60 euros de l’heure ou en moyenne sur une somme de 3 000 euros. La volonté de transmettre l’histoire familiale n’intéressera que la famille des personnes concernées…Mais pourquoi pas ?

Pour les écrivains en mal d’éditeur, on peut conseiller de cibler, lorsque c’est possible, les spécialités de la société d’édition : policier, histoire, poésie…

Face à la pléthore d’éditeurs possibles, souvent les novices procèdent au hasard en utilisant un moteur de recherches sur Internet. Conforme à la moyenne européenne, la France compte près de 10 000 éditeurs. Dans le trio des plus importantes citons : Gallimard, Flammarion et Milan.

Si la plus ancienne maison d’édition est « Hachette » (1826) pour la France, soulignons que l’une des plus vieilles de la planète, c’est la « Cambridge University Press »  née en 1534 en Angleterre ! Il n’est guère étonnant que Cambridge soit l’une des meilleures universités de la planète !

 

Le parcours du combattant selon les différentes éditions…

 

Il existe trois types d'éditions en France : l'édition à compte d'éditeur est la plus connue et la plus sollicitée. L’éditeur accepte votre manuscrit et prend à sa charge tous les frais. Parfois, il peut même verser une avance avant même d’avoir reçu le manuscrit ! C’est le nirvana pour un auteur…

Publié chez « Michel Lafon », mon ouvrage « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…Moi c’était dans la rue » a pu bénéficier de cette situation avantageuse. Pour la promotion de l’ouvrage trois attachées de presse : une pour le plan média national, une pour le régional et une autre qui partait à la recherche d’un producteur de cinéma ! Résultat après de nombreuses télés, radios nationales, journaux quotidiens, magasines, dédicaces rencontres dans de grandes librairies : plus de 6 000 exemplaires se sont vendus.

Sans médiatisation, les ventes vont être difficiles. Dans ce cas, il faut viser les médias régionaux, journaux, radios locales…

L'autoédition se répand à vitesse grand V. L’auteur s’occupe de tout (impression, diffusion, promotion…). C’est la certitude d’être édité mais les contraintes découragent souvent les velléitaires de l’écriture !

Et enfin, l'édition à compte d'auteur/ Elle est souvent confondue à tort avec la première, pour le plus grand désarroi des jeunes auteurs. L'édition à compte d'auteur consiste pour un auteur, à faire éditer ses ouvrages par un éditeur qui assure seulement la partie technique de l'édition et de la diffusion, en dehors du choix éditorial proprement dit.

C'est donc l'auteur qui paie les frais d'impression et de publicité de son livre. Certains éditeurs proposent de prendre en charge l’impression : on imprime qu’à la demande et de fait, l’auteur ne fait aucune avance. On peut donc aujourd’hui éditer sans bourse déliée. Attention aux éditeurs peu scrupuleux, aux annonces alléchantes « éditer gratuitement votre ouvrage, réponse assurée sous quinze jours ». Retenez que certains éditeurs ne répondent jamais, que d’autres demandent une participation de 800 ou 1 000 euros pour la correction des textes, en arguant du fait que la diffusion est impossible sans la participation d’un correcteur agréé. Argument fallacieux à plus d’un titre : il n’existe pas de correcteurs agréés, pas plus que d’impossibilité de diffusion, si ledit correcteur n’intervient pas. Restez vigilant, si c’est gratuit cela doit l’être jusqu’au bout ! 

 

 

Censure et chausse-trappes à tous les étages…

 

Au cours de ma carrière d’écrivain, j’ai eu le privilège d’éditer deux autobiographies à compte d’éditeur,  un recueil de poésies comme auto éditeur et une dizaine de recueils de poésie à compte d’auteur chez quelques sociétés d’édition.

Lorsque je souhaite une couverture personnalisée, je règle aujourd’hui une centaine d’euros, mais ce n’est pas imposé par mon éditeur. Tous les autres services proposés par l’éditeur, et payants, sont souvent inutiles : référencement sur des sites, invitation dans des « salons du livre ». Les « salons du livre » sont à votre charge (emplacement, hébergement, transport…) et ne concernent que les vedettes locales.

La majorité des auteurs présents ne sont que les faire-valoir des invités vedettes ! Pour la promotion, notons l’intérêt des réseaux sociaux, les contacts directs avec les correspondants de presse des journaux locaux, les radios locales.

Depuis plus de dix ans, Radio Avallon m’a toujours accordé des interviews lors de la publication de mes ouvrages ! Il est important de rédiger un texte de présentation et un CV personnalisé qui montre vos motivations pour sortir le livre. Une dernière précision : très récemment, je me suis vu refusé mon dernier manuscrit par quelques maisons d’éditions.

Mes poèmes constituent des pamphlets tournés contre le pouvoir, les ministres et notre président. Rien de méchant mais une forme de journal traitant nos élus à la manière des « chansonniers » d’hier. Souhaitant quelques précisions j’ai obtenu les précisions suivantes : « impossible d’éditer ce texte, trop engagé », « nous ne voulons pas de problèmes », « cela peut choquer certains de nos auteurs ou de nos lecteurs »…

Cerise sur le gâteau : « Il n’y a plus de liberté d’opinion aujourd’hui » et « allez chez Amazon, ils éditent n’importe qui » ! C’est sans doute cela la gloire du poète, se faire rejeter comme Eric ZEMMOUR et ultime consécration,  le poète embastillé pour propos inconvenants !

Madame « Anastasie », bonjour ! On pourrait dire anesthésie ! Retenons que l’origine grecque d’« Anastasie », c’est « résurrection » : la liberté ne meurt jamais. Pour les plus jeunes d’entre nous, « Anastasie », c’est le nom donné à la censure en France dès 1914 !

