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Structurer et développer une filière bancaire spécifique au marché viticole dotée d’une marque ? Il fallait y penser ! Eux, ils l’ont fait ! Mais, attention, dans les règles de l’art avec le supplément d’âme en plus. S’appuyant sur une décennie d’expériences et de vécus, basés sur un savoir-faire millimétré au cordeau – cela tombe bien quand on évoque le monde de la vigne ! – et de partages concrets, glanés aux quatre coins de l’Hexagone. Car, que l’on ne s’y méprenne pas : il s’agissait bien d’un évènement national, proposé là dans l’agence beaunoise de la Caisse d’Epargne, accueillant ce point presse…

 

BEAUNE (Côte d’Or) : En un mot comme en cent – le terme sera par ailleurs répété à maintes reprises au cours de cet exercice oratoire se déroulant à la minute près, compte tenu des impératifs horaires de la presse parisienne venue par la voie ferroviaire -, tout le procédé justificatif de cette filière 100 % viticole, portée sur les fonts baptismaux d’un lancement officiel par la Caisse d’Epargne, repose sur la passion.

Celle des fruits (de la passion), en l’occurrence quand on exerce son métier dans les vignobles de la côte de Beaune ou celle de Nuits, qui restent le raisin. Il en sera beaucoup question lors de cette conférence de presse plutôt bien suivie par les médias agricoles/viticoles spécialisés mais aussi ceux de la dimension économique pur jus – sans jeu de mot ! – à l’instar des « Echos » ou de « L’Agefi ». Sans omettre les territoriaux de cette étape en Côte d’Or ensoleillée et chaude !

L’intérêt que porte la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, à l’instar des autres caisses régionales, envers le milieu viticole ne date pas d’hier, à vrai dire. On le sait, parmi ses credo, l’établissement financier – il arborait fièrement l’image de l’écureuil comme symbole de l’épargne et des économies il y a déjà des lustres – aime se positionner comme une banque de proximité, à l’écoute de sa clientèle qui est croissante et selon ses typologies professionnelles ou pas. Dans une zone de chalandise où le secteur viticole est très important (Saône-et-Loire, Côte d’Or, Jura, Yonne, Nièvre…), il est clair que les fins stratèges du groupe ne pouvaient louper le coche en ignorant ce pan économique si capital.

 

Une filière bancaire destinée à la viticulture ? De la pure logique, en somme…

 

En soi, créer une filière spécifique ouverte à ces professionnels de la terre, baptisée sobrement « Vitibanque », ne représente qu’une demi-surprise. Par contre, qu’elle s’articule sur les acquis et ses expériences passés, sur un positionnement national l’est davantage. On connaissait de longue date la banque agricole aux couleurs vertes de surcroît, voici désormais la banque viticole qui se distingue par l’apport d’un autre code chromatique !

Lors de son préambule introductif, lui permettant d’ouvrir la rencontre avec la presse, Jérôme BALLET, président du directoire de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, devait le rappeler en insistant : « cette nouvelle filière est née d’une relation de confiance et de partenariat qui nous permet de proposer une offre sur mesure qu’elle soit bancaire ou assurantielle avec l’appui du groupe BPCE à cette filière d’exception que représente la viticulture dans notre région… ».

Bien vu ! Le président du directoire poursuivra son explication de texte en apportant de l’eau à son moulin, côté arguments qui plaident en faveur d’une telle réalisation.

« Nous souhaitions apporter notre pierre à l’édifice dans le paysage économique régional, précise Jérôme BALLET, naturellement, la viticulture est l’un des secteurs de pointe où la filière « Vitibanque » a un rôle à jouer prépondérant, selon trois solutions que nous préconisons : la proximité, l’adaptabilité et la qualité de la relation humaine qui est incarnée par la présence de chargés d’affaires expérimentés sur ce segment professionnel… ».

