Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Il a remisé ses instruments de travail au placard depuis un moment, le chirurgien-dentiste auxerrois. Consacrant désormais son temps libre à l’une de ses indéfectibles passions qui lui enrichit l’âme et l’esprit, la découverte jamais inassouvie de la basilique Marie-Madeleine, la bien-nommée, celle qui trône au sommet de la « Colline éternelle » de Vézelay. Avec son complice au coup de crayon très affûté, le dessinateur Thierry GAUFILLET, Jacques DROUHIN nous livre en ce printemps 2024 un très bel ouvrage consacré au séculaire édifice à mettre entre toutes les mains. Celles des initiés comme des profanes !

 

AUXERRE : Non, cet opus à l’étrange couverture sur fond chromatique noir et orange n’est pas un énième livre de plus consacré à Vézelay et à l’un de ces joyaux, sa fameuse basilique Sainte-Marie-Madeleine. D’une part, dans l’intitulé de l’ouvrage, il y a cette phrase. Intrigante. Enigmatique. Tentante, aussi, pour en savoir davantage sur cet écrit et qui vous met déjà l’eau à la bouche avant d’avoir lu le moindre chapitre. « Comme vous ne l’avez jamais vue ». Mais, de qui parle-t-on enfin ?

D’autre part, sur cette même couverture, finement ciselée par l’illustration tout en symbole du dessinateur Thierry GAUFILLET, on voit un pèlerin, façon « Jacquou le Croquant » - un fameux personnage que les moins de cinquante ans non adeptes du tube cathodique ne peuvent pas connaître comme l’aurait si bien chanté le plus arménien de nos interprètes hexagonaux, le grand Charles AZNAVOUR ! – cheminé sur un curieux parcours constellé d’étoiles, et accompagné de son chien, en direction d’un édifice religieux. La fameuse basilique de Vézelay !

Celle dédiée à Marie-Madeleine, cette sainte qui occupe une place tellement particulière dans la vie de Jésus.

On peut rester de longues minutes à la contempler, cette couverture. Sobre mais esthétique. Incitative et gourmande pour approfondir ses connaissances intellectuelles (et surtout spirituelles, voire ésotériques) sur le sujet du jour. Une thématique dont raffole notre auteur. Jacques DROUHIN !

 

Un livre hommage aux « bâtisseurs d’éternité »

 

Se faire arracher une dent ou recevoir un implant dans la gencive devait être…une véritable partie de plaisir, du temps où le chirurgien-dentiste à l’érudition si édifiante venait encore à soigner sa patientèle dans son cabinet typique et si original auxerrois. Une architecture comme on n’en avait vu nulle part ailleurs et l’œuvre d’un architecte d’intérieur local (mais aussi parisien), brillantissime garçon et décalé dans ses conceptions à l’estampille de « DAD Design », Luc DUINA. Ah, le sacré tandem de bons compères et d’amitié que celui-ci ! Un duo qui se mue en tiercé. Gagnant sur toute la ligne et sans photo finish comme à Auteuil ! Avec la présence esquissée par les dessins de Thierry GAUFILLET. Un lauréat du Salon de la bande dessinée d’Angoulême, tout de même ! Titulaire du prix Alfred de l’Avenir ; excusez du peu ! Lui, il possède aussi une passion commune avec le grand Jacques : l’histoire et la peinture. Alors, quoi de plus naturel en somme que de rendre à travers cet ouvrage et ses 160 pages, un parfait hommage aux « bâtisseurs d’éternité » !

Un mot aussi, sur un autre Icaunais, au service de la défense du patrimoine, de l’intellectualisme et de la culture – il en a fait son métier en sa qualité de possesseur d’une maison d’édition -, Yannick LE CAM. « Entre deux mondes ». Nom de baptême de cette société éditrice de ce bel ouvrage qui n’a rien de commun avec toute la prose qui a déjà été publiée sur Vézelay, il faut en convenir.

« Entre deux mondes » ! Tiens, tiens, on croirait presque lire entre les lignes avec cette dénomination aux sonorités étranges. Serait-ce « Entre la vie et la mort » ? « Entre le sacré et le profane » ? « Entre ce qui est en bas, et ce qui est en haut » ? « Entre l’ignorance et la vérité » ? Ou encore « Entre l’ombre et la lumière » ?

Toujours est-il que possesseur de tous ces ingrédients à faire saliver notre chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA devant une table nappée (c’est tellement rare) d’un établissement étoilé à la cocarde tricolore, on ne pouvait plonger qu’avec exaltation dans ce livre précis, intelligent, poétique, onirique, secret, lumineux, véritable révélateur de cette lumière « divine » qui nimbe depuis des siècles cette fameuse colline au sud de l’Yonne.

Une colline vénérée par tous les férus de tourisme spirituel, en provenance du monde entier, et celles et ceux qui s’adonnent aux vertus salvatrices de la connaissance du sacré, une fois les ténèbres disparues…

 

Choisir son chemin qui mène à la vérité…sa vérité

 

Le bouquin se lit d’une traite ou presque. Sans que l’intérêt du lecteur se dilue au fil des pages. Tel un chemin initiatique qui nous mène vers autre chose. D’ailleurs, de « chemin », il en est question. Au pluriel, il se conjugue avec celui de la transformation, des fleurs, des basilics (une bête légendaire issue de la mythologie présentée comme un reptile affublé d’une tête de coq dans certaines interprétations), du temps, mais aussi celui plus ésotérique de l’alchimie…Mystères et envoûtements au fil des explications livrées à loisir par l’auteur.

De progression en progression, de chapitre en chapitre, tout est examiné minutieusement à la loupe par un Jacques DROUHIN concis, qui nous émerveille par tant de connaissances et d’aisance scripturale. Son livre fait du bien à l’âme et éveille notre conscience, détaillant dans les moindres recoins tous les particularismes de cet édifice datant de plusieurs siècles. Au détail, près.

Il nous propose à travers ce voyage intemporel du « désir ». « Dé », au sens étymologique du terme comme privatif, « sir », qui rappelle l’astre diurne, le soleil qui brille. Un mot, désir, qui au Moyen-Age – il faut replacer dans le contexte historique la fonction première d’une telle construction érigée au sommet d’une colline pour accueillir les pèlerins – signifiait « renoncer à » quelque chose.

La problématique cornélienne du choix. Celle que nous rencontrons chaque jour au fil de nos pérégrinations terrestres et qui nous rend parfois perplexe, voire torture notre âme, quant à la suite à donner à notre chemin de vie.

Le conseil de l’auteur est simple au terme de ces 160 pages. Il faut découvrir la basilique de Vézelay en empruntant un chemin (des chemins ?), en gardant son âme d’enfant et sa soif de découverte, son étonnement et sa jubilation intérieure. N’importe quel chemin, d’ailleurs, car il n’existe pas de bons ou de mauvais chemins qui mènent à la vérité. Il vous suffit simplement de créer le vôtre…

 

En savoir plus :

« La Madeleine de Vézelay : comme vous ne l’avez jamais vue » de Jacques DROUHIN

Illustrations de Thierry GAUFILLET.

Aux éditions Entre Deux Mondes (EDM)

160 pages, 23,50 euros.

Conférence à Vézelay, à la Maison  des Visiteurs, le 26 septembre 2024 à 19h30.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est tout un symbole qui est démoli, là, sous les yeux d’une poignée de témoins. Erigé en 1988, sous l’ère de Jean-Pierre SOISSON, l’emblématique bâtiment du quartier Sainte-Geneviève à Auxerre, plus connu sous l’appellation « Le Phare », subit depuis huit heures ce mardi matin les coups de boutoir destructeurs de la pelleteuse. Une démolition qui traduit le coup d’envoi opérationnel du projet ambitieux, porté par l’Agglo de l’Auxerrois et la Ville d’Auxerre, sur la rénovation urbaine de ce quartier ainsi que celui des Rosoirs. Ce chantier de réhabilitation s’inscrit dans le cadre du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU)…

 

AUXERRE: C’est une étape novatrice importante dans le projet de transformation du quartier de Sainte-Geneviève à Auxerre. « Le Phare », la grande dalle qui le jouxte en renfermant un parking dans son sous-sol et plusieurs bâtiments (aux références S T U et V) qui accueillaient jusque-là 163 logements vont progressivement disparaître de notre vue d’ici quelques semaines. Sous les assauts répétés des engins de travaux publics…

C’est sous l’égide du « NPNRU », le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain, que l’Agglomération de l’Auxerrois et la Ville d’Auxerre ont choisi de s’engager depuis plusieurs années afin de réhabiliter différents secteurs de la capitale de l’Yonne. Histoire de la revitaliser et de lui conférer une nouvelle capacité attractive.

 

Ce n’est pas un projet où l’on doit habiter, mais un projet où l’on doit vivre

 

Comme devait le préciser justement lors de la visite faite à la presse de ce chantier le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat (OAH) et élu de la Ville, Vincent VALLE, « l’objectif est d’offrir une meilleure qualité de vie aux habitants de ces quartiers Sainte-Geneviève et des Rosoirs ».

Des propos confirmés par l’adjoint de la Ville d’Auxerre en charge de l’Urbanisme, Nordine BOUCHROU, répondant aux questions des journalistes invités sur le terrain à suivre les premières minutes de cette démolition historique de l’un des édifices les plus emblématiques de la préfecture de l’Yonne, « Le Phare », construit en 1988.

« On est sur un projet d’envergure avec plus d’une centaine de millions d’euros qui vont être investis sur ces quartiers d’intérêt régional et national, devait-il déclarer, on porte une attention particulière sur les aménagements des espaces publics, c’est un projet ambitieux où les détails seront très importants. Ce n’est pas un projet où l’on doit habiter à l’avenir, mais un projet où les locataires de l’OAH doivent y vivre, tout simplement… ».

 

 

Une cité scolaire en lieu et place du « Phare »…

 

Le projet de réhabilitation s’étale sur une dizaine d’années. Commencé il y a déjà deux à trois saisons, ce chantier a déjà vécu une étape capitale dans son déroulement avec le relogement des familles qui résidaient jusque-là dans ces logements locatifs sociaux. C’est ici, qu’est intervenu l’Office Auxerrois de l’Habitat.

D’ici une semaine, un premier bâtiment aura disparu. Avant que les équipes de démolition ne s’intéressent à l’enlèvement de l’énorme dalle de béton recouvrant une surface pour le moins impressionnante. Soit plusieurs mois de labeur, selon Vincent VALLE.

 

 

Symbole de la formation durant de nombreuses années, « Le Phare » sera remplacé en lieu et place par une toute nouvelle cité scolaire accueillant des élèves qui fréquenteront des classes maternelles et élémentaires. Ce site accueillera par ailleurs un restaurant scolaire, un centre de loisirs, une bibliothèque, un pôle lecture, et un gymnase. Un creuset au service de l’éducation.

Côté information, les locataires qui se posent des questions sur le devenir de leur quartier auront la faculté de bénéficier de réponses tous les quinze jours, sur l’évolution du chantier.

 

 

« On ne reconstruit pas là où on a démoli en termes de logement… »

 

Paradoxalement, aucun nouveau logement ne sortira de terre en ces lieux. Vincent VALLE insiste sur cet état de fait : « on ne peut pas reconstruire là où on a démoli, explique-t-il, c’est l’un des principes qui constitue l’ADN de l’ANRU, Agence Nationale du Renouvellement Urbain. Ces logements ont été construits ailleurs dans l’Auxerrois et à Auxerre avec la résidence des Gratterys, à Chevannes, soit 160 nouveaux logements qui sont apparus dans le paysage immobilier de l’Auxerrois depuis 2020 pour anticiper ces démolitions… ».

Bien sûr, les Auxerrois peuvent éprouver de la nostalgie de voir disparaître ce « Phare », très énergivore, qui rayonnait sur la vie associative et éducative depuis tant d’années. « Il y a un sentiment de tristesse, confie le président de l’OAH, ici, il y a eu des projets, de la formation, de la jeunesse… ».

Mais, l’édifice devint très vite obsolète et périmé à son utilisation, l’hiver comme l’été avec des différences de températures importantes. Sans parler de la facture énergétique !

Quant au financement de ce chantier de démolition, il bénéficie d’une subvention de l’ANRU à hauteur de 98 % (cinq millions d’euros) pour couvrir le montant de la disparition de ces 163 logements, des 159 garages et du « Phare » qui ne brillera autrement pour les Auxerrois que par la mémoire et les souvenirs. Son coût prévisionnel global s’élève à 5,1 millions d’euros, dont 2,3 millions de travaux et honoraires et 2,8 millions de perte d’exploitation et de relogement des familles.

