Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

D’Olympe de GOUGES à Louise MICHEL, en passant par Néfertiti, nous savons depuis des lustres que si les hommes gouvernent, les femmes règnent ! Les historiens ont été amenés à constater l'importance de la présence des femmes lors des mouvements de révoltes populaires de la période moderne (fin XVème-début XIXème siècle), en France et dans l’Antiquité. Dans son étude sur les soulèvements populaires en France de 1623 à 1648, l'historien soviétique Boris PORCHNEV soulignait « le rôle extraordinairement important des femmes, non seulement comme participantes aux mouvements, mais encore en tant que dirigeantes et meneuses, appelant à la révolte… ».

 

TRIBUNE : Aujourd'hui, il est bien établi que, de la Renaissance à la Révolution, les femmes sont présentes dans les émotions populaires, qui, régulièrement secouent la communauté villageoise ou urbaine. On sait, grâce à la vaste enquête de Jean NICOLAS, qu'entre 1661 et 1789, il se serait produit au moins 8 528 actes de rébellion en France. Cependant, malgré l'important développement de l’histoire des femmes et celle du genre depuis la fin du XXème siècle, malgré l'essor plus récent de la recherche sur l'histoire de la violence féminine, ou encore le renouveau des études sur les révoltes populaires, de nombreuses femmes remarquables ont été activement engagées dans la guerre.

Déjà à l'époque antique (du XVIIe siècle av. J.-C. au IVe siècle), Lâhhotep I a une stèle érigée à Karnak pour avoir rassemblé l'Égypte, pris soin de son armée, l'avoir gardée, ramené ceux qui avaient fui, rassemblé ses déserteurs, après avoir apaisé le sud, soumis ceux qui l'ont défié. Quant à Lâhhotep II, elle est enterrée avec un poignard et une hache, ainsi que trois pendentifs en forme de mouche en or, une récompense militaire.

Dame Fu Hao, épouse de l'empereur chinois Wu Ding, mène 3 000 hommes au combat sous la dynastie Shang. Yaël assassine Siséra, un général en retraite ennemi des Israélites, selon le Livre des Juges. Quant à la reine Tomyris des Massagètes, elle dirige des combattants qui battent une armée perse sous Cyrus le Grand. Tomyris est connue pour toujours comme « la tueuse de Cyrus ». La reine de Palmyre, Zénobie, mène les armées au combat contre l'Empire romain…et tant d’autres combattantes, révoltées, insoumises qui ont grandement participé à l’histoire du monde !

 

Ces héroïnes qui luttent pour la reconnaissance des femmes

 

Des femmes le plus souvent méconnues mais qui méritent la reconnaissance de la nation, surtout si leurs combats ont souvent déplu aux hommes…On peut citer les références suivantes.

Madeleine PELLETIER (1874 – 1939) : vous connaissez (peut-être) « Docteur Quinn », mais connaissez-vous Madeleine PELLETIER ? Cette parisienne est la première femme médecin diplômée en psychiatrie de l'histoire de France. Au tout début du XXe siècle, cette femme de sciences rejoint effectivement les internes des asiles du pays. Médecin, donc, mais aussi femme de lettres antimilitariste, militante suffragante, anarchiste, pionnière du féminisme moderne.

Tee CORINNE (1943-2006) : grande figure de l'activisme lesbien de la seconde moitié du XXe siècle. Les sourires solaires et esprit en constante ébullition définissaient cette artiste underground qui a aussi bien investi le champ de la photographie que celui de l'édition.

SOLITUDE (1772-1802) : sous ce nom mélancolique, un drame historique. Née en Guadeloupe en 1772, Rosalie est réduite en esclavage aux Antilles. Vingt ans plus tard, l'esclavagisme est aboli en Guadeloupe, avant d'être rétabli en 1802 par l'empereur Napoléon Bonaparte. Rosalie va alors rejoindre un groupe d'anciens esclaves qui clament leur révolte et luttent pour leur liberté. Rosalie n'est plus. La jeune femme se fait alors appeler « Solitude ».

