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Entre deux essais où elle livre ses impressions sur la pertinence ergonomique et la maniabilité de véhicules qu’elle teste avec délectation et un zeste d’humour, la journaliste-romancière de l’Yonne a pris le temps de rédiger la trame de son nouvel opus : la suite très attendue des aventures de son héroïne, « La Pétasse au volant ». La publication de l’ouvrage est attendue pour septembre. Vivement l’automne pour que se réveillent enfin les zygomatiques !

 

AUXERRE : Que les aficionados de la sarcastique écrivaine se rassurent : ils devraient retrouver leur héroïne préférée dont les aventures désopilantes ont été narrées dans « La Pétasse au volant » dès l’automne prochain. C’est sur son compte Facebook que la journaliste-romancière icaunaise a fait part de cette information réconfortante ce vendredi 21 mai.

Elle y annonce la future parution de ce second volet qui ne manquera pas de replonger son personnage principal au cœur de situations les plus farfelues et nébuleuses qui lui siéent comme un gant.

Intitulé « Le Journal d’une Pétasse biodégradable », le livre sera édité par la maison RAMSAY qui soi-dit en passant demeure fidèle à la plume acérée de la rousse Auxerroise.

 

 

 

Paru en avril 2020, « Le Journal d’une pétasse au volant » a connu un joli succès sur les plateformes de vente en ligne et dans les librairies où son auteure a organisé de nombreuses séances de dédicaces.

Sur son compte, Anne-Charlotte LAUGIER saupoudre quelques éléments informatifs à son lectorat concernant cette deuxième virée dans la cocasserie féminine.    

« Cet ouvrage se déroule une fois de plus avec ce personnage drôle, caricatural, mais tellement humain et qui entend bien revendiquer son curieux féminisme. Celui d’une femme, et de toutes les femmes, qui veulent jouer tous les rôles, tout de suite. Car elles se veulent amoureuses, concernées, frivoles et profondes à la fois… ».

Le tout avec le sourire aux lèvres à mettre au visage de tous les lecteurs qui prendront plaisir à le dévorer. Nous les premiers !  

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de rénover son parc de transformateurs situés dans différentes communes du territoire. Pour le moment, une vingtaine de ces structures ont été recouvertes de couleurs chatoyantes à l’œil pour environ 2 000 euros chacune…

 

AUXERRE : Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a pour mission d’aménager et rénover les réseaux afin de les rendre plus performants. Le SDEY est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui s’accompagne d’un comité départemental où y sont présents 47 élus, ainsi que des services techniques et administratifs.

Le syndicat s’appuie sur huit Commissions Locales d’Énergies (C.L.E.) qui se répartissent sur tout le département tel que C.L.E. Auxerrois-Serein, C.L.E Tonnerrois, etc.

Le SDEY met en avant l’amélioration énergétique au sein du territoire icaunais. Il participe à la distribution publique d’électricité, de gaz, éclairage public mais aussi de bornes de recharge pour les véhicules électriques. L’entité s’occupe également des domaines de la cartographie et de service d’information géographique, de la maîtrise d’énergie. Il cherche tout en respectant l’environnement, à améliorer le développement économique ainsi que la qualité de vie des habitants.

 

 

De la couleur aux quatre coins du territoire…

 

Le SDEY a décidé de rénover le parc de transformateurs qu’il possède. Ce dispositif est utilisé pour rendre l’électricité transportable sur différentes distances au sein du réseau de connexions. Il permet de perdre peu d’énergie. Souvent imposantes, ces structures ont tendance à être positionnées de manière à cacher le paysage.

Afin de rendre plus harmonieux l’environnement visuel de ces transformateurs, le SDEY met en place une opération d’embellissement de ces postes à base de stickers dans l’Yonne.

En collaboration avec le studio Xavier MORIZE, situé à Auxerre, un visuel a été imaginé avec le service de communication du SDEY.

De la couleur vive allant aux motifs voyants en jonglant avec des formes qui ne passent pas inaperçu : c’était l’idée des différents stickers prévus pour chaque transformateur afin de pouvoir attirer le regard, non seulement sur le syndicat mais aussi rendre les collectivités attractives.

 

 

Outre le fait d’améliorer le cadre de vie, l’objectif suivant était de lutter contre les incivilités telles que les tags et les graffitis qui peuvent être fait.

De ce fait, le syndicat a choisi de relooker les portes de vingt transformateurs au total qui sont répartis dans différentes communes du département : Fleury-la-Vallée, Toucy, Saint-Georges-sur-Baulche, etc. En moyenne, une journée et demie de travail est nécessaire pour rénover un transformateur ainsi qu’un budget de 2 000 euros pour chacun d’entre eux.

Pour le moment, cette initiative semble plaire aux collectivités. Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a déjà reçu des retours d’habitants afin de les complimenter mais aussi d’autres collectivités qui seraient intéressées pour rénover leurs transformateurs délaissés.

Un sans-faute pour cette collaboration. Devons-nous nous attendre à un retour dans les années 1960 avec ses visions un brin psychédélique ?

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La reconstruction de la charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris ne se fera pas seule. En effet, Groupama Immobilier gère différentes forêts issues de son important patrimoine foncier. Des chênes y sont marqués avant d’y être prélevés. Objectifs : ces arbres serviront à redonner sa flamboyance à l’édifice et à sa flèche imaginée par Viollet-le-Duc…

 

PARIS : La flèche symbolique de la cathédrale Notre-Dame de Paris est l’œuvre d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC, célèbre architecte du XIXe siècle. A l’initial, elle fut démontée à cause de son mauvais état entre 1792 et 1797. Un concours avait été lancé en 1842 pour sa restauration.

Ce dernier avait été remporté en 1844 par Jean-Baptiste LASSUS et Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC. Jean-Baptiste LASSUS décéda en 1857. Il ne participera pas de fait à la restauration de la fameuse flèche. Constituée de 500 tonnes de bois, 250 tonnes de plomb, cette structure de 96 mètres de haut a vu le jour en 1859 grâce à l’imaginaire et aux croquis d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC.

Or, à la suite du terrible incendie du 15 avril 2019, la charpente et la flèche ont été détruites. Un réel choc pour beaucoup de citoyens français qui a suscité des réactions nationales mais aussi internationales. La cathédrale de Notre-Dame de Paris est avant tout l’emblème de la ville tant au niveau architectural que culturel avec le roman éponyme de Victor HUGO. Reconnue universellement, ce sont environ 13 millions de visiteurs qui la découvrent chaque année.

En juillet 2020, la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT avait déclaré aux médias que la reconstruction de la flèche se ferait à l’identique.

 

Groupama Immobilier aidera à restaurer ce symbole de l’art gothique…

 

La Société Forestière Groupama, entité gérée par Groupama Immobilier, a marqué différents chênes qui proviennent de ses forêts de l’Eure. A la suite de ces marquages, les arbres seront prélevés en guise de dons pour contribuer à la reconstruction de la flèche partie en fumée.

Au total, sept chênes âgés de 160 à 180 ans élevés en forêt de Conches (27) ont été choisis en compagnie du président de la Fédération Groupama de l’Eure Dominique AUBIN ainsi que du directeur général de Groupama Immobilier Eric DONNET, venus avec deux des trois architectes en charge de la reconstruction de l’édifice gothique.

L’idée de Groupama n’est pas nouvelle. L’assureur mutualiste s’était engagé à faire ces dons dès le lendemain de l’incendie.

Ce projet est devenu collectif. En effet, il est aussi porté par l’interprofession France Bois Forêt qui est présente pour coordonner les prélèvements des chênes que ce soit dans les forêts privées ou celles publiques qui occupent le sol français.

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Cette fois, c’est sûr : l’équipe du MUSEO Parc entrevoit enfin le bout du tunnel ! Après avoir connu des hauts et des bas, côté humeur, tant les incertitudes et les fausses joies s’étaient accumulées au cours de ces dernières semaines. Une première fois annoncée, puis remisée sous le manteau, la réouverture du site touristique de Côte d’Or est enfin acquise pour ce mercredi 19 mai. Mais, sous certaines conditions…

 

ALISE-SAINTE-REINE : L’impatience est non feinte parmi les collaborateurs qui travaillent au succès de cette aventure entamée il y a déjà plusieurs saisons. D’ici quarante-huit heures, ce haut lieu du tourisme régional ouvrira ses portes après de longs mois de fermeture.

Une réouverture attendue par beaucoup mais qui devra se conformer aux consignes sécuritaires en vigueur, eu égard à la pandémie de la COVID-19 et à l’application stricto sensu des inévitables gestes barrières.

Dès mercredi, petits et grands auront la faculté de pouvoir s’immerger dans cet univers consacré aux Gaulois en découvrant une exposition spécifique pour les enfants dédiée à leurs habitudes alimentaires. Elle sera agrémentée de différents ateliers (cuir, argile, cuisine –décidément très en verve ! -, verrerie et mosaïque).

Une exposition temporaire sera visible jusqu’à fin juin. C’est un nouvel éclairage informatif qui expliquera que les Romains étaient amateurs, entre autres, de la chair de flamants roses ! Plus sérieusement, les férus d’archéologie auront le loisir d’apprécier une collection de pièces uniques retrouvées sur le site, théâtre de la fameuse bataille où Jules César vainquit le célèbre chef gaulois.

La technologie et la magie du 3D plongeront les visiteurs dans l’univers d’une ville antique. Un voyage virtuel insolite pour mieux s’imprégner de l’urbanisme et de la vie quotidienne des habitants de l’époque.

 

 

Des nouveautés à la pelle qui se découvriront durant tout l’été…

 

Quant à l’exposition permanente, elle ne sera pas accessible pour le moment, étant toujours en travaux. Toutefois, un espace de découverte sur l’histoire d’Alésia sera aménagé dans l’atrium afin de livrer quelques clés à la compréhension du lieu.

Côté nouveautés, signalons un jeu, décliné sous la forme d’un « escape game » baptisé la « Furie d’Alésia ».

Les participants se glisseront dans la peau d’un journaliste enquêtant sur un certain nombre d’énigmes à résoudre sur la cité gallo-romaine, mettant en scène le Gaulois EBERIUS.

Un programme alléchant de nouveautés (Festival Image Sonore, la nouvelle scénographie, organisation d’un week-end de sports antiques, spectacle de la reconstitution de la célèbre bataille…) étoffera les journées estivales. Nous y reviendrons plus en détails dans un autre article.

Enfin, pour les amoureux de la nature, profitez de votre séjour pour contempler les 35 moutons qui paissent sagement aux abords des bâtiments.

Ils sont issus de la race « romane » dont les brebis sont réputées pour être maternelles et câlines. Un clin d’œil appuyé à l’environnement que la direction met en exergue depuis des années avec une multitude de partenariats pour protéger les oiseaux, les insectes et la végétation.

 

En savoir plus :

 

Compte tenu des règles sanitaires, il est fortement conseillé de réserver sa visite à l’avance sur le site www.alesia.com ou par téléphone au 03.80.89.95.20.

Possibilité de restauration à emporter avec le restaurant Le CARNYX.

Tarif réduit durant la période de fermeture de l’exposition permanente à 6,50 euros pour les adultes et 8 euros avec la visite des vestiges.

 

Thierry BRET

 


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Fermé depuis six mois en raison de la crise sanitaire, le théâtre d’Auxerre rouvrira ses portes au public jeudi 20 mai avec à l’affiche une fantaisie lyrique autour du téléphone de Menotti. Un spectacle vivant porté par les étudiants de l’Ecole Supérieure de Musique, qui sera suivi début juillet par trois jours de fête et de convivialités musicales mettant en avant les artistes en résidence au théâtre…

AUXERRE : Eteignez vos portables, installez-vous vous bien dans votre fauteuil, ouvrez grands vos yeux et vos oreilles et laissez-vous porter par la musique ou le spectacle … ! Un scénario qui depuis le 30 octobre dernier, date de début du second confinement et de la fermeture des théâtres, relevait de la fiction. Autant dire que l’annonce du plan de réouverture des lieux culturels avec places assises à compter du 19 mai aura été vécue par tous comme une délivrance. Pierre KECHKEGUIAN, qui œuvre à la direction du théâtre d’Auxerre depuis neuf ans, ne cachait pas son plaisir gourmand ce lundi à en présenter le programme de réouverture, avec à ses côtés, George BASSAN, présidente de l’Association Icaunaise de Diffusion Artistique (AIDA). Une double satisfaction même, puisque la veille, les intermittents du spectacle qui occupaient le théâtre depuis le 21 avril avaient quitté les lieux dans la soirée. Une occupation qui n’était pas sans conséquences financières explique George BASSAN : « considérées d’un point de vue juridique comme du public, les personnes présentes jour et nuit, nous ont mis dans l’obligation d’assurer un gardiennage de sécurité, pour un coût d’environ 5 000 euros par semaine, soit l’équivalent du prix moyen d’un spectacle, réduisant d’autant notre budget… ». Saluant au passage avec le directeur, l’état de propreté dans lequel les occupants avaient rendu les lieux.

 

 

Un opéra bouffe pour démarrer la saison…

 

A l’affiche du spectacle de réouverture, jeudi 20 mai : « Le téléphone », un opéra bouffe de Gian Carlo Menotti, fruit du travail mené depuis deux ans par les jeunes chanteurs de l’Ecole Supérieure de Musique de Bourgogne Franche-Comté. Une formation qui depuis deux ans avait pris ses quartiers au théâtre d’Auxerre. Initialement prévu le 30 avril dernier, ce spectacle entièrement gratuit sera agrémenté d’une fantaisie lyrique reprenant les grands airs des comédies musicales américaines. La réservation sera ouverte dès ce mercredi. Mais, il faudra faire vite car la jauge autorisée par l’exécutif n’est pour l’heure que de 35 % de la capacité d’accueil, soit à peine plus de 200 places assises. Priorité sera donc donnée aux personnes ayant initialement réservé cette représentation.

 

 

Suivront du 01er au 03 juillet trois jours de spectacles mettant en avant des artistes actuellement en résidence au théâtre d’Auxerre, comme Nathalie PERNETTE et sa Compagnie de danse éponyme, ou Sébastien VALIGNAT autour de son spectacle « Love me ». Une programmation enrichie de soirées « after » conviviales et musicales ou « d’apéros concerts » avec notamment l’ensemble de musique baroque « Les Epopées », de reconnaissance internationale. Avant le traditionnel rendez-vous de rentrée, début septembre, pour la présentation officielle des spectacles de la prochaine saison. Une programmation qui devrait reprendre pour moitié celle de cette année, mais « quelques belles surprises » sont d’ores et déjà annoncées fait remarquer Pierre KECHKEGUIAN, qui se refuse à envisager un éventuel quatrième confinement : « ce serait une véritable catastrophe ! ».

 

Dominique BERNERD

 


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