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Animatrice de la Communauté des Positives Entreprises et des Brunchs des Positives Entreprises pour le compte de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Christine JAN avait concocté un programme des plus surprenants et ambitieux ce jeudi 08 février, invitant les entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les multiples facettes du centre pénitentiaire de Joux la Ville. Une immersion emplie d’enseignements qui aura permis d’apprécier le rôle économique tenu par la filiale de SODEXO, Justice Services, sur ce site.

JOUX LA VILLE : Bravant la neige et le froid glacial qui sévissent actuellement sur le département de l’Yonne, une trentaine de décideurs économiques, membres du club des « Positives Entreprises » de la Chambre de Commerce et d’Industrie ont rallié ce jeudi le centre pénitentiaire de Joux la Ville avec l’envie d’en apprendre davantage sur le fonctionnement du lieu.

Comme à l’accoutumée, et selon la formule habituelle de ce brunch convivial qui allie découverte et contacts chaleureux entre les adhérents, les participants de ce rendez-vous quelque peu insolite ont pu très vite se mettre dans l’ambiance de l’univers carcéral, une fois les règles de sécurité dites après leur arrivée.

Des détenus qui exercent une activité professionnelle pour indemniser leurs victimes…

Si les portables, les ordinateurs et autres sacs devaient être remisés dans les coffres des véhicules à l’extérieur de l’enceinte pour des raisons bien compréhensibles au niveau sécuritaire, les chefs d’entreprise purent mentalement noter le contenu des éléments explicatifs justifiant le mode opératoire de l’infrastructure.

Celle-ci accueille aujourd’hui une population d’environ 600 détenus dont une centaine de femmes ; la plupart placés en détention à la suite de condamnations de longue durée, pouvant amener le terme de la peine à horizon 2035.

Un tiers de ces prisonniers exercent une activité professionnelle au sein d’univers spécifiques que les entrepreneurs de l’Yonne découvriront au fur et à mesure de leur visite après la partie informative. Sur la base du volontariat et après validation de la Commission pluridisciplinaire unique du centre de détention, ils peuvent prétendre apposer leur signature au bas d’un contrat d’engagement de travail. Ce qui leur assurera une rémunération calculée sur la base salariale de 45 % du SMIC.

SODEXO, un partenaire économique partie prenante dans le milieu carcéral…

Puis, vint le tour des explications organisationnelles apportées par Yann MALISSE, directeur du site pour la direction régionale Nord/ouest de la branche Justice Services de SODEXO.

L’enseigne intervient auprès de 190 établissements répartis dans une dizaine de pays de la planète dont le Mexique et le Chili. Proposant des axes multiservices, SODEXO agit à l’intérieur de 23 centres pénitenciers en France, à la suite d’appels d’offres. Ce qui permet à cette entreprise d’employer 710 collaborateurs sur cette branche d’activité.

« Nous déclinons sur ce site une palette éclectique de services, poursuivit Yann MALISSE devant un auditoire studieux et interrogateur, depuis la restauration, l’hôtellerie et la blanchisserie jusqu’aux opérations de nettoyage, d’entretien des espaces verts, l’accueil des familles ou encore le transport/transfert des détenus… ».

Seul le pôle formation/orientation que la société sait pertinemment gérée par ailleurs lui a échappé sur le centre pénitentiaire de l’Yonne. Cette double tâche étant revenue au GRETA et à la Maison familiale rurale.

A Joux la Ville, SODEXHO a dépêché une vingtaine de collaborateurs pour accomplir ces multiples prestations de services au quotidien. Ne pouvant optimiser toute seule de tels chantiers, SODEXO s’est donc appuyée sur le volontariat de 90 détenus qui travaillent de concert à la bonne fonctionnalité de ces différents services.

  


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La Saint-Valentin, fête des amoureux, se marie-t-elle avec les saveurs sucrées et la texture onctueuse du chocolat ? Peut-elle être le prétexte à l’organisation d’un événementiel unique à Auxerre qui permettra aux adorateurs de la fève de cacao travaillée sous toutes ses variantes de se réunir dans le cadre d’une découverte insolite de nouveaux produits ? C’est l’enjeu de ce premier rendez-vous concocté par les équipes de marketing et de communication d’AUXERREXPO avec la création de ce salon parrainé par quelques pointures de la discipline chocolatière…

AUXERRE : Invitation à l’éveil des sens et des papilles, mais aussi à la découverte d’un produit mythique universellement reconnu et apprécié, ce rendez-vous alléchant pour les épicuriens et autres gourmands en tout genre pourrait s’avérer être une belle réussite pour ses organisateurs.