 

 

Awa THIAM (née en 1950) : « La Parole aux négresses », c'est le titre de l'un des essais majeurs de cette femme. Un ouvrage de référence. L'autrice sénégalaise y narre les nombreuses violences et discriminations dont font l'objet les femmes africaines. De quoi ériger l'intellectuelle en nom majeur de l'afro-féminisme.

Joséphine PENCALET (1886-1972) : ouvrière, syndicaliste, politicienne, révoltée. A une époque où les femmes ne pouvaient encore se faire élire, cette native de Douarnenez parvient tout de même à devenir conseillère municipale au sein de sa chère Bretagne. Comment ? En se jouant d'une faille : l'éligibilité des candidats n'était vérifiée qu'a posteriori. Parmi tant d'autres « têtes de sardines » (les ouvrières des conserveries), Joséphine PENCALET a porté sur elle de vastes mouvements de grève pour exiger de meilleures conditions de travail. Droits des travailleurs (sous-payés), droits des femmes... L'une des premières femmes élues en France est de ces voix qui sont venues bousculer le patronat et le patriarcat.

 

Louise MICHEL, Olympe de GOUGES : deux pointures de la cause féminine

 

Il est important d’évoquer deux femmes qui ont marqué l’histoire et emblématiques des combats pour la liberté, pour l’abolition de la peine de mort et de l’esclavage. Louise MICHEL. Elle est née le 29 mai 1830 en Haute-Marne, elle devient servante dans un château. Elle y reçoit une éducation de qualité. Les châtelains sont adeptes des « Lumières » ; ils lui font lire Rousseau, Voltaire, Diderot, et lui inculquent des valeurs humanistes. En 1852, Louise obtient un diplôme d’institutrice. La même année, refusant de prêter serment à Napoléon III, elle crée une école libre en Haute-Marne. Elle publie des textes et des poèmes sous le nom d’Enjolras (un personnage des « Misérables » de Victor HUGO, chef d’une coterie révolutionnaire) et entretient une correspondance avec lui. Après l’épisode de la Commune de Paris, l’écrivain prendra sa défense. En 1870, pendant la guerre franco-prussienne, Louise MICHEL manifeste contre l’arrestation des « blanquistes ». Alors que la famine sévit à Paris, assiégée par les troupes prussiennes, elle crée une cantine pour ses élèves et pour les enfants pauvres. Elle collabore en outre au quotidien d’opposition au gouvernement de Thiers, créé par Jules VALLES et Pierre DENIS, « Le Cri du peuple ». Durant la « Commune », Louise se lance corps et âme dans l’insurrection. Après les sanglants combats qui ont fait des milliers de morts, Louise est condamnée à la déportation, et envoyée en Nouvelle-Calédonie en 1873. Libérée, elle reprendra le combat, et de luttes en arrestations, elle mourut à Marseille en janvier 1905. Une femme de cœur, de révoltes, une anarchiste qui s’est battue pour la liberté, l’égalité et la fraternité !

Quant à Olympe de GOUGES : c’est une figure de la Révolution ! Elle écrit en 1791 la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ». Parmi ses défauts majeurs soulignés par les hommes, c’est une intellectuelle qui publiera plus d’une centaine d’ouvrages : poésies, théâtre, écrits politiques… elle défend la condition des femmes, prône l’abolition de l’esclavage et de la peine de mort… Elle suivit DANTON dans les réformes fiscales (imposer les plus riches), dans les soins à apporter aux plus pauvres, mais critiqua ouvertement ROBESPIERRE ! Des écrits farouches et révolutionnaires qui lui coûteront l’échafaud en 1793 !  Oubliée par les républicains et longtemps ignorée par les historiens, Olympe de GOUGES est aujourd’hui reconnue comme une figure majeure de l’engagement des femmes dans la Révolution française. Son nom est régulièrement évoqué pour entrer au Panthéon.

Petite histoire pour les femmes qui souhaitent sourire de la naïveté des hommes et pour tous ceux qui ont de l’humour : « dit maman, qui m’a donné mon intelligence ? Ton père, répliqua la maman. La gamine poursuit : comment tu le sais ? Et la mère de conclure : moi j’ai gardé la mienne… » !

