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Initiée par le Crédit agricole Champagne Bourgogne, l’opération en faveur de l’entrepreneuriat a repris du service après une pause estivale sur les départements de l’Aube, de la Côte d’or et de l’Yonne. C’est la ville de Sens qui a accueilli le 12 septembre la première session de ce dispositif qui offre l’opportunité chaque mois aux porteurs de projets de pouvoir rencontrer l’ensemble des acteurs de la création/reprise d’entreprise.

SENS : Quels que soient leurs profils ou leurs projets, qu’ils soient affiliés en qualité de clients ou non à l’établissement bancaire, les futurs entrepreneurs de la région ont la possibilité de se rendre aux Cafés de la Création, afin d’y rencontrer les partenaires de l’entrepreneuriat.

L’heure de la rentrée avait donc sonné ce mercredi 12 septembre au restaurant l’Ecu à Sens. Le complexe recevait les bénéficiaires de ces échanges nourris et constructifs, devant les renseigner sur les démarches à suivre. On le sait : créer ou reprendre une affaire professionnelle n’est pas un challenge ordinaire. Parfois, il se compare avec un vrai parcours du combattant.

A chaque édition, ce sont toujours une dizaine de partenaires institutionnels et économiques qui se prêtent à cet exercice. Celui-ci, réalisé en tête-à-tête, privilégie la discrétion et la simplicité.

Des rendez-vous réguliers pour aider les porteurs de projets…

Pour cette reprise de la formule, instaurée depuis deux saisons par les équipes entreprise du Crédit agricole Champagne Bourgogne, les participants habituels n’avaient pas dérogé à leurs saines habitudes. Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Ordre des Avocats du Barreau, Ordre des Experts-Comptables, Chambre des Notaires, Sécurité sociale des indépendants, INITIACTIVE 89 ou Pôle Emploi étaient représentés dans le restaurant du Sénonais.

Les prochaines séances se dérouleront comme à l’accoutumée tous les deuxièmes mercredis du mois, à savoir le 10 octobre entre 8h30 et 11h00 à Avallon à la Brasserie du Chapeau Rouge ; le 14 novembre (même horaire) à la Brasserie de la Renaissance à Auxerre et le 12 décembre (horaire identique) au restaurant L’Ecu à Sens.

 


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Conscient que le monde de l’agriculture suit une constante évolution et se transforme dans son approche fonctionnelle afin de répondre aux enjeux sociétaux et consuméristes de demain, l’assureur mutualiste régional adapte sa stratégie et ses produits aux besoins de ses partenaires naturels. Le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, a profité de son point presse trimestriel pour rappeler les caractéristiques et les enjeux de ces engagements vis-à-vis des professionnels de la filière. Avant de procéder au renouvellement des partenariats qui l’unissent avec les principaux acteurs agricoles du territoire…

AUXERRE : Invitant les journalistes à le rencontrer lors de la seconde conférence de presse de son mandat, le nouveau président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne de GROUPAMA Paris Val de Loire Pascal MAUPOIS a tenu à officialiser la nature des partenariats que le leader de l’assurance et de la prévoyance entretient avec les acteurs économiques de la filière agricole.

Aux côtés du directeur des établissements de l’Yonne, Jacques BLANCHOT, le président, lui-même issu du sérail de l’agriculture en sa qualité de céréalier, convia le secrétaire régional et président de l’Yonne des CUMA, Walter HURE, le représentant de l’exécutif des Jeunes Agriculteurs, Maxime BOUCHER et le binôme à la tête de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA), Damien BRAYOTEL. Ce dernier était accompagné de son nouveau directeur, Philippe LOUSSET. Toutes ces personnalités devaient prendre part à cet exercice de communication orale.

Le point d’orgue de cette rencontre, placée sous le signe des relations publiques et de la convivialité, se concrétisa par le paraphe des documents officiels au terme de cette entrevue.

Des conventions de partenariat ouvertes à tous les secteurs économiques…

Ce geste symbolisa la reconduction effective de ces trois partenariats. D’une durée de deux à trois ans, selon l’antériorité de leurs modalités administratives, ces conventions traduisent l’entente cordiale qui perdure depuis moult années (peut-être dès l’origine de la création séculaire de l’assureur mutualiste en 1870) entre les spécialistes de l’assurance/prévoyance et les acteurs économiques de leur cœur de cible historique, à savoir les milieux agricoles et viticoles.

Elles ne sont plus les seules par ailleurs. Ouvertes aux autres secteurs de l’activité économique (bâtiment, industrie…), les conventions déclinées par GROUPAMA Paris Val de Loire incluent dorénavant des structures emblématiques de certains corporatismes à l’instar de la CAPEB (Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment), du commerce et de l’industrie orienté vers de petites structures professionnelles (CPME) ou vers l’insertion via des organismes référents à l’image de la BGE (anciennement Boutique de Gestion).

Une complémentarité intéressante qui s’applique au sein même du conseil d’administration de l’assureur mutualiste. Comme devait le préciser Pascal MAUPOIS lors de son propos introductif, « des représentants des Jeunes Agriculteurs et de la CAPEB travaillent en qualité d’élus dans cette entité décisionnelle ».

Expliquant la nature de ces partenariats, basés objectivement sur la déclinaison de produits assurantiels mais aussi de prestations et de services à destination des entreprises tout secteur confondu ainsi que les particuliers et les collectivités, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne résuma une évidence en une seule donnée statistique. 25 % du chiffre d’affaires de GROUPAMA Paris Val de Loire (environ 630 millions d’euros) provient du fondement historique de l’agriculture et de la viticulture.

Des partenaires satisfaits de leur relation professionnelle…

« Depuis 55 ans, les CUMA (Coopératives d’utilisation de matériels agricoles) entretiennent des liens privilégiés avec les responsables de l’assureur mutualiste, expliqua Walter HURE, l’un des signataires de ces conventions, nous avons pour objectif d’acquérir du matériel en commun et de venir en accompagnement des agriculteurs lors de projets de développement et renouvellement de matériels ».

Devant la prééminence des besoins, GROUPAMA Paris Val de Loire propose une extension des garanties souscrites par les chefs d’entreprises aux dirigeants de ces CUMA, par le biais de la responsabilité civile de ses dirigeants.

Du côté des Jeunes Agriculteurs et de son président, Maxime BOUCHER, l’indice de satisfaction se situe à l’identique. Si le syndicat promeut les installations et les modèles économiques en visant le renouvellement générationnel, il s’appuie aussi sur les outils mis en place par le partenaire assureur. A commencer par la charte « Terre Entreprise » qui offre son lot d’avantages concrets dont une réduction tarifaire sur les risques d’assurance, soit de manière linéaire de près de 30 % durant cinq ans, soit de façon progressive selon le compte d’exploitation de la structure.

« En outre, ajouta Jacques BLANCHOT, il existe d’autres manières de soutenir les jeunes à l’installation grâce au diagnostic prévention sur les sinistres physiques et incendies, des aides pour doubler les indemnités journalières en cas de pépin, la valorisation des objets connectés, le soutien humain avec l’association de remplacement de l’Yonne en cas d’heureux évènements ou de besoin de coupure »…

La charte aux vertus salvatrices a même été étendue aux 243 paysagistes et des milieux hippiques (130 centres équestres) du département.

Une complémentaire santé spécifique aux anciens exploitants agricoles…

Quant à la FDSEA de l’Yonne, qui a pour vocation de défendre les adhérents et de communiquer vers le grand public sur les nombreux métiers de l’agriculture, elle jouit d’excellentes relations avec son partenaire mutualiste. Si l’essence de ce partenariat se conçoit comme une forte plus-value autour de la communication (présence commune à la Foire Saint-Martin à Auxerre, accueil envisageable sur le stand de l’assureur à la Foire exposition d’Auxerre…), GROUPAMA Paris Val de Loire a également initié une offre spécifique à destination des anciens exploitants agricoles. Sous la forme d’un contrat collectif maladie avec l’application de tarifs préférentiels depuis mars 2018.

« Nous rencontrons un franc succès autour de cette nouvelle proposition, concède Jacques BLANCHOT, des rencontres vont être prochainement organisées à Auxerre, Chablis et Sens afin d’en expliquer les fondamentaux auprès des affiliés de la FDSEA. Un partenariat, c’est aussi cela : avoir un contact direct avec un interlocuteur, de pouvoir le rencontrer physiquement et surtout de régler un problème avec beaucoup de simplification et de facilité… ».

Des propos prononcés en guise de conclusion avant que les signataires de ces trois conventions ne se retrouvent autour de la table, afin d’apposer leurs griffes sur les documents.

 


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Deux mois après son abandon sur le Tour d’Italie pour raisons de santé et son absence de la Grande Boucle, le leader de l’équipe cycliste GROUPAMA La Française des Jeux a refait surface de manière flamboyante en retrouvant ses jambes et la vista sur les routes du Tour d’Espagne. Une épreuve  qui s’achève en apothéose pour lui. A deux semaines des championnats du Monde en Autriche, le grimpeur français possède un supporter inconditionnel en la personne de Pascal MAUPOIS, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne…

AUXERRE : Suiveur des exploits sportifs de l’équipe cycliste professionnelle GROUPAMA La Française des Jeux, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne ne cache pas sa satisfaction. Ni sa fierté devant les résultats de ce team qui arbore les couleurs de l’assureur mutualiste.

Alors qu’il vient d’annoncer le prolongement de son contrat pour deux saisons supplémentaires, Thibaut PINOT, accablé par les soucis de santé cette saison, conserve toute sa confiance auprès du président de l’Yonne.

« Je suis très satisfait de la prestation de notre coureur et de son équipe sur les routes de la VUELTA 2018. Le gain de deux étapes obtenues à la force des mollets lors de rendez-vous avec la montagne nous a permis de retrouver le sourire et de l’allant après une période de disette durant le Tour de France… ».

Un état de forme qui rassure Pascal MAUPOIS à quelques jours de l’épreuve sur route du championnat du monde. Celle-ci se disputera sur un parcours privilégiant les grimpeurs en Autriche, non loin d’Innsbruck.

Un sujet de discussion parmi les sociétaires…

« Globalement, avec la présence et les exploits de Thibaut PINOT et d’Arnaud DEMARE, au fil de la saison, nous avons enregistré un bond considérable en termes d’image et de notoriété dans nos vitrines commerciales auprès de notre clientèle. Le fait que le nom de l’entreprise soit présent sur le devant de la scène sportive offre des sujets de discussion supplémentaires lors de rencontres avec nos sociétaires. Quant aux retombées économiques, elles suivent nécessairement. Car, on sait ce que vaut le poids de la notoriété sportive sur les enseignes qui sponsorisent des équipes ou des compétitions à l’échelle nationale et internationale… ».

Sur un parcours qui a fait une nouvelle fois la part belle aux grimpeurs, Thibaut PINOT a rempli son contrat en atteignant ses objectifs. Il termine à la sixième place sur l’un des trois tours majeurs. Il intègre même le cercle restreint des vainqueurs d’étapes sur ces trois épreuves, après s’être déjà imposé sur le Tour de France et le Giro. De bon augure avant les Mondiaux que suivra derrière son écran de téléviseur le président MAUPOIS le 30 septembre prochain.

 

 


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Les vendanges en régions Bourgogne et Champagne sont une source d’inspiration inépuisable pour les chasseurs de photographies insolites ou artistiques. Désireuse de soutenir les acteurs de la filière viticole, l’une de ses cibles professionnelles historiques, la Banque Verte régionale lance à compter du 27 août un nouveau projet, ouvert à tous : un concours photo sur Instagram. A vos appareils !

DIJON (Côte d’Or) : Fidèle à son credo « 100 % digital, 100 % humain », le Crédit agricole de Champagne Bourgogne propose de soutenir au sens large du terme les professionnels de l’agriculture en cette période de rentrée. Soucieux de valoriser le travail quotidien de ces femmes et de ces hommes qui, chaque jour, cultivent nos terroirs pour en tirer le meilleur, le service communication de l’établissement bancaire a décidé de se doter d’un nouveau support grand public : un concours de photographie sur le thème des vendanges.

Cette édition initiale ne justifie aucune difficulté pour y participer. Entre le 27 août et le 30 septembre 2018, il suffit aux amateurs de la discipline artistique de poster leurs visuels sur Instagram avec le Hashtag  #VendangesEnChampagneBourgogne.

Un simple abonnement au compte @CA_ChampagneBourgogne offre ensuite la possibilité de diffuser ces photographies qui doivent être impérativement prises dans les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne.

Seule recommandation : le dépositaire de ces documents visuels doit s’assurer que son profil est public, sachant qu’il peut poser autant de photos qu’il le souhaite.

In fine, et après délibération du jury qui se réunira le 01er octobre, les meilleures prises de vue seront récompensées (quatre d’entre elles). Les gagnants se verront remettre des lots d’une valeur de 125 à 400 euros.

 


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Convier une quarantaine de chefs d’entreprise afin de leur présenter les aléas subis en cas de fraude au virement et les moyens d’y faire face constituait la base informative d’une intervention proposée en cette période estivale par l’établissement bancaire régional. Mettre en garde les entrepreneurs contre les risques encourus aura permis un échange constructif et vertueux entre les participants de cette session à vocation pédagogique.

AUXERRE : La fraude au virement ne cesse de croître en France. Au détriment de celles et de ceux qui sont aux commandes des entreprises. Ou de leurs subordonnées. Car, le plus souvent, ce sont les cadres, voire les personnes intermédiaires évoluant à toutes les strates de la hiérarchie professionnelle qui en sont les victimes ; au grand dam des entrepreneurs eux-mêmes.

A cours de la seule année 2016, deux tiers des entreprises françaises ont subi une tentative de fraude alors qu’elles n’étaient encore que 55 % deux années auparavant. Même les services administratifs des structures institutionnelles intéressent dorénavant les fraudeurs.

Bref, face à cette envolée de méfaits qui nuit aux intérêts financiers des structures professionnelles tout secteur confondu, le Pôle entreprise de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne a décidé d’agir en provoquant des séances informatives sur cette thématique. Jean-Philippe BEZIN, responsable de la cellule icaunaise, n’a pas hésité à mobiliser ses troupes pour inviter des chefs d’entreprise à découvrir le fondement de ce problème pouvant s’avérer crucial pour la pérennité d’un outil de travail.

Il y a deux ans, on estimait le préjudice subi à 500 millions d’euros de pertes cumulées pour les milliers d’entreprises victimes de cet odieux désagrément sur le territoire national. Celui-ci, hybride, pouvant prendre différentes formes d’application. Toutefois, les spécialistes estiment que ce chiffre est encore plus élevé dans la réalité…

On ne lutte pas à armes égales, même en respectant la loi…

Une autre statistique, lâchée au cours de l’intervention du conférencier de la Banque Populaire, expert en la matière, aura suscité un léger remous parmi l’assistance. Près de 20 % de ces fraudes aboutissent in fine.

Les escrocs, jamais à court d’imagination, travaillent sur la duplicité de leurs victimes, se faisant passer pour leur responsable, un gros client, un partenaire, voire même un banquier. Les méthodes évoluent sans cesse et s’adaptent aux besoins d’un marché lucratif et fructueux, avec de nouveaux codes et des plans bien construits.

