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Le renouvellement de la convention-cadre établie entre le Conseil départemental de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) ne fut que pure formalité entre ses signataires, ce vendredi 20 février à Auxerre. Tant l’évidence primait sur l’acceptation d’un accord déjà bien ancré dans la pratique de ce partenariat depuis 2008. Vingt-cinq agents de la collectivité territoriale en sont les bénéficiaires. Avantage suprême : leur employeur institutionnel leur autorise du temps pour qu’ils puissent se former et agir lors de missions dévolues à leurs tâches…

 

AUXERRE : 80 % des actions enclenchées dans le cadre de la sécurité civique reposent sur le principe éthique du volontariat. Autant dire que pour le corps des sapeurs-pompiers, il est inconcevable de négliger une telle matière première dont il est bon, avec la constance régulière d’un métronome, de raviver la mémoire et raffiner la quintessence altruiste de ces bonnes âmes lors de manifestations spécifiques.

Pensé en 2017, le Plan d’action visant à recruter des sapeurs-pompiers volontaires, voulu par Gérard COLLOMB, ministre de l’Intérieur de l’époque, n’est pas passé inaperçu dans le sérail local. Présentant un intérêt inéluctable pour les soldats du feu et les structures institutionnelles qui sont inféodées à leur mode de fonctionnement. A l’instar du Conseil départemental de l’Yonne.

Il est donc logique, voire légitime, que l’organe représentant le pouvoir politique exécutif de notre territoire fasse usage d’exemplarité dans la promotion de ce dossier vertueux.

Depuis 2008, et bien avant les opérations nationales menées à grand renfort de communication, un certain nombre de collaborateurs de la structure avait fait connaître leur intention de s’engager en faveur de cette noble et valeureuse cause. Au service de leurs concitoyens.

 

 

Elles et ils sont désormais vingt-cinq de cette vénérable maison à offrir de leur précieux temps pour renforcer les équipes de professionnels déjà en place au sein des différents centres d’intervention de l’Yonne.

Devant cet engouement volontariste à la déontologie dénuée de toute ambiguïté, le Département ne pouvait rester insensible à ces engagements salvateurs pour les services de secours de notre territoire.

D’où l’idée que l’on puisse accorder du temps supplémentaire à prendre sur sa présence au travail afin d’accroître ses connaissances techniques à la suite de formations ou pour épauler les équipes en intervention.

 

 

Un principe gagnant/gagnant pour les secours et les employeurs…

 

Très tôt, les résultats se sont avérés positifs. Si en 2017, trente-neuf sapeurs-pompiers volontaires exerçant leur activité professionnelle dans une vingtaine de sociétés publiques et privées avaient paraphé ce document (l’accord tripartite entre l’employeur, le SDIS et le Département), leur nombre devait dépasser toutes les espérances en ce début d’année.

Cent-quarante personnes, salariées dans soixante-quinze entreprises, ont rejoint les effectifs des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) de notre territoire.

A la grande satisfaction du président du SDIS, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département, et du directeur de l’instance sécuritaire, le colonel Jérôme COSTE. Ce dernier était accompagné pour la circonstance lors de cette cérémonie officielle par le colonel Pierre BEPOIX et le commandant Gilles ROGUIER.

 

 

 

Grossir les rangs des sapeurs-pompiers volontaires demeure la priorité du Département et de son président, Patrick GENDRAUD, y compris auprès de ses propres collaborateurs. A ce jour, l’Yonne en dénombre plus de mille trois cents cinquante. L’objectif est de gagner encore de la visibilité auprès des employeurs et de leurs salariés.

La mise à disposition par l’entreprise de cinq jours consacrés aux aspects pédagogiques et théoriques peut inciter les personnes intéressées à franchir le cap. Celui de l’engagement en faveur d’un acte citoyen qui peut vite devenir profitable pour l’entrepreneur lui-même si un sinistre ou un incident de travail venait à se déclarer dans ses locaux.

