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Le président de la FNAIM Ile-de-France approuve les propos tenus par le président fédéral de la FNAIM, Jean-Marc TORROLLION. Mais pour éviter toute réaction hâtive et épidermique, il souhaite rappeler via cette tribune certaines choses qui ont amené la FNAIM à envisager la création de ce fichier des incidents de paiement des loyers. Le but n'est pas d'être totalement pour ou contre. Mais plutôt de travailler au « comment » et au « pourquoi ». C'est le souhait évident de l’organisme immobilier…

TRIBUNE : Ces dernières années, le nombre de bailleurs privés n'a cessé de diminuer et donc d’amplifier les difficultés pour trouver un logement en tant que locataire. Il est bon de rappeler qu'un bailleur sur deux est propriétaire de deux logements maximum.

Pour un grand nombre d'entre eux, ils ont emprunté dans l'espoir d'améliorer leur future retraite. Il ne faut pas les considérer comme « d'affreux capitalistes », profitant de « pauvres locataires ». Car, par leurs investissements, ils jouent un rôle social de premier ordre : le logement. Ils appartiennent à la société moyenne.

Il est aisé de comprendre que ces propriétaires ont besoin d'avoir la garantie d'être payés des loyers pour pouvoir rembourser leurs prêts. Or, ces moyens ont été amputés au fur et à mesure des années et des politiques successives. Nous pouvons citer : le dépôt de garantie ramené à un mois (lequel sert trop souvent à tort à payer le dernier mois), la suppression du cumul de garantie des loyers impayés et cautionnement personnel, le rallongement des délais de procédure, etc.

Les conséquences actuelles sont que certains bailleurs préfèrent ne plus mettre leur bien en location. Ils ont recours à des plateformes type « RBNB ». Celles-ci ne répondent pas au même besoin de logement.

La FNAIM déplore cette situation. Elle n'est pas du fait des professionnels, mais des politiques successives mises en place.

Comment peut-on exiger que des bailleurs privés prennent tous les risques financiers en cas de non-paiement et deviennent le curseur social de politiques inadaptées ?

  

La crainte pour les bailleurs de ne pas être payés…

 

C'est à l'Etat et aux services sociaux, et bailleurs sociaux, de répondre aux situations dramatiques de certains locataires.

Ce fichier, s'il voit le jour, dans le respect des règles édictées par la CNIL, ne serait qu'à la disposition des professionnels détenteurs d'une carte professionnelle.

Il existe bien un fichier à la Banque de France concernant les personnes ayant eu des incidents bancaires. Pour éviter les situations de surendettement. En quoi cela serait-il choquant qu'une sorte d'équivalent existe pour les locataires ?

 

 

 

 

Jean-Marc TORROLLION l'a rappelé clairement : « l'enjeu n'a jamais été de ficher les accidents de la vie… ». La raison principale qui fait qu'aujourd'hui bon nombre de bailleurs ne veulent plus investir et même parfois, vendent parfois leurs biens, c'est la crainte première, et totalement justifiée, de ne pas être payés.

Donc, si nous voulons améliorer l'accès au logement pour nos concitoyens, il faut que chacun y mette du sien, y compris le gouvernement et le législateur en premiers.

Il faut arriver à recréer une situation de confiance entre bailleurs et locataires. On ne peut imaginer qu'au moment de s'engager, une partie cache à l'autre un élément essentiel pour contracter.

Oui, le président fédéral de la FNAIM a jeté le pavé dans la mare. Il est évident que les choses vont devoir évoluer. Le slogan de la FNAIM est depuis très longtemps : « Agir pour le logement ». Elle ne change pas de cap.

 

Guy BRUGGEMAN

Président de la FNAIM Ile-de-France

 


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Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 


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La principale collectivité territoriale du département offre la possibilité à vingt-cinq de ses collaborateurs de pouvoir exercer dans des conditions optimales leur engagement de sapeurs-pompiers volontaires. Un accord-cadre existe entre le Département et le SDIS 89 afin de simplifier ces disponibilités. Il sera reconduit ce vendredi de manière officielle…

AUXERRE : Agir en qualité de citoyen investi au service d’autrui ! Telle est la devise des SPV, ces sapeurs-pompiers volontaires généreux et altruistes dans l’approche de leur mission.  

Ce vendredi 21 février, au Cellier de la Préfecture de l’Yonne, sera paraphé le renouvellement de la convention-cadre leur permettant de bénéficier des meilleures conditions possibles afin d’exercer leur travail de secouristes émérites.  

Depuis 2008, date à laquelle les premières contributions humaines ont été mises en œuvre, le Conseil départemental de l’Yonne procède à la reconduction de cet accord, élaboré avec le Service départemental d’incendie et de secours.

Vingt-cinq collaborateurs issus des services de l’institution départementale offrent ainsi leur précieux concours au SDIS. Ces sapeurs-pompiers volontaires profitent ainsi de conventions individuelles. Elles prévoient les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent bénéficier d’autorisations d’absence sur le temps de travail.

 

 

 

Celles-ci sont accordées par l’organisme employeur pour les activités opérationnelles et les actions de formations réglementaires que les employés du Département doivent assurer pour le compte du SDIS.

La convention-cadre sera validée par Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et Christophe BONNEFOND, président du Conseil d’administration du SDIS. Ce dernier est également l’un des vice-présidents du Département.

La cérémonie devrait voir aussi la participation du directeur du centre opérationnel des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE et de son adjoint, le colonel Pierre BEPOIX.

 

 


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Après plusieurs mois d’un vaste chantier, la nouvelle plateforme d’accueil visant à dynamiser les initiatives économiques sur l’Auxerrois recevra trois de ses futurs occupants en milieu de semaine. Une manifestation qui sera réalisée dans les règles de l’art de la communication pour la Communauté de l’Auxerrois, à l’initiative de ce concept…

AUXERRE : L’évènement se déroulera ce mercredi 19 février en matinée. En présence du président de la Communauté de l’Auxerrois, Guy FEREZ.

Logique, en vérité, car lui et ses équipes sont à l’origine de ce projet, un concept novateur implanté dans le quartier des Boutisses. Il est ouvert dorénavant aux entreprises positionnées sur ce segment de l’activité environnementale en pleine croissance.

Et c’est précisément à la découverte des trois premières structures entrepreneuriales qui intègreront le Pôle environnemental d’ici peu que seront conviés les journalistes de notre territoire lors d’une conférence de presse.

 

 

Un exercice de communication où l’édile d’Auxerre, président de l’organe communautaire, se livrera à une explication de texte sans doute fournie en présentant toutes les arcanes de ce dossier avant de rappeler les ambitions réelles octroyées à ce nouveau bâtiment.

Aux côtés des dirigeants et représentants des trois premiers impétrants (ECOLLANT, AK TEAM et PHENIX), Guy FEREZ proposera une visite intégrale de ce site, placé non loin du parc des expositions d’Auxerre, après avoir reçu leurs commentaires sur leurs motivations à rejoindre ce pôle.

 

 


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Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…

TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…

Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !

Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !

Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !

 

Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022

 

Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.

Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !

Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !

Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…

Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !

Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.

Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !

L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.

Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.

Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !

 

Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?

 

Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.

Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.

Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…

EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».

Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».

Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain  !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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