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L’ouverture de la nouvelle vitrine commerciale de l’un des concessionnaires historiques de France, depuis 1968, nous rappelle sa forte appétence à pouvoir s’adapter, toujours, aux besoins du marché et à ses impérieuses exigences. En abattant la carte du modernisme et de l’ergonomie fonctionnelle de son nouveau point de vente à l’estampille du constructeur allemand, Volkswagen, le groupe JEANNIN positionne inlassablement ses atouts dans l’une des zones économiques à fort potentiel de la région francilienne, la Seine-et-Marne. Une voie royale pour rayonner large, au-delà de ce territoire, en faisant un astucieux clin d’œil aux consommateurs de la capitale…

MAREUIL-LES-MEAUX (Seine-et-Marne) : Jouxtant ou presque le bâtiment qui accueille la concession AUDI, inaugurée en 2011, le nouveau point de vente VW du groupe JEANNIN AUTOPRESTIGE 77, reçoit les férus de la marque du constructeur d’outre-Rhin depuis le 28 janvier dernier.

Quelques mois après sa mise en chantier, l’édifice est désormais opérationnel pour vanter les mérites des berlines et SUV de l’enseigne. Toutefois, le concessionnaire bourguignon occupait déjà cette zone de chalandise très stratégique depuis bientôt vingt-trois ans, date de l’ouverture de l’ancienne concession.

Le groupe préconisait l’agrandissement de son show-room et désirait se positionner sur une zone plus facile d’accès. Ergonomique, répondant au cahier des charges voulu par Volkswagen, la nouvelle structure construite à quelques encablures de l’autre enseigne phare distribuée par le concessionnaire de Bourgogne devint une évidence côté logistique.

Respectueuse des ultimes concepts de merchandising, prescrits par le constructeur allemand, la concession se veut accueillante et très cocooning. Une valeur ajoutée importante pour le groupe JEANNIN qui a suivi à la lettre les codes de conceptualisation du site.

L’un des plus anciens distributeurs automobiles de l’Hexagone poursuit ainsi, grâce à cette implantation supplémentaire, son subtil maillage du territoire francilien.  

Déjà avec l’ouverture de la concession AUDI, il y a quelques années, au même endroit, JEANNIN Automobiles avait savamment préparé sa venue sur cette zone à forte potentialité économique. Une trentaine de collaborateurs ont su patiemment nouer des liens relationnels étroits avec les consommateurs du cru, prouvant la passion de leur métier tout en inculquant une dimension humaine à leur entreprise. Une griffe propre au groupe que la nouvelle concession VW sera déclinée à sa manière.

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Un véritable arsenal pour répondre aux besoins du marché…

Nonobstant ces deux enseignes vedettes dont il assure la promotion, le groupe piloté par Yves JEANNIN possède bien d’autres atouts dans sa besace. Distributrice multimarques, l’entreprise aux 210 millions d’euros de chiffre d’affaires, aux vingt-cinq points de vente et aux 380 collaborateurs s’est offert un luxe avouable avec le rachat en juillet 2018 de la société SMDA.

Réalisant un chiffre d’affaires évalué à 18 millions d’euros pour une trentaine de salariés, l’entité cédée par Jean-Pierre DAMACE commercialisait les marques Skoda, Mazda et Suzuki. Un pôle implanté à Melun propose aujourd’hui ces trois enseignes.

Si l’on ajoute à ce panorama non exhaustif, les modèles du constructeur japonais NISSAN, présent à Vert-Saint-Denis depuis 2016, le groupe JEANNIN a en sa possession un véritable arsenal de produits détonants pour optimiser sa conquête des parts de marché francilienne.

D’autant que le groupe est également présent à Coulommiers et à Fontainebleau, deux autres portes d’accès névralgiques de ce marché capital aux portes de Paris...  

 


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Plus de 426 entreprises commerciales nouvelles ont été enregistrées et immatriculées au cours de l’année 2018. Une note d’optimisme, saluée par le président de la vénérable institution, Pascal BAILLY. Pourtant, ce chiffre ne peut faire oublier les 134 audiences qui se sont déroulées au tribunal de commerce auxerrois. Et malheureusement, les mêmes causes qui ont produit des effets similaires au niveau des entreprises en défaillance. Dont 75 d’entre elles ont dû jeter l’éponge et mettre la clé sous le paillasson…

AUXERRE : Pédagogue, le président du Tribunal de Commerce souhaite l’être davantage. En y associant son équipe dont les deux nouveaux représentants qui viennent d’incorporer l’organisme. Afin d’empêcher que de pareilles mésaventures ne surviennent dans la sphère entrepreneuriale du landerneau auxerrois.