A bon entendeur, pour les chefs d’entreprises ou directeurs de service, qui auraient encore des doutes sur la pertinence déontologique d’une telle initiative…

 

 


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Un premier écueil vient d’être franchi par la candidate d’Europe Ecologie Les Verts qui rêve de se parer de l’écharpe tricolore d’édile d’Auxerre au soir du 22 mars. Sa liste est définitivement bouclée. Sans que la jeune trentenaire n’ait eu à éprouver la moindre inquiétude quant à l’issue de cette simple formalité. Il lui aura juste fallu laisser un peu de temps au temps comme le dit si bien la formule mitterrandienne. Avec ses quarante colistiers, la tête de liste « verte » décline un menu éclectique où prédominent des axes majeurs articulés autour de trente propositions. Garantes d’un renouveau pour Auxerre ?

AUXERRE : S’inspire-t-elle de l’œuvre maîtresse d’Igor STRAVINSKY, si déconcertante et tant critiquée dès sa représentation initiale en 1913, pour avancer pas-à-pas sur le chemin qui pourrait la mener vers la consécration ultime ?

Force est de constater que la chef de file EELV, Maud NAVARRE, soutenue par Génération Ecologie, n’a qu’une seule idée en tête en faisant acte de candidature dans la capitale de l’Yonne face à Guy FEREZ : la rupture profonde avec l’ancien système et son maire qui concoure au succès d’un quatrième mandat consécutif.

Une rupture à l’instar du fameux ballet musical avec lequel le compositeur russe cassa symboliquement les codes de la créativité instrumentale. Faisant pousser des cris d’orfraies à tous les puristes de l’art lyrique de l’époque !

Il n’est pas certain, par ailleurs, que les coreligionnaires de la journaliste de 34 ans, adjointe en charge des transports, de la mobilité et des déplacements doux dans l’actuelle mandature, aient envisagé avec son approbation l’appellation de sa liste (« Les Printemps pour Auxerre ») sous cet angle pour mélomanes avertis. Qu’importe !

Côté sémantique, chacun aura compris que ces « Printemps » symbolisent dans leur traduction liminaire la phase de renouvellement, de reprise d’activité, de sang neuf, d’allongement des jours meilleurs, bref : un aller simple vers le grand beau où le ciel azuréen auréolera l’ensemble des Auxerrois.

Comment, me direz-vous ? Par la scrupuleuse application de ce pensum qui fait aujourd’hui office de feuille de route et qui vient étayer les propositions éclectiques de la jeune femme.

 

Un pentagramme d’orientations finement ciselées…

 

Alors, ce catalogue printanier qui nourrit cette jeune équipe dont la plupart de ses composantes n’a encore jamais goûté à l’âpreté d’une campagne sur le terrain ni à ses moments de folles espérance à la veille du scrutin. Quelles en sont ses lignes maîtresses ?

Cinq axes qui in fine représentent une évidence. La santé, l’économie, l’éducation, la sécurité et, le contraire aurait surpris, l’écologie.

Lors de sa récente conférence de presse, où elle était accompagnée de sa « garde prétorienne » (la douzaine de colistiers qui peuvent prétendre obtenir un poste d’adjoints en cas de succès), Maud NAVARRE s’est inspirée de l’inventaire à la Prévert pour en expliciter le contenu. Certes, pas dans ses moindres détails, mais avec suffisamment de précisions, appuyées d’exemples, pour que l’on comprenne le sens profond de sa stratégie politique.

Ainsi, le volet sanitaire s’inscrit parmi ces sujets dont il faudra tôt ou tard trouver des solutions pérennes. Créer un centre dentaire en y embauchant des praticiens salariés cohabite parmi les suggestions avancées avec l’incitation à l’accueil de nouveaux généralistes sur le territoire.

