Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’action se peaufine depuis plusieurs semaines. Elle sera officialisée ce jeudi 01er avril par l’adjointe au maire, déléguée à la Culture et à l’Evènementiel Murielle LE ROY. Les artistes du cru (peintres, photographes, plasticiens…), référencés comme professionnels, investiront les salles de restaurant. Pour y honorer une cause juste et noble : la solidarité !

 

JOIGNY : L’idée repose sur un soutien intellectuel réciproque. Elle concerne deux corporations, durement frappées par les résultantes néfastes de la circulation de la COVID-19, synonymes de multiples fermetures.

Les artistes s’invitent donc chez les restaurateurs en ce premier avril à Joigny. Et, ceci n’est pas un poisson !

S’inspirant d’une opération menée avec brio à Strasbourg (« PROMEN’ART ») depuis quelques semaines, l’initiative portée par la Ville de Joigny est une contribution visuelle au soutien des restaurateurs et des artistes plasticiens du cru qui ne peuvent plus exprimer leurs talents en ces périodes de confinements successifs.

Le principe se veut simple. Baptisée « Restau’Art », l’animation se traduit par la présence d’une ou de plusieurs œuvres des artistes professionnels du terroir dans les locaux des restaurants qui en acceptent l’accueil et qui proposent à l’heure actuelle de la vente à emporter.   

 

 

 

 

Un bonheur ne venant jamais seul, la clientèle fréquentant ces établissements peuvent ainsi découvrir ces œuvres tout en ayant la possibilité de les acquérir. Soit directement auprès du restaurateur, soit en contactant l’artiste.

Chaque binôme détermine les modalités de vente desdites pièces. Sachant que les artistes ont accepté de verser 20 % du montant de la transaction au restaurateur faisant office de galerie d’art. Un concept altruiste qui se veut gagnant/gagnant !

L’opération devrait s’étaler dans un premier temps sur ce second trimestre, jusqu’au terme du mois de juin.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Voilà une information qui réchauffe le cœur et fait grandement du bien à l’âme en cette période de troubles sanitaires. L’établissement de Chablis prépare méthodiquement sa réouverture. Certes, aucune date ne peut être encore biffée sur un agenda. Mais, la performance artistique déclinée ce mardi par l’architecte d’intérieur et artiste Amandine CHAINE permet d’entrevoir bien des opportunités épicuriennes à venir en guise d’exquises retrouvailles…

 

CHABLIS: Novatrice, l’idée de concevoir une prestation artistique insolite sous un chaud soleil quasi estival dans cet antre de la gastronomie qu’est le Bistrot des Grands Crus était presque une invitation à partir en vacances et à oublier le quotidien. Celui si morose qui nous est imposé par la COVID, nous privant de libertés et des rêves épicuriens les plus fous !

La performance se voulait innovante ; elle le fût. Tant pour les salariés de l’établissement que pour l’encadrement. Logique quand la cohésion d’une équipe est recherchée après autant de semaines d’atermoiement et de doutes. Logique, aussi, si on y plaçait le curseur de la détente et de la relaxation. Ce qui était le cas avec cette opération séduisante à la découverte de l’art, d’un nouveau décorum et finalement d’une partie de soi-même. La réalisation d’un décor sur l’un des murs de l’établissement.

Cette prestation cousue main était l’œuvre de l’architecte d’intérieur Amandine CHAINE qui possède comme on aura pu le constater plusieurs cordes à son arc. In fine, cela se mue en une harpe harmonieuse proposant une douce mélodie très agréable à l’oreille.

 

 

Une rencontre liée au hasard d’une formation…

 

Originaire de l’Aube, Amandine, artiste en puissance, aime conjuguer au détour de nombreuses expériences ses connaissances de l’humain et du bien-être.

Ses modes d’expression prennent la forme du feng-shui, de la symbolique des couleurs, des techniques de relaxation, de cette symbiose parfaite entre une pratique professionnelle et une quête plus personnelle, singulière et inspirée.

Responsable depuis une décennie d’une structure joliment baptisée « AUBOISINE », la jeune femme a été sollicitée par Noémie VIGNAUD, fille et successeur de l’emblématique figure des arts de la table qu’est Michel VIGNAUD, pour créer un environnement ressourçant, digne de ce nouveau « Bistrot des Grands Crus », qui est accueilli désormais dans l’enceinte de l’Hostellerie des Clos.

Leurs valeurs communes, tournées vers l’humain, la sobriété dans le travail et surtout l’efficience, ne pouvaient que les rapprocher. Le hasard (si tant est qu’il existe) avait favorisé leur rencontre lors de journées de formation professionnelle…

Curieuse chose en vérité. Qui aura engendré tant de nouvelles découvertes quelques mois plus tard…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Programmé la saison dernière à pareille époque, l’évènement ne put se dérouler pour cause de pandémie. De guerre lasse, les organisateurs annulèrent ce rendez-vous, le reportant en 2021. Il nous revient sous une forme 100 % digitalisée les 01er et 02 avril. Cerise sur le gâteau : la déléguée interministérielle en charge de ce thème Claire COMPAGNON en fera l’ouverture officielle…

 

AUXERRE: C’est une certitude garantie à 100 % ! Claire COMPAGNON, déléguée interministérielle chargée de la mise en œuvre de la stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement, ouvrira l’évènement numérisé, concocté les 01er et 02 avril par l’EPNAK et ses partenaires !

Le bras droit de la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées Sophie CLUZEL a fait savoir via sa responsable de communication par des échanges de mails qu’elle ouvrirait la manifestation ce jeudi 01er avril en milieu de matinée par une brève allocution.  

Ne pouvant être présente physiquement à Auxerre pour les raisons sanitaires que l’on connaît, la représentante de l’Etat a enregistré au préalable un discours retransmis ensuite aux suiveurs de cette manifestation sur Zoom.

L’information a été confirmée ce lundi en fin d’après-midi par le directeur général de l’EPNAK (Etablissement Public National Antoine KOENIGSWARTER) Emmanuel RONOT.

La présence de la responsable numéro un du dossier « autisme » en France confère un crédit supplémentaire à cet évènementiel qui accueillera de nombreux spécialistes de la pathologie et de sa prise en charge durant ces deux journées.

Destinées aux professionnels du secteur de la petite enfance, ces Journées de sensibilisation verront la participation de plusieurs partenaires : le Département, la Ville d’Auxerre, la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) mais aussi un club service, le KIWANIS Club Auxerre, présidé par Jean-François FINANCE qui a succédé à Claude GUILLEMOT.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Deux jeunes femmes ont scellé une collaboration de plusieurs mois avec l’EHPAD Notre-Dame de la Providence. Elles ont signé une convention dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ». L’Etat présente ce dispositif comme une bouée de sauvetage exceptionnelle pendant la crise sanitaire. Mais permet-il réellement de lutter contre le chômage des jeunes ?

 

SENS : Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par les pouvoirs publics en juillet 2020. Il vient en aide aux jeunes impactés par la crise sanitaire. Son terme est initialement programmé pour janvier 2021. Il avait ensuite été prolongé jusqu’au 31 mars.

A Sens, la Mission Locale annonce que depuis le début de l’année, 35 jeunes ont bénéficié de ces contrats aidés, d’une durée de 9 mois, renouvelables jusqu’à 24 mois. Dans l’Yonne, en 2020, plus de 3 600 jeunes ont profité des avantages de ce plan dont 1 559 d’entre eux au sein du Parcours d’Accompagnement Contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie (PACEA).

 

A quoi sert ce nouveau plan gouvernemental ?

 

En théorie, ce type de plan permet aux jeunes de se former, de combler des lacunes en termes de qualifications nécessaires pour trouver plus facilement un emploi.

Mais pour les deux jeunes sénonaises, Assia et Coline, toutes deux âgées de 20 ans, il s’agit davantage d’une passerelle.

 Assia rêve de devenir infirmière depuis trois ans mais elle compte parmi les victimes de Parcoursup. Elle souhaitait donc enrichir son dossier par une expérience concrète avant de candidater de nouveau pour une école.

Coline, quant à elle, a abandonné ses études en économie et gestion pour se consacrer à une cause plus proche de l’humain. Elle souhaitait « être utile à la cause de la COVID ». Ce dispositif constitue également un bon tremplin pour sa réorientation vers le secteur médico-social dans lequel elle aimerait finalement faire carrière.

Entre l’alternance, les contrats traditionnels et les divers contrats aidés, les entreprises disposent aujourd’hui d’un choix plutôt riche de contrats à la carte. Une aubaine également en termes de main d’œuvre à moindre coût, surtout à l’heure où l’économie est au ralentie en raison des mesures restrictives liées à l’épidémie de SRAS CoV-2.

 

 

 

 

Dario RIGOLLET, directeur de l’EHPAD considère que « surtout en ce moment de crise COVID, ce sont des emplois utiles. Sinon au niveau financier, même si l’Etat nous aide énormément, c’est bien d’avoir aussi de l’aide de ce côté-là, au niveau des emplois ».

Le gouvernement offre une aide d’un montant pouvant s’élever jusqu’à 4 000 euros aux employeurs qui embauchent un jeune de moins de 26 ans. A noter que les entreprises accueillant un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans reçoivent 5000 euros et 8 000 euros si celui-ci a plus de 18 ans.

Le directeur admet aussi que l’établissement embauche « continuellement » des jeunes stagiaires en temps normal, apprentis ou sous contrats aidés, qui ne restent pas la plupart du temps, « peut-être parce qu’à ce moment-là on n’avait pas de poste en CDI… » justifie-t-il. Les entrepreneurs ont effectivement la possibilité d’opter pour des contrats aidés depuis de nombreuses années.

