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Dix mille euros d’amende. Une somme qui s’agrémente de huit mois de prison, avec sursis. Avec en sus, une période de douze mois d’inéligibilité. « Oui mais avec sursis », se satisferont les zélateurs du maire-président d’Auxerre ! La peine, prononcée en fin d’après-midi mardi 14 décembre par le Tribunal judiciaire de Sens, sanctionne Crescent MARAULT pour prise illégale d’intérêt. Une peine qui ne changera pas d’un iota sa ligne de conduite politique, l’élu se maintenant à son poste…

 

AUXERRE : Il ne mettra donc pas un terme à son mandat électif de premier élu de la place. Ni à sa fonction de président de l’Agglomération de l’Auxerrois ! Considérant que le rendu de cette décision judiciaire clôt définitivement la procédure qui était engagée à son endroit, le maire de droite et du centre droit de la capitale de l’Yonne souhaite se consacrer pleinement à la mise en œuvre du Projet de territoire à dix ans sur lequel il appuie sa stratégie.

Crescent MARAULT, dans un souci de transparence comme il l’écrit lui-même, a adressé un communiqué de presse à l’ensemble des rédactions dès que la sentence a été prononcée par le Tribunal judiciaire de Sens. Un communiqué qui a été largement relayé par les médias, et bien au-delà de nos frontières régionales.

 

Un appel d’offres illicite qui se mue en « erreur »…

 

« Dans la logique de transparence qui a toujours guidé mon action, précise le maire d’Auxerre à travers les lignes de ce document, j’accepte le principe de la condamnation d’autant qu’il ne peut m’être reproché le moindre enrichissement personnel dans ce dossier… ».

Un peu plus loin, Crescent MARAULT rappelle que « les élus sont des justiciables ordinaires, semblables à tout un chacun ».

Rappelons que l’édile de l’Yonne comparaissait ce mercredi à Sens dans le cadre d’une reconnaissance préalable de sa culpabilité pour des faits qui lui étaient reprochés en 2018 dans le cadre d’un marché public.

 

 

A l’époque, le président de l’Agglomération occupait le fauteuil de maire à Saint-Georges-sur-Baulche. Par le truchement de son entreprise EQUIP BURO, Crescent MARAULT avait alors donné suite à un appel d’offres sur le marché de l’ameublement de la médiathèque de la commune dont il assurait la gouvernance en qualité de maire. Or, un maire ne peut répondre à un appel d’offres selon le législateur. Une « erreur » qu’avait reconnue par la suite Crescent MARAULT. La valeur du marché correspondait à 55 000 euros.

Nonobstant, le maire d’Auxerre considère désormais que le dossier est clos.

« Je reste pleinement mobilisé sur mes actions, notamment la mise en œuvre du Projet de Territoire ».

Un concept à multiples fenêtres et orientations qui court sur la décennie actuelle. Et qui englobe nécessairement l'hypothèse d'un second mandat de l’intéressé ?

 

Thierry BRET

 

 


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Le projet de ZALANDO se retrouve de nouveau face à une forte opposition locale. D’abord huée par la commune de Montereau-sur-le-Jard en Seine-et-Marne, l’enseigne se heurte désormais au territoire Sénonais où Stop PANHARD montre les dents. Après des mois de combat et d’études des zones d’ombres autour du dossier, le collectif a décidé de porter l’affaire en justice.

 

SENS : Le collectif Stop PANHARD a fait le point sur le projet de construction d’un parc logistique comprenant un entrepôt de 108 617 mètres carrés au nord de la zone des Vauguillettes, lors d’une récente réunion publique. Chronologie des événements et motifs de l’opposition : le collectif citoyen a exposé l’ensemble de ses actions dont une pétition. Celle-ci a récolté plus de 3 200 signatures. Il s’est, en outre, expliqué sur sa stratégie juridique qui exploitera l’opacité du projet.

 

Le e-commerce est loin d’être dématérialisé et sans conséquence…

 

Ce qui préoccupe davantage les membres du collectif, c’est notamment la pollution générée par un trafic de poids lourds très dense, l’impact sur le commerce local et la destruction de près de 40 hectares de terres agricoles.