La tenue d’Etats généraux de la santé, avec les milieux publics et privés, serait l’émergence de pistes à approfondir par la suite. Quant à la préservation de la qualité de l’eau et celle de l’air : pas de doute, cela répond aux exigences de la candidate pour renforcer le bien-être de ses futurs administrés. Dans les faits, cela se traduit par l’accélération du projet de contournement de la zone Sud de la ville, l’investissement dans les transports collectifs et le développement des déplacements vertueux (cycles).

 

 

 

 

Rendre le territoire autonome : une obligation économique…

 

Pour celles et ceux qui pourraient en douter (si, si, il y en a toujours dans le microcosme !), l’économie figure en bonne et due  place dans ce copieux programme. Toutefois, elle se verdit en proposant la lutte contre les gaspillages, l’intensification des circuits courts ou la valorisation de produits Made in Yonne.

L’aide à l’installation au commerce bénéficierait, cerise biologique sur le gâteau, d’un fonds d’investissement solidaire alimenté par des subsides publics et privés.

L’un des items plutôt insolites serait la création du concept Auxerre Plage, un petit ensemble touristique destiné à accueillir des bungalows écologiques le long de l’Yonne !

L’emploi et la formation complètent ce chapitre, à ne négliger sous aucun prétexte.

Parmi les idées fortes du volet éducatif (il englobe aussi la culture et les sports), « Les Printemps pour Auxerre » priorisent l’accessibilité à tous. Sachant que la qualité d’accueil des structures ouvertes à la petite enfance, l’enfance et à la jeunesse verrait son optimisation se multiplier.

Une nouvelle crèche associative d’une capacité d’une vingtaine de places favoriserait le désengorgement et la réduction des délais d’accueil. Une vraie sinécure pour les jeunes parents qui ne savent plus à quels saints se vouer dans leur quotidien.

Les ados profiteraient dans chaque équipement de quartier d’espaces leur permettant de se distraire ; concept qui pourrait être déclinable dans les immeubles gérés par l’Office Auxerrois de l’Habitat. Autre trouvaille : la création d’un « PASS AUXERRE » faciliterait l’accès à la culture et au milieu sportif. 

 

 

 

Un credo sécuritaire : anticiper, prévenir, éviter les délits…

 

Lutter contre l’insécurité passe notamment par la restauration de liens apaisés et républicains entre la police et les citoyens. Aussi, Maud NAVARRE n’hésite pas dans son programme à augmenter les effectifs de la police municipale tout en élargissant leurs plages horaires de présence. Des sept agents déployés d’ordinaire, l’effectif augmenterait à une vingtaine d’unités.

Mais, attention, dans ce schéma, le mot répression est à proscrire. La sécurité des Auxerrois s’effectuerait dans le cadre d’une démarche humaine et pédagogue, ouvertement concrétisée par l’écoute et le dialogue.

Une nouvelle fois, les services de l’Office Auxerrois de l’Habitat seraient sollicités (après l’espace pour ados), charge à eux de réinstaller des concierges dans leurs loges afin de gérer les incivilités entre voisins et humaniser les quartiers.

Enfin, une maison de la tranquillité destinée à l’accueil de femmes victimes de violence ou de discrimination répondrait aux situations d’urgence en cas de maltraitance.

Reste le volet écologique (le nerf de la guerre de toute liste verte qui se respecte), l’idée majeure est d’engager le territoire vers la transition écologique qui améliore la qualité de vie des citoyens.

Qualifiée « d’humaine mais pas d’urbaine » par Maud NAVARRE elle-même, cette écologie fait abstraction de tout dogmatisme et d’aspects punitifs un peu trop usités par le passé par les gouvernements pour ne s’intéresser qu’à l’essence même du concept : le citoyen.