 

Paul GUILLON

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le programme de l’après-midi se voulait très copieux. Avec en toile de fond, l’inclusion professionnelle des travailleurs en situation de handicap. Une convention, signée entre France Travail, Cap Emploi, ANDICAT, les Missions Locales et les ESAT de l’Yonne devait par ailleurs en découler. C’est une étape significative dans la mise en œuvre des engagements pris au niveau national par l’Etat, afin de favoriser l’insertion professionnelle de cette typologie de la population hexagonale…

 

AILLANT-SUR-THOLON : A date, 2 400 ESAT (établissements et services d’aide par le travail) accueillent des personnes en situation de handicap au sein de leurs infrastructures. Sont également comprises dans ce chiffre, les EA, soit les entreprises adaptées. 170 000 personnes y exercent une activité professionnelle dans plus de deux cents filières et métiers. Ce qui n’est pas négligeable, au niveau de l’Hexagone. Pour aller plus loin dans la démarche, celle qui vise à favoriser l’inclusion de ces personnes dans le monde du travail, la collaboration renforcée entre les ESAT et les opérateurs du service public de l’emploi est donc essentielle pour offrir des parcours professionnels sans rupture et permettre aux travailleurs d'évoluer en milieu ordinaire. D’où l’importance de cette convention de partenariat, qui vient d’être paraphée dans l’une des salles de réunion de SERVICAT, l’ESAT implanté sur la localité d’Aillant-sur-Tholon. On y retrouve plusieurs acteurs du monde de l’emploi : France Travail, Cap Emploi, les ESAT de l’Yonne mais aussi ANDICAT et les Missions Locales.

 

Offrir des parcours professionnels de qualité aux travailleurs handicapés

 

De l’avis d’Yves HUTIN, directeur territorial de France Travail dans l’Yonne, l’un des signataires de ce document, « la collaboration renforcée entre les ESAT et les opérateurs du service public de l’emploi est essentielle pour offrir des parcours professionnels de qualité à ces publics… ».

Une convention qui s'inscrit dans le cadre de la loi pour le Plein Emploi. Ce texte a été promulgué le 18 décembre 2023. Il vise à garantir un accompagnement adapté à la recherche d’emploi pour chaque personne en situation de handicap en France. Une avancée importante.

Cette signature de cette convention est un symbole fort de l’engagement collectif du réseau pour l’emploi envers l'inclusion professionnelle. Elle témoigne de la volonté commune de construire un avenir où chaque personne, quel que soit son handicap, a sa place sur le marché du travail. Conséquence, dès l’inscription de la personne auprès des services de France Travail, plusieurs actions seront mises en place.

 

 

Sensibiliser les employeurs aux compétences des travailleurs

 

Animant cette réunion aux côtés d’Yves HUTIN, David SAUTEREAU, directeur de Cap Emploi 89 et Marc SIVET, représentant ANDICAT pour le département exprimèrent également leur point de vue : « cela inclut l'organisation d'ateliers d'information et de temps d'échanges réguliers entre les équipes des ESAT et celles du Réseau pour l’Emploi (France Travail, Cap Emploi, Mission Locale). Des événements seront organisés pour permettre aux employeurs locaux de rencontrer les travailleurs. Cette initiative répond également à la nécessité de sensibiliser les employeurs aux compétences des travailleurs, issus du milieu protégé et à leur potentiel. En facilitant l'accès à des immersions professionnelles et en promouvant les profils des travailleurs des ESAT auprès des entreprises, un environnement propice à leur intégration sera favorisé… ».

 

En savoir plus :

 

Un ESAT, c’est quoi ? Un Établissement et service d’aide par le travail (ESAT) est une structure médicosociale de travail protégé, dédiée aux personnes en situation de handicap et visant leur insertion ou leur réinsertion sociale et professionnelle.

Les ESAT proposent des activités professionnelles rémunérées et un suivi médico-social et éducatif. Ils sont accessibles aux personnes en situation de handicap qui ne présentent pas, provisoirement ou définitivement, une autonomie suffisante pour travailler en milieu ordinaire.