« Concrètement, explique l’intervenant dans un silence religieux, les faux ordres de virement qui soulagent les trésoreries engendrent de vrais virements au crédit de comptes ouverts à l’étranger. La plupart du temps dans les pays de l’Europe de l’Est. On peut citer ainsi la Pologne, la Hongrie, la République tchèque. Le modus operandi est toujours le même. Le faussaire usurpe l’identité du dirigeant de la société ou d’un cadre supérieur pour intimer un ordre de virement à un subalterne en le manipulant et en lui ordonnant d’exécuter l’opération dans les meilleurs délais sur la bonne foi de l’interlocuteur. On appelle cela la fraude au président. Parfois, le fraudeur emprunte l’identité d’un avocat ou d’un cabinet conseil. Mais, le résultat reste similaire avec le déclenchement de ce virement à l’étranger… ».

Dans l’absolu, le facteur temporel joue contre la victime. Car, l’exécution de l’ordre de virement se réalise très vite, dans l’heure qui suit l’appel. Il est difficile de pouvoir ensuite intercepter cet ordre.

Les moyens de communication jouent contre les entreprises…

Cette usurpation d’identité fonctionne bien dans la réalité. Utilisant les nombreux modes de communication à distance, les fraudeurs ne peuvent être identifiés. Par le biais de fax, d’appels téléphoniques, d’e-mails, voire de SMS, les supercheries font mouche et permettent aux fraudeurs d’agir en toute quiétude et sans risque. Le fax, qui atteste néanmoins une intervention sur papier, demeure le moyen le plus prisé des voleurs.

Parfois, des logiciels espions s’insèrent à l’aide de virus dans le circuit informatique de l’entreprise. Objectif : siphonner le contenu des informations. Ces attaques représentent un réel danger pour la société. Les fraudeurs ne se contentent pas de piller l’ensemble des informations financières et techniques d’une entreprise. Ils se servent de ce procédé pour demander une rançon. On appelle cela les crypto-attaques ou ransomware.

« Les fraudeurs cryptent l’ensemble des informations détenus par l’entreprise, ajoute l’expert, en les rendant indéchiffrables pour leurs propres utilisateurs. Un antidote est alors proposé, moyennant une rançon qu’il s’agira d’honorer en bitcoin, cette unité monétaire universelle facilement négociable sur le marché. Un conseil : il ne faut jamais s’acquitter de la rançon. Ce serait le début d’un engrenage douloureux et sans fin… ».

Parmi les parades éprouvées face à une telle situation : les sauvegardes systématiques qui doivent être mises en place. Toutefois, il est nécessaire d’employer des moyens à distance hautement plus sécurisants que les modes habituels (disque dur, clé USB, etc.).

Des règles élémentaires pour faire face à ce fléau…

Se prévaloir en amont de tels agissements est possible. Cela suppose de la vigilance et d’user de quelques méthodologies ayant fait leurs preuves. En premier lieu, l’emploi du tutoiement et du vouvoiement dans la relation exercée avec un contact clairement identifié. Si le message téléphonique de votre patron ne comporte pas de telles familiarités du fait de l’absence de l’habituel tutoiement le jour J d’un ordre de virement important à exécuter vers un pays de l’Est, c’est qu’il y a manifestement anguille sous roche. Ce sont autant de petites informations, aussi anodines qu’elles puissent paraître, qui peuvent être prises en compte pour faire la différence dans ce genre de situation controversée.

En parallèle, l’information faite à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise est devenue indispensable pour lutter contre cette fraude au virement, fléau pouvant conduire au licenciement pour faute grave ou vers un état dépressif la personne qui en a été la victime.

Reste, enfin, comme ultime parade des plus efficaces à ces contraintes : l’adoption de la signature électronique sur les documents officiels de l’entreprise. Cet acte est fiable. Il représente à minima l’élément basique permettant de rassurer toutes celles et tous ceux qui pourraient avoir maille à partir avec des fraudeurs au bout de la ligne cet été…


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