Identification de zones énergétiques (éolien, photovoltaïque avec projets participatifs menés auprès d’entreprises…), gestion des déchets et de leur tri, végétalisation du cœur de ville… : autant de possibilités hétéroclites qui permettraient à cette gouvernance, si elle était choisie au sortir des urnes, d’obtenir le précieux label « Cit’ergie », gage de l’engagement de la collectivité dans le développement durable.

Il ne reste plus désormais qu’au chef d’orchestre, Maud NAVARRE, munie de sa partition printanière qui pourrait accréditer son « Sacre » en cas de réussite, de la jouer avec ses quarante instrumentistes auprès du plus grand nombre.

En espérant, pour elle, que les Auxerrois perçoivent la note Bleue, celle qui est absolue, de la douce musique de l’écologie rayonnante !

 

 


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Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !

Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.

Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.

A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.

 

 

Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…

 

Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !

A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.

L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.

 

 

Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.

La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.

La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…

Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !

 

 

 


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Dans le centre de Joigny, non loin du Conservatoire de musique, se trouve une boutique avec une gamme variée de produits. Quand on pousse la porte de la maison, on est accueillie par Prunelle, souriante et enjouée, la maîtresse des lieux. Rencontre…

JOIGNY: Esthéticienne depuis 45 ans, Prunelle a ouvert sa première boutique en 2003. Installée depuis février 2015 dans sa nouvelle maison, située Rue neuve, elle propose ses services d’esthéticienne les lundis et mardis, une semaine sur deux. Elle se consacre le reste de la semaine, à sa deuxième passion : le papier japonais.

Riche en couleur et motifs, elle en fait des bijoux, lampes, guirlandes lumineuses ou encore des photophores, vendus aux quatre coins de sa coquette boutique.

On y trouve également de quoi se vêtir, des sacs en cuir mais aussi des produits cosmétiques aux origines « bio ». Du café ou du thé, mais aussi des parfums pour la maison constituent ce patchwork de diversités insolites.

Ses produits proviennent de fournisseurs européens, particulièrement les vêtements et les sacs en cuir. Voire de l’Inde où elle va se réapprovisionner régulièrement en bijoux, argent et vêtements auprès de partenaires fidèles.  Elle travaille aussi avec des créateurs entre autres pour la joaillerie

Excellente cuisinière, en ouvrant ce lieu typique, Prunelle régale les papilles en proposant une table d’hôte et un salon de thé à base de produits faits maison, à déguster au pied de la grande cheminée, ou dans le jardin selon la saison.

 

 

Se relooker en dégustant un thé avec un dessert maison !

 

Le site le permettant, elle a fini d’aménager deux pièces pour accueillir ses « bonnes fées », au total dix-sept professionnelles du bien-être qui proposent des cours et ateliers les soirs et les week-ends. Certains plus occasionnellement : yoga, sophrologie, réflexologie, aromathérapie, fleurs de Bach, bulle à couple, rigologie, méditation…

Elle rêvait d’une maison, qui apporte du bonheur au quotidien, aussi bien par les produits qu’elle propose que par les personnes compétentes qu’elle fait intervenir.

Depuis quatre ans Prunelle œuvre pour que tout soit en place. L’objectif étant atteint, elle se laisse porter par de nouvelles propositions qui arrivent, profite de temps pour elle et le consacre aux voyages aux quatre coins de la planète.

De nouveaux projets devraient prochainement voir le jour…

 

 

Pour en savoir plus :  

 https://www.facebook.com/lamaisondeprunelle/

https://www.lamaisondeprunelle.fr 

 

Maryline GANDON

 


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Une décennie, déjà. On pourrait presque la qualifier de prodigieuse tant le travail fourni à bon escient par les bénévoles formateurs s’est révélé payant. Organisme de formation linguistique reconnu d’intérêt public, la structure fonctionne aujourd’hui à plein régime avec l’aide de partenaires inconditionnels. Les projets fourmillent dans les têtes. De nouvelles perspectives pointent en ligne de mire, notamment depuis la mise en place d’un prolongement pédagogique naturel, proposé dans la langue de Shakespeare…

AUXERRE : Lutter contre l’illettrisme. La belle affaire. Délicate mission que celle-ci qui peut paraître complexe à bien des égards et qui nécessite la motivation continuelle de celles et de ceux qui y contribuent. Oui mais voilà, au sein de CLEF, de la volonté et de l’abnégation, ses décideurs en ont à revendre. A commencer par Michel CANET, son emblématique président.

Un homme de ressources et de conviction. En portant sur les fonts baptismaux la structure associative en 2009, pensait-il vraiment que CLEF posséderait cette aura territoriale en termes de notoriété et d’efficience dix ans après ?

Rien que l’acronyme représente déjà un raccourci très évocateur des différentes missions auxquelles ces bénévoles passionnés se sont assujettis : Communiquer, Lire, Ecrire, Former.

 

 

CLEF est devenue une clé de voûte inéluctable pour toutes celles et ceux qui n’ont pas la chance de jongler avec les mots, d’interpréter entre les lignes avec un brin d’imaginaire les textes lus parce qu’ils ont compris le sens de leur lecture et de disposer des connaissances requises pour aller de l’avant.

Bref, ce public fragilisé par l’âpreté de notre monde ne peut plus se sentir seul avec un tel organe opérationnel. Les trente-huit personnes, vouées corps et âme au succès de cette entité, le savent bien. Elles n’ergotent pas sur le nombre d’heures passées aux côtés de ces apprenants de l’impossible qui réalisent pourtant de sérieux progrès et des prouesses dans leur quotidien. Grâce aux séances d’alphabétisation ; grâce à des méthodes au final accessibles pour grandir dans leur for intérieur.

 

Un véritable ancrage territorial pour cette ESUS…

 

Au-delà de cet apprentissage volontaire et participatif, le suivi et l’évaluation des candidats demeurent primordiaux. Personne n’est abandonné en cours de route une fois lancé dans le cycle de la compréhension et de la maîtrise du français, une langue réputée si complexe et difficile à pratiquer. Le sens de la pédagogie chez CLEF, on en a fait un sacerdoce.

Soutenu par divers partenaires dont en premier lieu l’Etat et le Conseil départemental, CLEF a reçu l’adoubement officiel de collectivités locales (la Ville d’Auxerre), de structures financières à l’instar du réseau des Caisses d’Epargne. Même l’obtention de fonds européens permet d’abonder dans le financement des missions éducatives.

Possédant aujourd’hui un vrai ancrage départemental, CLEF a profité de l’année 2016 pour se recentrer sur les actions de formation. Référencé DATADOCK, et devenu un centre à part entière, l’organisme s’appuie depuis cinq ans sur le professionnalisme reconnu de sa directrice, Nelly DEDEBANT pour optimiser ses changements d’orientation et accroître son potentiel d’offres visant à former tous les publics.

 

 

C’est simple : cette reconnaissance s’est muée en un atout très précieux puisque la structure bénéficie dorénavant du DLA, le dispositif local d’accompagnement auprès des foyers ruraux, de Bourgogne Active et de la Caisse d’Epargne.

Au service de ce public en situation précaire et délicate, CLEF décline ses prestations avec l’aide d’une équipe structurée et professionnelle, des formateurs salariés qualifiés, des bénévoles volontaires et formés aux méthodologies d’usage, en s’appuyant au plan décisionnel sur un conseil d’administration actif et revendiquant son dynamisme.

Centre d’examens, pour le français mais aussi pour certaines langues étrangères dont l’anglais, CLEF s’apparente désormais à une ESUS, une entreprise solidaire d’utilité sociale depuis quelques mois.

Réduire les inégalités linguistiques grâce à un programme d’actions valorisantes intègre l’ADN de cette toujours jeune entité qui vient de souffler ses dix premières bougies. Et compte bien ne pas en rester là…

 

 

 


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