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La trente-deuxième édition du fameux festival de jazz, organisée dans la capitale de la Nièvre, du 10 au 17 novembre, sera soutenue à hauteur de 70 000 euros par la Bourgogne Franche-Comté.

NEVERS (Nièvre) : Les organisateurs de la manifestation culturelle bénéficieront de larges subsides en provenance de l’institution représentative de notre territoire. Le Conseil régional a entériné la décision de soutenir l’évènement musical en lui allouant une enveloppe de 70 000 euros.

Créé il y a trente-deux ans, « D’Jazz Nevers Festival » demeure l’un des rendez-vous représentatifs de la dynamique nivernaise autour de la sensibilisation de ce courant musical aux racines américaines.

Considéré comme l’une des manifestations majeures de jazz dans l’Hexagone, ce festival profitera, cette année encore, d’une programmation exceptionnelle. Parmi lesquelles Vincent PEIRANI QUINTET, Régis HUBY ENSEMBLE, Sylvain RIFFLET SEPTET, James CARTER OUTLET QUARTET mais aussi la formation régionale de Franck TORTILLIER.

En parallèle, plusieurs communes de l’agglomération de Nevers accueilleront la « tournée des bouts d’choux » avec cette année, la formation QUARTET NOVO.


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Dès octobre, l’un des deux propriétaires de la vitrine artistique de la société MC2 ARCHITECTES entamera des séances pédagogiques lui permettant de renforcer ses aptitudes professionnelles en la matière. Au terme de la première année d’existence, la galerie d’art de Chablis présente un bilan positif et envisage de croître en renforçant ses potentialités de développement. Elle s’oriente vers de nouvelles perspectives non dénuées de réussite économique. C’est l’objectif ambitieux que se sont fixés Marie-Claire GILET-CHEVILLOTTE et son époux, Mathieu, au service de la dynamique culturelle sur ce secteur géographique de l’Yonne…

CHABLIS : Opérationnelle depuis le printemps 2017, la galerie d’art du cabinet MC2 ARCHITECTES apporte sa contribution à la renommée d’artistes locaux, voire d’un peu plus loin. Si les curieux qui poussent la porte de cette belle devanture stylisée ont des origines franciliennes ou étrangères, la structure interpelle aussi les habitants de Chablis par ses aspects insolites.

Ouverte à raison de trois jours par semaine, dont la sacro-sainte matinée du dimanche du fait du marché dans sa rue, la galerie d’art devrait amplifier ses performances de fréquentation et de vente d’ici quelques mois.

L’un de ses responsables, Mathieu CHEVILLOTTE, se lance un nouveau défi. Il suivra à l’automne une formation de galiériste à Paris.

Accueillir à terme des artistes en résidence…

« Les perspectives qui se présentent à nous sont de professionnaliser cet univers qui accueille des peintres, céramistes ou sculpteurs, explique-t-il, d’où l’inscription à une formation conçue par les spécialistes du média « ARTENSION », qui sont de fins exégètes dans le monde de l’art et sur son marché… ».

Accompagné du peintre auxerrois, Marcel LUCIEN (pseudonyme d’une figure reconnue dans les milieux de l’entrepreneuriat icaunais), Mathieu CHEVILLOTTE souhaite se doter du maximum d’ingrédients intellectuels, indispensables à la réussite de son projet.

Croyant dur comme fer au développement de sa galerie, il mise sur la croissance du tourisme œnologique sur le secteur. Celle-ci pourrait avoir un sérieux impact sur la fréquentation de la vitrine artistique. Adepte d’une stratégie de communication multicanale, le chef d’entreprise auxerrois serait disposé à terme accueillir des artistes en résidence (l’infrastructure l’autorise) et faire ainsi boule de neige parmi le sérail de ces créateurs hétéroclites en créant le buzz.

Il y a peu un touriste américain de passage dans la ville a acquis un bronze d’une valeur de 3 000 euros. Preuve que cette jeune galerie d’art qui accueille en ce moment les œuvres de cinq artistes peut encore gagner en ambition professionnelle…

 


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L’association de clichés pris au détour de pérégrinations artistiques dans les grandes capitales européennes mais aussi dans notre contrée a accueilli moult visiteurs à la boutique du domaine viticole de PREHY depuis le 24 juillet. Le terme de cette présentation coïncide avec la date du 03 septembre, synonyme de rentrée pour bon nombre de nos concitoyens. Mais d’ici là, la photographe Sylvie VUCIC prolongera les plaisirs liés à cet évènement. Elle proposera ce vendredi 24 août à partir de 18 heures, une soirée « décrochage », où l’artiste dévoilera encore quelques surprises…

PREHY : Les retardataires peuvent encore se rattraper ! Et ce, dès le vendredi 24 août aux alentours de 18 heures, puisque le Domaine de Jean-Marc BROCARD, haut lieu de la chose vinicole très apprécié des épicuriens (et ils sont légion dès que l’on évoque ce pur nectar que représente le chablis) sera le théâtre d’un nouvel évènement propre à la magnifique et curieuse exposition photographique née de l’imaginaire de Sylvie VUCIC, alias « London Eye » (œil de Londres).

Accueillie au sein même de la boutique du domaine une majeure partie de cet été, la présentation de ces œuvres (triptyques pour la plupart d’entre elles) n’aura pas manqué d’interpeller les visiteurs, férus des produits nobles de l’œnologie.

Baptisée « Nina & Michka », l’œuvre se décline sous la forme d’un véritable kaléidoscope d’images glanées de-ci delà par l’artiste au gré de multiples voyages réalisés parmi les villes lumière du Vieux continent : Londres, Paris, Budapest, Prague…Sylvie y a ajouté sa petite touche régionale, faisant la part belle à des prises de vues captées chez notre voisine auboise, Troyes ; sans oublier la ville chère à la poétesse Marie Noël, Auxerre.

« London Eye », le pseudo qui lui rappelle sa passion pour la Grande-Bretagne…

Eprouvant une passion sans borne pour la capitale de la Perfide Albion, d’où le pseudonyme caractéristique rappelant Londres, Sylvie VUCIC a commencé à exposer en septembre 2016. L’année suivante fut très prolifique pour la jeune femme qui multiplie les expositions afin de faire découvrir son travail.

Ensuite, Sylvie étend son champ d’investigation en 2018. Une exposition conçue à Troyes lui permettra d’élargir son horizon. Son futur projet équivaut à se rendre en Grande-Bretagne pour y dévoiler ces curieux clichés si insolites suggérant des assemblages d’idées et de perspectives.

Quant au Domaine BROCARD, coutumier du fait, il avait déjà enregistré une excellente fréquentation en juin dernier avec l’installation de l’exposition « Verre, vert, vers » en ses murs.

Ce 24 août, au détour de cette thématique particulière, le « décrochage », qu’elle a voulue rendre médiatique, Sylvie VUCIC profitera de la circonstance pour présenter les nouveaux fruits de son travail. Elle y dévoilera des clichés surprenants et inédits. Une manière concrète et savoureuse de démontrer à qui veut l’entendre que l’été ne s’arrête jamais quand on est en si bonne compagnie…


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Curieux attelage que celui-ci. L’ouverture aux œuvres artistiques se valorise au cœur d’un centre de soins. Pas n’importe lequel, par ailleurs. Le Centre hospitalier du Tonnerrois a fait peau neuve le 01er juillet en inaugurant un espace culturel propice à la contemplation des yeux et au bien-être de l’âme. Renouant ainsi avec les préceptes idéologiques de son passé séculaire lorsque l’établissement possédait encore la vocation d’un hôtel-Dieu. Loin d’être une aberration, malgré les critiques usuelles dès la moindre prise d’initiative intelligente, ce concept insolite vient de vivre son premier été. Sous le sceau de la réussite, tant au niveau de la fréquentation touristique que de la remarquable qualité des artistes qui y dévoilaient leurs œuvres.

TONNERRE : « Pourquoi n’aurions-nous pas valorisé un site patrimonial d’exception ? ». La question méritait d’être posée, en effet, à bien des égards, surtout au vu d’un résultat pour le moins probant. Le nouvel espace destiné à accueillir des œuvres artistiques et culturelles dans le saint des saints de la pratique médicale tonnerroise prouve qu’il n’y a aucune incompatibilité à faire vivre ce lieu historique en y adjoignant des œuvres porteuses d’émotions et de sensibilité.

Sensibiliser les publics à la découverte de l’art…

Depuis qu’il gère la destinée du centre hospitalier local, c’est-à-dire il y a neuf ans, Frédéric ROUSSEL n’a jamais changé d’un iota sa ligne stratégique devant lui permettre tôt ou tard de rendre ses lettres de noblesse à ce site nimbé d’histoire. Partant du simple postulat que « l’art devient un complément de soins, car vecteur de détente et de bien-être », le directeur de l’établissement a pu patiemment travailler à son projet de réhabilitation de cet édifice si caractéristique.

« Des alternatives à la prise en charge habituelle se développent de plus en plus dans les hôpitaux, de manière à répondre à la technicisation des soins, en utilisant l’art, le jardinage ou certains soins de confort à l’instar de la sophrologie ou de la réflexologie, précise-t-il, en outre, accueillir la culture et l’art dans notre univers facilite la sensibilisation d’un plus jeune public venu de l’extérieur, de séduire les visiteurs de passage et, au-delà, d’apporter un soutien aux personnes hospitalisées en intégrant le personnel et les résidents… ».

Un maillage subtil qui a aussi pour vocation de donner une envergure intéressante à l’attractivité du territoire. C’est un argument de taille dont le Tonnerrois ne peut se passer au plan économique.

Le Centre hospitalier du Tonnerrois : un acteur social et culturel ouvert sur le monde extérieur…

« La restructuration de cet espace permettra d’intégrer de nouveaux réseaux et labels touristiques, voire artistiques. Cela augmente l’attrait des visiteurs pour ce site grâce à un nouveau schéma d’animation. On peut considérer l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre comme un plateau en ébullition qui peut générer un rayonnement culturel pour l’ensemble du territoire… ».

Au-delà de ces objectifs avérés, il y aura nécessairement de nouvelles recettes qui seront ainsi créées. Elles devraient être affectées dans le développement et l’amélioration des parties sanitaires de l’établissement ainsi que le volet médico-social.

Un projet total de 240 000 euros sainement financé par les legs…

Ce sont les terres, les fermages, les bois, la chasse, mais aussi les vignes et le patrimoine immobilier en location qui alimentent l’enveloppe budgétaire nécessaire à la réhabilitation culturelle de l’hôpital. C’est-à-dire les legs reçus depuis la fondation de ce haut lieu des soins en Bourgogne, depuis…1293 !

On ne le sait pas toujours mais le Centre hospitalier du Tonnerrois possède sept hectares de vignes avec appellation et a obtenu l’autorisation de planter un hectare de plus. Seuls 18 centres hospitaliers sont propriétaires de vignes dans l’Hexagone.

Représentant 700 années d’existence avec trois générations de bâtiments sur un même lieu, le site médical de Tonnerre peut s’enorgueillir d’être un trésor non négligeable qu’il convient d’exploiter au-delà de ce qui existe déjà. D’autres sites patrimoniaux l’ont déjà fait en France à partir de telles richesses.

« Tout ce patrimoine, incluant l’espace culturel dans son ensemble, est privé, ajoute Frédéric ROUSSEL dans ses explications stratégiques, quant à son budget, il ne peut être déficitaire. Il convient donc indiscutablement de l’entretenir, de le faire fructifier et d’en faire un vecteur d’attractivité pour le territoire… ».

Dès 2019, le jardin Marguerite de Bourgogne, traversé d’ordinaire par les visiteurs se rendant à l’Espace culturel, sera intégralement réaménagé. Cette opération sera rendue possible avec le concours technique de l’association « Le P.A.R.C. ». L’ensemble sera réalisé en reprenant les lignes architecturales des fondations des bâtiments aujourd’hui disparus. Signalétique, panneaux à vocation pédagogique mais aussi table d’orientation et diagonale de circulation avec la présence de plantations colorées constitueront les éléments essentiels de ce futur chantier. Trente-quatre arbres dont la moitié en variétés fruitières y seront plantés non loin de nouveaux mobiliers destinés à orienter l’œil du visiteur dans d’intéressantes perspectives.

Enfin, d’autres aménagements plus structurels sont aussi prévus. Sur le toit de l’édifice avec la pose d’une nouvelle couverture devant protéger 0,5 hectare de surface (budget de 85 000 euros). La réfection d’une verrière et d’une passerelle, soit un prévisionnel de 130 000 euros de travaux, s’inscrit parmi les priorités.

Pour être tout à fait complet sur cette période charnière de l’établissement, rappelons que les deux expositions « Les Songes de la nef », prise de site sonore et musicale proposée par Alain BONARDI et « Résonance de la Couleur » de l’artiste peintre Caroline COPPEY, sont encore visibles respectivement à l’Hôtel-Dieu et à la Pharmacie jusqu’au vendredi 31 août inclus.


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Gérard-André et Andrée, les deux pygmalions de l’univers artistique enchanteur de Puisaye, propriétaires du théâtre rural de La Closerie, le redoutaient presque devant le faible engouement des spectateurs observé au cours de cette semaine estivale. La première de la création originale de l’œuvre de la Compagnie « LA FARFALLA », spectacle de danse et de théâtre « Sola » qui devait être interprété par la talentueuse suissesse Marie BRAUN sur la scène d’Etais la Sauvin, a été annulée purement et simplement. Ce n’est pas de gaité de cœur que le duo aux commandes de ce site culturel qui affiche d’ordinaire une saine vitalité a fait connaître sa décision à la suite d’un communiqué de presse. Ce n’est que partie remise pour les aficionados de l’artiste genevoise (une habituée du théâtre icaunais) : la direction de La Closerie proposera deux nouvelles dates en 2019…

ETAIS LA SAUVIN :  Alors que leurs précédents spectacles avaient trouvé un large public en faisant salle comble (flamenco, humour, mime…), les responsables du théâtre champêtre de La Closerie, Andrée et Gérard-André, ont été contraints par manque de réservation de procéder à l’annulation, et ce à la dernière minute, de la composition théâtrale « Sola », devant mettre en scène l’artiste de Genève, Marie BRAUN.

