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Adepte de nouvelles déclinaisons commerciales, le réseau national de salons de coiffure ajoute une nouvelle corde à son arc en matière de partenariat. Il propose depuis peu à sa clientèle une valeur ajoutée gustative grâce à la complicité de la maison LADUREE, grand spécialiste des macarons et du thé. Pour l’heure, deux des dix-neuf vitrines de la franchise peuvent conférer ce supplément d’âme sous la forme d’art de vivre puisque équipées de corners. Avant que l’ensemble du groupe ne puisse en faire autant !    

AUXERRE : « On a choisi les variantes les plus connues avant de les proposer en dégustation à notre clientèle… ». Aussi insolite que cela puisse paraître, le thé, boisson séculaire si apprécié des épicuriens,  vient de faire une entrée inattendue dans l’univers cocooning véhiculé par les salons de coiffure YSEAL.  

Le réseau national concrétise un nouvel accessit après ceux réalisés avec ses partenaires naturels que sont L’OREAL et KERASTASE. Déclinée sous la forme d’un corner très visible, la présence de la célèbre enseigne LADUREE, chantre de la gourmandise et des arts de vivre, intègre pour l’heure deux des dix-neuf vitrines de la franchise.

Celle d’Auxerre Clairions où la belle aventure du groupe devait débuter il y a quelques années et à Reims, l’une des pièces maîtresses stratégiques de l’échiquier.

Mais que l’on ne se méprenne pas sur les intentions réelles de son pygmalion, l’entrepreneur Laurent PICOUET, ces espaces détente et consommation, où il ne manquerait peut-être que la succulence des célèbres macarons, essaimeront ailleurs d’ici peu.

Les dix-neuf salons de coiffure possèderont à leur tour leur corner à brève échéance, afin de respecter l’uniformisation qui prévaut au sein de cette structure. Celle-ci a réussi à accroître sa notoriété dans cette filière si caractéristique de l’artisanat et du commerce en harmonie.

L’opportunité de déguster des thés au goût emblématique…

Dans le salon auxerrois, la clientèle profite de ce nouveau supplément d’âme instauré depuis une courte semaine. Les clients sont invités à découvrir la gamme de thés de la maison mythique dirigée par la famille HOLDER. La possibilité d’acquérir la précieuse substance complète l’offre mise en place.

Neuf parfums sont ainsi soumis à la sagacité gustative de la clientèle. Parmi lesquels les références qui y ont fait la renommée de ces produits haut-de-gamme. Elles s’extraient de la collection unique conçue par LADUREE autour de quatre grandes familles de produits : les créations spécifiques, les classiques incontournables, les thés à vocation gourmande et même les infusions.

Mention particulière à l’esthétisme apporté aux écrins de présentation. Suscitant le désir consumériste, les contenants répondent à un grand principe vertueux qui a établi la réputation de la marque de luxe : « le beau et le bon restent leur plus belle signature ».

Quant à Laurent PICOUET, il savoure non pas une tasse du précieux breuvage mais la reconnaissance de sa marque par l’un des fleurons internationaux du luxe et des arts de vivre.

Eloge de la gourmandise pâtissière, LADUREE est appréciée de la clientèle chic londonienne (une boutique dans l’antre du commerce britannique chez HARRODS) ou new-yorkaise sur Madison Avenue. Sans omettre bon nombre d’endroits huppés du reste du globe…

Une avalanche de situations cocasses et de courtes scènes illustrera la sempiternelle formulation linguistique dont nos concitoyens nous abreuvent à longueur de journée : le célèbre « Ça va ? ». Bourré de talents et fidèle à lui-même, Jean-Claude GRUMBERG signe une œuvre caustique, intrusive, voire proprement dérangeante sur les maux de nos contemporains. Un regard acide qui est livré sans concession, à découvrir au théâtre rural de La Closerie les 20 et 21 juillet…

ETAIS-LA-SAUVIN : Le rire s’invite ce week-end à La Closerie. Il est le fil conducteur de la double prestation assurée par les comédiens Jean-Jacques PARQUIER et Yves PRUNIER. Sous les projecteurs de l’estrade, et face au public de fidèles qui fréquentent cette salle au particularisme évident, des personnages atypiques se croisent.

Pour débuter leurs échanges, ils délivrent de manière rituelle ces deux mots, devenus la source d’inspiration de Jean-Claude GRUMBERG : « Ça va ? ».

Tout cela débute sur un ton d’une banalité anodine. Pourtant, scrutant une réponse plus appropriée à la question, celui qui la pose se prend alors au mot. Se profile en lui un côté inquisiteur de l’âme et de la conscience. Il cherche à en savoir davantage sur l’autre. Tout en y prêtant une oreille attentive.

C’est à partir de ce constat que ce jeu de duettiste autour de la fameuse formulation que nous employons tous à de multiples occasions peut se révéler très vite hautement intrusif. Voire se situer à la limite de la gêne, poussée à son paroxysme.

Il s’en suit alors une multiplication de scénettes toute aussi désopilantes les unes aux autres qui donnent la part belle au jeu subtil des comédiens.

Bref : c’est du bel ouvrage pour celles et ceux qui aiment les quiproquos et les chausse-trappes de l’existence. Une pièce au potentiel humoristique certain qui plongera le spectateur dans une véritable introspection quant à l’emploi de cette formule gratuite, à la portée ravageuse si elle est mal perçue !

Spectacle « Ça va ? » de Jean-Claude GRUMBERG au Théâtre de La Closerie.

Samedi 20 juillet à 20h30 précises et

Dimanche 21 juillet à 16h précises :

Théâtre Rural de La Closerie  17, Route de Clamecy Etais-la-Sauvin  

Réservation par le site :  http://www.lacloserie-spectacles.fr/ par courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   par téléphone :  03.86.47.28.16

 

 

 

 

Quatre cents mètres carrés de bureaux et un cadre propice à l’épanouissement professionnel : le cabinet d’avocats d'affaires auxerrois dispose désormais d’un siège social digne de son développement. Une réception inaugurale aura permis de faire toute la lumière sur ce nouveau site opérationnel depuis peu…

AUXERRE: Spacieuse, ergonomique, facilitant l’accueil de multiples bureaux, l’imposante bâtisse du 34 avenue Denfert Rochereau offre désormais la configuration idéale pour y exercer son métier de l’avis des collaborateurs du cabinet d’avocats d'affaires.

Depuis peu, ceux-ci ont emménagé en ce lieu, leur nouveau siège social. Celui de FIDAL, l’une des enseignes phare qui exerce son savoir-faire dans le paysage de la filière du droit et des chiffres.

Quatre cents mètres carrés servent dorénavant de vitrine professionnelle à ce spécialiste du droit sous toutes ses variantes : patrimoine, fiscal, immobilier, civil, affaires, propriété individuelle, etc.

Plusieurs étages permettent ainsi une optimisation de l’espace et de pouvoir bénéficier de salles de réunion, très utiles lors de moments de brainstorming préfigurant les stratégies de développement de l’entité.

Directeur du bureau d’Auxerre, l’un des quatre-vingts dix points de chute que compte FIDAL en France, Me Harold FORESTIER s’est félicité en présence de nombreux invités de pouvoir accueillir sa clientèle en ces murs. Sept spécialistes travaillent à ses côtés.

Le cabinet d’avocats d'affaires rayonne sur l’ensemble du département de l’Yonne. Il a acquis de nouvelles compétences en matière de droit social au cours de ces deux dernières saisons. Il accueille en son sein avocats, juristes et consultants.

Aujourd’hui, l’une des missions inamovibles du cabinet se décline sous la forme de rencontres pédagogiques. Devant l’instabilité constante en matière de législation, il est fondamental de transmettre les informations réelles à une clientèle de particuliers et de professionnels désireux de transparence face à cette opacité chronique.

Les caisses de retraite s’acheminent lentement mais sûrement vers la cessation de paiement. Il s’agit désormais pour la gouvernance de prendre le taureau par les cornes. En appliquant les vraies mesures qui s’imposent. Et pas de gesticuler avec de pseudos réformettes comme il se pratique usuellement en France depuis trois décennies. Quelles réformes successives ont ainsi été faites ? Elles se résument par la formule lapidaire suivante : « consolider la tour Eiffel avec un morceau de sparadrap ! ». Deux ans après chaque réforme, la presse se fait l’écho de la descente vers l’abîme de notre système de retraite par répartition et observe de manière inexorable que le déficit des régimes AGIRC ARRCO est encore plus profond que prévu !

TRIBUNE : C’est presque devenu une litote récurrente dans notre univers sociétal : l’ineffable Conseil d’orientation des retraites (COR) annonce régulièrement que les caisses AGIRC ARRCO seront en déficit d’ici dix à douze ans. Et chaque fois, à peine publié, le rapport nous apprend que le passif prévu pour cette perspective est déjà là !

Prenons les derniers chiffres dans leur brutalité : le déficit cumulé de l’AGIRC ARRCO en 2016 s’élevait à 4 milliards d’euros. Celui de 2017 s’établissait à 3 milliards d’euros. Quant à l’exercice antérieur, il culmina à 2 milliards d’euros. Bref, une simple arithmétique totalisant le déficit de ces trois dernières années nous amène à 9 milliards d’euros !

Comment cela est-il possible ? C’est tellement simpliste que personne ne le voit. Alphonse ALLAIS nous a déjà expliqué pourquoi les mouches qui, bien qu’elles passent toute leur journée en marchant sur des ex folio, ne savent pas lire ! La réponse est basique comme pour les déficits des caisses complémentaires : elles sont trop près des lettres !

Examinons donc ces références statistiques qui expliquent ce déficit : la caisse ARCCO fédère douze millions de retraités. Celle de l’AGIRC en regroupe 2,7 millions. Or, le nombre de cotisants n’est pas proportionnel au nombre d’inscrits. Les actifs cotisants de l’ARRCO sont 18 millions de personnes. Ils sont quatre millions à cotiser à l’AGIRC. Depuis la publication de ce ratio, les chiffres ont quelque peu évolué… en pire au niveau du ratio cotisants/retraités.

Un système insoutenable dans le temps…

Comment voulez-vous que 4 millions d’actifs cotisants puissent financer une retraite complémentaire de 2,7 millions de personnes ? Même chose pour les 18 millions d’actifs cotisants de l’ARRCO face aux 12 millions de retraités.
Quelqu’un a eu un jour une idée de génie : fusionner les caisses ARRCO et  AGIRC. C’est ce que l’on a pu appeler derechef « le trou dans le trou ».

En quoi cette fusion a-t-elle changé ce ratio d’actifs cotisants par rapport à des retraités en nombre croissant ?

Comme vous le savez, les caisses AGIRC ARRCO fonctionnent selon le système à points. Un processus que le « Grand Réformateur » veut instaurer en France à l’instar du modèle suédois.

Sur le principe de mettre de l’ordre dans cette jungle de 42 caisses de retraites, on ne peut qu’acquiescer. Encore ne faut-il pas donner au système de retraite à points une fonction qu’il n’a pas : celle d’assurer l’équilibre financier des caisses de retraite.

En ce sens, le Premier ministre, Édouard PHILIPPE l’a clairement explicité : « le système à points n’a pas pour objet d’apporter un financement aux retraites ». Voilà qui est dit… mais personne ne l’a écouté !

La retraite à points ne finance pas les caisses de retraite…

Soyons clairs : le système de retraite à points permet d’unifier l’inextricable fouillis du système français qui génère des injustices indignes de la République. Et, de surcroît, dans lequel personne ne comprend plus rien.

Le système de retraite à points a pour objectif, également, de mesurer au niveau individuel, à tout instant, le montant de la pension auquel un actif aura droit. C’est un thermomètre.

Au niveau national, il permet d’évaluer l’engagement total des retraites, également à tout instant. C’est un baromètre. 

En aucun cas, le système de retraite à points ne constitue un moyen de financement des retraites. Un exemple suffit pour nous remettre les pieds sur terre : la valeur du point ARRCO en 2002 était de 1,0530. En 2018, elle était de 1,2588. Soit une augmentation de 20 % alors que l’inflation pendant ce même laps de temps a été de 30 %. 

Le point de retraite a une valeur arbitraire, modifiable à volonté.  Ainsi, les caisses AGIRC ARRCO en difficultés ont recours à cet expédient : on réduit la valeur du point et on arrive même à faire encore mieux. On décide qu’une partie des cotisations ne donnera pas lieu à des points qui se transformeront en retraite.

C’était simple, il suffisait d’y songer. La retraite à points, fort de ce constat, a effectivement un bel avenir devant-elle !

Emmanuel RACINE

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