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Il ne faut pas se fier à la première impression. Elle n’est pas nécessairement la meilleure des conseillères. La suite de bureaux traversés au pas de charge par la petite délégation qui en a visité le moindre de ses aspects ne signifie nullement que l’activité professionnelle y est absente ! C’est là toute la subtilité du télétravail quand il est réussi. D’ailleurs, chez l’assureur mutualiste régional, la productivité demeure excellente. Que l’on soit à domicile ou sur son lieu de travail !

 

AUXERRE: D’ordinaire, le siège social de la direction départementale de GROUPAMA Paris Val-de-Loire bruisse de mille sonorités. Ces signes de vie traduisent l’effervescence qui y règne.

Tapotements rapides de mains expertes sur les touches d’un clavier, réception d’appels  téléphoniques sans discontinuer afin de résoudre les besoins des sociétaires, voix des occupants qui communiquent des informations : bref, c’est le rythme de croisière d’une entreprise d’assurance et de prévoyance dans son jus quotidien.

Quarante-sept personnes s’y affairent avec âpreté et se répartissent les différents espaces prévus à leur accueil.

Or, ce n’est pourtant pas la vision naturelle qu’aura aperçue le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite des lieux.

Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’unité départementale de la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités), le représentant de l’Etat se sera très vite rendu compte que cette enfilade d’espaces professionnels qu’il aura franchie en compagnie de ses hôtes demeurait vide de tout occupant.

Ou presque à de très rares exceptions. Logique, seuls neuf collaborateurs de l’entreprise mutualiste exercent encore leur activité en présentiel. Parce que leurs tâches ne sont pas transposables à leur domicile.

 

 

L’épine dans le pied du télétravail : l’isolement du personnel…

 

Curieux sentiment de solitude pour celles et ceux de ces collaborateurs qui avaient les yeux rivés devant les écrans de leurs ordinateurs au passage de la délégation préfectorale. Pour autant, interrogées par le haut fonctionnaire, ces personnes affichaient plutôt avec un sourire facile de l’enthousiasme à pouvoir exercer leur métier dans ces conditions si inhabituelles. 

Mais, cet isolement est aussi vécu avec appréhension par une large frange des autres employés de la fameuse maison séculaire : celles et ceux qui restent à demeure. La vraie épine dans le pied de ce bel édifice qui se décline sous nos yeux et se nomme le télétravail.

Une activité qui est fortement encouragée depuis le retour du confinement de troisième génération par Henri PREVOST lui-même (à lire l’article consacré à ce sujet à paraître).

Conscient des aspects psychologiques que cette situation peu commune peut engendrer sur le moral de ses « troupes », le directeur d’établissement de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT (il est aussi lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale) a mis en place un système de rotation favorisant le retour avec parcimonie du personnel qui souhaite évacuer leur stress.

 

 

 

 

Ce n’est pas le seul outil dont il utilise les saines vertus. Les managers de la place s’appuient sur des plannings de présence en essayant de redonner un supplément d’âme dans ce lieu qui manque singulièrement de convivialité.

Exit la kyrielle d’opportunités où chacun des salariés pouvait allègrement célébrer une fête ou un anniversaire, partageant le gâteau et le verre d’un nectar de notre terroir !

Fini les accolades et les bises matinales entre collègues afin de se souhaiter la bienvenue : le monde du travail a perdu de sa superbe en termes de relations humaines. Même si quelques velléités de recréer une atmosphère chaleureuse réchauffent les âmes affectées par l’imprévisible.

A l’instar du corner café accueilli sur TEAMS et décliné à distance entre les collaborateurs.

 

 

Tous les indicateurs sont orientés vers le beau fixe…

 

Seul rayon de soleil dans cet univers un peu morne de tant d’absences physiques : les résultats du groupe. La productivité de l’entreprise n’a pas disparu, loin s’en faut. La qualité de service, non plus. Chacun y trouve son compte. Surtout les clients de la société assurantielle devant faire face aux problématiques, nées de sinistres automobiles.

Côté investissement, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas ergoté sur les moyens technologiques pour équiper son personnel afin qu’il puisse exercer ses tâches dans les configurations les plus optimales.

La direction régionale a consacré une enveloppe budgétaire de 800 000 euros à la dotation des 1 600 collaborateurs en matériel numérique adéquat : écrans, unités et webcams ! D’ailleurs, d’ici peu, de nouvelles webcams seront déployées sur le territoire. 

Commentaire avisé de Jacques BLANCHOT à ce propos : « La pandémie nous a fait faire des efforts colossaux en un laps de temps record ! ».

Au mois d’octobre 2020, l’entité avait proposé à ses salariés un accord d’entreprise, reposant sur le volontariat, permettant de réguler au mieux le télétravail. Accord qui concerne le personnel en contrat à durée indéterminé (CDI), d’une ancienneté de plus de douze mois.

Cet accord a fait l’objet d’un avenant au contrat de travail des collaborateurs. Clin d’œil anecdotique mais révélateur de l’art d’anticiper les choses : GROUPAMA évoquait déjà la possibilité de mettre en place tôt ou tard le télétravail, et ce à partir de janvier 2020.

Cela se déroulait il y a dix-huit mois. Depuis, on connaît la suite…

 

Thierry BRET

 

 


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La Journée nationale contre le sexisme s’est tenue sur Zoom en cette année 2021. Elle aura vu la participation de nombreuses femmes, représentant toute la richesse des mouvements féminins en France. Quant au thème initial retenu, il évoquait « l’argent et les violences économiques subies par les femmes… ». Un phénomène très peu connu mais ô combien en phase avec l’actualité…

 

TRIBUNE : Depuis un an, la crise sanitaire et économique a aggravé les inégalités femmes/hommes, en France, comme dans le monde entier. Concernant les violences domestiques, toutes les données disponibles montrent une forte augmentation en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique.

En France, on constate 30 % d’appels supplémentaires sur les numéros de téléphone dédiés aux violences physiques.

Le chemin est long et difficile. Et si, dans l’Hexagone, des mesures ont été prises sur le plan social, l’accent reste à mettre en œuvre pour les violences économiques que subissent au quotidien les femmes.

Sur le plan de la vie privée, 20 % d’entre elles qui appellent le 3919 parlent de contrôle de l’argent du foyer par le conjoint violent, et 55 % des femmes victimes sont salariées.

L’autonomie financière est déterminante pour l’égalité dans le couple. Les outils économiques actuels, pensés par des hommes pour une société dirigée par des hommes, ne permettent pas d’intégrer l’égalité. Beaucoup de réformes restent donc à faire, pour favoriser l’émancipation économique des femmes, notamment sur le plan des aides sociales, voire du système fiscal…

 

Des disparités dans les aides financières au détriment des femmes…

 

Le « violent économètre » recense les risques économiques aux différents âges de la vie d’une femme. Dès dix ans, c’est un outil de prise de conscience pour les femmes et pour tous les parents.

« Pouvoir décider, par un choix éclairé, afin d’être actrice de son autonomie financière et économique, garantit la liberté » selon Corinne HIRSCH, Vice-Présidente du Laboratoire de l’Egalité, membre du club Femmes Ici et Ailleurs.

Sur le plan professionnel, l’accès aux financements reste difficile pour les femmes. On constate deux fois plus de rejets de demandes de prêts bancaires venant d’entrepreneures au féminin. Les réponses positives le sont pour des montants sensiblement moins importants que les prêts accordés aux hommes.

Quelques chiffres dans le domaine de la création de musiques actuelles : 17 % de femmes auteures, compositeures à la SACEM, 14 % de femmes directrices de labels de musique, 20 % des demandes de financements de projets présentés par des femmes (et dans lesquels on trouve 80 % d’hommes !).

« La solution aujourd’hui, c’est, comme je l’ai fait, de monter son propre label, avec, dans mon cas, 99 % de femmes. Cela permet de rééquilibrer la tendance, sans violences sexistes » témoigne Katel, artiste, productrice et Interprète

Il existe fort heureusement des pistes : des bonus d’aides à la production d’albums présentant une parité femmes/hommes, des programmes de mentorat au féminin. Sachant enfin qu’au niveau de l’éducation et de la formation, 55 % des filles sont dans les conservatoires de musique, pour seulement 5,4 % de femmes instrumentistes !

 

Sur 87 familles de métiers, 13 sont considérées comme mixtes…

 

C’est le cas pour les métiers du secteur de la Tech, où le niveau de sexisme est particulièrement élevé. Cela est décourageant pour beaucoup de jeunes filles d’étudier dans ces filières. En France, il n’y a que 25 % de femmes diplômées alors que ce pourcentage est en diminution ces dernières années, contrairement à l’Europe où la progression est de 23 %.

Dans les premières années de l’exercice de la fonction, beaucoup de femmes diplômées quittent les entreprises du secteur pour se réorienter.

C’est une prise de conscience qui se pose que cette non-mixité dans ces entreprises. Comme l’exemple des logiciels de reconnaissance faciale, fiables à 99 % pour reconnaître les hommes contre 35 % de taux d’erreurs pour reconnaître les femmes … Cela demande à être suivi d’actions concrètes.

Là aussi, il existe des pistes : le classement des formations scientifiques et techniques selon la proportion de femmes diplômées. 15 % seulement des directeurs d’écoles d’ingénieurs sont des femmes, un score à améliorer notamment avec la loi Sauvadet et la loi Copé-Zimmerman. L’émergence de réseaux de femmes se fait jour dans les entreprises et pour les TPE/PME dans les territoires.

Les médias et la culture ne sont pas en reste avec les disparités. Un exemple flagrant concerne la « disparition » des femmes de 50 ans et plus à l’écran… alors que 52 % de la population féminine majeure est cinquantenaire, voire plus !

Dans les fictions, en 2016 sur l’ensemble des films, seuls 6 % des rôles concernent des actrices de 50 ans et plus. Les rôles de pouvoir sont incarnés par des hommes de 50 ans et plus, à l’âge où les femmes sont, elles aussi, à l’âge de leur puissance et de leur maturité.

 

L’argent public doit être un moyen de promouvoir l’égalité...

 

Venons-en à la sphère publique, et à la distribution de l’argent public, d’une façon générale. Encore plus particulièrement en cette période de crise économique, et sur le concept de l’EGACONDITIONNALITE.

Il repose sur l’idée fondamentale que l’argent public n’est pas neutre, et qu’il doit être un moyen de promouvoir l’égalité.

Il s’agit de conditionner l’attribution de financements publics, ou d’autorisations administratives, au respect d’un certain nombre de principes égalitaires, soit en termes de parité, soit en termes d’égalité.

Brigitte GRESY, présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes, rappelle que « le HCE recommande d’appliquer ce principe depuis 2014, et qu’en raison de la crise sanitaire, des montants considérables d’argent public ont été alloués, sans avoir étudié l’impact différencié sur les hommes et les femmes de ces sommes allouées ».

Les périodes de crise ont souvent aussi permis de faire de grands progrès dans certains domaines.

Et si, c’était l’occasion aujourd’hui, d’agir concrètement, pour réduire les violences économiques faites aux femmes !

D’intégrer l’EGACONDITIONNALITE dans l’attribution des financements publics, y compris dans ceux attribuées par les instances locales, départementales, régionales ?

« Ne demandez pas aux femmes de s’adapter au monde … demandez au monde de s’adapter aux femmes » citait Gloria STEINEM. Alors, messieurs, à méditer !

 

Claire DOUTREMEPUICH

 


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Comment est appréhendé le télétravail dans les entreprises de notre territoire ? Alors que le chef du gouvernement ne cesse de marteler, conférences de presse à l’appui, que ce dispositif doit être mis en place à tout prix dans les sociétés qui le peuvent afin de lutter contre la propagation de l’épidémie, le préfet de l’Yonne se rendra au siège de GROUPAMA Yonne mardi pour y recueillir des témoignages…

 

AUXERRE : Près de 40 % des entreprises de l’Hexagone sont encore réfractaires à l’idée de développer des activités en télétravail malgré le contexte sanitaire ambiant.

Les explications tiennent en quelques lignes : manque de confiance envers les collaborateurs, problématiques au niveau de la logistique ou peu encore peu de motivation à chambouler l’organisation de l’entreprise. Pire, certains dirigeants ne se sentent pas concernés par ce dispositif.

Pourtant, les messages répétitifs de l’Etat se veulent explicites : dès lors que les activités le permettent, la mise en place du télétravail doit être réalisée par les entreprises. Objectif : freiner la circulation de la COVID-19 dans la sphère entrepreneuriale.

Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’Unité départementale de la Direction régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS), le préfet de l’Yonne Henri PREVOST fera le point sur les diverses questions qui peuvent résulter de cette application : à savoir les droits et les devoirs des employeurs et des salariés, les risques encourus ou sur un tout autre registre, mais aussi sur les aides financières existantes.

Le représentant de l’Etat se rendra au siège icaunais de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire pour interroger son binôme de dirigeants : Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses départementales de l’Yonne et le directeur de l’établissement, Jacques BLANCHOT.

Tous deux apporteront leurs témoignages sur la manière dont est appliquée et vécue le télétravail au sein du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance…

 

Thierry BRET

 


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La relation entre les deux partenaires ne date pas d’hier. Elle a su traverser les affres du temps au gré des soubresauts d’une conjoncture complexe, voire indécise, au plan économique. Surtout en cette période de crise sanitaire qui ne cesse de perdurer. D’où le besoin de rassurer les adhérents de la CAPEB dans le domaine  assurantiel et de la prévoyance…  

 

AUXERRE : Depuis 2002, les liens unissant la MAAF (Mutuelle d’assurance artisanale de France) et la CAPEB de l’Yonne (Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment) sont quasi indéfectibles dans la pratique quotidienne.

Deux décennies ou presque leur auront permis de nouer une relation de confiance inébranlable. Elle se traduit dans les faits par un partenariat solide et engagé entre deux des acteurs de la sphère économique régionale.

Le prolongement de leur convention ces jours-ci fait figure de preuve irréfutable. Le « vieux couple » n’a pas changé d’un iota sa ligne de conduite établie depuis si longtemps, faite de réciprocité et de confiance.

Preuve que le climat reste au beau fixe entre Christophe BERTEAU, secrétaire général de ce syndicat patronal du bâtiment et David LENNE, son alter ego du groupe assurantiel, responsable commercial sur un vaste territoire comprenant quatre départements dont celui de l’Yonne.

 

 

Une simple formalité aux conséquences importantes pour les artisans…

 

Alors, rempiler pour une durée supplémentaire indéterminée ressemblait plutôt à une simple formalité entre les signataires. Toutefois, le contexte est loin de faire oublier l’importance d’être bien couvert pour les entrepreneurs en matière d’assurance. D’autant que les artisans sont amenés à des révisions de contrat en permanence du fait de l’évolution des risques encourus.

L’apport de nouvelles technologies, à titre d’exemple de la pompe à chaleur en matière énergétique, oblige les artisans à revoir leurs copies au niveau de leur garantie décennale. D’où la nécessité de procéder à des bilans assurantiels réguliers pour savoir si le professionnel demeure toujours dans une parfaite adéquation légale avec la réalité.

Présente lors de cette signature, la chargée de clientèle auprès des professionnels sur l’Auxerrois et l’Avallonnais Marie-Bénédicte PION (elle a pris ses fonctions sur ces secteurs géographiques le 01er janvier 2020) devrait proposer d’ici peu la tenue de permanences dans les locaux auxerrois de la CAPEB.

Le mot de la fin de cette cérémonie sans protocole particulier revint au président de l’organisme syndical icaunais Jean-Pierre RICHARD. Ce dernier résuma la qualité de cette relation bipartite en attribuant à la MAAF un virtuel « CAPEB d’or », distinction honorifique qui se passe de tout commentaire.

Un clin d’œil malicieux dont il a le secret à la future remise de prix des Césars ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Pas facile de maintenir des liens humanisés en cette délicate période de crise sanitaire. Les séances de travail en présentiel étant proscrites, voire limitées à la portion congrue, Entreprendre Bourgogne s’est donc essayé à une nouvelle formule ce mardi 09 mars en fin d’après-midi via un cycle de conférences thématiques proposées avec le concours du numérique…

 

AUXERRE : Trois conférenciers pour une assistance un peu restreinte d’aficionados du fameux réseau entrepreneurial de Bourgogne Franche-Comté : c’est un luxe que bon nombre d’associations aimerait bien pouvoir proposer par les temps qui courent !

Pourtant, la thématique de ce premier rendez-vous par écran interposé qui en appelle d’autres revêtait de la plus haute importance tant le sujet était sérieux sur le papier. Afin d’éviter tous les chausse-trappes de la vie d’un entrepreneur qui se respecte en matière assurantielle.  

Entre la responsabilité personnelle du chef d’entreprise, la protection sociale de l’employeur ou les liens parfois ténus qui existent entre vie privée et vie professionnelle, les ingrédients ne manquaient pas pour faire de cette séance didactique un moment intense de réflexion sur son cas personnel.

Cette table ronde permit aux trois spécialistes de la question de pouvoir argumenter avec moult exemples et de répondre ainsi aux interrogations légitimes de l’auditoire.

Responsable de l’implantation du réseau Entreprendre Bourgogne sur le département de l’Yonne, Sophie BERNARD animait cette soirée visioconférence en maîtresse de cérémonie, faisant la relation entre les conférenciers et les membres du réseau, avec le concours de Cyrille DUCET, du cabinet AXA Assurances DUCET. Participaient également à ces échanges instructifs : Jean-Thomas MEYER, de GAN Assurances et Emilien PRADIER, de GROUPAMA Paris Val-de-Loire.

Ce dernier évoquera dans ses propos la loi Madelin invalidité et décès en expliquant l’article 83.

 

Thierry BRET

 


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