Tout le monde peut écrire et se faire publier à peu de frais, mais restons prudents, si la poésie et la dramaturgie font partie des arts majeurs, tout le monde ne pourra pas signer es qualité « artiste ».

La publication à la portée de chacun de nous, c’est sans nul doute une bonne chose offerte par le monde moderne. Attention, il faut beaucoup de travail : écrire, réécrire, corriger au moins cinq ou fois le texte, se faire corriger par un ou plusieurs amis ou membres de la famille.

Mon expérience : je me relis au moins une fois oralement, cela me permet de relever certaines erreurs, et lorsque je trouve que mon travail ne vaut rien et que c’est à vomir, là, j’arrête tout et il est temps d’envoyer le manuscrit à un éditeur ! « Sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ». Georges Brassens.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Voilà une petite nuance qui se révèle être très importante à plus d’un titre. Si les militants de l’UDI de l’Yonne se sont manifestement prononcés en faveur de la candidate LR Valérie PECRESSE pour lui exprimer leurs soutiens lors de la présidentielle à l’issue d’une rencontre le 16 octobre dernier, le choix du parti centriste n’est nullement arrêté au niveau national. Explications…

 

AUXERRE: Le communiqué de presse transmis par les instances officielles de l’Union des Démocrates et Indépendants de l’Yonne le 16 octobre dernier aux rédactions était on ne peut plus clair dans sa compréhension !

« Nous voulons pour notre pays une personnalité courageuse, ambitieuse, pour mener les réformes nécessaires dont nous avons besoin… ».

Une phrase lourde de sens qui permettait de réaliser derechef le portrait-robot de la candidate idoine, incarnée par la présidente de la Région Ile-de-France, Valérie PECRESSE ! Une prétendante à l’estampille des Républicains, certes, ou plutôt de l’un de ses antépénultièmes mouvements internes qui tentent de s’en émanciper : « Soyons Libres ! ».

Le document était cosigné par la présidente de l’UDI Yonne, la sénatrice Dominique VERIEN et le président de la section des Jeunes UDI, Kevin LEGENDRE-BONIFACE.

Il était le fruit d’une prise de pouls réalisée au plus près du terrain des militants et sympathisants de l’appareil centriste réunis de manière informelle un samedi après-midi du côté de la Puisaye. Une façon objective de prendre la température afin de savoir ce que voteraient les représentants de l’UDI le jour du congrès national.

Celui-ci n’a pas encore eu lieu. L’évènement se déroulera à Aubervilliers en région francilienne le 27 novembre. S’avérant capital quant à la démarche à suivre de l’ancienne UDF (devenue UDI) chère à Valéry GISCARD d’ESTAING à six mois de l’échéance présidentielle.

 

 

Ne pas s’affranchir de la stratégie nationale…

 

Pour l’heure, nul ne s’épanche dans les alcôves bien-pensantes du parti pour savoir ce qui va réellement se passer ce jour-là. Où plusieurs scénarii sont envisageables.

A commencer par la candidature toute légitime du président de la formation, Jean-Christophe LAGARDE. Ira-t-il ? N’ira-t-il pas ? Où celle d’un autre ténor de l’UDI ? Ou bien choisira-t-on de se rallier à la cause de l’union de la droite (des droites) et du centre et ce dès le premier tour ?

A ce jour, toutes les conjectures sont possibles car rien n’est encore tranché de manière officielle. Où, si cela l’était déjà, le silence devrait régner quelque peu dans toutes les instances devant communiquer à la presse !

 

 

De son côté, la cheffe de file de l’UDI dans l’Yonne a pris quelques longueurs d’avance sur le calendrier officiel. Faisant part de son avis personnel ce qui est son droit en pays de démocratie !

L’ancienne maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye n’a pas fait de circonvolutions inutiles. Ce n’est pas son style. Elle s’est rapprochée à titre personnel de Valérie PECRESSE. Même si elle n’a pu la croiser lors de sa récente venue dans l’Yonne lors du meeting de Venoy. A contrario, son attaché parlementaire, Kevin LEGENDRE-BONIFACE, y était quant à lui. Preuve photographique à l’appui !

D’ailleurs, lors d’une récente interview qu’elle nous a accordée, Dominique VERIEN reconnaît son admiration pour « cette personnalité en phase avec ses idées, battante, pragmatique et réfléchie ». Même si elle avoue, avec sincérité, qu’il lui aura fallu un peu de temps de réflexion pour lui accorder sa confiance, après l’avoir vu, lu et entendu.

 

 

Faire le bon choix le 27 novembre…

 

En tâtant le pouls de ses militants, l’UDI de l’Yonne n’a donc pas cherché à s’affranchir de la décision prise lors du prochain conseil national de l’UDI.

Dominique VERIEN le déclare d’ailleurs sans ambiguïté : « Nous suivrons le résultat exprimé au niveau national puisque nous aurons à voter sur la stratégie à suivre. La majorité l’emportera et nous suivrons ces décisions… ».

En revanche, une chose est quasi sûre avant cet évènement : le ralliement à la cause d’Emmanuel MACRON ne sera pas acté !

Toutefois, le syndrome de la défaite de Lionel JOSPIN inhérente aux divisions de la gauche à la présidentielle 2002 hante les esprits prudents. L’UDI ne veut pas être le diviseur et encore moins le fossoyeur de la droite. Le 27 novembre, la formation du regretté GISCARD fera le bon « choix »…

 

Thierry BRET

 

 

 


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