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Marcher pour mieux progresser sur le chemin de sa destinée. Pour être enfin reconnu comme de véritables pères, à part entière, qui doivent bénéficier des mêmes droits que la mère, en cas de séparation et de garde d’enfant. Durant plus d’un mois, un groupe d’une dizaine de personnes a parcouru près de 800 kilomètres, de Marseille à Paris, pour alerter l’opinion publique lors d’une action pédestre pacifique. En sensibilisant à chaque étape des représentants de la classe politique…

 

AUXERRE : Motif de la revendication : l’égalité parentale. L’unique et la seule qui offrent aux deux parents divorcés ou séparés les mêmes droits et devoirs en cas de garde d’enfant.

Pour se faire entendre, en sensibilisant le plus possible les médias et l’opinion publique, pas d’autre alternative que d’accomplir un très long périple de près de 800 kilomètres à travers l’Hexagone, du sud depuis Marseille en remontant vers le nord et sa destination finale à Paris.

Un parcours éprouvant pour les organismes à réaliser à pied, il va de soi. Tels des pèlerins sur la route de Compostelle. Mais, attention, il n’est pas question ici de repentance ni de rédemption. Mais, bel et bien de l’affirmation de soi en dénonçant des abus qui s’accumulent depuis trop longtemps.

Comment ? En faisant de la résidence alternée le principe de base fondamental dans le futur de ces relations à établir entre parents divorcés, en renforçant la législation lors de non-représentations d’enfant et surtout en luttant à travers des mesures très concrètes contre l’éloignement géographique volontaire de la progéniture.

Autant de blessures intimes dont souffrent au quotidien bon nombre de ces pères divorcés et séparés, justes bons à être jetés en pâture au plan de la justice et à honorer rubis sur ongle la pension alimentaire !

 

 

Rencontre en haut lieu à l’Assemblée nationale : objectif atteint !

 

Alors quand les membres de ce collectif, baptisé « La Marche des pères pour l’Egalité parentale », ont mis au point leur insolite projet, ils se sont sentis reliés comme les cinq doigts de la main, à l’unisson de leur combat.

Partant du postulat que chacun luttait d’arrache-pied pour obtenir dans leur vie familiale la résidence alternée, ce petit groupe d’une dizaine de personnes s’est entendu très vite sur les modalités à suivre. Tant logistique qu’organisationnelle.

En provenance du Cap d’Agde, de Toulouse, de Nice, de Bordeaux, de Lyon, de Vendée ou d’Alsace, ce petit groupe, mixte, accompagné de leur mascotte un chat qui lui voyageait tranquille dans l’utilitaire suiveur, s’est lancé ce défi à peine croyable : gagner la capitale afin d’y rencontrer le porte-parole du gouvernement après une manifestation nationale organisée place de la Bastille. Tout un symbole !

Le 17 décembre dernier, le collectif a eu le bonheur de se voir ouvrir les portes du Palais Bourbon et de faire part de leurs doléances.

D’après eux, des engagements positifs ont été pris dans le bon sens. Ils ont été reçus par des responsables des cabinets ministériels d’Adrien TAQUET, secrétaire d’Etat chargé de la Protection de l’enfance et du Garde des Sceaux, Eric DUPOND-MORETTTI.

 

 

Une étape dans l’Yonne pour témoigner de la réalité…

 

Dans l’Yonne, le petit groupe a fait étape en Puisaye-Forterre lors de sa récente traversée qui le conduisait vers le Loiret après la précédente étape, vécue du côté de Clamecy.

A Villiers-Saint-Benoît, le collectif a été rejoint par Daniel DELVERT, membre de l’association Egalité parentale et résident à Auxerre. Il a été accueilli par le vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et maire, Patrick BUTTNER.

Daniel DELVERT devait rappeler en substance que « dans l’Hexagone, sur quatre millions d’enfants de parents séparés, seulement 12 % vivaient leurs relations parentales en résidence alternée… ».

C’est nettement moins que dans les pays limitrophes. Ce chiffre s’oriente à la baisse pour les enfants de moins de quatre ans, puisqu’il n’excède pas 4 %.

Pourtant, Daniel DELVERT n’en démord pas : « la résidence alternée représente la meilleure des solutions possibles pour la stabilité de l’enfant ».

Au détour de leurs pérégrinations, les membres du collectif ont eu l’opportunité de pouvoir échanger avec différents élus et parlementaires.

Des rencontres qui se sont avérées passionnantes au sujet de la prévention des conflits familiaux et sur la nécessite de légiférer sur la phase évolutive de la résidence alternée sans pour autant l’imposer. En parallèle, la députée du Vaucluse Souad ZITOUNI avait adressé un courrier officiel au Garde des Sceaux. Preuve que dans la caste politique, les soutiens se manifestent…

 

Thierry BRET

 

 


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« Colette, de l'autre côté du miroir » est une pièce d'après l'œuvre de l'écrivaine, écrite par Samia BORDJI qui marque volontairement son style sur le mode de l'enquête théâtrale. Aux commandes : il y a Valentine REGNAUT, actrice. La mise en scène est signée de Sylvie POTHIER. A laquelle il faut ajouter son assistante-chorégraphe Louise GRENIER. Sublime, ce spectacle a été donné, pour sa première, au théâtre d'Auxerre. Avant une rencontre avec l'équipe artistique et le public.

 

AUXERRE : Créée en octobre 2020, lors d’une résidence au théâtre de l'Atelier Bleu à Fontaine-en-Puisaye, la pièce est une production de la Structure Compagnie. Un spectacle évoquant l'enfance rêvée à Saint-Sauveur, auprès de Sido, sa mère, et leurs relations contradictoires.

Le décor est simple. L’efficience s’apprécie autour de la scénographie, avec juste un grand castelet de métal, tour à tour maison, lit, geôle, agrès, écritoire. Valentine REGNAUT incarne seule l'univers de Colette sur le plateau. Dès lors, le spectateur plonge en immersion dans les souvenirs de l’écrivaine qui vont de l'enfance, au cœur de pures émotions, en traversant les âges, jusqu'à ce qu’elle soit chaussée d’escarpins et porte un manteau de fourrure, symbolisant la vieillesse.

Le récit, presque tramé comme un conte fantastique, éclaire une autobiographie tracée, liée, fixée, et révélée par une écriture ciselée, faite sur mesure, à haute couture et sans la moindre improvisation.

Cette œuvre théâtrale de Samia BORDJI dépeint une Colette aux différents portraits. En ce sens, Valentine REGNAUT y rayonne par son talent de comédienne, danseuse, par ses pantomimes et ses jeux de mimes. Elle offre à ce rendez-vous la quintessence du divin.

C'est par un enchantement captivant que le public de la scène studio du théâtre d'Auxerre découvre par touches et évocations littéraires, extraites du roman de «  Sido », suivi des « Vrilles de la vigne », cette galerie de personnages montrant ainsi, « de l'autre côté du miroir » l'itinéraire de cette grande femme de lettres.

 

 

Une construction scénographique qui n’a rien de fortuite…

 

Le spectateur découvre lors de cette évocation une myriade de souvenirs d'enfance, une graduation dans l'alchimie d’émotions mises en lumière dans une esthétique de clair-obscur.

Colette reste l'une des écrivaines importantes du XXème siècle, première femme nommée présidente de l'Académie Goncourt. Journaliste, danseuse de music-hall notamment dans la mythique salle de spectacle de l'Olympia de Paris, directrice d'un institut de beauté, fervente femme engagée durant la Première Guerre mondiale, toute acquise à la défense des droits de la cause féminine.

Le jeu de l'actrice se révèle dans un ballet de mouvements fluides. Tout respire ici le naturel et la grâce : la comédienne est surprenante. Elle restitue avec une jolie fraîcheur, un pan de l'œuvre de Colette.

« Colette, explique Sylvie POTHIER, est toujours attachée à quelqu'un. Elle a été peut-être été une femme libre, mais dépendante des métiers qui ont réussi à la faire vivre, à la force du temps et des époques de son parcours, de ses maris dont Willy qui l'obligeait au devoir rituel de l'écriture ».

De ce fait, l'adaptation de l'œuvre et les constructions scénographiques ne sont pas simplement fortuites. Comme le témoigne cette étoffe, bout de tissu blanc bien choisi, qui est une allégorie au cordon de la vie, qui nous lie tous quelque part.

Samia BORDJI réussit par l'excellence de son adaptation théâtrale à faire passer les spectateurs « de l'autre côté du miroir ». Sans narcissisme, aucun mais au final avec beaucoup d’émotion…

 

Merouan MOKADDEM

 


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Les habitants de la région Bourgogne Franche-Comté n’ont quasiment pas de responsabilités dans les dérèglements climatiques qui nous affectent à l’heure actuelle. D’autant que notre contrée émet moins que les trois principaux sites sidérurgiques de l’Hexagone. Conspuant le catastrophisme alarmiste des écologistes, le président du groupe RN de Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL, livre ses impressions dans cette tribune…

 

DIJON (Côte d’Or) : « Lors de l’Assemblée plénière du 17 décembre, les écologistes de la majorité au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ont mis sur la table une « déclaration d’urgence climatique ».

En faisant preuve d’un catastrophisme sans égard, ces derniers préfèrent adopter les postures et les caricatures grossières, alors que le sujet de l’écologie suppose un débat raisonné et éloigné de toute forme de communication partisane et idéologique.

En effet, il est utile de rappeler que les habitants de la région Bourgogne Franche-Comté n’ont quasiment aucune responsabilité dans les dérèglements climatiques.

Dans sa note de synthèse du mois de novembre dernier, la collectivité régionale a mis en avant le fait que l’ensemble des activités sur son territoire avait généré de l’ordre de 22 millions de tonnes équivalent CO2 de gaz à effet de serre en 2018, tandis qu’à l’échelle mondiale, cela représentait 36 milliards de tonnes, soit 0,06 % des émissions au niveau global.

 

 

Changer le modèle économique, du mondialisme au localisme…

 

Plus concrètement, la Bourgogne Franche-Comté émet moins que les trois plus gros sites sidérurgiques français (c’est-à-dire les usines de SOLLAC Atlantique à Dunkerque, d’ARCELORMITTAL Méditerranée à Fos-sur-Mer et de SOLLAC Lorraine à Florange), qui ont conjointement rejeté 21,7 millions de tonnes équivalents CO2, ou moins encore que la seule centrale à charbon de Bełchatów en Pologne.

A rebours des déclarations hors-sol, les élus régionaux du Rassemblement National préfèrent opter pour une démarche responsable et enracinée dans le réel en souhaitant élaborer une action publique concrète et de bon sens.

La pollution « française » étant principalement liée aux importations et non à la consommation intérieure, c’est donc notre modèle économique qu’il faut changer en passant du mondialisme au localisme.

En d’autres termes, il serait beaucoup plus utile de généraliser le développement des circuits-courts sur l’ensemble du territoire régional afin de mieux manger tout en réduisant l’empreinte carbone de notre région. De même, l’implantation de 1 800 éoliennes à l’horizon 2050 torpille les ambitions vertes et vertueuses des écolos de salon car cela nécessitera d’arrimer cette fausse énergie renouvelable à des centrales à gaz ou à charbon ».

 

Julien ODOUL

 


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Par essence, qu’elle est la mission réelle du service téléphonique « 36 46 » au sein de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ? Un jeu d’enfant, en vérité, puisque c’est un service gratuit, assorti du coût de l’appel, qui a pour vocation d’honorer tout ce qui concerne de loin ou de près les remboursements de prestations des assurés. En aucun cas, il ne traite de sujets liés à la COVID. Or, le service est à l’heure actuelle à saturation !

 

AUXERRE : La plateforme téléphonique, baptisée « 36 46 » de la CPAM de l’Yonne, est au bord de l’apoplexie depuis plusieurs jours. Saturée d’appels en tout genre se rapportant aux nombreuses problématiques de la crise sanitaire et de ses questionnements qui y sont affectés, le service ploie sous les coups de boutoirs insistants des téléphones d’assurés qui ne cessent de sonner de façon répétitive.

Un renseignement sur le passe sanitaire à résoudre par ici, une interrogation sur l’injection de la troisième dose par là et le tour est joué : le « 36 46 » ne souhaite plus répondre à ces sollicitations pour cause de surchauffe !

« Notre plateforme téléphonique reçoit actuellement beaucoup d’appels d’assurés qui ont eu leur troisième injection, précise la direction de la communication, et cette troisième injection ne figure pas sur leur passe sanitaire… ».

Diverses origines peuvent ainsi expliquer cette absence d’annotation dans le dossier. Un problème informatique, un retard, voire un  oubli. Or, la situation est telle depuis plusieurs jours que les opérateurs de la plateforme croulent sous des demandes qui ne les concernent pas.

 

 

Le « 36 46 » ne peut rien faire en guise de réponse concrète puisque ne s’occupant que de problématiques inhérentes aux remboursements des prestations.

Le message transmis par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie est d’ailleurs sans équivoque sur la démarche à suivre : pour obtenir les réponses adéquates à leurs interrogations, les assurés doivent retourner au centre de vaccination ou revoir le professionnel de santé ayant vacciné la personne.

Apparemment, les assurés ne sont pas les seuls à s’être posé ces questions en sollicitant la plateforme téléphonique de la CPAM. Des professionnels de santé, tels que des médecins, ont fait de même sur ce fameux numéro 36 46. Qui aujourd’hui ne peut plus répondre !

 

Thierry BRET

 


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Le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, entouré des membres du bureau de la Communauté de Communes de Puisaye-Forterre (CCPF), a présenté lors d’une conférence de presse les axes des grands chantiers prévus en 2022. Un exercice dont il est coutumier désormais. Une prise de parole qui a été proposée juste avant que le Conseil Communautaire ne soit réuni dans la salle des fêtes pour la séance plénière…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Avec vingt entreprises retenues par la commission d’appel d’offres pour un total de 7 834 583,45 euros hors taxes, le dossier du centre aquatique de Toucy est fin prêt.

« Le chantier peut être lancé dès le printemps 2022 » précisa Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI lors de son intervention.

Selon Alain DROUHIN, vice-président chargé des finances, « le prévisionnel est respecté » car les subventions obtenues représentent 50 % du montant total.

« Il y aura un centre de remise en forme et vous pourrez tous y aller ! » a lancé à la cantonade le président de la CCPF, peut-être soucieux de dérider un auditoire rendu muet par le coût de ce chantier qui a gonflé année après année.

Du côté du Centre international de formation aux métiers d’art et de la céramique (CNIFOP) à Saint-Amand-en-Puisaye, la démolition des bâtiments amiantés a été ordonnée par l’exécutif. Seules deux entreprises icaunaises sont habilitées à exécuter ces travaux. Ce sont les établissements MICHEL à Auxerre qui ont la charge de ce chantier délicat.

« On passera à la nouvelle construction début 2022 » indique encore le président qui, en pleine forme, se sent de taille à bousculer le calendrier.

L’avant-projet sommaire concernant le siège de la CCPF est sur l’agenda présidentiel au premier trimestre 2022. Il sera suivi par l’appel d’offres à l’automne, avant que ne débutent les travaux en 2023.

 

 

Plusieurs autres chantiers sont déjà dans le viseur…

 

« On va envisager la construction d’une crèche à Saint-Fargeau » a ajouté  Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI avant de parler avec enthousiasme du SIMI.

Au Salon de l’Immobilier d’Entreprise, l’agence de développement de la région Bourgogne Franche Comté abritait la CCPF sur son stand.

« Nous étions la seule collectivité rurale » dit le président qui ajoute que « ce type d’action devra être poursuivi à l’avenir ».

Le Conseil départemental de l’Yonne a par ailleurs débloqué 5,4 millions à investir en équipements de santé, avec le concours des communautés de communes.

 

 

Des débats animés et contradictoires en séance communautaire…

 

L’attribution des marchés de travaux pour le centre aquatique de Toucy provoqua des échanges animés au cours desquels on nota que « le total dépasse de 400 000 euros le montant espéré ». Ce qui a conduit Jean-Noël LOURY, maire de Val-de-Mercy à voter contre. Nonobstant, le projet de construction du centre aquatique est adopté avec 50 voix pour, contre six refus et quatre abstentions.

Quant au retour de compétences des piscines de Bléneau et Charny-Orée-de-Puisaye à leurs communes respectives, il a été validé par 45 voix pour, douze voix contre et trois abstentions après que Jean-François BOISARD, maire de Saint-Privé, ait déploré le fait que « ce ne soit pas chiffré ».

En fin de séance, le président a présenté Bernard RISTORD, nouveau directeur des services à la CCPF.

 

Thierry CARABIN

 

 


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