Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ce fut une matinée amplement garnie pour les adhérents de la coopérative régionale YNOVAE, accueillis dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel de ville de Joigny. Président du conseil d’administration de la structure, Laurent PONCET eut le privilège de donner le top départ de ce rendez-vous au programme copieux, comprenant la présentation des rapports moraux et financiers avant que ne se soit donnée la parole à l’un de spécialistes du climat et de l’énergie, le conférencier Clément ORY.

 

JOIGNY : Clin d’œil judicieux et sympathique à l’histoire, celle de la structure du jour dont les salons de l’hôtel de ville accueillaient les nombreux représentants en milieu de semaine dernière, c’est ici même, en 1990, que furent posées les premières pierres de l’assemblée constitutive de la CEREPY, entité qui en se regroupant avec CAPSERVAL, porta sur les fonts baptismaux la coopérative YNOVAE. Une structure forte aujourd’hui de ses 844 adhérents qui possède un poids certain parmi les milieux agricoles du territoire icaunais.

S’installant au pupitre afin d’en ouvrir la partie informative ouverte à tous – l’épisode strictement statutaire aura précédé en huis clos pour le conseil d’administration -, Laurent PONCET, fidèle à ses habitudes salua l’ensemble des participants (nombreux, il est vrai) avant de distiller quelques informations pratiques concernant le déroulé de la matinée.

Une feuille de route s’articulant entre les présentations des rapports moraux du directeur Jean-Luc BILLARD – un long exposé tiré au cordeau avec pléthore d’éléments informatifs à connaître sur la vie et les perspectives de la coopérative – et ceux du directeur administratif et financier de la structure Pascal POTET, où chacun des chiffres d’affaires évoqués par l’orateur fut analysé à la loupe pour en appréhender toute la quintessence. On ne pourra regretter pour les observateurs extérieurs que ces travaux n’aient pu débuter réellement à l’heure du fait d’un trop long séjour des participants au point d’accueil café et viennoiseries compris ! Mais, il faut bien que l’utile se conjugue aussi à l’agréable et de la meilleure manière qu’il soit : cela fait aussi le jeu du terrain relationnel !

 

L’adaptabilité au service des associés coopérateurs…

 

Curieuse campagne que celle qui aura couru sur les saisons 2021/2022. De l’aveu de Laurent PONCET, il aura fallu pour les professionnels de la filière se montrer agile, anticipateur, clairvoyant avec plus qu’une dose de sang-froid afin d’éviter les écueils imputables aux crises diverses et variées !

« Il a fallu aux équipes silos adapter des plages horaires spécifiques pour permettre de préserver au maximum la qualité des récoltes afin de répondre aux exigences de nos clients industriels, souligna le président, du fait d’une météo plus qua capricieuse… ».

Entre l’ajustement des normes d’agréages, une augmentation des transferts silos, le travail du grain ou l’augmentation des coûts, les équipes d’YNOVAE – l’appellation rappelle toujours au plan de son lyrisme le nom d’une divinité païenne de jadis ! – ont dû faire montre d’adaptabilité pour arriver à leurs fins.

Signe annonciateur de ce qui allait se passer par la suite, c’est au sortir de la moisson de l’été qu’une certaine élévation des prix applicables sur les engrais (déjà prohibitifs pour les observateurs à l’époque) allait préparer les professionnels à la flambée des prix actuelle. Une hausse s’accompagnant d’une obligation de mise à jour de la réglementation sur les engrais.

Au terme de 2021, le Conseil d’administration et son président devront alors se positionner sur l’arbitrage des investissements de la campagne en cours, en accord avec la politique permettant de disposer d’installations fiables et performantes. La marque de fabrique de cette coopérative qui a toujours eu pour principe de respecter les fondements coopératifs dans le cadre d’un outil collectif au service de l’intérêt général de ses associés coopérateurs.

 

Conjoncture internationale et inflation pèsent sur les marchés…

 

Considérant que l’exercice écoulé fut un tournant dans l’existence de la coopérative, Laurent PONCET aborda ensuite les facteurs humains de la structure. D’autant que celle-ci a vécu de nombreux départs en retraite avec des collaborateurs qui étaient un peu la mémoire collective de la maison.

« Nous avons choisi avec Jean-Luc BILLARD de faire confiance à une équipe de jeunes, motivés, et compétents, prêts à faire tourner l’entreprise dans les années à venir ». Prometteur et encourageant, à la fois ! Tout comme le retour au poste de directeur commercial de Georges LEMINEUR (un ancien de la CEREPY de 1990 à 1998) dès le mois de janvier.

Fait essentiel de la saison analysée par Laurent PONCET : l’acquisition par YNOVAE de la SAS RUZE, un négoce familial que dirigeait jusque-là Sophie RUZE et qui a rejoint l’escarcelle de la coopérative en complétant les activités de la filiale SENOGRAIN sur le territoire.

Se référant à la conjoncture internationale, l’orateur ne pouvait décemment ignorer les conséquences économiques de la guerre en Ukraine, menée par Moscou.

« En une seule journée – le 24 février 2022 -, la tonne de blé a atteint des records à plus de 340 euros la tonne ! » s’estomaqua Laurent PONCET. Avant de poursuivre, « on aurait pu se satisfaire de tels prix mais lorsque l’on pense que c’est le prix des bombes, du sang et des larmes, comment s’en réjouir… ».

Point de fixation pour les inquiétudes : le prix de l’énergie qui s’envole avec la hausse du gaz naturel à plus de 40 % et le baril de pétrole qui flirte avec les cent dollars US.

Continuant dans sa phase analytique, Laurent PONCET mettra l’accent sur les besoins de trésorerie considérables à trouver pour couvrir les appels de marge lors des ventes qui sont opérées sur le marché et le manque d’attractivité de la plus-value générée par les productions sous cahier des charges. A ce propos, le président d’YNOVAE sera très clair : «  il ne faudrait pas que cela se traduise par un désintérêt pour ces contrats… ».

 

Inverser la tendance de régression de l’agriculture nationale…

 

Un peu plus tard, le porte-parole d’YNOVAE aborda le rôle de l’union SEINEYONNE, « un formidable outil qui n’est pas assez connu et reconnu par les adhérents des deux coopératives – YNOVAE et 110 Bourgogne – alors que la valeur des services qui y est apportée est d’excellente qualité ». Notamment dans la commercialisation, le service agro-alimentaire ou encore l’informatique.

D’ailleurs, devait ajouter Laurent PONCET, SEINEYONNE a vocation à s’élargir et créer de nouveaux chantiers collaboratifs, une réflexion est d’ailleurs en cours au moment où se rédigent ces lignes.

Avant de conclure son intervention, le président de la coopérative agricole eut quelques mots sur la future campagne avec une moisson 2022 s’étant déroulée sous des conditions météorologiques plus clémentes et de manière précoce que la saison dernière.

« Le résultat est dans l’ensemble un peu en recul en termes de volumes ; les colzas sont très satisfaisants, les blés auraient pu mieux faire avec une qualité bien présente, les orges d’hiver sont hétérogènes et sans soucis particuliers de qualité à l’inverse des orges de printemps qui, elles, ont des rendements très faibles avec un excès de protéines… ».

Quant aux semis récents de la récolte 2023, ils se sont déroulés dans des conditions optimales.

Renouer avec la souveraineté nationale qu’elle soit alimentaire ou énergétique permettrait de sortir le pays de l’ornière. C’est ce que confirmera dans un dernier élan oratoire ostensiblement plus véhément Laurent PONCET : « au plus haut niveau, l’état de prise de conscience a eu lieu avec des positions allant dans le bon sens. Pour autant, il reste encore du chemin à parcourir pour contrer les bandes d’hurluberlus antitout que l’on a pu voir attaquer récemment des réserves d’irrigation, des élevages, des trains de céréales, des plateformes d’expérimentation ! Cela en toute impunité avec le soutien d’élus de la République qui font honte à leur mandat en se prétendant au-dessus des lois… ». Dont acte !

Gageons qu’en 2023, YNOVAE, au sein de l’entité SEINEYONNE, mettra un point d’honneur à répondre présent pour continuer à produire des céréales en qualité et quantité suffisantes en s’adaptant aux contraintes des changements climatiques.

« Il est grand temps d’inverser la tendance de régression de notre agriculture…et qu’elle regagne la place mondiale qu’elle n’aurait jamais dû quitter, lâchera Laurent PONCET avant de s’effacer définitivement de la lumière des projecteurs.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La consolidation de la coopérative agricole régionale se poursuit sur le territoire avec l’acquisition de l’enseigne PHYTO Service. Présente au travers de ses silos sur plusieurs départements de la Bourgogne Franche-Comté (Côte d’Or, Yonne) mais aussi au sud de l’Ile-de-France (Seine-et-Marne), 110 Bourgogne accentue son positionnement sur le Middle Yonne en reprenant cette structure, implantée à Chablis.

 

CHABLIS : PHYTO Service intègre désormais le giron de la coopérative régionale 110 Bourgogne. Ainsi en a décidé le conseil d’administration de l’entité régionale – celle-ci sera en assemblée générale le 09 décembre au parc des expositions auxerrois -.

Cette acquisition s’explique par l’opportunité pour le groupe multirégional de pouvoir ajouter à son escarcelle ce magasin que bon nombre d’utilisateurs de la filière viticole connaissent bien.

L’apport de cette infrastructure enrichira le développement de l’une des filiales de la coopérative, 110 Vigne. Voire de manière plus élargie de celui du groupe.

Permises par ce rachat, les opportunités de développement concerneront tous les domaines d’activité de 110 Bourgogne, à savoir la nutrition et la protection de la vigne, le palissage, les emballages, le laboratoire d’œnologie, ainsi que de nouvelles activités qui ont été mises en œuvre depuis quelques mois sur le site de Chablis.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Souhaiterait-elle verdir quelque peu son coloris habituel, la banque mutualiste de Bourgogne Franche-Comté et des pays de l’Ain ? On ne peut que répondre par l’affirmative. La mise en place d’un nouveau schéma stratégique dès janvier 2023 sur le territoire icaunais se concrétise avec la désignation de six chargés d’affaires spécifiques à la filière agricole et viticole.

 

AUXERRE: Elle n’a jamais caché ses ambitions, bien réelles, sur ce secteur fondamental de l’activité économique de notre contrée. La Banque Populaire s’est en effet positionnée depuis 1996 sur ce domaine professionnel, multipliant ainsi les offres de prêts, les livrets spécifiques, voire les crédits qui se destinent exclusivement à l’installation des Jeunes Agriculteurs.

Une méthodologie lui ayant déjà apporté de jolis résultats puisque l’estimation du portefeuille clientèle est aujourd’hui évaluée à plus de mille contacts fructueux sur le seul département de l’Yonne. Un chiffre qui ne cesse de croître…

Un territoire qui se verra doter dès le 01er janvier d’un nouveau plan stratégique vis-à-vis de cette double filière, agriculture et viticulture, avec la nomination de six chargés d’affaires, devenant de facto les interlocuteurs privilégiés des responsables d’exploitation du cru.

Comme le précise le directeur départemental de la Banque Populaire icaunaise, Yann NUNES, « c’est sur la base du volontariat et des appétences professionnelles, appuyée sur une solide formation, qu’ont été choisies les six personnes qui occupent désormais ces postes ».

 

Une stratégie qui pourrait se consolider dans les années à venir…

 

Dans la pratique, l’Yonne est segmentée en quatre zones, correspondant à des critères géographiques. Le nord sera tenu par Sébastien MANNIER. La partie centrale, le fameux « Middle Yonne » qui s’arc-boute autour de Joigny, Migennes et Saint-Florentin, reviendra à Caroline RAPHAEL. Il incombera à Jérôme METIVIER de gérer la zone sectorielle de l’Auxerrois et la Puisaye. Reste l’Avallonnais qui impliquera une jeune femme à l’agréable prénom : Hombline GUETTARD.

En sus, et parce que l’établissement mutualiste disposait déjà de deux structures commerciales enclines à gérer les besoins financiers des filières agri et viticoles (Toucy, Chablis), la direction du groupe Yonne a décidé d’y nommer à demeure deux conseillers supplémentaires, Jean-Baptiste INCAMPS dans le bastion de la Puisaye, et Erwan SENGEISEN, sur le secteur de Chablis que l’on ne présente plus en matière de production vinicole reconnue universellement.

Ce plan pourrait même se consolider à l’avenir sur le terrain et nécessiter l’embauche de personnes supplémentaires afin de le rendre encore plus prometteur qu’il n’est déjà sur le papier.

Construire sur du long terme semble être le leitmotiv avoué de la Banque Populaire qui souhaite renforcer sa présence sur ce secteur d’activité, toujours porteur d’affaires dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est sûr, au vu des conditions climatiques particulièrement humides de ce samedi de la mi-novembre, les bottes étaient de circonstance pour découvrir en toute quiétude la production arboricole des pépinières NAUDET. Qu’importe ! Ministres – au nombre de deux –, élus territoriaux et représentants des corps institutionnels étaient parés de leurs précieux atours pour cette pose nécessaire en terre de l’Yonne à l’occasion d’un déplacement officiel où fut annoncé le soutien à la filière « Graines et plants forestiers » de la part de l’Etat avec cinquante millions d’euros injectés à la clé…

 

CHEU: Lauréate du programme France Relance, les pépinières NAUDET pourront se targuer, avec le recul, d’avoir accueilli un jour sur son exploitation icaunaise deux représentants du gouvernement. Ce qui n’est pas chose courante, doit-on avoué ! En effet, dans le cadre du chantier de la planification écologique se rapportant à la forêt, Sylvie RETAILLEAU, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Marc FESNEAU, son homologue de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, avaient choisi l’un des sites de la société pour y effectuer leur déplacement conjoint dans l’Yonne. Une immersion ô combien importante, à plus d’un titre.

En guise de hors d’œuvre, le tandem gouvernemental avait effectué dès le prime matin, une étape dans la capitale de l’Yonne. Dans les locaux de la préfecture, où ils eurent tout le loisir de pouvoir échanger avec les représentants départementaux de la filière forestière. De celle qui intervient en amont, c’est-à-dire les grainetiers, les pépiniéristes, les reboiseurs, les acteurs qui interviennent sur les chantiers en forêt.

Une filière des graines et des plants forestiers qui représente un maillon essentiel pour la réussite de la transition écologique. Une transition nécessitant un soutien en termes d’investissements, de recherche et de développement.

La feuille de route ministérielle est simple : elle vise à repenser la forêt de demain, sous toutes ses composantes, tant en amont qu’en aval. Par le prisme de la replantation de la forêt hexagonale, comme l’envisage avec vigueur le Président de la République. Une politique qui est appliquée depuis peu par la cheffe du gouvernement Elisabeth BORNE, et son gouvernement.

 

Une enveloppe de 50 millions d’euros pour rebâtir la forêt de l’Hexagone…

 

A cette occasion, une annonce capitale pour la filière aura été lâchée par les visiteurs parisiens. Le PEPR, programme et équipement prioritaire de recherche, qui s’intègre dans le cadre du plan France Relance 20230 a été dévoilé à l’auditoire icaunais. Un dispositif devant favoriser le renouvellement et l’adaptation de la forêt au changement climatique, qui se traduit par l’injection de 50 millions d’euros à sa réussite.

Ce programme sera assuré en matière de recherche publique par l’INRAE (Institut de recherche public pour un développement cohérent et durable de l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) comme pilote en lien étroit avec le CNRS, le CIRAD et le GIP ECOFOR.

Naturellement, tous les acteurs de la filière bois seront associés à ce projet qui poursuit trois objectifs majeurs : assurer la vitalité à long terme des écosystèmes forestiers et de leurs services associés, concilier l’offre et la demande de services et produits issus de la forêt, développer, enfin, une gouvernance partagée des forêts alors que l’agriculture, la forêt ou les besoins urbains peuvent se concurrencer les espaces.

 

 

Un appel à projets favorable aux pépinières NAUDET…

 

Autre nouvelle importante pour les représentants de la filière forestière du cru : l’annonce de la seconde vague de lauréats englobant les spécialistes du reboisement, ainsi que de l’appel à projets graines et plants, proposés dans le cadre de France Relance 2030.   

Conséquence : 94 nouvelles entreprises dont les pépinières NAUDET – elles sont une dizaine d’unités à en profiter en Bourgogne Franche-Comté - vont ainsi bénéficier de 5,3 millions d’euros de subventions de l’Etat afin d’assurer la modernisation et l’augmentation de leurs capacités de production.

Quant à l’appel à projets, il concerne les semenciers. Il a été lancé en début de semaine pour assurer la modernisation de leurs infrastructures tout en leur permettant de diversifier l’offre en production de semences forestières, source de résilience des peuplements forestiers renouvelés. Des annonces qui ont sans doute rassuré les professionnels de la filière…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les étudiants du module « Culture et Vins de France » du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle ont eu le plaisir de joindre l’utile à l’agréable lors de l’intervention d’une consultante du BIVB (Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne) dans le cadre de leur formation. Au programme : la découverte des spécificités du vignoble chablisien, suivie d’une séance de dégustation en sus !  

 

AUXERRE : Dire que les étudiants ont apprécié cette séance pédagogique serait un doux euphémisme ! Ils y auraient même exprimé beaucoup d’intérêt et d’enthousiasme selon les instigateurs de la manœuvre éducative, le groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle.

La visite de Sandrine AUDEGOND, consultante auprès du BIVB, le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne, dont l’antenne départementale est accueillie à Chablis, aura vivement passionné vingt-cinq apprenants, issus de la section BTS Commerce international de l’établissement. Cette dernière était venue présenter les spécificités de ce vignoble icaunais, à la renommée planétaire, sous différents aspects dont l’historique, le culturel, le technique, l’œnologique, le commercial. A l’instar des matières enseignées dans ce module qui a pour vocation de faire découvrir aux étudiants le milieu viticole.

Des étudiants qui seront peut-être voués à effectuer des stages en immersion auprès d’entreprises viticoles ou de négoce. Bref, un sérieux plus à valoriser sur un cursus offert par cette spécialité…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil