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SVA fait son SAV : le premier étage de la fusée « Son Vibration Acoustique » est en orbite pour son financement

« Les investisseurs qui croient en l’avenir économique des filières du son, de la vibration et de l’acoustique sont invités à entrer au capital social de SVA, la nouvelle SAS portée sur les fonts baptismaux depuis le 28 avril et qui veut donner écho à l’attractivité de l’Yonne à l’international… ». « Les investisseurs qui croient en l’avenir économique des filières du son, de la vibration et de l’acoustique sont invités à entrer au capital social de SVA, la nouvelle SAS portée sur les fonts baptismaux depuis le 28 avril et qui veut donner écho à l’attractivité de l’Yonne à l’international… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Et Dieu créa le monde en touchant du bout de l’index l’homme fait à son image pour lui prêter la vie ! Nul n’a besoin de se rendre à la chapelle Sixtine au Vatican pour contempler la créativité au sens noble du terme, porteuse de grandes espérances. De manière plus prosaïque, il suffit de s’intéresser de très près à l’entité « SVA », constellation naissante parmi la galaxie entrepreneuriale que compte la Voie Lactée de l’Yonne pour comprendre que la filière du son, de la vibration et de l’acoustique possède un réel avenir économique devant elle. La tête dans les étoiles, les investisseurs ?   

 

AUXERRE : Tous les ingrédients de la réussite sont réunis pour faire de cette aventure, qui n’a rien de spatiale, une odyssée innovante, génératrice de richesses, profitables à notre territoire. Un terreau propice à l’éclosion de nouvelles idées. Un secteur, celui du sonore, du vibratoire et de l’acoustique, encore à l’état embryonnaire de sa pleine exploitation industrielle en France. Des compétences humaines qui en connaissent déjà un sacré rayon sur cet item si particulier et qui, au vu des pédigrées de chacun, n’ont rien de farfelus professeurs Tournesol !

Il n’y a rien de miraculeux, non plus à l’essor expansionniste de ce concept. Mâtiné de longue date, il accouche enfin, non pas d’une minuscule souris, mais d’une légitimité insolente qui ne peut que rendre enthousiastes ses émules. Celles et ceux qui y ont toujours cru, et ce depuis le premier jour, où le projet fut porté à la connaissance du plus grand nombre.

Certes, il y eut aussi les empêcheurs de tourner en rond. Les indécrottables rabat-joie de l’initiative qui n’y croyaient guère et ne comprirent que « couic » à ce qu’ils pensaient être un « fatras » d’élucubrations imaginées dans la tête d’un seul homme, celui qui peut revendiquer l’entière paternité de ce concept révolutionnaire : Serge GARCIA.

 

 

Une clé d’entrée au capital social de 5 000 euros à minima !

 

Ah, ce Serge GARCIA et son projet DEFI SON tellement déconcertant ! Combien de rendez-vous à son actif pour convaincre du bien-fondé de cette thématique ; combien de rencontres fortuites pour tenter de faire bouger les lignes parmi des systèmes de gouvernance politiques, institutionnelles, économiques, parfois engluées dans leurs propres certitudes ! Le temps ne possède pas d’emprise sur les hommes de bonne volonté : le rendez-vous avec de potentiels investisseurs, organisé il y a quelques jours à Auxerre, l’a démontré une fois de plus.

Etrange personnage que ce Serge GARCIA ! Voilà un individu à la tête bien remplie qui n’est pas originaire de l’Yonne, où il ne possède aucune attache personnelle, mais qui se bat bec et ongles depuis presque une décennie pour la réussite économique de ce territoire ! De « Défi Son », la structure associative qui aura sué sang et eau avec ses « apôtres » afin de peaufiner ce concept complexe et hybride, pouvant créer des emplois et de la valeur ajoutée, voilà que se révèle enfin à nous, telle une lumineuse clarté, « SVA ».

L’outil de toutes les tentations, notamment celles des investisseurs qui sont désormais invités à participer à une levée de fonds devant se clore le 27 mai prochain.

Vous auriez tort de ne pas être interpellés par cette initiative insolite. Dans l’Yonne, elles sont suffisamment rares sous cette configuration originale pour ne pas les mentionner et y regarder à deux fois avant d’en rejeter l’idée !

La clé d’entrée se situe à minima à cinq mille euros. Presque une broutille pour les férus de l’investissement qui aiment par leur implication financière soutenir des porteurs de projets, voire renforcer les fonds propres de sociétés existantes.

A date, une dizaine de figures emblématiques de l’économie territoriale ont déjà déposé leurs propres deniers pour soutenir le concept. Et on le sait, l’effet boule de neige est très vertueux pour sensibiliser autrui. Car, derrière toute levée de fonds, il y a irrémédiablement un effet de levier. Celui orchestré par les milieux bancaires, voire des organismes institutionnels. L’un de ces établissements financier s’est positionné clairement. Intéressé, il n’hésiterait pas injecter cent mille euros sur la nouvelle activité générée par la SAS qui a été portée sur les fonts baptismaux ce 28 avril.

 

 

SVA : concept créateur d’emplois et de valeurs ajoutées…

 

Normal : SVA qui installera son siège social à Brienon-sur-Armançon possède des velléités d’intervention à l’hexagonal, pour ne pas dire à l’échelle internationale. Une affaire de reconnaissance et de réseaux interprofessionnels préalablement bien actés. Sans omettre des passerelles naturelles avec le monde de l’ingénierie et de la recherche, via de nombreux laboratoires.

Sur le papier, et au vu du très détaillé exposé décliné à deux voix par Serge GARCIA et Denis HACQ, ancien dirigeant d’entreprise et aujourd’hui investisseur qui y croit dur comme fer, la flamboyante constellation « SVA » a de la « gueule » !

Ses domaines d’application sont multiples à l’instar d’une pluie d’étoiles filantes observées lors de la traversée des Hespérides : industrie, santé, automobile, BTP, plasturgie, chimie, armement, agriculture, urbanisme, nucléaire…Serait-elle à la croisée des chemins d’un développement économique insoupçonné ?

A écouter les discours de ces deux passionnés, il devient évident que tout ce qui nous entoure est sonore, vibratoire et acoustique !

Denis HACQ lâchera même de façon prophétique : « le XXIème siècle ne sera-t-il pas celui de ces trois spécificités ? ».

 

 

 

On se le demanderait presque, après avoir bu ces paroles qui nous narre une aventure humaine exceptionnelle où l’Yonne pourrait en tirer grassement les marrons du feu avec l’existence de cette SAS, une fois n’est pas coutume !

Se définissant comme un accélérateur de mutation au service des entreprises, SVA pour Son Vibration Acoustique souhaite répondre aux desiderata des industriels et artisans confrontées à cet ensemble de problématiques, dont personne ne parle.

Par quels biais ? Très simple, argumentera un Serge GARCIA faisant usage de beaucoup de pédagogie et d’un zeste d’humour pour que les choses restent accessibles, « SVA va intervenir sur la formation, la communication mais aussi la recherche et développement ainsi que l’innovation… ».

 

L’Yonne, vitrine internationale du son, de la vibration et de l’acoustique ?

 

La SAS, par la voix de ses mentors, veut agir au service de l’attractivité de l’Yonne et son rayonnement, bien au-delà des cénacles habituels. Entre ultrason et hyper-son, se reposant sur les champs applicatifs de ce vaste domaine, hybride et tentaculaire, à l’infini.

Ses dirigeants viennent par ailleurs d’être recrutés selon un mode opératoire minutieux où auront été collectées 254 candidatures en provenance de l’Europe entière. Ils seront fin prêts pour donner vie à cette structure, début juin.

Une naissance accueillie avec bienveillance par moult acteurs de l’économie. Une dizaine d’entreprises industrielles sont en effet sur liste d’attente pour bénéficier du savoir-faire et des conseils judicieux prodigués par la jeune société.

Présentant un business plan plutôt aguicheur (l’équilibre et la rentabilité de la SAS seraient atteints dès la seconde année de fonctionnement), SVA pourrait selon les prévisions de ses stratèges financiers dépasser les 2,6 millions d’euros de chiffre d’affaires au terme des cinq premières années d’existence.

Grâce à cette levée de fonds initiale, établie à 200 000 euros, les responsables du concept espèrent engranger un triplement de la mise, par un effet de levier global auprès d’autres partenaires influents.

Qu’on se le dise : les technologies de ce nouveau siècle s’installent réellement dans ce territoire. Avec la bénédiction urbi et orbi d’un groupe composé d’une centaine d’experts du son, de la vibration et de l’acoustique qui fera office de comité des sages. Alors, pourquoi, ne pas entrer à son tour au capital social de ce projet qui semble béni des « dieux » pour l’Yonne ?!

 

Thierry BRET