Un message qui s’adresse en priorité aux 5 000 exploitants/négociants viticoles de la contrée régionale, qui souhaitent tester les offres de service et prestations déclinables désormais par cette filière dont seront les porte-étendards les six chargés d’affaires à l’estampille de « l’Ami Financier » - autre souvenir empreint de nostalgie côté appellation de ce réseau bancaire – sur le terrain.

Six cents propriétaires de domaines de la région sont déjà suivis par le groupe bancaire et il est à parier que ce chiffre devrait progresser – à l’identique de la croissance à deux chiffres de ce segment en pleine expansion pour la banque – à l’avenir grâce à ce dispositif d’accompagnement novateur.

 

Thierry BRET

 

 


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Trente ans, le bel âge pour une entreprise ! Celui de la maturité, de l’expertise, de l’expérience, aussi. L’âge des bilans mais aussi des perspectives ! Plus de cent-vingt personnes, des acteurs clés de la filière agricole départementale, clients et partenaires, ont donc participé il y a peu à ces retrouvailles heureuses, organisées à cette occasion par la famille MOREAU, à la tête de cette belle structure depuis maintenant trois décennies…

 

APPOIGNY : Date de l’apparition originelle : 1993. Rendez-vous pour les réjouissances : le 10 mai 2023 ! Entre-temps, trente ans se sont donc écoulés pour le plus grand bonheur de la famille MOREAU (Danièle et Joël – deux figures charismatiques de la vie entrepreneuriale de l’Yonne – et Alexandre, leur fiston qui les accompagne dans leur projet de développement de cette TPE de belle facture, incarnant le futur proche de la relève).

AGRI 89 : tout est dit ou presque dans cette appellation ! Agri comme agricole, il va de soi. Depuis trois décennies, ce spécialiste du négoce agricole propose une kyrielle de produits et solutions, permettant d’aider les professionnels de la filière de vivre du mieux possible l’optimisation de leurs exploitations qu’elles soient céréalières ou d’élevage sur notre territoire.

L’entité se porte bien. Joël MOREAU le glisse en aparté d’un entretien, accordé dans ses locaux il y a quelques jours. « Aujourd’hui, AGRI 89 rayonne sur la Nièvre et l’Yonne ; proposant la distribution de différents produits nécessaires à la filière agricole (les fertilisants, les engrais, les semences, les produits phytosanitaires…). Nous avons acquis une nouvelle clientèle parmi les agriculteurs et les viticulteurs qui nous ont fait confiance. C’est une bonne chose lorsque l’on célèbre son trentième anniversaire ! ».

 

 

L’embauche de trois collaborateurs pour gagner de nouvelles parts de marché…

 

Dans l’Yonne, l’entreprise réalise 80 % de son chiffre d’affaires. Un chiffre en progression qui s’établit à huit millions d’euros désormais. Au-delà de la stratégie commerciale qui ne cesse de se peaufiner pour écouler les produits, AGRI 89 cherche à embaucher trois collaborateurs. Des postes à pourvoir de suite, l’un de technico-commercial afin de renforcer la présence sur le terrain, l’autre de gestionnaire de magasin avec l’assurance de réaliser les livraisons – l’une des forces de la structure qui sait se rendre disponible pour mieux satisfaire ses clients -, et le troisième emploi se rapporte à une fonction de collaborateur administratif, avec un profil de comptable.

Une entreprise qui s’adonne aussi à des messages pédagogiques – nous y reviendrons dans un prochain article – lors de cette grand-messe qui aura permis d’aborder quatre thèmes distincts pour mieux informer sa clientèle : l’agriculture de précision, les activités microbiennes des sols, le système EASY Connect adapté à des bidons, et enfin l’agriculture « agri-voltaïsme », un complément d’activité applicable dans les exploitations qui mérite que l’on s’y intéresse de près !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Bien ancré dans le paysage de l’œnotourisme départemental, « Fleurs de Vigne » est devenu au fil des années un rendez-vous incontournable de tous les épicuriens, amateurs des vins de Chablis et du Grand Auxerrois. Cette 11ème édition n’a pas failli à la tradition. Les quais de l’Yonne ont affiché complet dimanche, à Auxerre, avec des visiteurs venus parfois de loin, avides de s’affranchir des secrets de la viticulture icaunaise, dégustations à l’appui. L’occasion aussi de belles rencontres avec des femmes et des hommes à la passion chevillée au corps, fiers d’un métier qu’ils n’ont de cesse d’expliquer et raconter… « Veni, vidi, viti » !

 

AUXERRE : Lancement officiel de la manifestation dominicale : l’image des confréries rejoignant depuis Saint-Germain, les quais de l’Yonne à travers les ruelles pavées du quartier de la Marine est toujours un moment fort du festival « Fleurs de vigne ». Comme un clin d’œil à l’histoire des lieux, lorsque les vins de l’Yonne, chargés sur les coches d’eau remontant la rivière jusqu’à Paris, s’invitaient à la table des rois. Mais le soleil aidant, qu’il devait faire chaud sous ces tuniques chamarrées et multicolores, conçues pour être portées l’hiver lors des Saint-Vincent… ! Une version « allégée » et plus estivale serait sans doute la bienvenue, à entendre les commentaires « transpirants » de certains.

« Le nom de la Bourgogne est connu sur l’ensemble de la planète, grâce à sa production, à ses climats, à son terroir. C’est tout un pan économique qui tire vers le haut notre balance commerciale régionale… ». A l’heure des discours, le vice-président du Conseil régional Nicolas SORET n’a pas manqué de saluer le rôle joué par le monde du vin et ses acteurs. Même tonalité dans les propos de la présidente de l’Office du Tourisme de l’agglomération auxerroise, également viticultrice, Odile MALTOFF, pour qui : « avec les vins de l’Auxerrois et toutes leurs couleurs, mais aussi tous ces paysages magnifiques, nous disposons d’un terrain de jeu outillé, une terre de découverte, que ce soit pour les yeux, le nez, la bouche mais aussi les jambes… ».

Aspirant à ce que « Fleurs de vigne » devienne un peu au printemps, le pendant de la fête montmartroise des vendanges à l’automne à Paris. Un rendez-vous auquel participeront pour la seconde année consécutive des représentants des différentes appellations icaunaises et l’occasion d’une visibilité exceptionnelle, avec un évènement rassemblant chaque année plusieurs centaines de milliers de personnes.

 

 

Quand le dieu « Chablis » fait recette !

 

Il y avait foule sous les barnums des vignerons de l’appellation ! Il fallait parfois jouer des coudes pour approcher et s’exercer à la dégustation « pyramidale » du divin breuvage. Pas de quoi pour autant faire de l’ombre à d’autres appellations au registre plus « intimiste », comme Chitry, Irancy ou Coulanges, qui toute la journée, ont vu défiler un flot continu où se mêlent amateurs avertis et néophytes moins chevronnés.

« Pour certains, on part de loin », s’en amuse Odile MALTOFF, confrontée parfois à des visiteurs s’interrogeant encore sur la signification du mot millésime : « mais un jour comme aujourd’hui, nous sommes précisément là pour expliquer tout ça… ».

Un rôle pédagogique auquel adhère pleinement Hervé EYPERT, propriétaire récoltant à Tharoiseau, à nul autre pareil pour raconter avec passion l’histoire du vignoble de Vézelay, passé en un peu plus de trente ans seulement, de l’appellation « Bourgogne » à celle d’appellation « Village » : « pour un petit vignoble comme nous, c’est sûr qu’une manifestation comme celle-ci, c’est très intéressant. Nous ne sommes pas là pour promouvoir spécifiquement nos vins, mais bien pour faire connaître l’appellation… ».

 

 

 

 

Entre danses et dégustations, fiers d’être bourguignons !

 

Que serait la célébration de « Fleurs de vigne » sans les « Peulons »… ? Le soleil tape dur dans les allées, mais pas de quoi pour autant décourager le célèbre groupe folklorique auxerrois, qui n’en finit pas de saboter, danser et guincher sous les notes de la vielle à roue jumelée à l’accordéon. Entrez dans la danse morvandelle et « bichez » qui vous voulez, « fiers d’être bourguignons » ! Assurément pour le moins « Bourguignons de cœur », Mado et Hervé sont venus spécialement de leur lointaine Bretagne participer à la fête. Rencontrés en cours de rattrapage sur les vins de Chitry en compagnie d’une figure des lieux, Christian MORIN, au verbe gourmand et didactique : « le cépage, c’est du chardonnay, présentant des similitudes avec certains chablis mais on n’est pas dans la zone d’appellation, faut bien que ça s’arrête quelque part… ».

On ne sait s’ils seront reçus à l’épreuve théorique, mais nos deux Costarmoricains semblent exceller dans l’exercice pratique ! S’adonnant verre en main, à quelques confidences, après avoir participés la veille à un atelier d’initiation à la dégustation : « les rondeurs, je ne savais pas que c’était aussi lié au vin », explique dans un sourire Mado. « J’ai découvert un terroir très riche, que je ne soupçonnais même pas… renchérit Hervé, son époux, fier d’appliquer à la lettre désormais la recommandation de consommer au moins cinq fruits et légumes par jour : « avec tous ces arômes fruités découverts dans les vins d’ici, je devrais y arriver… ! ».

Pour l’heure, il va falloir penser à remonter en centre-ville via les ruelles escarpées du quartier. Pas certain que les « arômes fruités » aident à la grimpette… Ou alors en parodiant un refrain cher à Hervé VILARD : « Chitry, c’est fini » !

 

Dominique BERNERD

  

 

 


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24 et 28 ans, au compteur ! De la jeunesse, certes, pour se lancer dans une telle aventure. Mais aussi de l’enthousiasme à revendre en très grande quantité. Ils aiment les défis, ces deux-là ! Cela se ressent jusqu’au fond de leurs pupilles, portes ouvertes de leurs âmes. Les yeux brillent d’exaltation à l’explication de texte de leur cuisine. Elle se veut régionale avec ses recettes traditionnelles revues au goût du jour, comprenant moins de gras mais plus d’acidité. Pacôme CINTRACT et François GUENOT régalent depuis deux mois leurs convives qui viennent tester leur tour de main culinaire. Réussi !

 

DRUYES LES BELLES FONTAINES : Qui ne connaît pas la « Guinguette de la Cour Grenouille » lorsqu’on est un adepte d’Epicure dans l’Yonne ? Un estaminet ouvert en saison, flanqué aux abords des sources de la Druyes et de son petit lac si pittoresque avec sa cohorte de colverts et de foulques bienveillants ?

Un lieu de curiosité très apprécié des férus de Dame nature et de l’authenticité champêtre à fleur de peau. On peut y jouer en toute liberté si l’on est un enfant sur son espace de verdure. On peut aussi y pratiquer ses exercices de santé à l’aide d’appareils posés çà et là sur la pelouse afin d’étoffer sa musculature (plus rare !). On peut y réaliser ses prises de vues pour ses noces avec le château du XIIème siècle ayant appartenu à la comtesse Mahaut de Courtenay en arrière-plan. On peut surtout et c’est bien là le principal s’y sustenter, et de belle manière, en toquant à la porte de la dive boutique, toujours prête à vous accueillir.

« La Guinguette de la Cour Grenouille » ! Rien qu’à l’écoute de l’appellation – on se croirait revenu au temps des fabliaux moyenâgeux ! -, cela vaut déjà le détour ! Un établissement dont le propriétaire n’est autre que la municipalité incarnée par son maire, Jean-Michel RIGAULT. C’est la première des surprises mais cela ne se constate pas au fond de l’assiette. Car qui dit établissement municipal ne signifie pas pour autant repas digne d’une cantine scolaire !

 

 

Un petit paradis pour déjeuner au doux clapotis des sources…

 

Ici, à titre d’exemple, si on se laisse embarquer avec délectation et sans hésiter dans les choix culinaires proposés par le jeune chef François GUENOT – le garçon n’a pas encore la trentaine, c’est dire si c’est prometteur ! -, on peut allègrement découvrir des œufs de Bourgogne accompagnés de leur sauce à base de brie (succulent !), d’une croute de cochon (original), d’un filet de saumon agrémenté de ses petits légumes de saison (pas mal !) ou d’un jambon braisé nappé de sa sauce à la moutarde, servi avec ses légumes. Miam !

On en redemande et on ne peut que poursuivre sur le même registre avec une crème brûlée ou une île flottante du meilleur des effets pour les papilles. Tout ceci est servi avec le sourire par l’amie du chef, la régionale de l’étape de surcroît puisque le berceau familial possède ses origines à Druyes, la sympathique Pacôme CINTRACT !

Agréable, à l’écoute, attentive s’il manque le moindre morceau de pain, communicante avec la clientèle : bref, elle s’est parfaitement adaptée dans le moule…

Pacôme et François – lui, il est originaire de Clamecy – ont pris la (sage) décision à l’hiver dernier de relever le défi que proposait la municipalité de Druyes en procédant à un appel d’offres : assurer la gestion et surtout la vitalité culinaire de cette guinguette, faisant la réputation attractive et touristique de la commune de Forterre bien au-delà des proches alentours.

Aujourd’hui, ils ne doivent nullement regretter leur décision. C’est simple : la « Guinguette de la Cour Grenouille » - elle ne se fera jamais aussi grosse que le bœuf cher à Jean de la FONTAINE ! – ne désemplit pas. Dès le moindre rayon de soleil revenu, les convives occupent outre la salle intérieure de l’édifice la belle terrasse dont la vue se prolonge sur l’eau limpide du lac, le doux clapotis des sources et les zones boisées environnantes. Midi et soir ! Un petit paradis, vous dis-je…

 

 

Des produits locaux, le plus possible, y compris pour les vins…

 

Chef de cuisine jusqu’alors à « l’Hostellerie de la Poste » où il exerçait en famille à Clamecy, François GUENOT a donc finalement succombé au projet professionnel que souhaitait porter la belle Pacôme à quelques kilomètres de la sous-préfecture nivernaise, c’est-à-dire se positionner sur l’appel à candidatures lancé par la municipalité de son village préféré (bientôt celui des Français ?!).

« C’est elle qui m'a convaincu que je devais arrêter mon travail dans la Nièvre et me lancer dans ce projet en commun, avoue-t-il le sourire aux lèvres.

Un projet qui lui permet de s’épanouir pleinement derrière les fourneaux en mettant en exergue le côté bistrot et l’esprit guinguette du lieu en travaillant ses recettes personnelles, concoctées à base de solides références gastronomiques régionales.

« Moi, ajoute-t-il, j’adore cuisiner la blanquette, du paleron ou de la tête de veau ! ». En jouant sur les textures de ces mets et en y mettant sa patte, évidemment.

Le couple a choisi de proposer une carte à base de produits locaux.

 

 

 

Les jambons proviennent du Morvan. Les fromages de chèvre se produisent de la ferme locale, sise à peu de distance du site. Côté liquide – les vins ! -, ils illustrent le travail viticole des professionnels de Chablis, de Tannay, mais aussi des Caves de Bailly Lapierre. Du local, avons-nous dit !

D’ailleurs, François plaisante à ce sujet : « vous savez, les vins du Sud, ce n’est pas dans mes habitudes de les servir à table ! ». Amateurs de Corbières et de Bordeaux s’abstenir !

Pour la période estivale, le binôme à la tête de « la Guinguette de la Cour Grenouille » – on l’appelle aussi plus communément la guinguette des sources – prévoit de se renforcer avec le recrutement de deux serveurs et d’un cuisinier, histoire de pallier au coup de feu attendu en juillet/août.

« Nous envisageons l’ouverture de l’établissement jusqu’à la fin de l’année puisque la petite salle couverte et chauffée peut accueillir une vingtaine de couverts… ».