Articulée autour de la présence physique d’une trentaine d’exposants (confiseurs, artisans chocolatiers, fabricant de nougat mais aussi créateurs de bijoux, fleuristes et producteurs de champagne et de vins…), cette manifestation ne se destine pas uniquement aux aficionados du petit carré de pur cacao à 90 % ou de succulentes ganaches fondant en bouche.

Des références de la filière présentes à Auxerre

On l’aura compris en mixant le chocolat à la traditionnelle fête des amoureux les concepteurs de l’évènement souhaitaient allier symboliquement Cupidon aux maîtres de la chocolaterie, fervents défenseurs des arts de vivre et de cette suavité tranquille du bien-être qu’ils représentent, et qui se décline entre parfaits connaisseurs.

Conçue avec l’œil avisé de l’un des fleurons de ce métier artisanal, Sébastien METOYER, cette première à Auxerre où curieusement aucun salon du chocolat n’aura été proposé par le passé, réunira des valeurs sûres de la corporation : l’ancien champion du monde de pâtisserie Mickaël AZOUZ, titré en 1989 et Guy ROUX, rien à voir avec le célébrissime entraîneur de football, lui-même titulaire du titre de champion de France de pâtisserie 2004 et vice-champion du monde dès l’année suivante.

Outre les causeries instructives sur les origines de ce noble produit dont raffolaient tant les pairs du royaume de France à l’époque où il fut introduit, un défilé de mode occupera le temps de plusieurs représentations les points essentiels de ce rendez-vous. La nouvelle Miss Yonne 2017, Anoushka BALAJ et les naïades qui l’accompagneront sur scène, exposeront leurs jolis minois dans des parures intégralement conçues par des orfèvres en la matière selon les codes vestimentaires empruntés aux robes de soirée version chocolatée.

Le concours du meilleur gâteau au chocolat désignera l’amateur de pâtisserie qui aura su mettre l’eau à la bouche et retenir l’intérêt d’un jury composé de professionnels avertis, découvreurs de nouveaux talents.

D’accès gratuit, ce premier Salon du chocolat débutera ce vendredi à 14 heures. Il durera tout le week-end de 10 à 19 heures et laissera d’excellents souvenirs au palais et pour l’odorat à tous ces amoureux qui auront célébré la Saint-Valentin un peu en avance…et de façon goûteuse.


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Applicable dès le 01er mars, ce nouveau dispositif sanitaire concernera les assurés sociaux de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne qui procèdent de manière régulière à un bilan de santé (anciennement les examens périodiques de santé). Coordonnée en collaboration avec le Centre hospitalier d’Auxerre, cette mission visant à lutter efficacement contre certaines pathologies infectieuses aura pour objectif de contrôler et surtout d’actualiser le carnet de vaccination de ces personnes. Une statistique intéressante a justifié cette stratégie de précaution encouragée par le Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie : avec près de 8 500 bilans de santé réalisés chaque année, il s’est avéré que 1 500 assurés consultants n’étaient pas à jour de leurs vaccinations. A l’instar de près de 60 % des adultes vivant dans notre pays…

AUXERRE : Vingt-quatre mille cas de rougeole ont été décelés en France pour la seule année 2017. Six cents malades ont souffert de coqueluche alors qu’ils auraient pu éviter cette infection si leurs rappels de vaccins avaient été respectés. Ces observations se multiplient de plus en plus dans l’hexagone, plongeant dans l’inquiétude les praticiens de la médecine généraliste qui souhaitent changer les mentalités, et surtout éradiquer les « a priori » contre les vaccins.

Or, grâce à de simples injections, beaucoup de maladies se sont raréfiées sur la planète. Mais, d’autres pathologies subsistent encore. L’efficience des vaccins prend son salut dans la récurrence de ces injections grâce à des rappels proposés à des tranches d’âge précises : la petite enfance, à 25 ans, à 45 ans et à 65 ans.

Mais, une large majorité d’adultes passent le plus souvent à travers les mailles du filet sanitaire par ignorance, par insouciance, voire par oubli. Et pour certains, par une volonté farouche à ne pas s’y soumettre.

Le bilan de santé, étape obligatoire menant à la vaccination

C’est au moment du bilan de santé (un examen pris en charge par la CPAM et proposé dans les locaux du CES) que le patient bénéficie d’un état des lieux exhaustif  de sa situation sanitaire à l’aide de différents examens. A Auxerre, ils sont cinq médecins qui déclinent leurs sciences dans cet exercice. Schématiquement, c’est au cours de l’une de ses consultations que le médecin vérifie le carnet de santé afin de pallier aux manques. Diphtérie, rubéole, tétanos, polio, oreillons, coqueluche, rougeole…si le carnet de vaccination recèle des carences, elles seront réparées sur le champ avec l’accord du patient.

« Naturellement, explique le docteur Saïd BROUCHE, médecin-chef du Centre d’examens de Santé d’Auxerre, la vaccination est intégrée au bilan de santé et requiert simplement une inscription de la part du patient. La priorité sera donnée aux personnes vivant en situation précaire… ».

Cependant, le déroulé de ce rattrapage vaccinal ne se limitera pas uniquement aux actions menées dans les services de soins du Centre d’examens de santé. Les unités mobiles interviendront dans les territoires en déficit de généralistes, sur les secteurs d’Avallon, de Sens et de Tonnerre.

Cette nouvelle offre de services sera accessible gracieusement. Même s’il en coûte de 5 à 6 euros pour l’acquisition d’un vaccin à l’unité. Un budget intégralement financé par la CPAM.

Pour l’heure, ni le docteur BROUCHE, ni Etiennette BERROUET, sous-directrice de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, ne savent exactement combien de personnes régulariseront leur carnet de santé dès le premier mars. Une estimation circule néanmoins dans la bouche du médecin-chef du CES qui annonce le chiffre de 700 personnes pouvant constituer le contingent initial de ces futurs vaccinés.

La population en situation difficile intègre les priorités…

Créé en 1969, le Centre d’examens de l’Yonne accueille plus spécifiquement des personnes en précarité dans ses services.

« Notre rôle porte sur le dépistage et la prévention envers les personnes qui ne peuvent accomplir leurs parcours de santé. Lorsque ces patients procèdent au bilan de santé, ils bénéficieront de plusieurs examens de type biologique, des recherches sérologiques, un examen dentaire, de la biométrie, des tests d’acuités visuelles et auditives, etc. ».

Parmi le public ciblé de manière prioritaire, on retrouvera les bénéficiaires du RSA, les chômeurs de longue durée, les jeunes âgés de 16 à 25 ans en insertion, mais aussi les enfants et les personnes âgées en situation sociale délicate.

Cette action préventive à long terme sera mesurée par ailleurs d’ici une décennie pour en connaître les véritables effets sur la santé publique.

Respectueuse de la procédure mise en œuvre depuis le 01er janvier 2016 par la convention nationale, cette campagne vaccinale de rattrapage constitue l’un des éléments moteurs enclenchés cette année par la Caisse primaire d’assurance maladie afin d’optimiser et d’élargir les services de soins à l’ensemble de la population.

Dès l’automne, la généralisation du DMP (dossier médical personnalisé) prendra le relais au plan médiatique avec la ferme intention de suppléer le fameux carnet de santé et sa mouture initiale de 1992 qui n’ont jamais su s’imposer dans le quotidien fonctionnel des Français.

Ce nouvel outil aux contours judicieux résoudra peut-être l’absence chronique de vaccination dès que nos concitoyens entrent dans l’âge adulte…


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Avec l’obtention de cette nouvelle récompense parmi le firmament de la gastronomie française, le groupe Bernard LOISEAU place ses quatre établissements dans les étoiles ! Un accessit qui crédibilise le savoir-faire et la maestria du jeune chef Maxime LAURENSON à la tête de ses équipes depuis 2016. Celui-ci a su insuffler au restaurant parisien situé à dix mètres de l’Assemblée nationale une inclinaison culinaire novatrice dans son décor élégant et feutré. Puisant son inspiration auprès des producteurs français, travaillant des produits qui fleurent bon le terroir et respectueux de la saisonnalité des ingrédients, la jeune toque auvergnate s’est fait le chantre du regretté Bernard LOISEAU : « pas plus de trois saveurs par plats ». Un credo qui lui vaut sa première distinction aujourd’hui…et qui offre son cinquième éclat étoilé à la prestigieuse maison bourguignonne.

PARIS : Un seul leitmotiv anime la carrière de ce jeune chef, élu « Jeune Talent de la gastronomie 2018 » par le guide Gault & Millau : la satisfaction du client. Et ces derniers ne sont jamais déçus lorsqu’ils s’installent avec envie dans ce restaurant de très belle facture, ouvert par Dominique et Bernard LOISEAU en 1999.

Autrefois appelé le « Tante Marguerite », le site se débaptise en 2016 pour devenir le « LOISEAU RIVE GAUCHE » afin de parfaire l’harmonie marketing déclinée dans l’ensemble du groupe qui comprend d’autres établissements en Côte d’Or, Beaune, Dijon et Saulieu.

Ici, dans le septième arrondissement de la capitale, on y passe d’agréables moments. A la fois gourmand et cossu en admirant la vaste salle de restaurant ornée de boiseries blondes qui épousent à merveille quelques notes décoratives contemporaines.

Une cuisine de terroir aux goûts authentiques…

Le lieu, du fait de sa proximité avec le Palais Bourbon, y reçoit moult personnalités politiques, économiques et journalistes. Tous bénéficient de l’accueil irréprochable et professionnel du directeur de l’établissement, Erick DONZEAU. En fonction depuis 2009, ce manager qui se réjouit de voir un jeune apprenant conclure son stage avec le sourire et les yeux qui pétillent, est le pygmalion de cet antre raffiné où les saveurs gustatives sont mises en lumière par le chef auvergnat.

« J’ai obtenu carte blanche pour exprimer l’identité de ma cuisine du terroir, confie-t-il, mon métier représente une passion dont je ne peux me passer. J’ai beaucoup de respect pour la grande tradition, notamment les sauces et les jus, et j’essaie de sublimer la force aromatique du monde végétal et des herbes. En fait, résume-t-il, mes assiettes possèdent des goûts vifs, acidulés, précis et contrastés ».

L’alliance insolite et originale des mets

Ses spécialités se dévoilent sous la forme de succulentes recettes dont on ne lasse jamais : escargots de Bourgogne servis de petits pois et févettes agastache, turbot de Bretagne sauce à l’ache des montagnes et céleri, pommes de ris de veau au sautoir sur du jus à la réglisse de jeunes carottes mais aussi canards de Challans. Une cuisine festive au palais, où les oignons blancs des Cévennes, reine des prés, sureau et jasmin agrémentent volontiers les assiettes qui gagnent ainsi en coloration et en saveurs.

Le tout sera dressé à l’instinct par ce chef qui aime composer des alliances insolites et surprenantes. Sans doute des réminiscences de ce goût immodéré pour les produits du terroir aux saveurs authentiques qu’il a connu jadis au contact de son grand-père.

Entre modernité et tradition, simplicité et gourmandise, la cuisine de Maxime LAURENSON a su subjuguer par cette créativité si débordante les représentants de l’inénarrable guide Michelin, ravis d’une telle découverte gastronomique…


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Membre de la délégation des 17 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté qui ont eu le privilège d’être immergés du 09 au 12 janvier au Salon international de l’électronique à Las Vegas (le fameux « Consumer Electronic Show »), le dirigeant de la société IDXPROD à Auxerre a fait montre de valeurs altruistes en conviant la semaine dernière une trentaine d’entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les évolutions technologiques qui se concoctent au niveau planétaire par des start-ups imaginatives. Didactique dans ses propos et incitatif par son geste ouvert à la mobilisation, l’initiative impulsée par le président de la structure « YONNE NUMERIQUE » aura permis à chacun de se faire une idée précise sur les grandes tendances high-tech de demain…

AUXERRE : Manifestation annuelle à la renommée internationale, le C.E.S. de Las Vegas (Etats-Unis) fait figure d’étape incontournable pour les acteurs de la filière électronique. L’édition 2018 n’aura pas dérogé à la règle des rendez-vous antérieurs avec sa grandiloquence coutumière liée à ses infrastructures logistiques et à son avalanche de nouveautés issues des têtes bien pensantes qui rivalisent chaque année d’ingéniosité à travers leurs start-ups.

Robotiques, réalité augmentée, véhicules se conduisant de manière autonome, images numériques, réseaux, jeux, technologies émergentes, audiovisuel…les plus grandes innovations autour de l’intelligence artificielle, des objets connectés ou de l’impression 3D y auront trouvé grâce : elles auront émerveillé les visiteurs se promenant dans les allées qui avec leurs regards de gamin ont eu la sensation de vivre une réalité onirique…A l’exemple de Yannick DAVOUSE, l’entrepreneur Icaunais à la tête de sa société IDXPROD…

Avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté, le dirigeant auxerrois a eu l’opportunité de se rendre en Amérique du Nord en compagnie de seize autres chefs d’entreprise, tous adhérents comme lui du cluster numérique régional, Bourgogne Franche-Comté Numérique. Les décideurs économiques ont pu parcourir les travées de ce maelström technologique indéfinissable où ils auront côtoyé les génies de la technologie du futur, soit 4 000 exposants en provenance de 150 pays pour une affluence de 170 000 personnes.

Une vision approfondie d’un marché de 120 milliards de dollars…

A Auxerre, dans ses bureaux qu’il occupe au sein de la pépinière d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Yannick DAVOUSE a su créer le climat propice pour résumer ce qu’il avait vu sur place. Et évoquer en substance et en l’illustrant de la manière la plus visuelle possible ce que seront les tendances consuméristes issues de ce CES 2018 en matière de technologie.

Commentant la réalité économique de ce marché à fort potentiel, Yannick DAVOUSE ne lâcha qu’un seul chiffre mais de taille : 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires obtenus d’ici quelques années ! Toutefois, certains freins au développement de nouvelles gammes de produits pouvaient ralentir leur croissance.

« Prenons l’exemple de la réalité augmentée, lança-t-il en guise d’explications, au bout d’une vingtaine de minutes, l’utilisateur peut ressentir des sensations nauséeuses et un mal-être qui peuvent induire des vertiges. Pourquoi vit-on cela ? Parce qu’il y a un phénomène incommodant pour l’être humain. Le cerveau ne peut pas tout absorber d’où ces problèmes engendrés au niveau des sensations visuelles. Mais aujourd’hui, les grands leaders de ces marchés injectent beaucoup d’argent pour résoudre cela… ».

Les nouvelles technologies du futur en cinq tendances…

Puis, tour à tour, et en cinq grands chapitres, Yannick DAVOUSE détaillera les axes stratégiques de ces grandes tendances technologiques qui se présentent à nous.

A l’instar de l’AI (intelligence artificielle) qui est désormais abondamment employée dans le monde de l’automobile avec la présence de système de caméras embarquées. Elles facilitent la lecture des panneaux qu’elles identifient avant le passage du véhicule.

A l’instar aussi du « CHATBOT », un robot aux vertus novatrices qui, grâce à un logigramme, accomplit des tâches de plus en plus intelligente telles que l’analyse des informations en utilisant des formules polies, directes, construites.

« Ces appareils pratiquent la reconnaissance d’objet : on prend les colis sous le contrôle d’une caméra et cela va générer des habitudes de courses, à partir de listing et de base de données, tout en s’adaptant aux besoins des consommateurs. En fait, preuve d’une interconnexion importante, les objets vont connaître toutes vos habitudes… ».

Avec le « Voice Contrôle », on s’exprime via une interface à un appareil muni de micros qui répond. La voix devient dominante dans la relation que l’humain entretient avec la machine. C’est la porte ouverte au marché de l’économie du son telle que l’envisage déjà le programme économique régional DEFISON.

Le quatrième item expliqué par Yannick DAVOUSE fera référence à l’IoT, c’est-à-dire « Internet of Thing ».

« Tous les objets sont connectés entre eux, depuis la cafetière jusqu’à la voiture, en pensant par la domotique. Tous ces appareils sont reliés à l’ordinateur et au cloud. « IoT» : c’est une connexion au monde. BIG DATA en est aussi une illustration tangible…Argument différenciant : c’est la sécurité qui est au centre des enjeux pour rassurer les gens ».

Reste le point 5 : le « Smart Building », c’est-à-dire la migration vers les services.

« De plus en plus, on se situe sur des notions de confort et de partage des informations entre nous. Par exemple, dans le domaine de l’automobile, on achète plus le véhicule. On le loue avec de la maintenance et de la tranquillité sans être propriétaire. Dans le bâtiment, on achète des usages du service, de la fonctionnalité et de la capacité… ».

Ne plus être des chefs d’entreprises français complexés…

Aujourd’hui, poursuivit l’entrepreneur Icaunais, « on parle de moins en moins de start-up (vendre de la technologie avec une maîtrise particulière) mais de « smart up » pour vendre du service et de l’intelligence… ».

Ainsi, dans le milieu agricole, les tracteurs se négocient avec des cellules GPS qui pilotent l’engin et en assurent la parfaite mobilité. Pendant ce temps-là, l’agriculteur peut assumer d’autres fonctions dans ses champs.

Rappelant que le territoire de l’Yonne possédait une très belle cote au niveau du numérique, Yannick DAVOUSE a voulu donner de la positivité et de la dynamique en partageant ses connaissances ramenées depuis Las Vegas.

Il incite déjà les entrepreneurs locaux à se rendre au salon ISE d’Amsterdam prévu en 2019 et pourquoi pas de représenter comme lui, les 320 entreprises françaises de la French Tech invitées aux Etats-Unis en janvier prochain.

« Cessons d’être complexés ! Ne nous posons plus de questions alors que les autres pays s’engouffrent sur le marché mondial. Il nous faut changer de mentalité et faire triompher le savoir-faire de nos entreprises, start-ups et PME, qui n’ont absolument rien à envier à celles des autres nations… ».

Le message de Yannick DAVOUSE, on l’imagine, aura été reçu cinq sur cinq.


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