Chaque année, lors des audiences officielles, sont prononcées des décisions irrévocables par ces exégètes du droit et de la règlementation. Celles-ci conduisent le plus souvent vers des redressements judiciaires (au nombre de 38 dossiers pour l’année 2018 dont 50 % se sont vus convertis en liquidation judiciaire). Un préalable qui aura concerné 75 entreprises au terme de l’exercice en cours.

Pourtant, le chiffre correspond à une activité relativement stable si on le compare aux années antérieures. La prise de ces décisions avait fait l’objet en amont de vingt-deux audiences de procédure collective

Malheureusement, pour ces 75 chefs d’entreprise qui ont dû tirer un trait définitif sur leurs activités professionnelles, les mêmes causes produisent souvent les mêmes effets. Les liquidations sont encore trop souvent prononcées parfois même sans passer par un redressement judiciaire.

« La genèse de ces décisions s’explique, précise Pascal BAILLY, ces entreprises qui sont pour la plupart de plus en plus jeunes, avec deux à trois années seulement d’ancienneté, manquent singulièrement d’anticipation sur leur mode de fonctionnement. Leurs difficultés sont imputables à une stratégie commerciale pas assez approfondie, le plus souvent associée à un défaut de communication, voire parfois de formation… ».

Bref, un abîme qui ne peut se résoudre de manière positive si la faiblesse du capital initial génère en sus des problèmes de trésorerie à la moindre baisse d’activité ou si la société affronte une crise de confiance même passagère.

« A ceci, ajoute le président de l’instance juridique, il est nécessaire de prendre en compte les aléas de l’existence : les divorces, les séparations, les accidents de la vie. Enfin, la pérennité d’une entreprise englobe les aspects conjoncturels. Ainsi, des difficultés de recrutement du personnel imputent la saine gestion de l’entreprise. Quant à l’omnipotence des sites de ventes en ligne, nul ne peut les ignorer au plan comptable lorsque l’on se destine à la gestion d’une entité commerciale… ».

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Un rôle préventif lors des difficultés de gestion administrative…

De bon conseil, le Tribunal de Commerce agit bien en amont des décisions irrévocables. « On constate toujours de réelles difficultés administratives dans les sociétés, renchérit le président, or, le tribunal peut intervenir avant que ne se produise l’irréparable. Le nombre de mandat ad hoc ne cesse d’ailleurs de progresser puisqu’il double quasiment chaque année. Toutefois, et j’insiste sur ce point, pour pouvoir agir en parfaite connaissance du dossier, le Tribunal  a besoin de s’appuyer sur des indicateurs précis, des signaux tangibles pour vérifier la bonne santé d’une entreprise. Dont, naturellement, le dépôt des comptes… ».

2019 : prévention et augmentation des magistrats en ligne de mire…

L’année judiciaire qui débute devrait se conformer à celle qui vient de s’achever. En ce sens, le président BAILLY ne donne qu’un seul mot d’ordre : la prévention.

« Nous allons poursuivre et accentuer une démarche proactive en matière de prévention au service des entreprises. Cela induira en parallèle un travail continuel de valorisation de notre instance. L’objectif stratégique à obtenir auprès de la chancellerie sera la création de quatre nouveaux postes de magistrats. Ce qui devrait nous permettre de bénéficier à terme d’une organisation plus fluide dans les roulements d’audience et dans le développement du préventif auprès des entrepreneurs… ».

Pascal BAILLY devait conclure cet entretien en rappelant qu’une nouvelle directive européenne, transposée en droit national sur l’obligation qui est faite depuis août 2017 à l’ensemble des personnes morales immatriculées au registre du commerce et des sociétés, l’obligation de déclarer sur le registre des bénéficiaires effectifs, le ou les bénéficiaires.

 

 


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Avec 31 219 immatriculations obtenues en France l’année dernière, le constructeur enregistre sa plus belle performance au niveau mondial. Des résultats flamboyants qui s’expliquent avec le lancement de la nouvelle gamme de SUV, ARONA, qui devient le modèle le plus vendu avec 9 560 unités. Soit un taux de conquête de 75 %. Ce qui est loin d’être terminé…

PARIS : Un quart de ventes en plus par rapport à l’exercice antérieur. Il s’agit de la plus forte progression de toutes les marques généralistes sur le marché français. Mais, SEAT ne s’arrête pas en si bon chemin. Grâce à cette croissance, le constructeur enregistre ses meilleures performances sur l’ensemble des pays où la marque est distribuée.

Ces résultats ont été dévoilés il y a peu par le directeur de la filiale française de ce groupe, Sébastien GUIGUES. Commentaires de l’intéressé :

« Pour atteindre ses objectifs en 2018, SEAT a su exploiter tout le potentiel de son plan produits avec un fort taux de conquête et des modèles qui font figure de référence sur le segment SUV… ».

Et le dirigeant de la filiale de citer le nouveau ARONA qui a dépassé les 9 500 modèles à la vente. Il est vrai que le constructeur a tiré profit de la tendance du marché portée vers les SUV.

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Une bonne complémentarité de l’offre sur le segment des SUV…

A ce titre, SEAT dispose d’un aéropage conséquent de modèles sur ce segment pour occuper des positions intéressantes. Outre le nouvel ARONA, première année de commercialisation, le constructeur peut s’appuyer sur les performances de l’ATECA (7 533 ventes) et TARRACO, qui viendra renforcer cette position stratégique prégnante au cours de ce premier trimestre.

Ne boudant pas son plaisir, le dirigeant de SEAT France a rappelé que les modèles historiques de la gamme, IBIZA et LEON, affichaient également de prometteuses performances.

La première d’entre elles, classée seconde au Prix de la voiture de l’année 2018, s’est vendue à 7 805 unités. Tandis que la LEON a pu s’écouler à 5 820 modèles.

Ces résultats permettent à la marque de consolider sa position sur le marché hexagonal avec 1,44 % de la part de marché (+ 0,2) en affichant une progression neuf fois supérieure à celle du marché.

Les projets vont bon train pour autant. Le premier modèle de la marque CUPRA et l’avènement du TARRACO devraient assurer la dynamique de vente sur tous les canaux de commercialisation en 2019.


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Entrepreneur, vous ne pouvez plus prendre le risque de ne pas connaître votre territoire ! Beaucoup d'entre vous ont déjà perçu l'énergie débordante de Vincent PACINI et son talent pour dynamiser un territoire. Peut-être avez-vous même vécu la dynamique « Yonne 2015 » ? A l'aune de nombreuses missions innovantes réussies partout en France, il nous rappelle les liens entre l'entrepreneur et son territoire. A la lecture de ses commentaires, vous allez créer encore plus de valeur pour votre entreprise dans votre environnement territorial…

TRIBUNE : Disciple de Michel GODET, Vincent PACINI est un serial entrepreneur, docteur en économie, initiateur des démarches courtes en prospective, accompagnateur de dynamiques de territoire, particulièrement réussies (Yonne, Annecy...). Il est aussi enseignant chercheur (CNAM Paris, IAE Lyon, IEP Lyon). Sa légère pointe d'accent exprime toute l'énergie, tout le dynamisme et toutes les convictions qu'il partage et essaime auprès de ses interlocuteurs. Posez-lui une problématique complexe et généreusement, dans la minute, il vous ouvre un nouvel angle de vue toujours pertinent, et trois ou quatre clés simples et puissantes pour passer à l'action…

Vincent, selon vous, il est vital pour le dirigeant, aujourd'hui, de se connecter à son territoire. Pourquoi ? 

Il y a trente ou cinquante ans, cela n'était pas vital, car une fois l'entreprise démarrée, elle évoluait dans un environnement relativement stable. Aujourd'hui, le manager se trouve, qu’il le veuille ou non, dans un « écosystème territorial » qui bouge vite, de plus en plus vite et dont les règles elle-même changent rapidement. Nous vivons dans un territoire qui a muté, or nous continuons parfois à le regarder avec les lunettes d'il y a cinquante ans.

Comment cela peut-il se traduire, concrètement ? 

Dans le petit village de Naucelle (Aveyron), à l'instar de nombreux « centres Bourg », certains commerçants n'ont pas intégré le fait que la majorité de leurs clients habituels passaient l'essentiel de leur temps hors de cette commune. Ils  ont périclité. D'autres ont compris que leurs clients passaient la journée à Rodez ou Albi. Ils ont modifié leurs horaires et inventé des services adaptés et ont retrouvé un dynamisme.

Ce constat touche également les entreprises (grands groupes, franchises, banques....) qui disposent d'un réseau d'agences réparties sur le territoire français. Les agences qui offrent les meilleures perspectives de développement sont celles qui sont bien « connectées » à leur écosystème territorial.

J'ai accompagné une entreprise qui vend des produits dans le monde entier. Son territoire comporte bien des routes, que l'on considérait jadis comme l'élément clé du développement économique. Mais, pas le très haut débit, pas l'attractivité pour les cadres supérieurs, et pas les centres de recherche ni autres services immatériels qui l'aideront à inventer les produits de demain (FabLab par exemple).

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Cette entreprise peut-elle rester sur ce territoire tout en maintenant sa performance ?

Il faut savoir qu'en France 70 % des créations d'emplois dans le privé ont eu lieu dans les sept principales métropoles.

Je comprends bien l'importance du territoire, mais quelle est la marge de manœuvre d'un dirigeant pour adapter l'écosystème territorial à ses besoins ?

Le préalable indispensable est de comprendre son territoire et de vérifier s'il lui est adapté. Trois stratégies sont possibles pour lui : celle de l'ignorance (Puisque cela a marché jusqu'alors, prions pour que ça tienne), la stratégie de l'évitement (Ce territoire n'est pas adapté à mon développement et je vais devoir le quitter). Là, c'est une question que se posait une start-up de la robotique dans un environnement rural entre Lyon et Paris. Son dirigeant a, pour sa part, pris l'initiative d'interroger tous les acteurs du territoire et de construire une solution avec eux. Enfin, la stratégie de l'adaptation : puisque je suis ancré sur ce territoire et que je dois recruter de jeunes ingénieurs peu enclins à venir tous les jours dans mon village, je mets en place des solutions de coworking, de télétravail. Dans le cas que j'ai suivi, cela s'est même traduit par des effets très positifs sur l'organisation.

Cette stratégie d'adaptation peut se décliner seule, parfois, mais bien plus souvent avec l'aide du collectif (cf. les réussites du cluster de Florence dans le domaine de la rénovation des œuvres d'art ou l'expérience de « Jazz à Vienne », ou de « SPI SOFTWARE » qui créent une dynamique et des richesses pour le territoire (cf. : le succès des dynamiques de clubs d'entreprise, comme en Artois par exemple...).

Le dirigeant peut aussi moduler les trois stratégies. Mais la clé, après s'être interrogé, est de s'y connecter de manière permanente, car son écosystème est en évolution permanente, et ce, de plus en plus vite.

Le territoire n'est-il donc qu'une  contrainte de plus à gérer, en plus de toutes les autres contraintes pour l'entrepreneur ?

Ça, c'est la version pessimiste ! En fait, se connecter à son territoire vous amène de nombreux avantages. La bonne nouvelle, c'est que le territoire est devenu un élément clé de la performance,  et bien plus que vous ne l'imaginez.

Lorsque vous vous connectez à votre territoire : vous découvrez de nouvelles opportunités, par exemple pour mieux gérer votre consommation énergétique, qui deviendra une composante forte de votre business. Ou pour gérer vos déchets, autre composante qui va vous impacter bien plus demain qu'aujourd'hui, ou encore trouver de nouveaux fournisseurs et de nouveaux clients. Lorsque vous connaissez finement votre territoire et ses entreprises, vous pouvez optimiser votre spécificité et vous démarquer auprès de vos clients.

Autre bonne nouvelle, comme vous le savez la valeur d'un panier de biens est supérieure à la somme des biens. Alors intégrez le territoire dans votre package produits et vous créerez de la valeur, tout en faisant avancer, un peu votre écosystème. Il y a des dizaines de façons de le réussir (par rapport à l'histoire du territoire, sa culture, ses richesses, musées, traditions...).

L'application : expérimentez les connaissances de votre territoire

1/ Vous êtes plutôt  un entrepreneur « présentiel » (cela signifie que votre chiffre d’affaires dépend surtout de la population et des revenus de votre territoire à l’instar d’un commerçant, un artisan, une société d'informatique locale ou une profession libérale)…

Demandez-vous :

  • Où travaillent les gens de mon  territoire (INSEE, études CCI,..) ?
  • A quelle heure rentrent-ils ?
  • Quels services j'apporte aux « pendulaires » ?
  • Mes horaires sont-ils adaptés à leurs besoins ?
  • Quels services leur changeraient positivement la vie ?
  • Suis-je prêt à proposer mes services près de la gare, à leur sortie du train ?
  • Quelle différenciation pour me rendre unique ?
  • Comment accéder à mes  clients lorsqu'ils sont en dehors du territoire ?
  • Comment capter les clients des autres territoires ?

 2/ Vous êtes plutôt  un entrepreneur « résidentiel » (cela signifie que votre chiffre d’affaires dépend surtout de la population qui passe sur votre territoire à l’instar d’un hôtelier, un restaurateur, une activité touristique ou culturelle…).

Demandez-vous :

Qu'apportez-vous de plus ?

  • Comment êtes-vous  connectés avec les  entreprises de votre  territoire qui reçoivent les touristes ?
  • Où sont les lieux de passage ? Où sont les lieux pour capter le client ? Quel est le meilleur moment ?
  • Comment vous êtes-vous connectés à d'autres entreprises et partenaires de votre territoire ?
  • Pour développer une offre à plus grande valeur ajoutée et faire évoluer l'écosystème à votre profit.
  • Pour créer un produit à plus forte valeur ajoutée en ajoutant la composante territoriale.

 3/ Vous êtes plutôt un entrepreneur de la « sphère productive » (c’est-à-dire dont le chiffre d’affaires dépend de la croissance des marchés à l'extérieur du territoire, comme une grande industrie).

Demandez-vous :

  • Où habitent vos collaborateurs ?
  • Combien de temps passent-ils dans les transports ?
  • Comment avez-vous développé le coworking, le télétravail pour augmenter la productivité ?
  • Comment traitez-vous la problématique de l'énergie ou du recyclage ?
  • Sont-elles traitées avec des acteurs du territoire ou à l'externe ?
  • Quels sont vos projets de développement ? Les menez-vous  seul, au sein de votre groupe, ou avec des entreprises locales ? Comment les détectez-vous ?
  • Quelle stratégie pour recruter les talents ?
  • Qu'est-ce qui vous manque pour les attirer et comment y répondre collectivement ?
  • Quelles sont vos demandes claires au territoire ? Comment et à qui les formulez-vous ?
  • Que pouvez-vous  lui apporter ?

Philippe CARPENTIER

Deciderjuste.com


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Encensée de manière universelle pour la qualité intrinsèque de son célèbre breuvage, la ville la plus septentrionale du Portugal a accueilli durant cinq jours le colloque international de l’enseigne leader du négoce indépendant en matière de construction. Deux représentants Icaunais participaient à ces travaux. Cette  immersion aura été enrichissante pour le président du groupe, BIGMAT GOURMAND, Frédéric GOURMAND et le directeur général de l’établissement, Vincent EYBERT-BERARD. Les deux dirigeants de l’entreprise ont profité de ce déplacement sur la terre de l’ancienne Lusitanie pour y puiser de nouvelles réflexions stratégiques vis-à-vis des modalités actuelles du marché. Une manière de se ressourcer positivement !

PORTO (Portugal) : Partis du 17 au 21 octobre dans la grande métropole du nord du Portugal, les représentants du groupe BIGMAT GOURMAND ont su apprécier à sa juste valeur la vitalité et la fascination exercées par la seconde ville de ce pays, très prisé des Français.

Et comme le précise l’adage local, « pendant que Lisbonne s’amuse que Coimbra étudie et que Braga prie, Porto, elle, travaille ! ». C’est donc sous le signe de ce leitmotiv envoûtant et ô combien réaliste que l’entrepreneur Frédéric GOURMAND, accompagné du directeur général du groupe, Vincent EYBERT-BERARD, ont foulé le sol de la péninsule ibérique avant de se plonger dans le copieux contenu de cette rencontre annuelle internationale.

En provenance d’Italie, de Belgique, d’Espagne, de République Tchèque et de Slovaquie, les participants de ces rencontres internationales, concoctées avec brio par leurs collègues portugais, purent analyser dans le moindre détail les profondes mutations qui s’opèrent aujourd’hui dans le monde de la construction et de la distribution.

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Définir des stratégies visant à conquérir de nouvelles parts de marché…

Organisé chaque année, ce colloque réunit les représentants européens d’un réseau majeur dans le paysage de la distribution de matériels de construction qui possède près de 900 points de vente et réalise 2,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

On y évoque grâce à des conférences de haute volée les perspectives de développement du groupe, aussi bien dans ses dimensions internationales que dans ses contours nationaux. Il s’agit aussi de donner des impulsions novatrices à l’enseigne afin qu’elle puisse croître davantage à l’avenir.

Forte de ses 8 000 collaborateurs, et de ses presque 500 adhérents, l’enseigne BIGMAT et ses représentants ont profité de ce séjour à Porto pour y élaborer ce nécessaire pas décisif lui permettant d’affronter avec succès et perspicacité les questions stratégiques d’un point de vue internationale.

Cette rencontre a fait l’objet d’un réel examen de cette question en vue de faciliter l’adoption d’une stratégie vis à vis des modalités actuelles d’un marché complexe et concurrentiel. Précisons que l’enseigne réalise le plus gros de son chiffre d’affaires dans la vente de matériels pour le gros œuvre (32 %), l’isolation (22 %) et la couverture (16 %).


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