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Sous la lumière crue du projecteur, elle n’en est que plus belle. Peinte de son coloris mauve, décalé et inattendu, tirant quelque peu sur le « lilas » comme il sera par ailleurs précisé par le responsable régional des agences de l’entreprise. Même la responsable marketing du constructeur de l’engin mécanique, CASE, est séduite par la robe violette de cette « Pelle du Cœur », sujet de toutes les convoitises d’un soir inaugural au profit d’une noble cause…

 

MONETEAU : C’est la vedette du soir ! Son nom de scène pourrait évoquer l’un des personnages énigmatiques de « Stars Wars » : CX 60 C ! Une pelleteuse flambant neuve dont vient se munir l’agence icaunaise de la société TPI Location, spécialiste de la manutention et des engins de chantier à louer destinés à satisfaire la clientèle de professionnels – elle représente 80 % du chiffre d’affaires de l’entreprise dont le siège social est implanté à Varennes-Vauzelles près de Nevers – et de particuliers.

Toutefois, l’engin ayant troqué ses couleurs habituelles pour ce coloris violine des plus surprenants à l’œil n’est pas unique en son genre. D’autres spécimens de ces « CX 60 C » ont été assignés au réseau commercial de TPI Location. A Clermont-Ferrand, à Moulins et naturellement, à Nevers. Et toujours avec la bénédiction de l’équipementier, CASE.

Posséder de tels engins aux couleurs improbables d’ordinaire sur les chantiers du BTP n’est pas imputable à un phénomène de coquetterie ou de mode soudaine pour alimenter les réseaux sociaux auprès des plus jeunes générations !

 

 

 

Un pourcentage de chaque location est reversé au Centre régional Jean Perrin…

 

Derrière ce code couleur un peu flashy se cache en réalité un véritable symbole chromatique. Celui qui correspond à tous les cancers reconnus pour tels qui frappent nos concitoyens, et en particulier avec le coloris violet propre à la pathologie qui affecte les testicules.

On l’aura compris, l’initiative dévoilée par TPI Location en cette douce et humide soirée du 08 novembre dans la zone industrielle de Monéteau se voulait avant tout sensibilisatrice. En y ajoutant aussi l’aspect caritatif.

Le processus de soutien à la cause – l’envoi de dons au Centre régional Jean Perrin à Clermont-Ferrand, référence en la matière dans l’Hexagone dans la lutte contre la maladie – se veut très simple. Puisque cette pelleteuse est à louer comme n’importe quel autre engin du parc accueilli in situ, il sera reversé à chaque transaction un pourcentage du bénéfice de l’acte locatif à l’organisme partenaire. Très facile, en somme, d’être altruiste et solidaire !

Petite subtilité à connaître, vous êtes également invités à faire des dons sans obligatoirement louer cette « Pelle du Cœur » - la bien-nommée qui baptise cette opération sans date de limite ! – au profit du centre médical auvergnat qui rayonne de par son efficience bien au-delà de ses frontières.

 

Thierry BRET

 


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Il ne tarit pas d’éloges sur les bienfaits de l’entreprise, le maire de la petite commune de Sury-près-Léré, Pascal VIGUIE ! Située près de La Celle-sur-Loire, la collectivité n’a pas hésité à faire appel, après les consultations d’usage, à une toute nouvelle structure entrepreneuriale, implantée dans l’Yonne depuis 2020. Son nom, elle le signe à la pointe de son jet d’eau qui lui permet de redonner une cure de jouvence aux toitures et façades de tout type d’édifices, « PULVERY CLEAN ».

 

AUXERRE : Les avis convergent tous dans la même direction. Du positivisme à l’état brut, à n’en plus finir ! Que ce soit les commentaires enthousiastes formulés par un élu de la campagne berrichonne ou ceux d’une particulière ayant eu recours à ses services pour le compte de sa génitrice, le concept novateur de la franchise « PULVERY CLEAN » les aura donc bluffés !

« Que dire de cette technique sinon que du bien ? » affirme l’un de ces témoins s’exprimant sur le site de la marque, encore toute juvénile puisque apparue pendant la cruciale période de la COVID.

Opérationnelle depuis le mois de juin 2020 – l’entité devra quand même s’armer de patience en traversant les épisodes successifs des confinements -, « PULVERY CLEAN » positionne son offre de service sur le nettoyage des toitures et façades de toute typologie de bâtiments. Des maisons individuelles aux logements collectifs, des ouvrages professionnels à ceux qui accueillent des collectivités, voire des monuments historiques et patrimoniaux : rien n’arrête l’appétit croissant de cette entreprise à qui tout semble réussir.

 

 

Les toitures retrouvent leurs couleurs comme les façades des maisons…

 

A la base de ce concept qui se meut dorénavant à travers l’Hexagone par le biais d’une franchise en pleine expansion de semaine en semaine, il y a une technique. Pas n’importe laquelle, visiblement puisqu’elle autorise même la pratique d’une politique tarifaire plus que raisonnable pour la qualité de ses prestations rendues. Ce qui fait des heureux parmi les bénéficiaires, on en aurait douté !

« Le dispositif repose sur l’utilisation d’un matériel autonome développé en interne, permettant de projeter du produit nettoyant jusqu'à dix à douze mètres de hauteur. L'utilisation de ce matériel autorise une mise en chantier rapide et se traduit pour la clientèle par le prix au mètre carré le plus bas du marché. Outre le matériel, les produits utilisés ont été développés en partenariat avec un chimiste. Ils sont sans chlore, ni javel (des produits agressifs qui rendent les matériaux poreux) et sont biodégradables quasiment en intégralité sous un délai d’un petit mois… ».

 

 

 

Ainsi s’exprime Francis MOREAU, l’un des trois codirigeants de cette jeune société. Avec Serge GOUSSE et Laurent PICOUET, à eux trois ils nourrissent de sérieuses perspectives pour leur « dernier né ». Cet outil, dont ils sont fiers.

Notre interlocuteur qui a pris à sa charge tout le développement commercial du concept et sa stratégie de communication, ajoute : « dans le cadre des opérations de « démoussage », traitement de toitures, façades et terrasses, une fois le produit appliqué, Dame nature « se charge » du nettoyage qui se fera naturellement au cours des semaines qui suivent. A terme, les toitures retrouvent leurs couleurs, comme les pignons ou façades des maisons... ».

 

 

Des secteurs offrant un panel de 45 000 maisons individuelles et 150 000 habitants…

 

Mazette ! A l’écoute de ces précisions techniques, on a l’impression d’être en face d’un produit « miracle », d’un de ces ingrédients révolutionnaires à souhait dont on ne connaîtra in fine pas la véritable composition chimique et qui fait de cette activité très spécifique de l’entreprise un particularisme de niche où elle n’a pas de concurrence frontale à travers l’Hexagone ! Donc, en résumé, c’est un atout précieux pour le développement de la franchise qui en découle.

Le hasard de la vie aura bien fait les choses, en vérité. Réunissant sur la même longueur d’ondes Serge GOUSSE, porteur initial du projet, et Francis MOREAU, qui exerçait à l’époque des activités de consulting au sein de sa propre structure. Viendra se rajouter dans cette aventure le troisième contributeur à la réussite de ce concept, Laurent PICOUET que le landerneau économique de l’Yonne connaît bien, à juste titre, pour le développement de la franchise de coiffure, YSEAL à l’échelle hexagonale.

La franchise qui a désormais le vent en poupe pose ses premiers jalons auprès de personnes franchisées. Elles sont à La Rochelle, à Marseille, du côté de Fontainebleau ou de Besançon. De ces contacts judicieux naissent de nouvelles vocations et de réelles opportunités de développement pour la toute jeune enseigne. L’Yonne, et pour cause, ne déroge pas à la règle puisque la découpe territoriale offre l’opportunité à trois franchisés de se distinguer professionnellement. Le terrain de jeu sectoriel permet l’exclusivité, il correspond à l’exploitation d’un panel de 45 000 maisons individuelles (soit un potentiel de 150 000 habitants). Un sacré grain à moudre pour celles et ceux qui croient en la marque et à son principe de nettoyage innovant !

« On est loin de connaître le réel potentiel business offert par la franchise, confie Francis MOREAU, pourtant un spécialiste des « business plan », on estime qu’une personne seule peut dès la première année atteindre un chiffre d’affaires de 150 000 euros… ». Ce qui n’est non négligeable, convenons-en !

Le droit d’entrée reste minime, s’élevant à 5 000 euros, c’est tout. Mais, attention, cela ne devrait pas durer car la valeur de « PULVERY CLEAN » commence à s’affirmer bien au-delà des frontières de l’Yonne où elle a vu le jour. Prometteur…

 

Thierry BRET

 


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Président et grand maître de la Confrérie des Trois Ceps, Elie PARATRE est, avec cette autre figure emblématique de Saint-Bris-le-Vineux qu’était Michel ESCLAVY (vigneron et membre fondateur des Caves Bailly-Lapierre, aujourd’hui décédé), à l’origine de ce fameux concours dont la première édition s’est déroulée le 06 novembre 1990. Souvenirs…

 

COULANGES-LA-VINEUSE : L’audience en était alors confidentielle : « c’était l’époque où les vins ne se vendaient pas faute de clientèle comme à Chablis et l’idée a germé de faire un concours entre nous. S’est créée une petite commission de vignerons, où lors de fêtes de villages, de banquets, ils ont commencé à apporter leurs vins pour les déguster, les commenter et les noter de manière informelle… » .

Il fallut attendre 1996 pour obtenir du ministère de l’Economie, des Finances et de la Répression des Fraudes, la reconnaissance officielle du concours. Une homologation se traduisant par l’apposition sur les bouteilles médaillées, d’un macaron distinctif, directement inspiré de la représentation du vigneron en vendanges sculpté dans la pierre, découvert sur le site gallo-romain d’Escolives.

Cette année-là, lors de la trente-troisième fête des Vins, quarante-et-une caves étaient en compétition, pour 126 échantillons présentés, vingt-deux dégustateurs et trente médailles collectées.

 

 

Des jalousies et des polémiques du fait de certains beaux parleurs…

 

La vigne n’est pas un « long fleuve tranquille » et à l’époque, le concours faisait aussi des mécontents : « beaucoup de jalousies sont nées, car tout le monde ne recevait pas un prix ! ».

Autre sujet portant à polémique lorsque les organisateurs décidèrent d’en modifier les règles en instaurant le principe que sur une même table, aucun juré ne déguste le même échantillon : « avec Michel, on ne s’est pas fait que des amis ! A l’époque, certains beaux parleurs, loin d’être de bons dégustateurs, imposaient leur loi à d’autres, avec le risque de fausser les résultats… ».

Plume « officielle » de la tribune éditée par la Confrérie, Elie PARATRE y relate notamment chaque année les résultats du concours des Vins du Grand Auxerrois, usant d’un style mêlant sérieux et bonhomie, à l’image de la belle personne qu’il est depuis toujours.

 

Dominique BERNERD

 


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Eclipsé de la scène viticole départementale depuis deux ans pour cause de pandémie, le concours des Vins du Grand Auxerrois faisait son grand retour samedi à Coulanges-la-Vineuse. Pas moins de 180 échantillons issus des trois derniers millésimes, représentatifs de tous les vins de l’Yonne à l’exception du chablis, ont été proposés à la sagacité des 42 jurés présents, avec au final 69 médailles décernées, dont 14 d’or et 22 d’argent.

COULANGES-LA-VINEUSE : Cette trentième édition a été fêtée de belle manière par les organisateurs qui, pour l’occasion, proposaient une dégustation verticale des trente derniers millésimes de certaines appellations.

« Quant aux médailles, elles sont attribuées à partir d’une moyenne supérieure à 13 sur 20. En cas de note sévère, il est demandé de justifier ce choix… ». Dernières recommandations d’usage de Magali BERNARD, co-présidente du concours avec Elodie CHALMEAU, à l’adresse des 42 jurés présents samedi matin en la salle des fêtes. Un jury qui, à l’exception de quelques représentants du vignoble chablisien, a pour particularité de ne compter dans ses rangs aucun vigneron des différentes appellations en lice. Ils sont sommeliers, journalistes, œnologues, restaurateurs, courtiers, professionnels ou amateurs avertis, venus d’horizons divers, de l’Yonne ou des départements voisins, voire de Paris, avec pour point commun la passion et l’amour du vin.

Le ballet cadencé des serveurs rythme les dégustations qui s’enchaînent. Rouge, blanc, rosé, qu’importe la couleur ! Le rituel est le même et la technique bien maîtrisée, usant des trois sens que sont la vue, l’odorat et le goût, pour un « voyage » aux multiples sensations.

 

 

Seule la moyenne des notes obtenues fait qu’un vin reçoive ou non une médaille…

 

Dans les verres inclinés, le vin se fait limpide ou intense, « pleurant » des larmes pour mieux en raconter l’histoire. Premier nez, deuxième nez…, les vins dansent au fond des verres, dévoilant leur palette aromatique, avant une dernière étape gustative. « Rouge, un verre et gagne ! ».

La note est élogieuse et ce coulanges en robe pourpre semble bien parti pour décrocher une médaille, sous réserve du jugement des deux autres jurés en charge eux aussi de cet échantillon.

L’autre particularité du concours étant que s’ils sont obligatoirement plusieurs à se déterminer sur un même échantillon, chacun est installé à une table séparée et seule la moyenne des notes obtenues fera qu’un vin reçoive ou non une médaille.

Une façon d’apporter « de l’honnêteté et une crédibilité maximale au concours en évitant le risque qu’une forte tête impose son avis aux autres… selon le vigneron de Saint-Bris Guilhem GOISOT.

 

 

Des vins d’un très haut niveau qualitatif particulièrement le millésime 2020…

 

L’épicurien gastronome et célèbre chroniqueur Gauthier PAJONA, qui officiait en qualité de juré, se félicita pour sa part de la nouvelle règle instaurée par les deux coprésidentes : « tous les gens qui notent sévèrement doivent désormais justifier leur avis et du coup, cela a calmé les velléités injustes de certains et ça fait du bien ! ».
Président de cette trentième édition, le journaliste Guillaume BAROIN ne boudait pas son plaisir à l’issue de la manifestation : « j’ai pu goûter des bourgognes coulanges et tonnerre blanc d’un très haut niveau qualitatif, particulièrement le millésime 2020 de très belle facture, avec notamment un vin coup de cœur que j’ai adoré. Bien heureux de cette belle dégustation… ».

Ce fin connaisseur des vins du Grand Auxerrois qui sillonne le département depuis une trentaine d’années, leur reconnaît une double vertu : « outre une progression de la qualité que ce soit sur le plan technique ou cultural, il est important de dire que ce sont des vins accessibles à tous les palais et à toutes les bourses, des appellations qui sont la base même de la pyramide des vins de Bourgogne et ça, c’est génial…».

Ite missa est ! (La messe est dite…).

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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La dotation a été finalement augmentée. Cela est imputable à la rançon du succès pour la Fondation du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté qui n’avait pas prévu un tel engouement de la part des réponses faites à cet appel à projets. Ce sont donc 85 000 euros qui vont être ainsi injectés afin de soutenir le plus grand nombre de dossiers visant le milieu associatif. Parmi les seize lauréats retenus pour cette première édition : DOMANYS, seul représentant de l’Yonne, qui a été retenu pour son service gratuit destiné à l’apprentissage…

 

DIJON (Côte d’Or) : On connaît le nom des lauréats du premier appel à projets de la Fondation du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté à destination des associations. La liste vient d’être communiquée par le service de presse de l’institution.

Lancée sur la contrée en avril dernier, l’initiative a engendré un tel succès au niveau des réponses obtenues que les responsables de ladite fondation ont décidé de rehausser le niveau de l’enveloppe financière initiale la portant à une dotation finale de 85 000 euros. Histoire de soutenir un plus grand nombre de dossiers !

Cette opération de soutien aux initiatives, à laquelle devait prendre part le Comité « mécénat territorial » de la Fondation groupe EDF – celui-ci réunit les représentants d’EDF SA, d’EDF Renouvelables, de DALKIA et d’ENEDIS – se mettait en place en avril afin d’encourager les associations qui agissent dans les domaines de l’environnement, de l’inclusion et de l’éducation.

 

 

L’ADIE de Bourgogne Franche-Comté figure parmi les lauréats pour l’inclusion…

 

Sur les cinquante-trois réponses faites à cet appel à projets innovant, seize ont reçu les faveurs des membres du comité, soit huit dans le domaine de l’éducation, cinq dans le domaine de l’environnement et trois pour la catégorie de l’inclusion.

Ce dernier point, précisément, a été encouragé par la Fondation groupe EDF pour ses projets se rapportant à la lutte contre la pauvreté ayant un impact direct sur les bénéficiaires : insertion, réinsertion sociale ou professionnelle des personnes fragiles. On retiendra pour mémoire le nom des trois structures associatives lauréates dans cette catégorie : le Racing Besançon (projet d’école de la vie à destination des plus jeunes), La Cloche à Dijon avec son programme orienté vers les sans domicile fixe et l’ADIE de Bourgogne Franche-Comté.

Cette dernière entité développe la pratique du micro-crédit comme chacun le sait et soutient l’essor de l’entreprenariat au féminin dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville et les zones rurales.

 

 

Du côté de l’environnement, cinq projets ont attiré l’attention des membres du comité de la fondation. Ceux de la saline royale d’Arc-et-Senans dans le Doubs pour son école du jardin planétaire, le groupe TETRAS Jura qui a créé une mallette pédagogique « sylvotrophée », Nature Jura Environnement avec la restauration et la création de mares facilitant la biodiversité dans la combe de l’Ain, Unis-Cités qui déploie le service civique pour la transition écologique sur le territoire régional et la LPO Bourgogne Franche-Comté qui porte un projet éducatif autour de l’environnement au lycée agricole de Quetigny en Côte d’Or.  

Enfin, le volet de l’éducation – il reste un facteur essentiel de développement humain, de croissance économique et un moyen de lutte contre toutes les formes d’exclusion – favorise l’égalité des chances et la citoyenneté : c’est celui qui aura vu le plus grand nombre de projets récompensés in fine.

 

 

Le programme pédagogique de DOMANYS dans l’Yonne a suscité de l’intérêt…

 

Huit d’entre eux recevront le coup de pouce bénéfique de la Fondation du groupe EDF BFC. Notamment le dossier présenté par le bailleur social de l’Yonne, DOMANYS, pour la mise en place d’un service gratuit d’apprentissage via une plateforme collaborative baptisée « SCHOOL MOUV » à destination des classes de CP à la Terminale tant en zones urbaines prioritaires que dans les zones rurales.

Pour être tout à fait complet, citons les autres lauréats de cette catégorie : « Créé ton Avenir » (Nièvre et Haute-Saône), avec la mise en place de six parcours pilotes d’aide à l’orientation dans ces deux bassins d’éducation ; l’association « Coup de Pouce » qui a déployé douze clubs afin de prévenir le décrochage scolaire en Côte d’Or, dans le Doubs et la Haute-Saône ; « PIMMS Médiation Bourgogne du Sud » pour son accompagnement en Saône-et-Loire des jeunes en situation d’exclusion et des femmes isolées (solutions d’hébergement, de transport, de médiation sociale) ; l’orchestre « Dijon Bourgogne » qui propose des ateliers de musique pour les jeunes des quartiers populaires de la ville ; « 100 000 Entrepreneurs » qui offre un programme de sensibilisation aux jeunes autour du monde professionnel de demain et de l’entrepreneuriat ; le « Centre Interculturel Conseil Formation Médiation » qui accueille de jeunes migrants en Saône-et-Loire tout en développant leur autonomie et leur sensibilisation à la citoyenneté et le Musée de plein air des Maisons Comtoises qui agit dans le Doubs au service des élèves et étudiants désireux d’en savoir davantage sur les atouts écologiques de la construction bois via l’édification de quatre abris pour animaux.

Rappelons, enfin, que le mécénat territorial porté par la Fondation du groupe EDF existe depuis le début de l’année 2020 et que le projet court sur une période de trois ans jusqu’en 2023. Au vu de ses objectifs et de son succès, il se pourrait fort bien que ce vertueux principe favorable au développement de projets régionaux soit renouvelé…

 

Thierry BRET

 


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