Dorénavant, le quartier Sainte-Geneviève va s’ouvrir davantage vers la ville. Sachant que la réciprocité existe, également. Des commerces y seront introduits afin de dynamiser l’espace. Une nouvelle virginité en somme…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il n’y a pas de mots devant une telle horreur. Pas une once de pitié ni de considération circonstancielle à avoir devant les auteurs présumés de ces faits. Graves. Lourds. Pesants. Insoutenables. Des actes de barbarie, d’un autre temps, d’un autre monde, de mœurs que l’on pensait d’autrefois, voire oubliés depuis si longtemps dans notre existence, que ne pourraient renier les pires des terroristes possesseurs de couteaux aux lames si tranchantes et si affûtées. Des actes à proscrire de ce XXIème siècle, pourtant au firmament de la technologie, de l’IA  et des progrès scientifiques…Tu parles !

La nature humaine est ainsi faite : chassez le naturel, il revient au galop à la vitesse de la lumière surtout en matière d’abrutissement, de monstruosité, de vices sans vertus et de « conneries » en tout genre, en veux-tu, en voilà ! Et là, l’humain de ce siècle en totale déliquescence avec lui-même n’est pas mal non plus dans son genre…

Ici, dans le cas présent, c’est l’un de ces faits divers des plus sordides que même les journalistes ont dû mal à expliquer et à narrer dans leurs colonnes, tant l’envie de vomir – pour ne pas dire gerber -  leur remonte dans la gorge, et qui se fait jour au plus grand nombre d’entre nous.

 

Les animaux ont des droits sur cette planète qui est aussi la leur…

.

C’est donc un chien, une simple bestiole à quatre pattes – le meilleur et plus fidèle ami et compagnon de l’homme précise l’adage - qui en est devenue la malheureuse et innocente victime. L’expiatoire victime, devrait-on dire, pour on ne sait quel faute impardonnable qui méritait de facto la peine de mort sans jugement aucun et de la manière la plus odieuse qu’il fut. Un acte gratuit, teinté aux relents de cette emprise ordinaire de l’alcool qui fait tant de ravages dans nos campagnes hexagonales, visiblement selon les premiers témoignages. Et alors, est-ce vraiment défendable et excusable en soi ? Que nenni !

Que l’on soit bourré, analphabète, idiot du village, intellectuel ou sain de corps et d’esprit, le respect de l’animal est une règle d’or à ne jamais transgresser.

Eu égard à Dame Nature qui les accueille sur cette planète qui est aussi la leur et où ils possèdent des droits. Eu égard, aussi, à tous ce qu’ils peuvent apporter de bon pour améliorer la triste condition de l’homme dans cette société insipide, incivile, contradictoire dans ses us et coutumes de la vie ordinaire. Faite d’individualisme et de jalousie.

Alors, quand on lit entre les lignes d’une dépêche traitée dans la catégorie « faits divers » par un quotidien régional ce qui va suivre, notre sang ne peut que bouillir à 180 degrés dans notre corps et notre esprit demander justice et réparation – si tant est qu’il soit encore possible de le faire – devant de tels cas, franchement irrécupérables.

 

 

Un monde meilleur où ne vivrait pas cette pitoyable espèce humaine…

 

Les sévices et actes de cruauté envers les animaux sont déjà abominables en tant que tels lorsqu’ils sont perpétrés. Mais, quand ces actions gratuites et sanguinaires se transforment en scénario façon film d’horreur à la Stephen KING juste pour le plaisir de faire mal alors l’irréparable est commis et on ne peut plus grand-chose pour celles et ceux qui les commettent. Circuler de la société, il n’y a vraiment plus rien à voir, n’y à faire pour celles et ceux qui commettent de telles méfaits ! De sinistres personnages à bannir à jamais de notre vie.

Comment s’appelait ce chien déjà ? Médor, Oscar, Pollux, Vegas, Lucky (auquel cas le pauvre, il n’en aurait pas eu beaucoup de chance) ou Maya ? A quelle race appartenait-il ?  Nul ne le sait. Même pas le procureur de la République qui instruit l’affaire, c’est tout dire sur l’état de la pauvre bête quand on a retrouvé ses restes !

Dans les faits, le malheureux animal a reçu suffisamment de coups de couteau dans le flanc, avant d’être décapité avec une tronçonneuse pour qu’il passe de vie à trépas en rejoignant, on l’espère, un monde meilleur où surtout cette pitoyable race qui vit sur Terre, l’espèce humaine, ne viendra plus jamais l’embêter…Le paradis des chiens existe, c’est certain…

 

La mobilisation de tous les adorateurs des animaux !