 

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sans doute, est-il nécessaire de s’y intéresser d’un peu plus près. Mais, la filière transport et logistique est porteuse aujourd’hui de plus de deux millions d’emplois dans l’Hexagone. Elle se classe à la cinquième place des plus grands recruteurs en France ! Permettant à 95 % de ses salariés de trouver un contrat à durée indéterminée (CDI), en suivant un cursus de formation, allant du CAP au niveau Bac + 6. L’un de ses acteurs, AFTRAL, propose ce samedi 01er février la première de ses deux opérations nationales annuelles, des « Portes Ouvertes » permettant de tout connaître sur les métiers de la filière. Par chance, il existe un centre dans l’Yonne, près d’Auxerre !

APPOIGNY : Cela ne s’invente pas ! Il faut pousser son trajet jusqu’au 46 Chemin des Ruelles, sis dans la zone industrielle de la localité chère à son édile Magloire SIOPATHIS, pour se rendre sur le lieu qui ouvrira ses portes, ce samedi 01er février, et sur la journée de 09 h à 17 h pour en apprendre davantage sur la pléthore de possibilités offrant l’accès aux métiers de la filière Transport et logistique.

Les opportunités existent bel et bien. En voici quelques exemples : le CAP conducteur routier marchandises dispensé en apprentissage et ce sur une durée de douze mois après la troisième. Mais, aussi le TP (Titre Professionnel) de conducteur du transport routier de marchandises sur porteur selon les modalités que précédemment. Ou encore le Bac Pro organisation de transport de marchandises sur trois ans en apprentissage. Mais, aussi le TP de technicien en logistique d’entreposage. Le BTS gestion des transports et logistique associée en deux ans. Etc. Soit de nombreuses pistes et opportunités professionnelles disponibles dans un secteur qui connaît toujours un certain dynamisme…

Disposant de 125 centres de formation continue aux quatre coins de l’Hexagone, AFTRAL a au fil des années élargi son potentiel d’enseignement, ouvrant au passage une trentaine de centres d’ambulanciers – un métier qui est également très recherché dans le domaine du sanitaire – et possède une trentaine d’écoles supérieures propres à la filière transport et logistique. Autant dire que l’entité est un incontournable acteur de la formation, permettant aux jeunes gens (et au moins jeunes) d’embrasser une carrière sur ce pan de l’économie. Depuis le CAP jusqu’au Bac + 6, AFTRAL dispense des formations sanctionnés par des diplômes reconnus, visant à préparer les étudiants à une insertion professionnelle la plus aboutie, dans des domaines très éclectiques comme la conduite, l’exploitation, la logistique et même le tourisme.

 

De quoi seront faites ces journées Portes Ouvertes ?

 

On connaît très bien le principe de ce type d’animation, devant faire toute la lumière sur un segment d’activité professionnel et les métiers qui y sont associés. Bien sûr, et le centre de formation de l’Yonne, aujourd’hui dirigé par Cyrille ROUZE, ne dérogera pas à la règle : une visite des locaux sera proposée ce samedi. Afin de découvrir les installations modernes d’un site important en matière de superficie. Seconde étape, ne pouvant qu’éclairer les esprits sagaces des familles et des futurs jeunes impétrants, la rencontre avec les formateurs sera primordiale pour se faire une idée précise de l’enseignement qui est distillé en ces murs. Ce sera l’occasion de pouvoir poser toutes les questions d’usage sur les différents métiers existants.

Sans doute, comme il est de coutume, des ateliers pratiques serviront à mieux appréhender le cœur des formations au travers de démonstrations. Cerise sur le gâteau, et dans un souci de décrocher le Graal de l’alternance, des recruteurs seront présents pour participer à un habituel job dating. Une aubaine pour décrocher un contrat ?!

 

91 % de taux d’insertion professionnelle à l’issue des formations !

 

Un chiffre est à retenir, en substance. Celui du taux d’insertion professionnel à la suite des formations prodiguées dans ces centres spécialisés : 91 % !

Quant à l’éventail des formations, il est large, nous l’avons dit. AFTRAL s’appuie aussi sur ses écoles supérieures (elles ont pour nom EPT, ISTELI, IFA) pour emmener le plus loin possible sur des cursus Bac + 6 les jeunes gens motivés.

Toutes ces formations sont principalement accessibles en alternance en alliant théorie et pratique en entreprise. Que ce soit pour une première orientation ou une reconversion, les formations répondent aux besoins d’un secteur en forte demande.

Les métiers de la conduite, comme le transport de marchandises et de voyageurs, sont particulièrement recherchés et bénéficient de formations adaptées permettant un accès rapide à l’emploi.

Précisons, en parallèle, que le centre de formation veille également à l’inclusion des personnes en situation de handicap grâce à un réseau de référents et des innovations pédagogiques. Un atout que nul ne doit négliger.

 

En savoir plus :

Leader en formation transport et logistique en France et en Europe, AFTRAL forme chaque année près de 300 000 personnes en formation continue.

Elles répondent aux besoins de requalification et de montée en compétences des professionnels du secteur.

Elles se déclinent sous des formats courts et adaptés, visant à répondre aux exigences spécifiques du marché actuel (réglementaires, sécurité, transport de marchandises et voyageurs, logistique, manutention, management, etc.).

Depuis peu, AFTRAL Auxerre propose une nouvelle formation, RUTL. Cette formation de Responsable d’Unité de Transport et Logistique représente une opportunité unique pour développer des compétences spécialisées dans la gestion des opérations de transport et logistique. Conçue pour répondre aux besoins des entreprises du secteur, elle est de niveau Bac +2. Elle vise à former des experts capables de gérer, organiser et optimiser les flux de transport et logistique d’une entreprise. Il allie théorie et pratique pour fournir les compétences nécessaires à la prise de décisions stratégiques dans des environnements complexes et dynamiques.

La formation se déroule en alternance sur une durée d’environ dix mois. Ce format en alternance permet aux apprenants de combiner périodes en entreprise et cours théoriques, favorisant ainsi une intégration rapide et efficace dans le monde professionnel. Parmi les carrières possibles au terme du cursus : les postes de responsable logistique, responsable d’exploitation transport, chef d’agence logistique, coordinateur « supply chain » ou manager d’entrepôt…

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Une goutte. Puis, une autre. En l’espace de quelques minutes, l’averse ! La couverture nuageuse grisâtre plombant le ciel auxerrois se déchire et verse, comme les pleurs de toutes ces âmes tragiquement disparues, son flot de larmes froides sur la cérémonie du souvenir, se déroulant au pied du monument aux morts auxerrois. Celle qui commémore la libération, il y a quatre-vingts ans, du sinistre camp d’extermination, à la double consonance maléfique : Auschwitz-Birkenau.

 

AUXERRE : Plus jamais ça, aime-t-on dire en pareille circonstance. Et pourtant, depuis que le monde est ainsi fait, l’homme est le plus grand prédateur de…l’homme et le restera. Reproduisant ainsi les erreurs du passé, sans trop se soucier de l’avenir. Le contexte géopolitique de l’instant nous le prouve…Une sorte « d’éternel retour », cher au très visionnaire Jean COCTEAU. Les douze coups de midi venaient à peine de résonner aux clochers des églises environnantes, ce lundi 27 janvier, quand le préposé officiel aux cérémonies commémoratives à la Ville, l’excellent et très rigoureux Souleymane KONE, prit la parole à 12h02 ! Invitant les participants à cette 80ème célébration de la libération du camp de sinistre mémoire, celui d’Auschwitz-Birkenau, en terre de Pologne, où furent exécutés plus d’un million de personnes de confession juive, à se recueillir avant que ne débute la cérémonie. Une fois l’averse passée.

La pluie. Celle qui lave les cœurs s’est donc manifestée en cette triste journée de lundi. Froide, vive, le temps de quelques minutes, comme si de là-haut, les innocentes victimes de la barbarie et de la monstruosité humaines se rappelaient à notre bon souvenir, pleurant de toutes leurs larmes. Toute cette jeunesse, ces femmes et leurs enfants, leurs époux, et leurs parents, ces vieux, aussi, fauchés par la cruauté sans borne d’une idéologie fasciste et expansionniste, le nazisme.

Puis, les mots. Ils interpellent le maigre public de seniors, ayant bravé les conditions météo pluvieuses. Mais, où sont donc la jeunesse et la présence des scolaires sur ce genre de rendez-vous indispensable pour bien comprendre le droit de mémoire ?

 

 

Plus rien ne sera prétexte à l’inaction et à l’indifférence

 

Prononcés par l’élu auxerrois, en charge des Anciens combattants, Souleymane KONE, les phrases font mouche et interrogent. « Nos consciences et notre morale ne devraient plus jamais s’accommoder de l’arbitrage qui frappe aveuglement les vies innocentes… nous avons une responsabilité solennelle, celle de nous dire que plus rien ne sera prétexte à l’inaction et à l’indifférence…».

Roulements de tambour. Les visages des membres du cortège officiel sont tendus. Graves. Dans le recueillement. Y ont pris place, outre le représentant de l’Etat, le préfet Pascal JAN, des élus. La conseillère régionale, Isabelle POIFOL-FERREIRA, munie de son large parapluie qu’elle finira par refermer dès que la pluie s’estompera. A ses côtés, l’adjoint auxerrois en charge de la Sécurité, Sébastien DOLOZILEK, écharpe tricolore autour du cou. Un peu plus loin, le représentant du Conseil départemental, Pascal HENRIAT qui ne porte pas sa casquette sportive habituelle...

Et puis, il y a la présence militaire, impeccable dans leurs uniformes. Sobre et perfectionniste.

Maître des cérémonies de ce triste anniversaire, Souleymane KONE – peut-être  a-t-il en ces instants une pensée pour tous ses frères du Mali qui ne connaissent plus la liberté depuis que le pays est désormais sous le joug de la tutelle russe – invite à l’écoute. Celle d’un morceau, craché par la sonorisation. Tiens, les puristes auront sans doute reconnu en version musicale douce et sirupeuse, le célèbre titre du duo américain des RIGHTEOUS BROTHERS, « Unchained Melody », tube de l’année 1965. Un air qui servit de titre phare dans la bande originale du célèbre film, « Ghost » de Jerry ZUCKER en 1990. « Ghost » ? Fantôme, bien évidemment…

 

 

 

 

La civilisation ne protège pas de l’horreur

 

S’avançant ensuite vers le pupitre pour y lire le message de Patricia MIRALLES, ministre déléguée en charge de la Mémoire et des Anciens Combattants, Pascal JAN commença alors la lecture de ce texte officiel dans un silence, perturbé parfois par quelques klaxons de véhicules circulant alentours dans l’indifférence de l’évènement.

Une allocution de près de quatre minutes où chaque mot s’inscrit dans les mémoires. « Commémorer Auschwitz, c’est savoir que les morts nous écoutent ! », dira le préfet. C’est aussi rendre hommage aux innocents. Citant Paul ELUARD : « si l’écho de leurs voix faiblit, nous périrons… ».

Puis, un peu plus loin : « L’enseignement de la SHOAH, de son histoire, le travail de mémoire et l’éducation, sont les plus puissants antidotes au virus ! ».

Le préfet de l’Yonne poursuit sa lecture, peut-être un peu trop prophétique dans ses termes ?

« Pourtant, la civilisation ne protège pas de l’horreur et lorsqu’elle est abreuvée de ressentiment et de rancœur, elle devient malade d’elle-même et accouche du pire… ».

Avant de conclure par la formule suivante : « 80 ans après la fin du génocide, la lutte contre les actes et discours de haine doit être la marque distinctive de notre époque… ».

Sages paroles, certes, alors que l’antisémitisme repart de plus belle sur la planète et que les bruits de bottes martèlent depuis trois ans le sol d’Europe avec l’espoir de nouvelles conquêtes expansionnistes…

Après le dépôt de gerbes par les officiels, et le temps de l’ultime recueillement pour se souvenir des millions de victimes emportés par la folie humaine, la cérémonie se ponctua sur une très curieuse version instrumentale de la fameuse chanson de Charles TRENET, « La Mer », servie en mode un peu samba, limite décalée avec l’évènement !

On aurait préféré, et de très loin quelque chose de plus nostalgique et solennel, façon « l’Adagio » du maître italien, ALBINONI, pour ce dernier au-revoir aux disparus…

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il est sur tous les fronts, le sénateur de l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE ! L’ancien ministre dont on aperçoit la silhouette sur de nombreuses cérémonies des vœux qui ponctuent l’actualité institutionnelle, voire politique, de notre territoire en ce mois de janvier n’en est pas moins toujours aussi actif au Palais du Luxembourg. Vice-président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, l’élu de l’Yonne est intervenu dans l’hémicycle pour donner sa position sur le budget défense de la France…

 

PARIS : Il a même cité le général BIGEARD lors de son intervention ! Prenant la parole à la tribune du Sénat, Jean-Baptiste LEMOYNE a évoqué la nécessité de s’adapter à l’environnement stratégique du moment, donnant son opinion sur le budget de la défense qu’il qualifie de « budget respectueux des forces et du vote parlementaire ».

Se référant au célèbre militaire qui ne pratiquait pas comme chacun le sait la langue de bois, l’élu icaunais s’est fendu d’une formule pour le moins croustillante : « il  faut être souple comme le cuir mais trempé comme l’acier, pour être et durer… ».

Rendant hommage à l’engagement des femmes et hommes qui ont sacrifié leur vie pour le pays et à leurs familles, l’ancien ministre n’a pas manqué de rappeler le contexte inédit de la politique hexagonale, en regrettant que « depuis quelques mois, on a l’impression que dans un autre hémicycle, la volonté est plus de jouer aux quilles avec le gouvernement que de légiférer dans l’intérêt de la Nation ».

 

Un budget militaire en hausse en 2025

 

Alors, ce budget de la défense lui correspond-il quant à ses orientations ?

Réponse de l’intéressé à la tribune du Sénat : « il est bien l’affirmation d’un choix, celui du respect de la trajectoire financière inscrite dans la dernière loi de Programmation militaire, du respect des votes des parlementaires… ».

Jean-Baptiste LEMOYNE  en aura profité pour attirer l’attention de ses collègues sénateurs sur l’enjeu du « statut spécifique des militaires pour l’avenir structurel des forces et un défi de ressources humaines de taille… ».

Quant au « Plan Fidélisation 360 » – ce dispositif a été présenté par le ministre des Armées Sébastien LECORNU en mars 2024 soit une série de mesures destinées à fidéliser les effectifs militaires et civils dans les armées -, l’élu de l’Yonne en a salué toute la pertinence, « dans une société où l’engagement potentiel de la vie n’est plus une évidence… ».

 

 

De même, l’orateur est très attaché à l’importance du soutien aux entreprises de la Base industrielle et technologique de défense (BITD). « Il est nécessaire d’encourager les PME et TPME de défense qui investissent dans l’innovation, devait-il insister, ainsi que sur la révolution quantique et l’intelligence artificielle… ».

Depuis 2017, les budgets successifs de la défense s’inscrivent dans une volonté de réparation. Cela s’est traduit par une hausse budgétaire continue, passant de 32 milliards d’euros à 50 milliards d’euros en 2025. Malgré une situation financière des plus contraintes pour l’exécutif.

Mais, comme le précise Jean-Baptiste LEMOYNE, « la sécurité des Français et les crédits de la Défense ne seront pas une variable d’ajustement… ».

 

Un cocorico pour les militaires sportifs ayant pris part aux JO

 

Enfin, ultime clin d’œil, à l’année antérieure et à son évènement majeur qui aura occupé les esprits de tous les Français à l’été 2024 (les Jeux de Paris), le sénateur bourguignon a chaleureusement remercié tous les sportifs de haut niveau qui évoluent au sein de nos armées.

« Ils ont remporté 30 % des médailles tricolores lors de ces Jeux, et beaucoup se sont distingués notamment l’Icaunaise Eugénie DORANGE qui nous a emmenée dans la petite finale en canoë C2 ! ».

Un petit cocorico à son département de prédilection que le sénateur n’aura pas manqué de faire, du haut de la tribune sénatoriale !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil