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Mythique et très classieuse ! Puissante et aventurière ! La célèbre Ford Mustang demeure l’une des références incontournables de la pratique nerveuse de l’automobile dans le monde. Auréolée de la gloire cinématographique grâce à l’un de ses adeptes chevronnés, le regretté Steve Mc QUEEN (il faut revoir la poursuite culte dans « Bullitt » en 1968), le modèle est aujourd’hui un quinquagénaire en grande forme célébré par FORD…

PARIS: Tout le monde se souvient de l’emblématique « Mustang GT » conduite par l’acteur Steve Mc QUEEN dans ce thriller nerveux et oppressant daté de 1968, « Bullitt ».

En janvier, ce célèbre véhicule qui fit la renommée internationale du long métrage signé Peter YATES a été cédé au plus offrant lors d’une mémorable vente aux enchères pour 3,7 millions de dollars.

L’objet de toute les convoitises rugissait de plaisir dans les rues pentues de San Francisco lors d’une chevauchée interminable devenue culte pour les aficionados du septième art.

Acquise pour la modique somme de 3 500 dollars US par son propriétaire de l’époque, l’automobile s’est négociée en millions de dollars lors de récentes enchères. Preuve que son constructeur, FORD, avait misé juste en créant ce modèle de voiture devenue depuis indémodable !

Née il y cinquante-six ans, la Mustang possède deux couronnes mondiales à son palmarès : c’est la sportive la plus commercialisée de la planète. C’est aussi de manière consécutive depuis cinq ans le coupé le plus vendu au monde. Précisons que les consommateurs américains en sont très friands. La Mustang est la sportive qui fait toujours recette aux Etats-Unis depuis cinquante ans !

 

 

L’an passé, le petit prodige mécanique de FORD s’est écoulé à 102 090 unités aux quatre coins du globe. Les ventes ont augmenté de 33 % en Allemagne. Elles se sont envolées de 50 % en Pologne et elles ont doublé de volume en France.

Sur le seul continent européen, le constructeur américain a progressé de 3 % en parts de marché par rapport à l’année précédente avec 9 900 véhicules distribués.

Dans l’Hexagone, on la trouve en deux versions: la Fastback et le cabriolet, dans sa déclinaison V8 5.0l de 449 ch avec boîte automatique à dix vitesses ou manuelle à six vitesses.

L’édition spéciale « Mustang Bullitt » (eh oui en référence au film éponyme), équipée d’un moteur V8 5.0l de 460 ch est disponible en version Fastback dans deux coloris, le « Shadow Black » ou le « Dark Highland Green ».

Comme le spécimen piloté par Steve Mc QUEEN !

 

 

 

Dans ces moments difficiles à vivre et fort complexes pour nos existences, un peu de fantaisie légère et de sourires grâce à cette tribune qui ne se prête pas au sérieux pour évoquer la pire crise sanitaire que nous observons depuis ces cent dernières années. Même le regretté Michel AUDIARD n’y avait pas pensé !

TRIBUNE: On m’avait dit que « la vie est un long fleuve tranquille » et que « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil ». On aurait dû me dire « bienvenue à Zombieland » et bonjour « épidémie mélodie ». Malheureusement, « c’est arrivé près de chez nous ». Nous entrons dans « la quatrième dimension ». Notre vie est conditionnée dorénavant par deux signaux d’alarme : « Alerte » et « Virus ».

Nos braves infirmières, pour « le salaire de la peur » et « pour une poignée de dollars » font face à tout avec un « breaveheart » mais « les héros sont fatigués ». A « 37°2 le matin », celui qui passe à « 100° below zéro » est bon pour un « vol au-dessus d’un nid de coucou ».

 C’est un « jeu de massacre » et « l’histoire sans fin ». Nous vivons désormais sur la « Planète interdite ». Mais quand est-ce-que « l’Empire contre-attaque » le virus.

« Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? ». « Mais où est donc passée la 7ème compagnie ? ». Les discours nous distillent « vérités et mensonges », « les cadavres ne portent pas de costards ».

« Les sorciers de la guerre » nous jouent « Apocalypse Now » en alternance avec « Mission impossible ». Certains malades sont plus proches d’ « Eléphant man » que de « Gatsby le magnifique ». Monsieur « le Président, arrête de ramer, t’attaque la falaise, arrête ou ma mère va tirer ». Nous aussi, on veut « le masque de Zorro », sinon on est « chocolat ». Arrête de jouer « l’emmerdeur » joue plutôt le « magicien d’Oz » !

« Touche pas au grisbi ! ». « Le loup de Wall Street » fait régner la « peur sur la  ville ». Avec son « itinéraire d’un enfant gâté », le « Président » signe « le pacte des loups » en fredonnant  « moi y’en a vouloir des sous »… « La ruée vers l’or » et « la chasse aux millions », ce n’est pas pour demain. Attention toutefois « le cave se rebiffe » car « il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » !

« Les rescapés », « les vieux de la vieille »  en ont marre de « la soupe aux choux », « fait gaffe à la gaffe », « papy fait de la résistance » ! Dans nos banlieues agitées les contrôleurs « flics ou voyous » courent après ceux qui prennent « la poudre d’escampette »  la jouant « attrape-moi si tu peux ». La règle du jeu, un mètre de distance fait disparaître le « pickpocket »… « La bourse et la vie » obnubile les dirigeants.

Dans les rues désertes, c’est parfois « sauve qui peut » et « la course à l’échalote ». Bon sang, « qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ! ». On a envie de dire à ceux qui nous dirigent : « prends ta Rolls et va pointer ». « Le jour le plus long » c’est le jour de sa mort.

Demain on risque de « manger les pissenlits par la racine ». « La guerre est déclarée », « la vérité si je mens », « les cavaliers de l’apocalypse » sont de retour ! « Le dénonciateur » et « le corbeau » sont repartis comme en 40… « L’armée des ombres » veille et crée la « psychose ». « Le jour se lève boulevard des illusions », il ne faut pas s’en faire, « nous irons tous au paradis ».

« Un printemps à Paris », désert, « le cercle des poètes disparus » nous prédit pourtant « un papillon sur l’épaule », espérant qu’ « un été meurtrier » n’aura pas lieu et que « le plus dur est derrière toi »…

« La fureur du dragon » s’éteindra doucement faisant place à « la délivrance ». Jouer « l’idiot » dans « le dîner de cons », c’est « l’expérience interdite ».  « Marche à l’ombre »  et « viens chez moi j’habite chez une copine… ».

« Les visiteurs », même avec le « Mask » sont toujours interdits. « Les diaboliques » sur « la planète terreur » annoncent « la fin des temps ». 

Nous, on n’a « rien à déclarer », et « mourir peut attendre ». J’ai rêvé de mettre ma tenue de soirée pour « jour de fête » et danser « la valse de Paris » ou « le dernier tango à Paris ».

Je voudrais remplacer le « buffet froid » par « la grande bouffe », vivre comme « Alexandre le bienheureux » et ne plus avoir « la mort aux trousses ». J’ai hâte que le « voyage au bout de l’enfer » soit terminé, de prendre « le dernier métro » pour « la mélodie du bonheur ».

« Et la tendresse bordel ! ». « Mon nom est personne ».

France C.

 

 

La société industrielle de l’Yonne spécialisée dans la fabrication et le montage de structures métalliques vit au ralenti cette délicate période de confinement. Comme tant d’autres, évidemment. Même si l’amorce de la reprise point à l’horizon de cette date du 11 mai libératoire dans l’esprit de nombreux entrepreneurs, des inquiétudes persistent. Notamment sur la réouverture des établissements liés à l’hôtellerie/restauration…

SAINT-FARGEAU : Jean-Dominique DAGREGORIO conserve le moral. Et sa faconde habituelle pour expliquer que son entreprise fonctionne bon gré mal gré en cette période de crise sanitaire exceptionnelle. Un modus opératoire qui est toutefois bien en deçà de ses capacités de production traditionnelles.

Le fabricant de constructions métalliques servant à ériger des bâtiments clos couverts (usine, hangar, garage, surface commerciale…) destinés à équiper les filières industrielles, commerçantes, artisanales et agricoles de l’Hexagone a maintenu ses activités, vaille que vaille. Tentant de répondre présent pour honorer son carnet de commandes.

D’ordinaire, NOGUES, vieille institution entrepreneuriale de notre territoire puisque la société a été portée sur les fonts baptismaux de la création en 1922, assure une production de plus de 5 000 tonnes de ces structures en métal à l’année. Forte d’une petite centaine de collaborateurs, l’entité génère des activités sur plus de trois cents chantiers chaque année répartis sur l’ensemble du territoire national.

 

 

Un retour à la reprise pavé de questionnement…

 

Or, l’une des préoccupations majeures pour son dirigeant demeure la réouverture potentielle des établissements hôteliers et de la restauration après le 11 mai dans le pays.

Comment alors envisager la reprise de la vie économique et la continuité des chantiers si l’intendance en hébergement et en alimentation ne suit pas !

Le président départemental de l’UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie) est en proie à une kyrielle d’interrogations. Qui aujourd’hui demeurent sans réponse, naturellement.

Autre sujet qui nourrit ses craintes : la dotation en masques de protection afin de se prémunir contre l’agressivité du coronavirus.

Même si le chef d’entreprise a pu se constituer une réserve après avoir passé commande, qu’en sera-t-il demain où il faudra davantage de ces précieux moyens protecteurs et dans des délais d’acheminement ultra rapides ?

Pour l’heure, le chef d’entreprise ronge son frein et attend patiemment pour voir de quoi sera fait ce retour vers la normalisation économique prévue à la mi-mai…

 

 

 

 

La filière touristique a été frappée de plein fouet par la crise sanitaire inhérente au coronavirus. L’organisme régional qui en suit les évolutions, Bourgogne Franche-Comté Tourisme, dévoile les premiers enseignements d’une grande enquête menée auprès de 800 professionnels un mois après le confinement. Si 15 % des hébergements sont toujours ouverts, une entreprise sur cinq a mis en place des initiatives d’actions solidaires ou de diversification pour tenter de s’en sortir…

DIJON: Le tourisme paie un très lourd tribut depuis que la crise sanitaire profonde s’est abattue sur la planète. Malheureusement, les professionnels de la filière exerçant en Bourgogne Franche-Comté n’échappent pas à la règle.

D’après les premières indications fournies par l’organe institutionnel Bourgogne Franche-Comté Tourisme, sur la base d’une enquête d’opinion réalisée auprès de huit cents entreprises, seuls 15 % des hébergements que compte notre territoire sont encore opérationnels aujourd’hui. Un chiffre qui en dit long sur l’étendue réelle du désastre.

Cette enquête lancée il y a un mois avait pour objectif d’évaluer la physionomie de l’activité durant le premier mois de confinement. 55 % des hébergeurs régionaux y ont répondu.

Sans surprise, l’impact économique est tel que ces indicateurs très précieux recueillis à partir de ce sondage vont permettre à l’organisme de mesurer au plus juste les conséquences de la crise sur ce pan capital de l’économie en Bourgogne Franche-Comté.

Si 60 % des professionnels avaient des projets de développement avant la crise, preuve du dynamisme de la filière, un tiers seulement demeurent confiants sur leur capacité à les mener à bien. Mais, beaucoup plus alarmants, 10 % des professionnels craignent désormais le dépôt de bilan.

« C’est le tissu même des équipements d’accueil qui risque d’être touché en plus des drames individuels, analyse-t-on depuis Dijon.

 

 

Définir les stratégies à mettre en place par la cellule de crise…

 

Le Conseil régional Bourgogne Franche-Comté a créé un fonds d’urgence pour les professionnels du tourisme à hauteur de 2,5 millions d’euros. Afin de relayer les mesures prises par l’institution présidée par Marie-Guite DUFAY, Bourgogne Franche-Comté Tourisme s’est doté d’un dispositif de crise rapidement opérationnel.

Chaque semaine, une lettre d’information est ainsi adressée aux vingt-cinq mille professionnels de la filière, élus et partenaires. Ils y découvrent les articles (plus de 75 réalisés jusque-là) qui ont été publiés depuis la mi-mars dans un espace nouvellement créé sur le COVID 19.

Des analyses et les chiffres clés du secteur ainsi que toutes les informations relatives aux mesures financières et dispositifs nationaux y sont abordés.

L’outil de communication propose une foire aux questions et un espace spécial crise qui a déjà recueilli une trentaine d’interrogations spécifiques ainsi que des demandes de suivi personnalisé.

Parallèlement, le président de la structure, Loïc NIEPCERON et ses équipes multiplient les échanges avec les têtes de réseaux des filières d’hébergement, de loisir et de patrimoine. Les marchés étrangers ne sont pas oubliés grâce aux liens établis avec le réseau Atout France.

« Notre équipe fonctionne à 100 % en télétravail, précise le président de l’organisme, nous n’avons donc rien perdu de notre efficacité… ».

Vu l’ampleur de la crise, BFC Tourisme propose même de suivre en temps réel les évolutions de la filière en se connectant sur la référence suivante : pros.bourgognefranchecoté.com (rubrique cellule de crise).

 

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