 

Mais, jusqu’où l’humanité va-t-elle descendre dans les abîmes les plus profondes de la répulsion et de l’effroi ? On pensait avoir tout vu en cette année 2024, comme les précédentes, déjà gorgées d’immondices répugnantes quant au savoir-faire de l’homme en matière de cruauté si finement aiguisée. Et bien non !

Les scènes macabres se succèdent aux scénarii de la peur et de l’épouvante : l’humain est encore loin d’avoir dévoilé toutes ses ressources et ses potentialités en termes d’absurdité et de répugnance. Nimbées de bain de sang et d’hémoglobine à haute dose. Et pour une fois, il n’était pas question de diffuser ces outrages imbéciles sur les réseaux sociaux pour en faire du buzz !

Mais, sincèrement, posez-vous donc la question une bonne fois pour toute en prenant le temps de la réflexion devant une glace : qui oserait découper la tête de son chien à la tronçonneuse parce que celui-ci, selon toute vraisemblance et d’après les aveux des placés en garde à vue, aurait coursé un chat, lui-même victime de maltraitance par ce même couple infernal déjà bien connu de la Justice ?

Il faut être sérieusement dérangé du cerveau, non ? A condition qu’il y en ait un qui soit renfermé dans la boîte crânienne de ces « Ostrogoths » …

Bien sûr, justice devra être rendue à l’issue de la comparution de ces rustres, sortis d’un autre âge, à l’automne prochain devant un tribunal correctionnel. Bien sûr, un avocat assurera leur défense dans les règles de l’art, plaidant les circonstances atténuantes (il faudra nous expliquer lesquelles par ailleurs !) et le mauvais comportement « évident » de l’animal envers ses maîtres.

Mais, tout de même, jusqu’où peut aller l’absence de docilité d’un chien s’il est déjà battu à coups de ceinturon tous les quatre matins par ses maîtres irascibles et qui y prennent un malin plaisir !

Face à ce genre de dossier, de plus en plus récurrent, il est impératif que la Fondation « 30 millions d’amis », la SPA, ainsi que toutes les associations de la protection animale, de la nature et de l’environnement, y compris les politiques et les acteurs engagés de la société civile, prennent partis en faveur de cet animal torturé par ses horribles propriétaires.

Des bourreaux qui, eux, n’y laisseront pas leur vie in fine aux termes de la procédure juridique quel que soit le verdict.

« On n’achève pas bien les chevaux », disait le film ; dorénavant, dans l’Yonne car c’est bien dans ce département déjà bien fourni en affaires criminelles des plus sordides par le passé, que l’« on décapite même les chiens ! ». Ignoble et « dégueulasse »…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Certes, il pointe en neuvième position sur la liste. Ce qui n’est pas si mal, après tout, sur un total de 81 candidats choisis à l’échelle de l’Hexagone. Même si ses chances d’obtenir le « Graal européen » au terme de la soirée dominicale du 09 juin sont infinitésimales pour ne pas dire plus, il n’empêche que le colistier de « Défendre les Enfants » auxerrois se prend au jeu et s’offre une tribune médiatique, ne serait-ce que pour être l’un des porte-étendards de la cause enfantine, dans l’Yonne. Une cause, quasi oubliée par les ténors de la vie politique tricolore (comme à peu près partout d’ailleurs en Europe !) qui repose sur la défense des droits parentaux et la protection de l’enfance. Une enfance qui a grandement besoin d’être sécurisée dans le monde actuel…

 

AUXERRE: Pour l’heure, il a mis de côté son projet de livre afin de se consacrer pleinement à la campagne des européennes. Non, pas à la rédaction d’un roman au style ampoulé comme certains savent si bien le faire dans le giron territorial, non, lui, ce qui le passionne vraiment, ce sont les ouvrages à vocation pédagogique, incluant réflexions et conseils. Deux de ses opus (« Débloquez votre potentiel » et « Vers une communication non violente ») se vendent d’ailleurs via les canaux de distribution numériques habituels sur AMAZON !

Le futur bouquin, à la composante très juridique, traitera précisément du thème qui l’obnubile le plus à l’heure actuelle : la place de l’enfant dans la société contemporaine, un enfant devant subir de plein fouet les affres de la séparation familiale et ses aléas. Des aléas que l’on suppose terrible dès que la relation entre mari et femme, en procédure de divorce, tourne au vinaigre, voire en conflit d’intérêt larvé…

 

Déjà dans la course à l’Europe en 2019

 

« Ce sera une autre version du pire et du meilleur occasionné par la vie de couple, concède Daniel DELVERT, un garçon brillant qui ne s’est jamais trop éloigné de la vie politique et citoyenne locale, au sens noble du terme.

Cette fois, l’Auxerrois s’affiche ouvertement sur une liste totalement méconnue ou presque de la sphère publique, qui avait déjà beaucoup dépensé en énergie lors de la précédente édition des échéances européennes, en 2019, sous les couleurs de « Défendre les Enfants ». En cette année 2024, c’est rebelote donc pour cette formation composée de purs représentants de la société civile, des personnes de toutes obédiences et de tous horizons qui possèdent le même dénominateur commun : la protection de l’enfance dans cette Europe tourmentée et perturbée par tant de miasmes ! Une Europe, peu encline à de très rares exceptions à placer l’enfance et ses droits parmi ses priorités stratégiques…

 

De la convergence d’opinions à la conversion dans les faits

 

A la lecture de cette liste, ces 81 patronymes livrés à notre connaissance tel un inventaire à la Prévert, pas de noms connus. Pas de poids lourds de la politique nationale, non plus, placés en guise d’arbitrage politicien dans les fondements de cette suite de 81 noms propres pour donner le change !

Bref, ce sont des Français « bien ordinaires » mais qui savent certainement de quoi elles et ils parlent car confrontés sans doute au quotidien aux vraies problématiques de la vie de parents séparés, divorcés, en procès, veufs, en prise directe avec la justice, ou aux problématiques inhérentes à l’insécurité intrafamiliale (c’est très dans l’air du temps malheureusement), la vie, la vraie, quoi ! C’est sûr qu’à la lecture de leur profession de foi, de l’énergie, elles et ils en ont à revendre en leur qualité de membres de plusieurs associations partenaires et mutualisées dans la défense des valeurs portées par cette candidature.

Le leader de ce mouvement parental au service des intérêts ô combien légitimes de leur progéniture se nomme Gaël COSTE-MEUNIER. Il occupe la première place de cette liste qui n’est pas certaine à quasi 100 % de figurer dans les bureaux de vote le 09 juin prochain, faute de moyens financiers évidents, par bulletin interposé à imprimer !

« Ce qui me plaît dans la démarche de ce mouvement, confie Daniel DELVERT, c’est cette convergence d’opinions et d’idées allant dans la même direction : la défense de l’enfant. Parmi les associations présentes dans cette liste, on y trouve des responsables associatifs favorables à la garde alternée, à la défense des enfants placés dans les ASE (Aide Sociale à l’Enfance), à la protection des enfants autistes, ceux qui sont maltraités… ».

 

Des chiffres à faire froid dans le dos

 

L’enfance maltraitée, parlons-en, justement ! En l’espace de deux à trois ans, le nombre de cas enregistré a explosé en France. Une hausse de 20 % ! Touchant aujourd’hui plus de 340 000 gamins et adolescents, des « invisibles » dont on ne parle jamais ou presque dans le landerneau politique…A de rares exceptions.

Les chiffres fournis par Daniel DELVERT – il est très bien documenté sur cet épineux sujet de société – font froid dans le dos. En 2023, 2 500 enfants mineurs ont subi des viols ou ont été battus. Les cas de harcèlements prolifèrent à la vitesse de la lumière, quasiment en toute impunité pour leurs auteurs. Quant au nombre de femmes ayant eu à subir des outrages incestueux durant leur enfance, il s’élève désormais à…6,7 millions de personnes en France. Cela se passe de commentaires, dans cette société dite de progrès, d’intelligence et accessoirement, civilisée !

Les revendications sont nombreuses, on l’imagine aisément pour « Défendre les Enfants ». Citons quelques exemples. Respect par la Cour  Européenne des Droits de l’Homme qui est en charge de l’application de la Convention internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), une justice moins laxiste, plus efficace et possédant désormais des budgets adaptés à l’ampleur de la tâche – « Nous défendons une part du budget de la justice supérieur à 0,30 % du budget de chaque état au minimum, sous la forme d’une directive », précise notre interlocuteur icaunais -, une modernisation générale des services publics de justice et de travail social qui doivent effectuer leur transition numérique à l’identique de la Sécurité Sociale, la réaffirmation des droits parentaux – « il est préférable de soutenir les familles plutôt que de les décomposer et d’en gérer les conséquences… »-, une protection de l’enfance pleinement européanisée avec un portail numérique pour le suivi des informations de l’enfant et la protection de celui-ci face aux agressions physiques, sexuelles, psychologiques, et des contenus pour adultes sur Internet, et la promotion des résidences alternées en France.

A ce propos, l’Hexagone figure toujours comme l’éternel retardataire sur ce dossier, restant le mauvais élève et bon dernier de la classe avec seulement 11,2 % de résidences alternées mis en exergue pour les enfants de divorcés.

Il est donc grand temps que les choses évoluent dans la bonne direction dans le pays des Droits de l’Homme, qui semble parfois l’oublier, en rappelant qu’un enfant a besoin de ses deux parents pour se construire. Tel sera le message fort que Daniel DELVERT et la liste « Défendre les Enfants » feront circuler durant cette campagne qui gagne enfin en visibilité…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Franchement, cela fait plaisir à voir ! La revalorisation d’un centre bourg dans l’un de ces petits villages de nos campagnes. Et pas l’une des plus évidentes à découvrir, en somme, perdue au beau milieu de nulle part ou presque du côté de la forêt d’Othe, entre Aube et Yonne. Un lieu excentré des grands axes routiers et seulement emprunté par des chemins de traverse parfois un peu sinueux et désert pour s’y rendre, entouré de sombres zones forestières où abondent gibiers, moult feuillus et plantes sauvages. Nom du point de chute à optimiser ce jour : DIXMONT. Inconnu au bataillon pour la plupart des lecteurs ? Oui, vous avez entièrement raison !

Avec une population qui n’excède pourtant pas le millier d’habitants – ils sont quand même répartis sur vingt-trois hameaux ; ce qui en fait l’un des particularismes local ! -, cette commune à la typicité rurale peut désormais s’enorgueillir de posséder un centre-bourg totalement revitalisé, remis à neuf et esthétiquement très agréable à l’œil depuis quelques semaines, marquant ainsi le terme d’importants travaux ayant été élaborés sur une période de trois ans. La prime réflexion, quant à elle, date d’il y a presque dix ans déjà !

Un sacré tour de force imputable à plusieurs critères que sont la pugnacité, l’audace, l’ambition et… la volonté. La vision politique du projet, aussi !

Car pour réaliser des « travaux herculéens » de telle envergure dans pareil endroit et ce n’est pas critiquer la vision sereine et charmante offertes par ce village un brin bucolique par jour de pluie, il aura fallu en amont se battre contre des montagnes de paperasserie, lutter d’arrache-pied contre les sempiternelles lenteurs administratives, convaincre les pisse-froids de tout poil de la réelle pertinence de ces réalisations pour le bien-être et l’amélioration de la qualité de la vie des habitants, se démener pour trouver les fonds nécessaires à un tel dessein architectural, sans omettre la recherche du précieux Graal qui empêchent les élus de ces collectivités territoriales de dormir sur leurs deux oreilles le soir venu : les fameuses et indispensables subventions ! Sans elles, point de salut, et le projet peut très vite passer de vie à trépas, voire mourir dans l’œuf !

 

Un projet hybride et ambitieux mûri pendant une décennie…

 

Qui a dit qu’il ne se passait jamais rien dans les localités de nos campagnes ?! Et qu’elles n’étaient que juste bonnes à accueillir la horde de personnes âgées de villes métropolitaines soucieuse de se mettre au vert pendant la quête d’une retraite amplement méritée ou d’un week-end en résidence secondaire ! C’est vrai que bon nombre d’entre elles n’ont pas grand-chose de très attrayants et de positifs en termes d’attractivité à proposer à la population pour inverser la tendance de la baisse drastique de la démographie.

Plus d’école, pas de commerces, aucun service existant, absence de moyens de transport collectif, couverture téléphonique et numérique réduites à néant : bref, c’est la mouise  totale, quoi !

 

 

L’Hexagone accueille à date près de 35 000 communes dans ses frontières. Il faut savoir que 21 000 d’entre elles, à connotation très campagnarde, ne possèdent même plus le moindre commerce et artisan dans leurs murs ! Ce qui n’est plus le cas, a contrario, de notre étude de cas du jour. Le village de DIXMONT qui accueille désormais un complexe de multi-commerces et une vision stratégique tournée indubitablement vers l’avenir.

Adoubé en 2015 par l’équipe municipale d’alors – un projet communal à angle très visionnaire doit obligatoirement courir dans le temps et ne pas se soucier du temps politique et des échéances électorales qui passent, encore moins des couleurs politiciennes ! -, l’ambitieux concept aura été articulé de la manière suivante : extension de l’école par la construction d’une nouvelle classe, réhabilitation d’un bâtiment ancien  en local permettant de recevoir des praticiens et des logements sociaux, enfin la construction d’un pôle commercial multi-services.

 

Un effet ruissellement des subventions conséquent !

 

Le sceau de la réussite, en fait, de ce dossier hybride pour sensibiliser toutes les parties compétentes (et institutionnelles) pouvant abonder financièrement dans le sens de la marche : son éclectisme ! En y ajoutant une bonne dose de pragmatisme et sans doute de réalisme, en sus.

L’éducation, la santé, l’habitat, le commerce, les services ! Cinq doigts de la main indissociables à mi-chemin entre nécessité sociétale et besoin économique, voire d’attractivité, qui auront fait mouche pour inciter tous les partenaires sollicités (Etat, Région, Département, Communauté d’Agglomération et même Europe) d’y répondre favorablement en ouvrant grandes les vannes financières, engendrant ainsi un salvateur effet de ruissellement…

Près de 3 millions d’euros (excusez du peu !) vont ainsi tomber dans l’escarcelle de la mairie de DIXMONT et de son édile, Marc BOTIN – il est également le président de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais – pour financer l’ensemble de ces travaux, réalisés étape par étape en plusieurs tranches. Dont certaines en tranches conditionnelles.

Là, où l’on se prête à sourire et à applaudir des deux mains quant au sens de stratège et de gestionnaire de l’élu façon renard des surfaces pour parvenir à ses fins, c’est sur le pourcentage d’aides et de subventions qui vont s’adosser au fur et à mesure sur ce projet de revitalisation rurale : plus de 73 % obtenus ! Autant dire que le reste à charge pour la localité de 900 âmes est de l’ordre de la portion congrue ! De la roupie de sansonnet !

 

 

Même la transition énergétique s’est invitée dans le projet !

 

Le concept qui coche toutes les cases de la réussite dans son approche globale et bien dans l’air du temps environnemental, a même ajouté celle de la transition écologique !

En effet, le bâtiment de 300 mètres carrés conçu pour être modulable selon les besoins et comprenant un espace de co-working, un bar, une salle de restauration, et une épicerie d’appoint répond aux normes en vigueur « RT 2012 » du label « BEPOS 2017 Effinergie ». De conception bioclimatique, il a été érigé à base de matériaux bio-ressourcés.

L’espace public, ornementé d’une très jolie fontaine, fait aussi la part belle aux piétons et adeptes de la mobilité douce au détriment des automobilistes qui ne disposent plus que d’une seule voie de circulation. Suffisant pour la tranquillité et la sécurité, non ?

Quant aux végétaux, ils sont partout ou presque dans cet environnement totalement relooké. Outre l’embellissement du site, ils seront à terme une source d’ombre très profitable aux promeneurs et aux clients du nouveau cadre commercial d’un village qui n’en comptait plus aucun depuis un moment.

Moralité : la revitalisation de la ruralité qui n’est pas un vain mot dans cette France du XXIème siècle peut nourrir de très belles espérances au niveau de l’attractivité et de l’économie d’un territoire, en facilitant le retour en grâce démographique de ces communes, le plus souvent oubliées des grands projets de développement. A titre d’exemple, la fameuse « diagonale  du vide » qui traverse la France d’Est au Centre et dans laquelle nous nous situons.

Alors, élus des petites communes de France et de Navarre, n’ayez pas peur de prendre le taureau par les cornes en osant porter vos projets vers le firmament ! Cela paraît si simple…comme le précise l’adage : « quand on veut, on peut » !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Page 1 sur 205

Articles

Bannière droite accueil