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Il est entré en Croatie : EL BADAOUI, « petit Prince » de l’aventure extrême, poursuit sa quête inexorablement…

« L’athlète auxerrois Abderrazzack EL BADAOUI vient de pénétrer en Croatie tôt ce samedi 29 mai après avoir laissé derrière lui la Slovénie et de belles rencontres. Le rêve de ce « Petit Prince » de l’extrême se poursuit ; le nôtre aussi… ». « L’athlète auxerrois Abderrazzack EL BADAOUI vient de pénétrer en Croatie tôt ce samedi 29 mai après avoir laissé derrière lui la Slovénie et de belles rencontres. Le rêve de ce « Petit Prince » de l’extrême se poursuit ; le nôtre aussi… ». Crédits Photos : Thierry BRET et D.R.

Exit la Slovénie qu’il laisse avec regrets derrière lui tant la chaleur de l’accueil fut à la hauteur de ses espérances, place à la Croatie dont il vient de franchir la frontière depuis quelques heures à peine, ce samedi 29 mai. Mais de part et d’autre de la ligne qui sépare ces deux pays de l’ancienne Yougoslavie, il y a toujours cette solitude inexorable qui l’accompagne tout au long de ce périple, dur pour le moral…

 

CROATIE : La mine fatiguée, les muscles endoloris, le regard perdu dans le flou et le vague à l’âme de savoir qu’il s’éloigne chaque jour un peu plus de celles et ceux qui l’aiment, le sportif de l’extrême Abderrazzack EL BADAOUI avance à son rythme. Il s’accroche à sa monture de métal, lourdement équipé, son cycle qui le conduit vers sa destination finale. Cap vers Dubaï et la péninsule arabique, le berceau des contes et légendes des mille-et-une nuits !

Après quatre pays traversés et treize jours de progression constante sur les routes peu contrôlées de l’Europe centrale, le champion auxerrois se rapproche davantage de son but.

 

 

 

 

Sans avoir connu la moindre anicroche, et accompagné par le salvateur soleil qui lui réchauffe le cœur. Au détour de belles rencontres, « Abder » chemine en prenant le temps de discuter au détour de ces contacts si riches qu’il affectionne et aussi de se reposer.

Qu’il est déjà très loin ce temps de la ferveur vécue au départ de ce raid où ils étaient nombreux à lui prodiguer des encouragements mérités qu’ils soient officiels ou émanant de ce public admiratif et ayant bravé des conditions météorologiques quasi hivernales pour le voir quitter son port d’attache…

 

Thierry BRET