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Elle n’est pas vraiment ordinaire, cette fameuse mallette. Certes, elle n’est pas diplomatique pour un sou (quoique, dès que l’on aborde le délicat problème de la désertification médicale dans l’Yonne, il faut être précautionneux sur ses propos !) mais elle s’apparente à quelque chose de fort utile en période de disette sanitaire. Perçue sur le secteur Vanne et Othe, et financée conjointement par le Département et l’assureur mutualiste GROUPAMA, cet élément de télémédecine devrait très vite faire des émules sur notre territoire…

 

VILLENEUVE-L’ARCHEVEQUE : Le dispositif se veut prometteur. Il est surtout très utile dans la lutte contre la désertification médicale. Celle qui frappe bon nombre de départements de l’Hexagone depuis plusieurs années. Une récurrente problématique dont les effets se feront ressentir encore durablement dans les zones un peu trop reculées des centres urbains, le temps de former de nouveaux praticiens après les modifications notoires apportées au numérus clausus.

Le recours à la télémédecine représente ainsi une excellente alternative de substitution. Un système adoubé par le Conseil départemental de l’Yonne qui intègre la mise en œuvre du Pacte Santé 2022/2024. L’une de ces illustrations concrètes qui va progressivement arriver sur le terrain est justement la mallette médicale.

Simple dans son utilisation, telle que l’aura démontrée le docteur Arnaud CHEVILLARD lors de ses explicatifs à la Maison de Santé de Villeneuve l’Archevêque.

 

Un premier test concluant dans la Vanne et le Pays d’Othe…

 

La première de ces mallettes est en expérimentation depuis quelques jours. Certes, elle ne remplacera jamais la consultation physique du médecin. Mais, la pratique numérique de la santé réserve de belles surprises. Avec le concours d’infirmières et d’infirmiers, l’appareil, véritable aide au diagnostic pathologique, peut aborder les rudiments de la médecine généraliste.

Dans les faits, ce sont les infirmières munies de ces précieuses mallettes qui se rendent au domicile du patient.  Elles contiennent une tablette numérique. L’auxiliaire idéal pour débuter une conversation en visioconférence auprès du généraliste, demeuré à son cabinet. La suite, on l’imagine aisément. En cas de soucis, le patient est orienté vers son médecin traitant.

La communauté de communes de la Vanne et du Pays d’Othe a été retenue pour vivre cette première expérience. D’autres suivront, assurément. Qu’il s’agisse de Gilles PIRMAN, vice-président en charge de la Santé au Département ou de son président Patrick GENDRAUD, tous deux sont favorables à l’utilisation de ces valises médicales au potentiel sanitaire évident.

 

 

Dix mallettes médicales pour couvrir les caisses locales de GROUPAMA…

 

D’ailleurs, le Conseil départemental de l’Yonne a prévu leurs achats dans le cadre de son Pacte Santé 2022/2024, bénéficiant d’une enveloppe de 5,4 millions d’euros globale.

Partenaire privé de l’opération, puisque cet axe de réflexion a été validé au plan national, GROUPAMA Paris Val-de-Loire a cofinancé ce premier spécimen.

Son président, celui de la fédération des caisses locales de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, présent lors de cette démonstration officielle aux côtés de Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement dans l’Yonne et la Seine-et-Marne, l’a confirmé : l’assureur mutualiste, soucieux d’optimiser son ancrage territorial, s’engage à doter d’une mallette médicale l’une des communes située dans les dix caisses locales que compte le département.

Quant au maire de Villeneuve L’Archevêque, Sébastien KARCHER, il s’est dit satisfait de présenter cet appareillage lors de cette cérémonie des plus pédagogiques.

 

Thierry BRET

 

Peut-être que la présence de l’astre diurne lui aura rappelé un bref instant de bons souvenirs de la lointaine Martinique ! Toujours est-il que la prise de fonction officielle du successeur du préfet Henri PREVOST s’est déroulée sous un franc soleil ce lundi en milieu de matinée sur le parvis du monument aux morts d’Auxerre…

 

AUXERRE : Deux sénatrices, Marie EVRARD et Dominique VERIEN, un député, celui de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, une députée, celle de la circonscription sénonaise Michèle CROUZET, le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD… tous ont donc bravé le petit froid sec et hivernal de cette journée qui débutait, pourtant largement ensoleillée, ce lundi matin, pour assister à la première cérémonie officielle du successeur du préfet Henri PREVOST, parti rejoindre Châlons-en-Champagne depuis quelques jours afin d’y poursuivre sa mission de serviteur de l’Etat.

Fraîchement arrivé des outremers, et plus spécifiquement de Fort-de-France, où il était encore peu recteur de l’académie, Pascal JAN a pris ses marques, conformément aux traditions séculaires républicaines, en déposant une gerbe colorée au pied du monument aux morts.

 

 

Un instant d’une grande solennité, suivi par l’ensemble des autorités locales de la place. Auparavant, le nouveau représentant de l’Etat avait rencontré l’ensemble des membres du corps préfectoral et les agents exerçant leur savoir-faire en préfecture.

Dès mardi, il fera connaissance avec les acteurs médiatiques de la presse départementale dans son bureau à partir de dix heures. Histoire de faire connaissance et de se présenter à eux.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

Qu’il s’agisse de la guerre en Ukraine ou de la pandémie, les profiteurs spéculent toujours sur le dos des plus pauvres. Le libéralisme atteint ses limites quand le droit à manger des plus humbles est concerné. La spéculation fait partie de notre système économique. Le problème, c’est que l’on peut difficilement classer les « méchants » parmi les spéculateurs et les « gentils »,  au sein de ceux qui investissent légitimement sur les marchés en bons gestionnaires…

 

TRIBUNE : Pour qu’un marché existe, il faut qu’il soit liquide, et la liquidité est bien assurée par les spéculateurs ! Alors ? Une nuance réside sans doute dans l’intention. L’intention de profiter encore plus de la détresse des uns pour augmenter la richesse des autres.

L’envolée des cours des sociétés qui fabriquent des armes semble cohérente avec la réalité de la guerre en Ukraine. Par contre, on s’attendait à plus d’engouement pour les sociétés pétrolières. On peut juste leur reprocher d’appliquer en temps réel la croissance du prix du baril sur le prix à la pompe alors qu’il faut attendre un peu plus longtemps lorsque les cours du Brent baissent. Mais, le plus surprenant se passe sur le marché des céréales.

 

De la culture du blé au métier de « céréale killer » !

  

Sur les marchés à terme du blé, on est passé de 240 euros la tonne à presque 400 euros ! Les bourses de matières premières, comme Chicago pour citer la plus importante, font la pluie et le beau temps sur le prix des dites matières. La crise ukrainienne fait peser une lourde menace sur les prix du blé donc sur ceux du pain, des pâtes et autres dérivés de cette céréale vitale pour la planète. La Russie et l’Ukraine sont largement exportatrices de blé. La guerre va raréfier les exportations, avec moins d’offres, les prix vont naturellement augmenter.

La spéculation concerne les investisseurs sur les marchés des matières premières. Prenons un exemple : j’achète en février 2022, 1 000 contrats de blé à 240 euros la tonne échéance mai 2022. Le contrat vaut 400 euros. Je suis certain de gagner 376 X 1 000= 376 000 euros. Les prix à terme s’imposent au marché. A moi de calculer la différence entre l’achat en temps réel et la vente spéculative à terme. Si je pense que la guerre va s’arrêter et que les cours du blé vont chuter, je suis vendeur à terme de 1 000 contrats à 400 euros et en mai, si le temps réel fait que le blé vaut 100 euros la tonne, j’encaisse la différence, soit 300 euros par tonne. La spéculation à la baisse est risquée car je devrais nécessairement acheter à terme et ce, quel que soit le cours. 

 

 

Plus il y a d’acheteur, plus la valeur monte. Inversement, plus nombreux sont les vendeurs, plus cela fait baisser le cours. Tout principe de spéculation repose donc sur l’anticipation d’une rupture dans l’équilibre de l’offre et de la demande, qui ferait varier la cotation dans un sens ou dans l’autre. La spéculation à la hausse est le cas le plus simple, et le premier auquel on pense. Il consiste à acheter des valeurs avant qu’elles ne montent et de les revendre ensuite pour réaliser une plus-value :

  1. Achat de blés à un cours « faible »
  2. Montée du cours sur ces titres
  3. Revente du blé  avant la baisse

Le fait d’acheter des contrats (étape 1) déséquilibre le rapport entre l’offre et la demande en faveur des acheteurs et fait par conséquence monter le cours. Dans un premier temps, la prédiction est donc une prophétie auto-réalisatrice. Le fait même de spéculer à la hausse sur une valeur, entraîne mécaniquement sa hausse.

 

Une frontière ténue en moralité et immoralité…

 

Avec un effet pyramidal : les derniers à acheter avant que ça ne baisse perdent de l’argent ou gagnent beaucoup moins en achetant des titres survalorisés. La financiarisation des marchés de matières premières, démontre le principe même de la spéculation : je n’ai pas besoin d’être producteur pour interagir sur lesdits marchés. Je peux vendre ce que je ne possède pas et les prix de la spéculation s’imposent aux petits producteurs. Les céréaliers sont aussi tentés de stocker dans des périodes de hausse des cours, donc de peser sur la raréfaction artificielle de l’offre et ainsi de réaliser de belles plus-values. La frontière entre immoralité et amoralité semble faible pour ceux qui sont avides de profits. L’Etat doit évidemment intervenir lorsque la concurrence est faussée par l’avidité des uns au détriment des plus démunis. C’est tout le principe capitaliste qu’il faut repenser : si l’égalité est impossible dans nos systèmes, l’équité doit nous permettre de retrouver les bases de l’humanisme. Le prix de l’essence à conduit à la révolte des Gilets jaunes, celui du pain à parfois amené des révolutions !

« Le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le communisme ? C’est le contraire ». Henri JEANSON.

 

Jean-Paul ALLOU

 

Annoncé par notre confrère, « Le Parisien » dans son édition du 22 mars, le déplacement du chef de file de « Reconquête ! » sur la Colline Eternelle le jeudi 07 avril n’est toujours pas confirmé par les instances officielles du mouvement souverainiste. Rien n’apparaît formellement au calendrier du candidat. Ce dernier a peut-être revu sa copie initiale ? L’opposition à sa venue est telle qu’elle a engendré l’ire des habitants…

 

VEZELAY: Une chose est concrète dans cette histoire : c’est la constitution d’un collectif fédérant près d’une centaine d’habitants opposés à la visite de l’ancien polémiste dans leur ville.

Déterminés à ne pas rester les bras croisés devant ce qu’ils considèrent comme « une offense faite à tout ce en quoi ils ont foi », les membres de ce collectif, sans appellation spécifique, invitent celles et ceux qui pensent comme eux à signer la pétition mise en ligne depuis plusieurs jours. Une pétition qui ne cesse de croître, côté signatures.  

Pourtant, à l’heure où se rédige cet article, aucun élément nouveau n’est venu corroborer l’information lâchée sous la forme de supputations par le quotidien « Le Parisien » le 22 mars.

Rappelons les faits : il était écrit dans les colonnes du média que le trublion de la présidentielle « envisageait d’achever sa campagne électorale par une venue à Vézelay le jeudi 07 avril ».

 

 

Une visite en forme de symbole, on l’aura compris avec l’ascension à pied vers la basilique Marie-Madeleine, haut lieu de l’art roman, et départ de pèlerinages pour les férus de spiritualité. L

Le patronyme de Marion MARECHAL et de quelques autres lieutenants du chantre de l’union des droites étaient même évoqués à l’occasion de cette journée, rappelant la montée vers la roche de Solutré d’un certain François MITTERRAND dans les temps immémoriaux.

Interrogés, les responsables et soutiens départementaux du candidat Eric ZEMMOUR dans l’Yonne n’ont pu confirmer la venue de leur leader d’ici quelques jours sur le site le plus touristique et emblématique de notre territoire.

L’évènement s’il est réellement organisé serait de toute façon gérer par les instances nationales, sans qu’il n’y ait la moindre décision prise au niveau régional. Donc, pour l’heure, on en reste au stade de supputations. Qui ont pour conséquence d’irriter une frange de la population du cru !

 

Thierry BRET

 

C’est un congrès national qui fera date. D’une part, pour l’antenne départementale de l’Yonne qui a accueilli pour la première fois un évènement d’envergure hexagonale à Auxerre. D’autre part, pour le message clair et net qui a été adressé à l’attention des douze candidats à la présidentielle. Et si l’on parlait enfin des familles dans leurs professions de foi !

 

AUXERRE : Elles sont au nombre de quinze, les propositions faites aux candidats engagés dans la course élyséenne. Quinze axiomes bien distincts mais tellement complémentaires qui ne répondent qu’à un seul dénominateur commun : la famille. Le socle inné de l’UNAF (Union Nationale des Associations Familiales) et de son corolaire départemental, les UDAF.

Réunis au Parc des expositions auxerrois, le temps d’un congrès, leurs représentants (plus d’une centaine de personnes) ont envoyé un message limpide aux chefs de file de la vie politique hexagonale : « n’oubliez pas les familles dans vos programmes ! ».

 

Douze candidats ciblés par ces propositions mais pas seulement…

 

Face aux présidents et directeurs de ces structures qui maillent le territoire, le porte-étendard de ce mouvement associatif qui compte dans le paysage sociétal français, Marie-Andrée BLANC, a pu exposer le contenu de ces suggestions louables à l’amélioration de l’existence de ces familles, au centre de leurs préoccupations.

Une communication à la double cible, en vérité.

Les douze prétendants à la fonction présidentielle, de toute évidence à quelques jours de l’échéance, mais aussi aux futurs candidats des législatives de juin. Forcément, le pouvoir d’achat, le nerf de la guerre de toute cellule familiale digne de cette appellation en pareille circonstance faite de crises sanitaires et géopolitiques majeures aux frontières de l’Europe représentait le noyau dur de ces explications.

Sans omettre tous les chantiers (et ils sont légion) à mettre en œuvre en matière de politique familiale, dont les projets de service public de la petite enfance, la future convention d’objectif et de gestion entre l’Etat et la CNAF, Caisse Nationale d’Allocations Familiales, la protection de l’enfance, le délicat item de l’adoption, la lutte contre le harcèlement scolaire, etc.

 

 

Trois réponses de candidats sur douze : un bilan famélique…

 

Des dispositifs qui ne répondent in fine qu’à un seul critère : celui du retour à la confiance envers ces familles, parfois déchirées et en souffrance qui doivent se débattre au quotidien pour survivre dans un environnement conjoncturel (emploi, fiscalité, crises, sécurité…) de plus en plus hostile.

Très à l’aise dans ses interventions, la présidente de l’UDAF de Haute-Loire, occupant aujourd’hui le poste suprême à la tête de l’Union nationale a précisé qu’à date du congrès, seuls deux candidats (Emmanuel MACRON et Valérie PECRESSE) avaient répondu favorablement à ses sollicitations de rendez-vous.

Un entretien avec le tribun de La France Insoumise, Jean-Luc MELENCHON, était en instance de concrétisation. Sachant que les douze candidats ont reçu ce « livre blanc » de préconisations concrètes à adopter en faveur de la famille et que trois seulement ont daigné répondre, c’est fort peu !

 

 

Faire passer les messages des familles confrontées aux crises conjoncturelles…

 

Cela n’enlève en rien à la qualité ambitieuse de ce travail de fourmi réalisé par l’UNAF et les UDAF, une réflexion qui pourrait aussi trouver écho et faire florès parmi les rangs des postulants à la députation pour rejoindre l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Dans un souci de transparence et d’équité, les sénateurs seront également mis dans la boucle !

Dans l’absolu, il ne reste plus que quelques jours pour que les autres candidats ne bloquent une rencontre utile sur leur agenda bien garni avec la défenseuse des droits et des intérêts des familles de ce pays. Histoire d’apprécier toute la quintessence intellectuelle de la démarche !

Utile pour faire passer les ressentis et les desiderata de ces familles qui ont tant donné durant les deux années de pandémie. Et qui subissent déjà de plein fouet les contrecoups économiques de la guerre en Ukraine, ne serait-ce qu’au niveau de la facture énergétique et la flambée spéculative des prix des carburants.

 

 

En savoir plus :

 

On peut consulter les propositions faites aux candidats de la présidentielle et des législatives sur le site www.familles2022.fr

 

Thierry BRET

 

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