 

 

L’aide aux jeunes sans qualification : une stratégie politique récurrente

 

 

Et pour cause, l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, et plus particulièrement la paupérisation de la jeunesse française, n’est pas uniquement le fait de cette crise sanitaire.

Depuis plus de quarante ans, le chômage des moins de 26 ans est en constante augmentation, de 20,8 % en 2018 (contre 8,5 % pour les 25-49 ans). En 1975, ce taux n’était que de 6,9 %.

Les gouvernements successifs déploient régulièrement des plans massifs de sauvetages pour endiguer un taux de chômage et faciliter l’accès à l’emploi pour les moins de 15-24 ans pas ou peu qualifiés.

Cette cause est devenue l’un des slogans favoris de la classe politique, avec en vedette le CIE (Contrat Initiative Emploi) créé en 1995. On parle aujourd’hui du CUI-CIE pour le secteur marchand, qui fait d’ailleurs son grand retour, du CUI-CAE, qui s'adresse au secteur non marchand (transformés en PEC-Parcours Emploi Compétence), et du CIE-JEUNES dédié aux moins de 26 ans.

Ce dispositif fait l’objet d’une profonde réforme depuis ses débuts mais le principe est toujours resté le même : une aide financière à l’embauche pour les entreprises et la promesse d’un avenir aux chômeurs longue durée. Et bien que l’on constate son déclin depuis le début des années 2000 (de 600 000 contrats aidés en 2005 à 200 000 aujourd’hui), son utilisation demeure privilégiée. En 2016, 28,1 % des emplois occupés par les jeunes de moins de 26 ans étaient des contrats aidés.

 

 

 

Quelle est l’efficacité réelle du contrat aidé ?

 

 

Alors que ces mesures sont souvent critiquées depuis l’instauration des « Travaux d’utilité collective » (TUC) par Laurent FABIUS en 1987, l’Etat continue de les mettre en place. Cela signifie-t-il qu’elles répondent finalement aux objectifs fixés : soutenir l’emploi et favoriser l’insertion professionnelle ?

Dans un rapport de 2011, la Cour des Comptes signifiait que l’objectif était surtout « de lutter contre le chômage en période de basse conjoncture. Les contrats aidés, du secteur non marchand en particulier, permettent en effet de retirer temporairement des effectifs non négligeables des listes de demandeurs d’emploi ».

Une enquête de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) réalisée en 2017 confirme cette tendance.

« A court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés » en fonction du secteur et de la conjoncture économique.

Parmi les personnes ayant réalisé un contrat unique d’insertion dans le secteur marchand (CUI-CIE), 72 % déclaraient être en emploi six mois après et 25 % s’étaient réinscrit à Pôle Emploi.

Concernant ceux qui ont effectué ce même contrat dans le secteur non marchand (CUI-CAE), seulement 49 % étaient encore en poste dans le même délai et 43 % avaient réintégré les statistiques du chômage.

« La part de ceux qui s’orientent vers une formation ou sortent vers l’inactivité est inférieure à 5 % ».  

 

Floriane BOIVIN

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le « Lundi au soleil » est une chose que l’on ne voit jamais dit la chanson ! La cheville ouvrière de la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais Magalie CONDUTEAU-TAVARES a eu tout le loisir de s’en apercevoir en ce début de la Semaine de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Face aux caméras de la TV de l'YONNE (ex-COMCOM TV), elle a endossé la vêture d’une journaliste de choc. Le temps d’interviewer in extenso des spécialistes de l’info et de la communication…

 

ROSOY : Comme un poisson dans l’eau ! La responsable de La Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais aurait-elle déjà exercé un job similaire dans une vie antérieure sur les plateaux de télévision ?

Animatrice de la première journée de la Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi orchestrée jusqu’au 02 avril sous la forme de webinaires par le Grand-Sénonais, l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand-Sénonais (OCAGS) et la CCI, la jeune femme a enchaîné les prestations informatives soutenues tout au long d’une journée au rythme intense.

Affûtant ses questions, elle a assuré le lien entre les internautes désireux d’intervenir par des chats adressés aux orateurs successifs. Magalie CONDUTEAU-TAVARES n’a in fine guère eu le temps de souffler entre deux interlocuteurs.

 

 

 

 

 

Cet exercice de prise de parole, grandeur nature et devant les caméras, n’était guère facile à appréhender ; d’autant que les interviewés, issus du sérail de la presse et de la communication, avaient moult choses à dire sur les bonnes pratiques à mettre en place afin de conseiller au mieux les entrepreneurs dans leurs échanges avec les journalistes.

Même le directeur de la communication de l’Agglo et de la Ville de Sens Philippe BLANCHOZ se prêtait au jeu, abordant l’un de ses thèmes familiers dont il use au quotidien : le développement des relations avec la presse ! Un exercice très utile…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil