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Le délégué interministériel à la Sécurité routière, en immersion il y a quelques jours au Foyer d’accueil médicalisé Philippe GUILLEMANT à LIXY, n’a pas eu de mots assez forts pour expliquer l’action qu’il mène au quotidien face à la recrudescence de la violence routière. Aux côtés du préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et d’un aréopage de personnalités des forces de l’ordre, Emmanuel BARBE a pu écouter en y prêtant grand intérêt les nombreux témoignages poignants de ces femmes et de ces hommes (professionnels de santé, représentants de la Gendarmerie nationale, de la police et des sapeurs-pompiers, familles et victimes de l’accidentologie routière…) lors d’une rencontre chargée en émotion.

LIXY : Le visage grave, sur lequel se reflétait une forte intensité émotionnelle, le délégué interministériel à la Sécurité routière a pris le temps de rencontrer plusieurs pensionnaires du FAM, le Foyer d’accueil médicalisé implanté dans l’Yonne septentrionale.

Cet établissement est l’un des rares en France, voire l’unique centre en mode opérationnel par la richesse de sa qualité relationnelle, de son écoute et de la pertinence de ses travaux de rééducation que les administrateurs et équipes prodiguent à ces personnes, à accueillir des blessés de la route, traumatisés à jamais par d’importantes séquelles physiques et psychologiques.

Et, il a beau être en poste depuis le 01er avril 2015 et multiplier ce type d’initiative auprès des familles et des victimes, Emmanuel BARBE n’en est pas moins un homme sensible qui ne peut se résoudre à accepter l’inacceptable. Toute son énergie se concentre à la lutte qu’il mène de manière frontale face la violence routière, qu’il n’hésite pas à qualifier d’« inéluctable homicide ».

« Chaque année, précise-t-il, ce sont 1 700 de nos concitoyens qui deviennent les victimes d’autres personnes et disparaissent du fait de mort violente sur les routes de notre pays… ».

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Le sens des actions de la Sécurité routière : une indéfectible lutte…

 

La Sécurité routière recense chaque année plus de 60 000 accidents de la circulation. Certains sont matériels. D’autres, nettement plus conséquents. La plupart engendrent néanmoins leur lot de drames humains.

« Vous savez, concède le délégué interministériel d’une voix calme et posée non dénuée de fermeté, lorsqu’une personne décède, ce qui est regrettable dans de pareilles circonstances, les familles finissent par faire leur deuil selon le processus psychologique habituel. A contrario, quand il y a des blessés à vie, marqués au plus profond de leur chair, les familles doivent endurer les souffrances physiques et psychiques de leurs proches. Même si elles les accompagnent dans leur existence quotidienne, elles ne s’en remettent jamais… ».

Alors, à quoi bon lui parler de la baisse de la limitation de la vitesse ramenée à 80 km/h au 01er juillet dernier ou de la prolifération, parfois abusive et inappropriée des radars automatiques, Emmanuel BARBE renie ces considérations démagogiques qui n’ont pas lieu d’être en bloc. Fort justement.

La lutte que le délégué interministériel pilote est implacable. « C’est le sens de l’action qui nous anime chaque jour, lâche-t-il, et toutes les polémiques et gesticulations qui vont avec sont dérisoires, voire totalement obscènes après avoir visité un centre d’accueil comme celui-ci… ».

Indifférent aux humeurs de quelques réfractaires au Code de la route, le délégué à la Sécurité routière ne ronge pas son frein. Réduire la vitesse représente un leitmotiv personnel que rien ni personne ne fera déroger d’un iota. Même s’il constate avec amertume que la destruction massive des radars, imputable à certains mouvements de foule depuis novembre, plombe les bons résultats enregistrés au cours de l’année 2018.

Sachant ce que cela coûte aux victimes et familles de se remémorer les postures délicates d’un accident de la route, Emmanuel BARBE juge nécessaire ces entretiens à cœur ouvert. Ne serait-ce que pour accompagner celles et ceux qui demeureront à jamais meurtris dans leur enveloppe charnelle…

 


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Défendre les intérêts de la filière auprès des nombreux partenaires économiques et institutionnels du territoire s’inscrit parmi les axiomes de référence pour ce tout nouveau groupement associatif. Apparue au mois de janvier, la structure accueille l’ensemble des producteurs de fromages fermiers qu’ils soient éleveurs de chèvres, de brebis ou de vaches.

AUXERRE : Originaire de Saint-Père-sous-Vézelay, Catherine ANDRAL aura la lourde tâche de présider la jeune entité associative qui vient d’être portée sur les fonts baptismaux il y a quelques semaines à peine.

Epaulée de Mathilde BOULANGER (SCEA Elevage des crêtes à Champs-sur-Yonne) trésorière, Sonia LEMAIRE (Villeneuve-les-Genêts), secrétaire et d’Audrey BARDOS, du GAEC du Relais, à Vincelles, en qualité de vice-secrétaire, la toute nouvelle présidente envisage la rédaction imminente d’une feuille de route au cordeau, devant expliquer le plan d’actions à mettre en place dès que possible.

Fruit de la première assemblée générale, réunie le 29 janvier, ce bureau est le résultat de plusieurs rencontres entre producteurs transformateurs et porteurs de projets au cours de l’année antérieure.

« Nous souhaitons trouver des solutions collectives aux problématiques spécifiques de notre activité, devait préciser la présidente Catherine ANDRAL, par l’intermédiaire d’un communiqué adressé à la presse.

Autre enjeu primordial au plan humain : rompre l’isolement des fermiers qui choisissent de transformer leur lait.

Ce collectif permettra de se fédérer autour des thèmes de communication, de formation et d’appui technique, d’approvisionnement et  de mise en place de solutions de remplacement adaptées au fonctionnement des ateliers de transformation.


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Avec Pierre GENISSON, c'est un soliste de stature internationale qui partage l'affiche de l'Orchestre Dijon Bourgogne le temps d'une soirée annonciatrice du printemps. Au programme, Mozart et Beethoven en leurs œuvres pour clarinette. A ne manquer sous aucun prétexte ce jeudi 14 mars au théâtre…

AUXERRE : Certains alignements de planètes ne trompent pas. Voici une dizaine d'années que Pierre GENISSON suscite l'admiration croissante de ses pairs, du public et de la presse au fil de prestations, d'enregistrements, de concours où il porte brillamment la réputation de l'école française des vents. Prisé par les plus grandes formations internationales, ce soliste de 32 ans qui partage sa vie entre la France et les États-Unis a titré en anglais son récent album « How I Met Mozart ».

Le récit d'une passion - dans un contexte de musique de chambre - qui lui a valu une nouvelle salve d'éloges, du « Sunday Times » qui l'a hautement distingué jusqu'à la revue « Classica » qui y a reconnu un « Choc ».

C'est dire si Pierre GENISSON se trouve en terre d'élection avec l'ouverture de « Don Giovanni » (1787) et le Concerto pour clarinette en la Majeur, K. 622 (1791).

Cette dernière pièce et unique concerto pour clarinette de Mozart est un pur enchantement, signe d'émancipation pour un instrument qui allait trouver quelques années plus tard chez Beethoven une place à part dans l'orchestre. Composée entre 1805 et 1808, sa sixième symphonie est un hymne à la paix et à la nature qui évoque de manière picturale le chant des oiseaux, la joie des fêtes paysannes, les promenades et les couleurs d’un ciel changeant…

C'est le souffle du printemps en somme qui circulera sous la direction du chef Gergely MADARAS, lui aussi jeune et talentueux trentenaire à la tête de l'Orchestre Dijon Bourgogne.

Claire CLEMENT


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Plus d’une cinquantaine de formations, du CAP au Bac + 5, sans omettre les niveaux d’ingénieur et de manager, constitueront l’ossature pédagogique incontournable de cette seconde session de portes ouvertes, concoctées par le centre de formation de l’industrie ce samedi 16 mars. Adoptant une parfaite concordance au niveau de la logistique organisationnelle, les trois sites du Pôle Formation 58/89 (Auxerre, Nevers et Sens) accueilleront celles et ceux des futurs étudiants interpellés par les potentialités professionnelles offertes par les filières industrielles de pointe…

AUXERRE : La haute technologie sera l’une des vedettes à part entière de ce deuxième rendez-vous de l’année 2019. Quelques semaines après le précédent exercice, initié le 26 janvier dernier, l’opération des portes ouvertes du Pôle Formation 58/89 devrait permettre à de nombreux jeunes gens, enclins de rejoindre la filière industrielle, de pouvoir s’instruire en découvrant la pléthorique possibilité offerte par le centre de formation au niveau de ses cursus.

Si 411 visiteurs avaient fréquenté l’un des centres pédagogiques de la Nièvre et de l’Yonne lors du premier de ces deux rendez-vous en 2018, les chiffres communiqués par le service des relations publiques du Pôle montrent déjà une nette tendance à la hausse ce premier trimestre 2019. Bref, l’analyse est simple à la connaissance de cette équation : le nombre de jeunes gens intéressés par le secteur industriel progresse. Rien de plus naturel car ces métiers offrent de réelles opportunités d’emploi à l’issue du diplôme.

Découvrir les diverses spécificités des centres…

Le public aura la possibilité de s’immerger parmi les arcanes de cet établissement qui a reçu l’adoubement de l’UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie). Accompagnés de leur famille, les jeunes gens auront ainsi l’opportunité de pouvoir découvrir les facettes de l’Institut d’Enseignement Supérieur de l’Yonne (IESY) à Sens ; de l’ITII Bourgogne à Auxerre (la première formation française d’ingénieurs par apprentissage avec ses deux filières, génie industriel et conception mécanique, le tout proposé en trois ans ; ou encore de l’IFAG.

On ne présente plus l’école supérieure de management de l’Yonne, membre du réseau éponyme qui comprend une trentaine d’établissements à l’échelon national. La structure prépare les créateurs et repreneurs d’entreprise ainsi que les futurs managers et responsables dans les domaines du marketing, du commerce, de la gestion, des finances, des ressources humaines, du management…

 

 


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Pédagogue, à l’écoute d’une assistance venue en nombre – plus d’une centaine de personnes comptabilisées à l’issue de cette séance prolifique en commentaires – l’ancien président de la Région Bourgogne Franche-Comté a évoqué les réussites de la gouvernance actuelle alors que les Grands Débats nationaux se déclinent sans relâche à travers l’hexagone. C’est à Monéteau que le président du groupe LREM au Sénat est venu rappeler les fondamentaux opérationnels de l’institution étatique. Via des exemples très concrets ayant pour items le budget, la retraite, les services publics, l’emploi ou encore la politique de la santé. En distillant quelques pistes de réflexions très intéressantes sur l’avenir de notre pays…   

MONETEAU : Orateur sachant manier le verbe avec aisance et dextérité, François PATRIAT s’est prêté au jeu de l’animation d’un énième épisode du Grand Débat en acceptant de se rendre dans la commune icaunaise au milieu de la semaine dernière. Un exercice de communication qui n’a pas pris au dépourvu le président du groupe LREM au Sénat tant il est coutumier de ces échanges riches et nourris avec nos concitoyens.

Si ce n’est avec les représentants de la sphère médiatique, puisque l’élu de Côte d’Or intègre le panel des personnalités politiques préférées de certaines chaînes cathodiques (BFM, LCI) où il est de bon ton de pouvoir véhiculer ses idées et réflexions pertinentes en seconde partie de soirée.

Là, en présence de l’édile local, Robert BIDEAU, vice-président du Département, et de la conseillère départementale Malika OUNES (également vice-présidente), le chef de file de la majorité présidentielle du terroir Bourgogne Franche-Comté a fait abstraction de toutes caméras et autres microphones pour endosser la vêture du maître de cérémonie d’un rendez-vous porté vers la pédagogie.   

Avant de balayer les grands sujets sociétaux du moment, François PATRIAT s’est dit ô combien satisfait de pouvoir être présent dans l’Yonne afin de participer à ce concept participatif et citoyen. N’éludant pas le schéma protocolaire inhérent à ces rencontres où chacun pouvait s’exprimer en toute liberté, l’élu de Côte d’Or profita de la circonstance pour réveiller les consciences civiques autour du droit de vote. Rappelant que chacun d’entre nous bénéficiait des services publics financés par le biais de nos impôts.

« Je considère en tout état de cause qu’il est difficile de critiquer le système étatique dans lequel nous vivons si déjà de facto on ne vote pas ! ».

Observant qu’un Français sur deux ne payait pas l’impôt, François PATRIAT s’est longuement épanché sur le nécessaire effacement de la dette. Celle-ci, astronomique, fruit d’un cumul établi sur plus de quatre décennies, s’élève à plus de 2 000 milliards d’euros. La charge de cette dette représente 37 milliards d’euros chaque année.

« L’ISF, c’est de l’impôt sur l’impôt ! »

Pour mémoire, le sénateur LREM précisa les orientations prioritaires du gouvernement. « Le Président de la République et le Premier ministre s’emploient à réduire la dépense publique pour remettre le budget de notre pays à l’équilibre. Tout en diminuant la fiscalité… ».

Rejetant toute idée de privilégier le retour de la planche à billets (un vieux serpent de mer qui aura eu comme conséquence principale de dévaluer la monnaie de l’époque – le franc – alors que le niveau de l’inflation s’envolait au-delà des 12 %), François PATRIAT répondit ensuite à l’une des doléances de la soirée, qui caractérise le point d’achoppement essentiel entre les « Gilets jaunes » et le gouvernement, c’est-à-dire la réintégration de l’ISF.

« Si ce dispositif fiscal fonctionnait bien et avait fait ses preuves par le passé, concéda l’ex-patron de la Région, d’autres pays européens l’aurait déjà adopté. Regardez en 1981 : l’ISF était en vigueur tandis que la France recensait 800 000 demandeurs d’emploi. Est-ce que le fait d’avoir ce système fiscal a permis d’augmenter le pouvoir d’achat des Français et de faire reculer le nombre de chômeurs ? ».

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Puis, le sénateur de renchérir sur ce même sujet et d’enfoncer le clou : « D’ailleurs, l’ISF n’a pas été supprimé ! Dorénavant, l’impôt est applicable sur le domaine de l’immobilier avec l’IFI et devrait rapporter une manne financière de 1,450 milliard d’euros. Je rappellerai enfin que la conversion de cet ISF a facilité l’injection de 9,5 millions d’euros dans l’économie française, tout en rassurant les investisseurs étrangers qui ont ramené des capitaux extérieurs dans notre système économique… ».

Suggérant une préconisation personnelle, François PATRIAT proposa alors de taxer à hauteur de 5 % les dividendes des actions boursières. Ce qui permettrait in fine de ramener dans la cagnotte de l’Etat une coquette somme qui excéderait plus de 6 milliards d’euros à l’année. Soit un gain beaucoup plus important que le fruit du seul ISF !

Quant au chômage, l’élu de Côte d’Or observe un net changement par rapport aux dernières évaluations. « Le gouvernement a réduit le taux de demandeurs d’emploi, le faisant passer de 10 % à 8 %. Je précise que la Bourgogne Franche-Comté se situe deux points en dessous de la moyenne nationale ce dont je suis très satisfait… ».

La France est l’un des pays les plus distributifs au monde…

La thématique de la retraite fit surface en toute logique parmi les débatteurs de cette soirée. Bon nombre d’interrogations du public se concentraient sur ce sujet ô combien intéressant. Le président du groupe LREM au Sénat ne manqua de piocher parmi les références historiques de notre nation pour tenter un comparatif astucieux entre les principes vertueux voulus en son temps par le Conseil national de la Résistance et notre système actuel.

« Quand on était en âge de faire valoir ses droits à la retraite à 65 ans en 1945, l’espérance de vie était plafonnée à 62 ans, argumenta François PATRIAT. Aujourd’hui, l’âge légal de la retraite se situe à 62 ans alors que cette même espérance de vie a dépassé les 80 ans ! ».

Le sénateur de Bourgogne détailla par la suite la quote-part distributive des dépenses de l’Etat, se référant à des exemples précis.

« Si l’Etat dépense mille euros, il faut savoir que sur cette somme initiale, 268 euros servent à financer les retraites, alors qu’un seul et unique euro est reversé pour le fonctionnement de l’Etat (35 euros destinés pour le chômage, 17 euros sont injectés pour l’aide au logement, 22 euros alimentent la solidarité…). Aujourd’hui, il nous faudrait un système de retraite plus équitable. Cela passe par la suppression des régimes spécifiques... ».

Précisant à l’assistance qu’il était inutile de faire un procès d’intention au gouvernement (« Nous vivons dans un pays où la tolérance zéro existe… »), François PATRIAT égrena les succès que le gouvernement a déjà mis en place depuis l’accession d’Emmanuel MACRON à l’Elysée. A commencer par la hausse de 6,5 % du SMIC, du jamais vu en de telles proportions depuis vingt ans. Cela méritait d’être dit, afin de rétablir quelques vérités…

 


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