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Entre champ et forêt, promet l’affiche. Une balade familiale ou entre amis avec la possibilité si le cœur vous en dit et que les conditions de la météo soient de la partie de tirer du sac son pique-nique afin de profiter un maximum de ce moment de villégiature, vécu à son rythme. Un rendez-vous, en outre, qui n’est en rien anodin puisque organisé pour une noble cause : celle de l’association des « Petits Princes »…

 

AUXERRE : Le concept se nomme « balades solidaires ». C’est simple dans les faits. On y allie pour celles et ceux qui y prennent part l’utile à l’agréable. Pas mal, comme programme pour cette journée dominicale du 11 septembre, qui sera bercée d’averses et d’éclaircies !

Oui, mais voilà, il ne s’agit nullement d’une énième randonnée pédestre de plus déclinée sur notre joli territoire. Plus précisément du côté d’Escamps, d’Arcy-sur-Cure, de Joigny et de Sens. Quatre rendez-vous qui s’organisent au profit de l’une des associations les plus emblématiques de la solidarité faite à l’enfance, « Les Petits Princes ».

Ou l’équivalent de trente-cinq années de bonheur accomplies et partagées avec ces chères têtes blondes, celles qui sont rattrapées par les maux des adultes et sorties prématurément de leur insouciance.

Pour cette dixième édition du « Rêve en Marche », l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire espère la mobilisation d’un large public à l’occasion de cet évènement, qualifié de « petit geste » pour de « grands rêves ». Une action altruiste qui sied à merveille à sa déontologie : s’ancrer au plus près du territoire en y développant les principes mutualistes.

Par le passé, l’opération a obtenu de belles réussites participatives. Avec à la clé, près de 92 000 euros déjà collectés lors des neuf éditions précédentes, somme reversée à la structure associative nationale.

Ouvert à tous, l’évènement allie bonne humeur, sportivité, convivialité. Mais, aussi d’autres valeurs qui nourrissent les actions humanitaires régulières orchestrées par ce spécialiste de l’assurance et de la prévoyance que sont la proximité, la responsabilité individuelle et collective, le partage de la solidarité, le tout au profit de la lutte sans faille contre les maladies rares.

Le droit d’inscription et les dons offerts avec générosité par les randonneurs suffisent pour collecter des fonds à vocation altruiste.

 

 

En savoir plus :

Marche « Balade entre les champs et la forêt » au départ d’Escamps le dimanche 11 septembre 2022 à partir de 09H30.

Organisée par la Caisse locale GROUPAMA de l’Auxerrois

Parcours de 7,1 km

Depuis la base de loisirs.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Entre nature et patrimoine préhistorique » le long de la Cure.

Avec la visite de la grotte d’Arcy.

Organisée par la Caisse locale du Pays de l’Avallonnais.

Parcours de 3 km.

Départ à 10 heures aux grottes d’Arcy-sur-Cure.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « dans les vignes » de Joigny.

Organisée par la Caisse locale de Centre Yonne.

Parcours de 5 et 8 km.

Départ à 10 heures, depuis le belvédère de Joigny, route de Dixmont.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Patrimoine historique » dans la ville de Sens avec l’historien Bernard BROUSSE.

Organisée par les Caisses locales de Nord-Est Sénonais, de la Sénonaise et de la Vanne et Othe.

Parcours de 1,5 km.

Départ à 15 heures devant l’agence GROUPAMA au 5 boulevard du Mail à Sens.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

Participation de 5 euros et gratuité pour les enfants de moins de dix ans.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Si les marchés boursiers devraient encore tanguer cette année, cela ne signifie pas pour autant qu’il faut arrêter d’investir. L’important est de conserver une vision de long terme et surtout de ne pas paniquer, nous l’avions évoqué dans le premier volet de cette analyse. Pour se protéger, les investisseurs peuvent recourir aussi à certaines techniques, comme le « Dollar Cost Averaging » (DCA). Elle consiste à investir sur un même actif (action, matière première, or, Bitcoin, etc.) un montant fixe à intervalles réguliers. Explications…

 

TRIBUNE : Ces intervalles peuvent être hebdomadaires, mensuels, trimestriels ou annuels. Le résultat est simple. La technique du « DCA » permet de réaliser des gains tout en lissant les risques sur la durée.

Dans les périodes baissières, en effet, seule une partie de l’investissement est affectée par la baisse des marchés, à savoir les derniers achats. À moins d’un krach boursier, le reste est protégé de la volatilité. Cela ne signifie pas, bien sûr, que l’investissement sera nécessairement rentable, mais les risques seront ainsi plus limités. 

Par ailleurs, les investisseurs peuvent, s’ils souhaitent profiter de la croissance des marchés sur la durée, miser sur des tendances émergentes et prometteuses comme la domotique ou la « cyber sécurité ».

Personne ne peut prédire l’avenir en matière boursière, c’est une évidence. DE même, personne ne peut annoncer que nous serons exonérés de krachs futurs. Pour celles et ceux qui ne sont pas prêts à prendre trop de risques, pour ceux qui veulent un placement sûr et disponible à tout moment il reste… le traditionnel Livret A !

 

 

« Le temps des cerises » où le client encaissait ses dividendes…

 

La rentrée sera sûrement chaude, compte tenu du climat social et économique. Le temps des petits boursicoteurs est donc révolu. Se mettre à une terrasse et lire son journal boursier en sirotant un café afin d’envisager les futurs arbitrages… : ne rêvons plus !

Les ordres de bourse passent à la nanoseconde ; les grands gestionnaires de l’investissement analysent l’évolution des comportements des investisseurs potentiels et arbitrent en conséquence… La finance comportementale et le BIG DATA (des systèmes capables d’intégrer des milliards de données en quelques secondes) gouvernent aujourd’hui la « planète boursière ».

Que dire de ces temps héroïques où les agents de change échangeaient les ordres de bourse à la criée au Palais Brongniart, en balançant leurs mégots de Havane au centre de la corbeille…

Que dire encore de ces touchantes mamies qui venaient à la banque, gants et voilette, pour encaisser, en espèces, le coupon de dividendes ou d’intérêts d’emprunts d’Etat… Ah j’oubliais : « elle avait des cerises sur son chapeau… » !

Enfin, à méditer pour celles et ceux qui veulent tenter l’aventure : « Règle numéro 1 : ne perdez jamais d’argent. Règle numéro 2 : n’oubliez jamais la règle numéro 1. » Warren BUFFETT, la huitième fortune mondiale par ses investissements en bourse !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le chiffre a été révélé par le sondage Opinion System, commandé par l’AFIB, l’Association Française des Intermédiaires en Bancassurance. Depuis le 01er janvier, 45 % des prêts immobiliers sont refusés – soit près d’un dossier sur deux – à cause du taux d’usure. Une mesure de protection des consommateurs qui bloque l’attribution de ces crédits. Il faut bien l’admettre : les meilleures années pour acheter un bien immobilier sont désormais derrière nous. En outre, il est bien plus difficile d’emprunter de nos jours…

 

TRIBUNE: En préambule de cet article, un peu de mémorisation ! Qu’est-ce que le taux d’usure ? Il correspond au taux maximum au-delà duquel les banques ne peuvent pas prêter de l’argent. Réévalué tous les trois mois par la Banque de France, il a pour objectif de protéger les consommateurs en empêchant les banques d’appliquer des taux trop élevés. Le taux d’usure est égal au taux moyen appliqué lors du trimestre précédent, augmenté d’un tiers.

Pour comprendre pourquoi ce taux d’usure pose un problème, il faut se pencher sur son mode de calcul. La Banque de France le détermine chaque trimestre en faisant la moyenne des taux pratiqués par les banques les trois mois précédents, puis la majore d’un tiers. Depuis le 01er juillet, il est ainsi fixé à 2,57 % pour les prêts immobiliers de vingt ans ou plus. Ce garde-fou est censé protéger les ménages de taux abusifs : lors de la négociation d’un prêt immobilier, un banquier veille à ce que le taux annuel effectif global (Taeg) de son emprunteur, c’est-à-dire à l’ensemble des coûts du crédit (taux nominal proposé par la banque mais aussi assurance, frais de garantie…), n’excède pas le taux d’usure. Or, le problème que l’on rencontre actuellement est que les taux immobiliers augmentent plus vite que le taux d’usure et ce dernier devient alors un frein à l’emprunt.

 

Les 30-55 ans sont les plus impactés par les refus de crédit…

 

Selon le sondage d’Opinion System, la tranche des 30-55 ans est la plus impactée par cet effet de ciseaux entre le taux d’usure et les taux immobiliers puisqu’elle concerne 51 % des prêts refusés dont 71 % pour l’acquisition d’une résidence principale.

Jérôme CUSANNO, président de l’AFIB, s’inquiète non seulement pour les acheteurs mais aussi pour toutes les professions impactées : « Les ventes dans l’immobilier ancien et dans le neuf sont déjà touchées. Les constructions aussi, ce qui risque d’impacter aussi le BTP, premier employeur de France, mais aussi les notaires et les droits de mutation qui tombent dans les caisses de l’État ».

Les refus de prise en charge demeurent massivement répandus chez bon nombre d’établissements financiers, très peu de banques restant disposées à prendre des dossiers. Les banques font toutefois quelques exceptions pour certains clients disposant d’un dossier de qualité supérieure (revenus importants et apport personnel conséquent).

Or, la  crainte aujourd’hui, c’est que tout l’écosystème de l’immobilier, toutes les professions et les salariés, soient impactés par ce problème de taux de l’usure si on n’y remédie pas rapidement. C’est non seulement les agences immobilières qui sont concernées mais aussi tout le secteur du BTP qui risque de pâtir de la raréfaction des crédits. Parmi les solutions préconisées, citons la modification du calcul du taux d’usure et placer définitivement l’assurance emprunteur en dehors du calcul du Taeg.

 

 

De nombreux spécialistes optent pour cette formule car le coût de l’assurance est totalement déconnecté des mouvements de taux. Il ne dépend que du profil individuel du « risque emprunteur ». Cela génère des injustices en excluant des personnes de la propriété au prétexte qu’elles sont plus âgées ou ont des problèmes de santé.

 

 

Aujourd’hui, le marché de l’immobilier est en chute progressive même dans certaines villes où les prix sont de plus en plus élevés. Cependant, l’inflation est sur la table des négociations : de nombreux acquéreurs abandonnent leur achat car aucun bien ne correspond à leur projet. La hausse des prix de l’immobilier, la hausse des taux de prêt, la hausse de l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat vont réduire gravement les projets d’acquisitions immobilières.

Les taux des crédits : une courbe qui grimpe progressivement…

 

Quant aux taux d’intérêt des crédits immobiliers, ils étaient en dessous ou légèrement au-dessus de 1 % en 2021. Ils ont remonté et la tendance semble s’inscrire dans la durée. En septembre 2021, ils étaient de 0,87 % sur 15 ans, 0,99 % sur 20 ans et 1,16 % sur 25 ans. En 2022, Ils sont tous repassés au-dessus de la barre symbolique de 1 %, pour se hisser en moyenne à 1,36 % sur 15 ans, 1,49 % sur 20 ans et 1,59 % sur 25 ans. Pour les perspectives, on estime les taux futurs seront compris entre 1,65 % et 2,29 % selon les durées de crédit. Notons également que s’il existe des classements de banques en matière de concurrence sur les taux d’emprunts, il faut préciser qu’il est nécessaire de négocier une demande de crédit en premier lieu avec sa banque et qu’un taux est négociable, quelle que soit la banque…

 

Y-a-t-il une bulle immobilière ?

 

Quid des perspectives de marché pour les mois à venir ? « Y-a-t-il une bulle immobilière en France ? Non ! tranche Jean-Marc TORROLLION le président national de la FNAIM. Et pour causes : la hausse des prix est demeurée, en France, plus raisonnable que dans d’autres pays (soit + 20 % sur dix ans), le niveau d’épargne des Français reste élevé, l’endettement correct et le chômage à un niveau relativement faible. « En termes d’alternative de placement, l’immobilier reste toujours très intéressant », remarque le président de l’organisation.

Reste que la FNAIM table sur une baisse du volume transactionnel, en 2022, compris entre 8 % et 10 % par rapport à 2021, pour revenir ainsi à son niveau de 2019. Et d’en arriver à cette conclusion : « Le marché de l’immobilier est entré dans une zone de turbulence… ».

Méditons enfin ce célèbre dicton français : « quand le bâtiment va, tout va ». Tellement, vrai !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Elle a rejoint le « Top 12 » des candidatures sélectionnées dans l’Hexagone pour disputer la finale du concours Femmes du Numérique 2022, porté par La Poste et la plateforme participative, KissKissBankBank. Battant de très belle manière l’autre prétendante de Bourgogne Franche-Comté, la structure mâconnaise ORGA VITA, sur un score sans appel de 568 votes favorables à la start-up de l’Yonne contre 193…

 

AUXERRE: Finaliste dans un concours national ! Le rêve tout éveillé se poursuit pour la jeune et malicieuse porteuse du projet, « Les Rebelles France », après le verdict positif rendu en début de semaine par les organisateurs de ce trophée hexagonal.

La Poste et la plateforme de financement participatif, KissKissBankBank, ont confirmé le succès sans appel de Sabrina HOHENGARTEN par un courrier électronique officiel. Une victoire régionale qui offre l’opportunité à cette dernière de pouvoir confronter son ambitieux projet entrepreneurial de cohésion sociale intergénérationnelle aux onze autres dossiers retenus aux quatre coins de la France.

En glanant les lauriers de ce premier succès, la jeune femme, originaire de l’Yonne septentrionale, remporte déjà la réalisation d’une campagne de financement participatif offerte par la fameuse plateforme. Quant à La Poste, elle abonde la cagnotte participative de la cheffe d’entreprise de la coquette somme de deux mille euros.

 

 

Vers la consécration hexagonale pour la jeune Icaunaise ?

 

La participation de la créatrice du concept « Les Rebelles France » au Super Coup de Cœur national de ce challenge Femmes du Numérique pourrait lui octroyer des subsides équivalents si elle termine sur la plus haute marche du podium. Sachant que le vote du public s’achève ce jeudi 16 juin. Il n’y a donc pas une seconde à perdre pour encourager l’initiative prometteuse de cette jeune battante qui y croit dur comme fer en votant pour elle !

Le 17 juin, Sabrina HOHENGARTEN passera mieux que le bac de philo ! Elle présentera aux membres du jury national son projet, une occasion unique de rencontrer un public de professionnels et d’optimiser ainsi son réseau relationnel naissant.

La cérémonie des prix se déroulera le jour même en présence de la Secrétaire générale du Conseil supérieur de l’Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que de représentants du groupe La Poste et du public.

    

En savoir plus :

Les votes seront ouverts jusqu’à jeudi 16 juin à 20 heures. Voici le lien à partager pour voter (1 seul vote par personne) : https://blog.kisskissbankbank.com/votez-pour-votre-super-coup-de-coeur-national-la-poste-femmesdunumerique/ 

 

Thierry BRET

 


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Treize ! Ne serait-ce pas un chiffre porte-bonheur pour les lauréats de ce rendez-vous honorifique ? Un évènement, biffé dans les agendas de celles et ceux qui créent de la valeur ajoutée à leur entreprise et qui espèrent briller sous le feu nourri des projecteurs ? Concours proposé chaque année par la Banque Populaire régionale et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat,  ce prix distinctif récompense l’audace, l’excellence et l’innovation. Trois mots incontournables qui qualifient ce que doit être réellement un entrepreneur…

 

SEIGNELAY : Ils n’ont pas d’idées les chefs d’entreprise de l’Yonne ? Que nenni, « ma brave dame » ! Ceux de l’artisanat, des services et du commerce qui ont pu longuement expliquer face à un public de spécialistes – la fine fleur de la sphère économique du cru – la vision de leurs projets professionnels ont su démontrer l’inverse !

D’ailleurs, pour avoir su titiller la fibre experte et toujours aiguisée des membres du jury, les dossiers de candidatures devraient être tirés au cordeau. Les banquiers n’ont pas, en effet, la réputation de faire les choses à moitié lorsqu’ils analysent prévisionnels en main un projet professionnel et ses perspectives !

 

 

L’humilité s’invite à ce rendez-vous…

 

Alors, oui, Yann NUNES, directeur de territoire de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté (n’omettons pas les Pays de l’Ain !), ne pouvait qu’afficher un large sourire dès sa prise de parole introductive. Le garçon marquait ainsi son soulagement après la délicate période de confinement qui aura pu perturber le déroulé des éditions antérieures.

Il est vrai que le « Stars et Métiers » se déguste, quel que soit le millésime, comme un bon vin. La convivialité y est de mise. Les sourires des lauréats traduisent leur sincérité. Il n’y a pas de tralalas superfétatoires dans la mise en scénographie de ces artisans qui bossent durs pour y arriver. L’humilité est aussi au rendez-vous. Bien exprimée, elle peut faire couler parfois des larmes…

Le cru 2022 aura permis à 31 entreprises d’être distinguées au plan régional. Dont trois sur le territoire de l’Yonne, dans les catégories suivantes : l’innovation, la responsabilité et l’entrepreneuriat. Seule la quatrième discipline, celle de l’exportation, aura fait défaut, confirmant son absence depuis plusieurs années dans le panorama de l’Yonne. A croire qu’il n’y a pas d’artisans qui écoulent leur production à l’international ?

 

 

 

Des entrepreneurs en vrais capitaines de vaisseaux…

 

Installé dans le paysage de l’évènementiel économique depuis 2007, le prix « Stars et Métiers » est aujourd’hui inscrit dans le marbre pour celles et ceux qui tentent depuis leur chance. Figurer sur le devant de la scène, trophée en main, représente un moment de joie, additionné de fierté pour ces couples d’artisans, parfois, ces associés, souvent, ou ces personnes individuelles qui réussissent leur parcours professionnel et le font savoir publiquement.

La responsabilité managériale, le dynamisme qui va de pair, la concrétisation de besoins technologiques, bref, la stature de l’entrepreneur qui se mue au fil du temps et des expériences en capitaine de vaisseau sur l’océan plus que mouvementé de l’entrepreneuriat sont autant de critères de choix qui permettent de la part d’un jury de désigner un vainqueur.

 

 

Des idées plein la tête pour faire avancer les entreprises…

 

Les lauréats ? Parlons-en, justement. Non seulement, ils ont vu tomber dans leurs besaces la coquette somme de mille euros pour leur activité. Mais, en outre, ils auront eu l’opportunité oratoire de pouvoir livrer à chaud leurs commentaires.

Ce sera le cas de Damien BELLAT, de la société éponyme, une SARL, qui concourait pour l’obtention du Prix de l’Innovation. La création d’un système de câbles chauffants antigel pour les vignes aura séduit le jury, conquis par cette mise à profit de l’automatisme au service de la viticulture.

Puis, Sébastien LUCAS accèdera à la scène. L’entrepreneur parlera de son activité, orientée vers l’impression d’étiquettes (une SASU baptisée sobrement « LUCAS Etiquettes » a été créée) et plébiscitée dans la catégorie « Responsable ». Où démarche environnementale et hausse des emplois ont su faire le reste dans le choix des jurés.

Dirigeant de la structure « ACTP Micro Injection », Eric RAGOT rejoint ensuite le plateau pour y recevoir à son tour son précieux sésame. Catégorie : « Entrepreneur ». La société stocke suffisamment de matières premières et de produits finis afin de pouvoir répondre à ses clients dans des délais très courts. Une longueur d’avance qui se sera retrouvée in fine lors de la prononciation du verdict, officialisant son prix !

Ces récompenses furent offertes sous les yeux de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne (aux anges devant la pertinence de ces différents concepts) et Jean-Michel CHARNU, président de la SOCAMA, leader du cautionnement mutuel dans l’Hexagone, un partenaire clé du réseau des Banques Populaires et de la chambre consulaire.

 

Thierry BRET

 

 

 


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