Une manière agréable et pragmatique de jouer les prolongations, ce dont ne s’offusqueront pas les touristes de passage de l’arrière-saison et les autochtones qui désireront se régaler le plus longtemps possible de cette cuisine fraîche, renouvelée et bonne, tout simplement.

 

 

En savoir plus :

 

Les - : pas grand-chose à signaler de négatif dans cette première approche de cette cuisine. Même l’attente, ordinairement longue dans cet établissement les saisons passées, s’est raccourcie !

Les + : l’accueil du couple y est sympathique, le cadre est reposant, parfois bucolique et très agréable avec l’ensoleillement. Les plats sont bien travaillés, sans fausse note…

 

 

Contact :

 

La Guinguette de la Cour Grenouille

Chemin des Sources à Druyes-les-Belles-Fontaines

Ouvert du jeudi au lundi, midi et soir avec un menu du jour (entrée, plat, dessert) proposé à 21,50 euros + à la carte.

Réservation au 09.67.74.56.52.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Quatorze récompenses d’or et d’argent. Ni plus, ni moins ! Suffisamment pour attirer les regards expérimentés des suiveurs du fameux Concours Général Agricole, évènement annuel mettant en scène la fine fleur des producteurs et entrepreneurs du territoire hexagonal côté produits. Qu’ils soient liquides ou solides mais toujours alimentaires ! C’est le nombre de médailles que la fratrie DAMPT – une longue lignée de vignerons que l’on ne présente plus dans le sérail ! – a obtenu lors de la dernière édition accueillie en marge du Salon international de Paris. Mieux qu’un célèbre judoka !

 

AUXERRE: Et un, et deux, et trois diplômes remis de manière systématique par le président de la Chambre départementale d’Agriculture, Arnaud DELESTRE, à l’heureux récipiendaire, Eric DAMPT. A lui et à sa souriante épouse, devrait-on dire, puisque les deux représentants de cette institution viticole ancestrale dans le paysage bourguignon furent quasiment les premiers à être récompensés lors de la cérémonie du Concours Général Agricole (CGA), concoctée par la préfecture de l’Yonne, le Département et la chambre consulaire.

Machinalement, Arnaud DELESTRE a poursuivi son geste, celui de la distribution de « bons points », ce qui fera esquisser un sourire à Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’arrondissement de l’Auxerrois. Car, in fine, ce ne sont pas trois récompenses qui sont tombées dans l’escarcelle de la fameuse maison vigneronne, sise à Collan, mais bel et bien quatorze distinctions honorifiques, qui viennent compléter ce glorieux palmarès. Le temps de la photographie, et la suite de cette célébration des meilleurs produits agricoles/viticoles du terroir de continuer dans le cadre très appréciable du cellier de la préfecture, à l’acoustique si particulière.

 

 

Battre le record de titres dès 2024 ?

 

Heureux de ramener autant de diplômes dans sa besace, le couple DAMPT sera longuement applaudi par une assistance de connaisseurs et de professionnels. Il est vrai que l’on ne présente plus le domaine. Constitué au tout début des années 80 par le père de la fratrie (Eric, Emmanuel, Hervé), Bernard DAMPT. Une famille de vignerons qui en connaît un rayon dans l’art de l’élevage et de la vinification !

Il suffit de tâter sous le palais ce chablis premier cru Fourchaume 2021 – médaille d’or -qui aura subjugué le jury parisien du Concours Général Agricole – un évènement incorporé au programme du Salon international de l’Agriculture de Paris – pour apprécier le travail réalisé depuis des lustres par cette famille qui collectionne les titres de gloire chaque année.

D’ailleurs, en aparté, Eric confie que l’année dernière, onze distinctions furent ramenées de la capitale à l’issue de ce fameux concours, le seul et unique placé sous le contrôle de l’Etat. Et ce, depuis 1870 !

Bref, on ne change donc pas une formule qui gagne chez les DAMPT ! Reste à savoir désormais, s’ils battront le nouveau record de titres et récompenses dès le concours 2024 ! En tout cas, la famille s’y emploiera !

 

Thierry BRET

 

 


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