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A fleuret moucheté, ce disciple de Bacchus, fervent admirateur de la bonne chère et de la large soif, aura distillé pendant huit années de réels plaisirs radiophoniques partagés vers le plus grand nombre son style inimitable, ses passions culinaires et ses commentaires gouleyants qui ont fait les grandes heures de France Bleu Auxerre. Un clap de fin radiophonique avant de nouvelles aventures numériques ?

 

SENS : Dans la boîte, l’ultime prise de son de la fameuse émission radiophonique, « Ici c’est l’Yonne », avec l’un de ses animateurs vedette ! Le lieu est prestigieux, limite mythique pour les adorateurs de la cuisine raffinée, façon succulence garantie au fond de l’assiette.

Pour son dernier rendez-vous avec ses chers auditeurs qui le suivent fidèles de manière hebdomadaire depuis si longtemps, le chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA a choisi de poser son micro à « La Côte Saint-Jacques ».

Cette antépénultième chronique, le roi de l’anecdote gastronomique, va la consacrer à l’un des maîtres de l’art culinaire à la française, le regretté Michel LORAIN. Dont son fils, Jean-Michel, qui a repris les rênes de ce vaisseau amiral de belle facture a hérité la passion et le don.

L’émission sera diffusée le 15 janvier prochain, dans sa tranche habituelle. Entre dix et onze heures. Avant de passer à table après s’être sacrifié avec délectation au rite de l’apéritif !

Une belle façon de commencer l’an nouveau. Une dernière pirouette pour dire adieu à cette voix passionnée et inimitable qui accompagnait les auditeurs de la station du service public depuis des lustres.

 

 

Une aventure radiophonique pour évoquer les produits du terroir…

 

Gauthier PAJONA qui appréciait les joies du direct sur le terrain au plus près des grandes toques de ce territoire et des plus obscurs mais tout aussi talentueux as de la gastronomie rend son tablier. Une séparation à l’amiable parce que l’émission dont il aura été le héraut durant huit années sera désormais enregistrée en studio. Loin, très loin des pianos et autres fourneaux des chefs à la dextérité si experte !

C’est cela qu’il adorait par-dessus tout cet amoureux de l’excellence culinaire, faire des directs en studio ou dans les cuisines regorgeant de victuailles de ses amis, membres de l’Académie culinaire de France, de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, des disciples d’Escoffier, ou portés au firmament de la célébrité puisque étoilés au Michelin.

 

 

Que ce soit avec Nathalie RIVAUD (une perle rare de l’animation radiophonique pour composer ce binôme anachronique qui se complétait à merveille pendant six ans) ou avec Catherine MARCHESIN, l’ami Gauthier que tous les amoureux de la table ont eu l’heureuse opportunité de croiser au moins une fois dans leur existence dans un restaurant ou un estaminet dans l’Yonne, vivait cette aventure sur les ondes comme un poisson dans l’eau. Logique pour ce grand amateur de noix de Saint-Jacques et de crustacés !

 

 

Une page se termine, une autre va s’ouvrir…

 

Pourvu d’une silhouette reconnaissable parmi mille, affublé de son éternelle coiffe, chapeau ou casquette selon les conditions météo, qui lui donnait des airs de turfistes à la Michel AUDIARD se rendant au « Gentleman d’Epson », Gauthier PAJONA restera le symbole flamboyant de l’art de vivre démystifié et vulgarisé pour le commun des mortels dans notre région. Un esthète se donnant tout entier aux auditeurs de l’Yonne à qui il aimait donner la parole lors de ses directs.

Que ce soit sur les nombreuses foires de Sens où il a animé des émissions ou dans le cadre dantesque des cérémonies vineuses telles que les Saint-Vincent bourguignonnes, à Irancy en 2016 ou à Vézelay quatre ans plus tard, ce personnage haut en couleur, truculent dans le choix de ses mots et d’une fidèle amitié (loyauté aussi) a pu exercer ses talents aux côtés de Jean-Luc PETITRENAUD, que l’on en présente plus.

Gourmand et gourmet à la fois, as des as de la cuisine à titre personnel, amateur émérite de grands crus, dénicheurs de petits producteurs du cru : Gauthier PAJONA a donc choisi de couper le son de son micro de manière définitive le 07 décembre.

Une page de sa vie journalistique se termine avec un pincement au cœur. Une autre se profile déjà dans l’univers de la presse en ligne…On en savoure d’avance l'idée !

 

Thierry BRET

 


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A l’Agglomération comme à la Ville, l’opposition au maire-président Crescent MARAULT, dont la condamnation rendue hier par le Tribunal judiciaire de Sens s’étend comme une trainée de poudre parmi le sérail politique local, prépare la riposte. Une réunion ce soir doit déterminer l’angle d’attaque choisi. Les banderilles devraient tomber dès jeudi lors des retrouvailles en séances plénières…

 

AUXERRE : Chaud, chaud le double rendez-vous de Crescent MARAULT avec son opposition ce jeudi 16 décembre ! Aussi bien lors de la réunion de travail communautaire dès 09 heures à la salle Vaulabelle. Que le soir même pour clore cette intense journée institutionnelle et politique à l’hôtel de ville à 18 heures.

Ce soir, les élus de l’opposition à la majorité constituée par la droite et le centre droit se réunissent à Auxerre pour chauffer le fer pendant qu’il est encore incandescent, à la suite de la condamnation de l’élu de l’Yonne pour prise illégale d’intérêt.

Une sanction que les élus de l’opposition ont en travers de la gorge. Au nom du bon fonctionnement des institutions républicaines et de la confiance de nos concitoyens en leurs représentants.

« J’ai pris connaissance de la condamnation judiciaire du maire, explique Mani CAMBEFORT, premier fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne, par respect pour l'indépendance de la justice, il ne m'appartient pas de commenter cette décision judiciaire, mais d'en tirer les conséquences politiques : cette décision est terrible pour Auxerre et l’Auxerrois. Elle donne l'image d'élus peu scrupuleux avec la loi. Elle ne peut que renforcer la défiance déjà bien importante envers les élus de la République, assimilés à des délinquants. Elle fragilise donc terriblement le maire d'Auxerre et président de l'Agglomération… ».

 

Pourquoi des logos officiels sur un communiqué de presse résultant d’une affaire privée ?

 

En filigrane, pour l’un des porte-voix de l’opposition qui n’a jamais eu la langue dans sa poche, il faut que l’intéressé prenne enfin ses responsabilités.

« Juridiquement, Crescent MARAULT n'est pas obligé de démissionner. Éthiquement, il s'honorerait à s'appliquer la même règle que les ministres et à se retirer, comme l'a fait Alain GRISET, il y a quelques jours… ».

 

 

Quoi qu’il se passe dans les jours à venir, Mani CAMBEFORT et les autres élus de l’opposition ne comptent pas avaler aussi facilement la couleuvre.

« Il faut respecter les citoyens qui ont des exigences sur la probité de nos élus et c’est bien normal ! ».

A propos du communiqué de presse transmis par Crescent MARAULT, l’élu socialiste s’étonne que les logos de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois et celui de la Ville d’Auxerre y figurent.

 

Une telle affaire n’est pas bonne pour la notoriété de la ville…

 

« C’est une affaire qui implique uniquement le maire-président en sa qualité personnelle, souligne-t-il, les institutions n’ont rien à voir là-dedans ! ».

Contestant ce mélange des genres, Mani CAMBEFORT ne décolère pas. « L’image de la ville est écornée après une telle affaire, ajoute-t-il, ce n’est pas bon pour la notoriété de notre territoire. D’autant que la presse nationale s’est déjà emparée du sujet ».

Rappelant au passage qu’un élu de l’opposition ne perçoit aucun émolument pour son engagement républicain, le premier fédéral du PS de l’Yonne dénonce ce genre d’attitude qui nuit à la citoyenneté et au civisme.

La journée du 16 décembre risque bien de gagner quelques degrés supplémentaires en température dans le microcosme politique auxerrois. Chaud bouillant, avons-nous dit !

 

Thierry BRET

 

 


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Dix mille euros d’amende. Une somme qui s’agrémente de huit mois de prison, avec sursis. Avec en sus, une période de douze mois d’inéligibilité. « Oui mais avec sursis », se satisferont les zélateurs du maire-président d’Auxerre ! La peine, prononcée en fin d’après-midi mardi 14 décembre par le Tribunal judiciaire de Sens, sanctionne Crescent MARAULT pour prise illégale d’intérêt. Une peine qui ne changera pas d’un iota sa ligne de conduite politique, l’élu se maintenant à son poste…

 

AUXERRE : Il ne mettra donc pas un terme à son mandat électif de premier élu de la place. Ni à sa fonction de président de l’Agglomération de l’Auxerrois ! Considérant que le rendu de cette décision judiciaire clôt définitivement la procédure qui était engagée à son endroit, le maire de droite et du centre droit de la capitale de l’Yonne souhaite se consacrer pleinement à la mise en œuvre du Projet de territoire à dix ans sur lequel il appuie sa stratégie.

Crescent MARAULT, dans un souci de transparence comme il l’écrit lui-même, a adressé un communiqué de presse à l’ensemble des rédactions dès que la sentence a été prononcée par le Tribunal judiciaire de Sens. Un communiqué qui a été largement relayé par les médias, et bien au-delà de nos frontières régionales.

 

Un appel d’offres illicite qui se mue en « erreur »…

 

« Dans la logique de transparence qui a toujours guidé mon action, précise le maire d’Auxerre à travers les lignes de ce document, j’accepte le principe de la condamnation d’autant qu’il ne peut m’être reproché le moindre enrichissement personnel dans ce dossier… ».

Un peu plus loin, Crescent MARAULT rappelle que « les élus sont des justiciables ordinaires, semblables à tout un chacun ».

Rappelons que l’édile de l’Yonne comparaissait ce mercredi à Sens dans le cadre d’une reconnaissance préalable de sa culpabilité pour des faits qui lui étaient reprochés en 2018 dans le cadre d’un marché public.

 

 

A l’époque, le président de l’Agglomération occupait le fauteuil de maire à Saint-Georges-sur-Baulche. Par le truchement de son entreprise EQUIP BURO, Crescent MARAULT avait alors donné suite à un appel d’offres sur le marché de l’ameublement de la médiathèque de la commune dont il assurait la gouvernance en qualité de maire. Or, un maire ne peut répondre à un appel d’offres selon le législateur. Une « erreur » qu’avait reconnue par la suite Crescent MARAULT. La valeur du marché correspondait à 55 000 euros.

Nonobstant, le maire d’Auxerre considère désormais que le dossier est clos.

« Je reste pleinement mobilisé sur mes actions, notamment la mise en œuvre du Projet de Territoire ».

Un concept à multiples fenêtres et orientations qui court sur la décennie actuelle. Et qui englobe nécessairement l'hypothèse d'un second mandat de l’intéressé ?

 

Thierry BRET

 

 


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Le projet de ZALANDO se retrouve de nouveau face à une forte opposition locale. D’abord huée par la commune de Montereau-sur-le-Jard en Seine-et-Marne, l’enseigne se heurte désormais au territoire Sénonais où Stop PANHARD montre les dents. Après des mois de combat et d’études des zones d’ombres autour du dossier, le collectif a décidé de porter l’affaire en justice.

 

SENS : Le collectif Stop PANHARD a fait le point sur le projet de construction d’un parc logistique comprenant un entrepôt de 108 617 mètres carrés au nord de la zone des Vauguillettes, lors d’une récente réunion publique. Chronologie des événements et motifs de l’opposition : le collectif citoyen a exposé l’ensemble de ses actions dont une pétition. Celle-ci a récolté plus de 3 200 signatures. Il s’est, en outre, expliqué sur sa stratégie juridique qui exploitera l’opacité du projet.

 

Le e-commerce est loin d’être dématérialisé et sans conséquence…

 

Ce qui préoccupe davantage les membres du collectif, c’est notamment la pollution générée par un trafic de poids lourds très dense, l’impact sur le commerce local et la destruction de près de 40 hectares de terres agricoles.

Alors que « le besoin de terres nourricières n’a jamais été aussi criant » s’indigne Sylvie BELTRAMI, co-présidente de l’ADENY, association de Défense de l'Environnement et de la Nature de l'Yonne.

En termes d’emplois, le projet faisait une belle promesse de création de deux mille postes initialement. Puis, il a été baissé à 1 200 créations de poste. Une aubaine tout de même pour le bassin de Sens dont le taux de chômage est de 7,8 %.

Tandis que le collectif dresse un tableau bien noir avec beaucoup moins d’emplois que prévu (200 à 300), précaires, éprouvants, peu qualifiés et pour une faible rémunération, ainsi qu’un un fort turn-over et des formations courtes.

Plusieurs rapports gouvernementaux rendent compte de cette réalité et même d’une hausse exponentielle des contrats à durée déterminée dans ce secteur.

En 2016, les entrepôts et des établissements logistiques affichaient un taux de recours à l’intérim de 15 %. Aujourd’hui, un tiers des salariés sont embauchés sous ce type de contrat.

De plus, les entrepôts profitent de l’avènement de la robotisation. Cela permet d’augmenter la productivité. Même si les professionnels assurent que les sites ne seront jamais 100 % robotisés, la main d’œuvre humaine affectée aux tâches pénibles sera très certainement remplacée sur le long terme.

 

 

Une stratégie juridique axée sur la dissuasion…

 

Première étape prévue par l’avocat du collectif, Me Grégoire WEIGEL : former un recours contre l’arrêté préfectoral du 28 septembre 2021, portant autorisation environnementale devant le Tribunal Administratif de Dijon.

En attaquant cet arrêté en référé, procédure d’urgence autorisée par le Code de l’environnement sous certaines conditions, le collectif espère le faire annuler et ainsi bloquer le projet.

« Ces conditions c’est, par exemple, la requalification de l’avis du commissaire-enquêteur » qui avait émis un avis positif, suite aux réponses de PANHARD jugées convenables.

Cependant, Me Grégoire WEIGEL estime que le commissaire-enquêteur n’a pas eu connaissance du véritable dossier.

Le projet comporte en effet de nombreuses zones d’ombre dont l’entrepôt de messagerie qui n’a pas été décrit ou encore l’absence de mention de l’accroissement du trafic dû aux retours gratuits proposés par ZALANDO, spécialiste du e-commerce.

Deux paquets sur trois en moyenne seraient retournés par les clients selon le journal suisse « Le Temps ».

Au final, l’objectif du collectif est de déclencher un maximum de procédures afin de dissuader le géant du e-commerce de s’implanter à Sens. Le collectif pourrait bien obtenir gain de cause.

Car le maire de Montereau-sur-le-Jard Christian HUS avait affirmé auprès du journal « La République de Seine-et-Marne » que l’enseigne « ne veut pas être en contradiction avec les habitants et les élus locaux ». Un dossier à suivre de près…

 

Floriane BOIVIN

 


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La liste pourrait s’égrener comme une longue litanie plaintive. Poitiers, Périgueux, Alès, Nîmes, Niort…et au bout du compte, Auxerre ! D’ici quelques semaines, et après acceptation de l’offre de reprise par le groupe Financière du Trésor du Patrimoine, l’ancien fleuron de la vente de livres France LOISIRS aura disparu ou presque de notre paysage commercial national, clouant aux piloris près de 600 collaborateurs dépités…

 

AUXERRE : Il n’en restera au bout du compte plus que quatorze ! Quatorze de ces fameuses boutiques à la fameuse estampille de France Loisirs qui auront accueilli des millions de nos compatriotes, férus d’ouvrages et de loisirs créatifs.

D’ici peu, à échéance 2022, cent huit de ces commerces vont mettre la clé sous le paillasson. Entraînant la suppression de six cents postes : un nouveau drame sur le registre du volet social et de l’emploi.

Lundi, le Tribunal de Commerce de Paris a validé l’offre de reprise du groupe Financière du Trésor du Patrimoine. Une porte de sortie bien maigre qui ne condamne certes pas l’enseigne mais la réduit à sa portion congrue fonctionnelle et économique après son placement en liquidation judiciaire survenu à la fin octobre.

Sur les 122 points de vente implantés dans l’Hexagone avant cette funeste période, il ne restera donc plus qu’une quinzaine de ces vitrines.

Quant aux filiales de la célèbre maison (on pense au pôle édition), elles devraient perdurer pour un temps.

Selon les experts du Tribunal de Commerce de Paris, c’était la moins pire des solutions. Quatre salariés sur cinq sont ainsi sur le carreau. Avec en perspective un avenir précaire.

Quant au club de livres, il a plusieurs millions de dettes à éponger. Un triste Noël donc pour la sympathique équipe commerciale auxerroise qui la mort dans l’âme se prépare à quitter le navire avec amertume et à laisser définitivement close la porte de la boutique qui n’a plus le cœur à faire la fête…

 

Thierry BRET

 


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