Les deux protecteurs des artistes espèrent trouver une autre fenêtre dans la programmation de 2019, en train de se concocter, pour satisfaire le public de fin connaisseurs de la danseuse professionnelle et musicienne de haut niveau qui était programmée ce week-end, sur deux dates, les 18 et 19 août.

Comme devait le rappeler sur son communiqué de presse le couple de Puisaye : « Le spectacle vivant, c’est magique mais il ne peut se faire dans un théâtre comme le nôtre sans spectateurs, d’autant que les artistes recherchent une communion et une complicité avec le public. La réservation, bien à l’avance, est donc indispensable à la fois pour les artistes mais aussi pour La Closerie, éloignée des grands centres urbains… ».

Nous avons voulu en savoir plus sur les raisons de cet échec au cœur de cet été caniculaire qui prive peut-être les bonnes volontés de vouloir trop s’exposer à l’extérieur. Mais, est-ce vraiment une raison suffisante ? Voici les explications de Gérard-André, à ce propos…

De 4 à 5 annulations en une douzaine d’années…

Comment expliquer l'absence du public alors que nous sommes en pleine période estivale ?

A La Closerie, nous avons assez peu de touristes donc le vacancier n’est pas responsable de cette absence de public.

La Closerie a-t-elle déjà eu pour habitude d'annuler des représentations artistiques par le passé ?

Fort heureusement, cette situation n’est pas habituelle. Cela a dû nous arriver que quatre ou cinq fois en l’espace de douze ans. Ce qui est très peu au final…

A-t-on une idée des dates de reprogrammation de « Sola » ?

Probablement en septembre. Mais, j’attends encore la confirmation. Sinon, cela serait réalisable en 2019…

Auriez-vous un message fort et positif à faire passer à la suite de ce retrait ?

Que nos amis réservent très tôt en début de saison. Lorsque l’on constate assez vite la « désaffection » pour un spectacle, nous avons la possibilité de lancer d’autres communication sous une autre forme (téléphone, relais via les réseaux…). C’est désolant, mais l’artiste ne doit pas se culpabiliser ! Les raisons sont ailleurs.

Il est vrai que pour ce genre de spectacle autour de la danse, nous ne faisons jamais recette. Notre scène, bien connue de plus de 11 000 personnes (plus de 33 000 entrées en l’espace de 12 ans), n’est pas repérée pour ce genre du spectacle vivant. Souvent, on me fait confiance mais, apparemment, pas cette fois-ci.

Nous aurions eu vingt-cinq personnes par séance (un minimum pour bien travailler artistiquement dans notre salle), je faisais quand même le spectacle. Il faudra aussi, pour la danse, que je revoie ma façon de communiquer. J’ai pourtant fait beaucoup par le passé. Il faudra peut-être aussi que je ne veuille pas, pour ce genre artistique, jouer dans la cour des grands…Et puis, il y a aussi notre éloignement des villes, avec le coût du transport qui peut aussi peser.

« L’artiste ne doit jamais se culpabiliser sur ses choix… »

Est-ce à dire que vous vous interrogez sur la pertinence de vos choix de programmation ?

Oui, je me pose tout un tas de questions. Je ne suis pas un animateur directeur de théâtre en quête de public et qui attend en se lamentant sur le pas de la porte d’un espace théâtral en me disant il y a trop de ceci et trop de cela. Je pense que plus il y a d’offres mieux c’est. Car, il est indéniable aujourd’hui que les gens sortent. Je ne crois pas à la concurrence.  

Enfin, je dis et redis aux artistes de ne pas se culpabiliser. Surtout, il ne faut pas laisser supposer que tel ou tel spectacle n’attire pas… La médiocrité ambiante fait plus facilement sa place surtout avec la carotte du fric au bout. Pour ma part, il y a un public potentiel pour toute proposition artistique. La communication nous permet de ne jamais baisser les bras en la matière. Et puis comme dit « mon » ARAGON, et j’en fais ma devise, « rien n’est jamais acquis à l’homme ni sa force ni sa faiblesse… ».


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