Alors que « le besoin de terres nourricières n’a jamais été aussi criant » s’indigne Sylvie BELTRAMI, co-présidente de l’ADENY, association de Défense de l'Environnement et de la Nature de l'Yonne.

En termes d’emplois, le projet faisait une belle promesse de création de deux mille postes initialement. Puis, il a été baissé à 1 200 créations de poste. Une aubaine tout de même pour le bassin de Sens dont le taux de chômage est de 7,8 %.

Tandis que le collectif dresse un tableau bien noir avec beaucoup moins d’emplois que prévu (200 à 300), précaires, éprouvants, peu qualifiés et pour une faible rémunération, ainsi qu’un un fort turn-over et des formations courtes.

Plusieurs rapports gouvernementaux rendent compte de cette réalité et même d’une hausse exponentielle des contrats à durée déterminée dans ce secteur.

En 2016, les entrepôts et des établissements logistiques affichaient un taux de recours à l’intérim de 15 %. Aujourd’hui, un tiers des salariés sont embauchés sous ce type de contrat.

De plus, les entrepôts profitent de l’avènement de la robotisation. Cela permet d’augmenter la productivité. Même si les professionnels assurent que les sites ne seront jamais 100 % robotisés, la main d’œuvre humaine affectée aux tâches pénibles sera très certainement remplacée sur le long terme.

 

 

Une stratégie juridique axée sur la dissuasion…

 

Première étape prévue par l’avocat du collectif, Me Grégoire WEIGEL : former un recours contre l’arrêté préfectoral du 28 septembre 2021, portant autorisation environnementale devant le Tribunal Administratif de Dijon.

En attaquant cet arrêté en référé, procédure d’urgence autorisée par le Code de l’environnement sous certaines conditions, le collectif espère le faire annuler et ainsi bloquer le projet.

« Ces conditions c’est, par exemple, la requalification de l’avis du commissaire-enquêteur » qui avait émis un avis positif, suite aux réponses de PANHARD jugées convenables.

Cependant, Me Grégoire WEIGEL estime que le commissaire-enquêteur n’a pas eu connaissance du véritable dossier.

Le projet comporte en effet de nombreuses zones d’ombre dont l’entrepôt de messagerie qui n’a pas été décrit ou encore l’absence de mention de l’accroissement du trafic dû aux retours gratuits proposés par ZALANDO, spécialiste du e-commerce.

Deux paquets sur trois en moyenne seraient retournés par les clients selon le journal suisse « Le Temps ».

Au final, l’objectif du collectif est de déclencher un maximum de procédures afin de dissuader le géant du e-commerce de s’implanter à Sens. Le collectif pourrait bien obtenir gain de cause.

Car le maire de Montereau-sur-le-Jard Christian HUS avait affirmé auprès du journal « La République de Seine-et-Marne » que l’enseigne « ne veut pas être en contradiction avec les habitants et les élus locaux ». Un dossier à suivre de près…

 

Floriane BOIVIN

 


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La liste pourrait s’égrener comme une longue litanie plaintive. Poitiers, Périgueux, Alès, Nîmes, Niort…et au bout du compte, Auxerre ! D’ici quelques semaines, et après acceptation de l’offre de reprise par le groupe Financière du Trésor du Patrimoine, l’ancien fleuron de la vente de livres France LOISIRS aura disparu ou presque de notre paysage commercial national, clouant aux piloris près de 600 collaborateurs dépités…

 

AUXERRE : Il n’en restera au bout du compte plus que quatorze ! Quatorze de ces fameuses boutiques à la fameuse estampille de France Loisirs qui auront accueilli des millions de nos compatriotes, férus d’ouvrages et de loisirs créatifs.

D’ici peu, à échéance 2022, cent huit de ces commerces vont mettre la clé sous le paillasson. Entraînant la suppression de six cents postes : un nouveau drame sur le registre du volet social et de l’emploi.

Lundi, le Tribunal de Commerce de Paris a validé l’offre de reprise du groupe Financière du Trésor du Patrimoine. Une porte de sortie bien maigre qui ne condamne certes pas l’enseigne mais la réduit à sa portion congrue fonctionnelle et économique après son placement en liquidation judiciaire survenu à la fin octobre.

Sur les 122 points de vente implantés dans l’Hexagone avant cette funeste période, il ne restera donc plus qu’une quinzaine de ces vitrines.

Quant aux filiales de la célèbre maison (on pense au pôle édition), elles devraient perdurer pour un temps.

Selon les experts du Tribunal de Commerce de Paris, c’était la moins pire des solutions. Quatre salariés sur cinq sont ainsi sur le carreau. Avec en perspective un avenir précaire.

Quant au club de livres, il a plusieurs millions de dettes à éponger. Un triste Noël donc pour la sympathique équipe commerciale auxerroise qui la mort dans l’âme se prépare à quitter le navire avec amertume et à laisser définitivement close la porte de la boutique qui n’a plus le cœur à faire la fête…

 

Thierry BRET

 


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Elles ne sont jamais à court d’idées, c’est sûr, les deux représentantes de l’opposition ! Surtout lorsqu’il s’agit de relayer les informations vers le plus grand nombre, histoire de jouer la carte de la transparence dans les débats. En l’occurrence, ceux qui résulteront du futur conseil municipal d’Auxerre qui se déroulera ce jeudi 16 décembre à partir de 18 heures. A vivre en live sur les comptes Facebook des deux élues…

 

AUXERRE : S’inspirant de ce qui se fait désormais depuis deux sessions au sein du Conseil départemental, Maud NAVARRE et Farah ZIANI souhaitent diffuser vers le plus grand nombre des administrés de la ville d’Auxerre les échanges et débats issus du conseil municipal.

Leur canal de communication se veut simple et très fonctionnel : leurs comptes respectifs que les deux jeunes femmes possèdent sur le réseau social Facebook.

« Nous prenons donc les choses en main, disent-elles d’une même voix, car la loi ne nous l’interdit pas ! Nous retransmettrons donc les débats qui sont publics sur nos comptes personnels… ».

Premier rendez-vous pour les deux élues influenceuses : ce jeudi 16 décembre à partir de 18 heures, horaire auquel devraient débuter les travaux de ce conseil municipal important.

 

 

Des demandes de l’opposition qui sont restées lettre morte…

 

Le rendez-vous est capital à bien des égards. Il y sera voté le budget 2022. En outre, le maire d’Auxerre Crescent MARAULT y exposera longuement son plan pluriannuel d’investissement, cernant l’ensemble des projets à venir dans les prochaines années.

Arguant que plusieurs collectivités dont le Département ont déjà franchi le pas, les deux élues de l’opposition pensent qu’il est fondamental de transmettre aux habitants de la capitale de l’Yonne les éléments informatifs suscitant de l’intérêt autour de ces perspectives futures.

Diffuser les échanges et débats d’un conseil municipal via un réseau social représente un devoir indispensable pour le bon fonctionnement de la démocratie, expliquent-elles. D’autant que le rebond de la crise sanitaire contraint, voire limite, la présence du public qui posséderait quelques velléités pour venir assister à la réunion, avec le port obligatoire du masque.

A plusieurs reprises, les élus de l’opposition ont par ailleurs multiplié les demandes auprès du maire pour que s’instaure dans un esprit de totale transparence ce principe technique de diffusion via les réseaux sociaux.

« Une requête demeurée jusqu’à aujourd’hui lettre morte, précisent les deux élues, à nous d’anticiper et de proposer cette démarche via un support de communication utile à l’ensemble des citoyens… ».

 

Thierry BRET

 


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Pas contents, les élus de l’opposition de la localité périphérique d’Auxerre ! Ils l’ont fait savoir de manière très implicite en quittant dès les premières minutes le conseil municipal du 22 novembre dernier. Un claquement de porte inattendu avant que ne soit proclamée ouverte la séance de travail des élus. Ce mouvement d’humeur a pris ses origines sur un aspect de pure sémantique autour du terme « municipalité ». De nouvelles joutes en perspective ce lundi soir où le conseil se tiendra ?

 

MONETEAU: Il y a différentes manières de faire connaître sa désapprobation quand les choses déplaisent lors d’une séance de prise de parole collective ! En l’occurrence, la tenue d’un conseil municipal.

La première consiste à interrompre à tout moment l’orateur principal, en l’occurrence le maire ou l’un de ses représentants, pour le faire taire et apporter de la contradiction aux échanges, à défaut de débat constructif.

La seconde peut s’appréhender dans la conservation d’un mutisme absolu, façon « je fais la gueule » et « je ne dirai pas un traître mot de la soirée ».

La troisième de ces préconisations utiles à conserver en mémoire fait appel à l’humour et à son pouvoir de franche dérision, mâtinée d’un zeste d’ironie par rapport à ce qui est avancé en séance. Effets comiques garantis !

La quatrième possibilité s’effectue comme dans les travées de l’hémicycle du Palais Bourbon de temps à autre par voies d’invectives, à la limite des insultes et des noms d’oiseaux. Le signe élégant de la démocratie dans toute sa splendeur !

Enfin, pour clore ce jeu des sept familles du reproche contradictoire, ramenées à cinq hypothèses dans le cas qui nous importe, il reste toujours l’opportunité pour les contestataires de se lever séance tenante une fois que tout le monde est installé confortablement et de quitter brusquement la salle en se faisant remarquer le plus possible ! Une pirouette toujours astucieuse !

C’est donc cette dernière marque de mécontentement très visible et incisive qu’ont choisi les six représentants de l’opposition à la gouvernance actuelle du conseil municipal de Monéteau il y a quelques jours. Une façon d’agir quasi immédiate puisque survenant juste quelques minutes après les propos liminaires de ce rendez-vous.

 

 

Par ici la sortie pour les élus de l’opposition !

 

Ce chambardement soudain dans le protocole, façon coup de canif dans la bien-pensance, prend ses origines dans la circulation d’une pétition de l’un des habitants de la commune. Monsieur MAHUT pour ne pas le citer ! Ce dernier interpelle en la questionnant par écrit l’édile Arminda GUIBLAIN, à propos d’un différent dans le voisinage concernant des travaux. Précisant qu’il souhaitait faire connaître également les fruits de sa requête à l’opposition municipale. Ce dernier se voit alors confirmé par l’élue qui a succédé à Robert BIDEAU au poste de maire que « l’opposition ne faisait pas partie de la municipalité ».

Une opposition qui n’a jamais eu connaissance de la demande écrite de ce villageois comme devait le préciser quelques jours plus tard par voie téléphonique à Presse Evasion, Patrick PICARD, ancien candidat aux élections départementales et élu local.

« Nous sommes abasourdis par la réponse du maire, explique-t-il, en quoi les élus de son opposition ne font pas partie intégrante de la municipalité ?! ».

 

 

Il aurait été alors précisé à M. MAHUT que « les élus minoritaires obtiendraient des informations sur ledit dossier une fois que des décisions seraient prises ». Dont acte !

Dénonçant l’absence de concertation entretenue par Arminda GUIBLAIN à leur égard, les six élus concernés se sont donc levés de leurs sièges en prenant le chemin de la sortie de la salle du conseil.

« Nous ne pouvions accepter cette situation, justifie Patrick PICARD, nous avons choisi de montrer ouvertement notre désapprobation… ».

 

Une opposition qui dénonce le mépris à son égard…

 

Quant au terme incriminé, « municipalité », qui a provoqué l’ire de l’opposition, il  est donc au centre de la problématique conflictuelle. Il possède d’ailleurs une double signification au plan étymologique.

En premier lieu, il représente le corps municipal, c’est-à-dire l’ensemble des personnes qui administrent une commune (le maire, ses adjoints et ses conseillers municipaux qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition) ; et la circonscription qui est administrée par ce même corps municipal. Mais en aucun cas, le terme qui se veut généraliste ne fait de distinguo entre les élus au pouvoir et ceux qui y seraient opposés…

Et Patrick PICARD de conclure : « Jamais durant les quatre mandats que nous avons effectué auparavant avec Robert BIDEAU, nous n’avons caché la moindre pétition venant de nos concitoyens à l’opposition. Cet écart est inacceptable et vient s’ajouter à une liste importante de mépris à notre égard… ».

On attend maintenant la réponse argumentée de la première des élus de la commune qui nous a promis d’apporter des éléments de clarification à cette péripétie inhabituelle dans la vie institutionnelle d’un conseil municipal. A savoir le sens de la terminologie exacte d’un mot de notre vocabulaire !

 

Thierry BRET

 


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